A vos bourses pour changer la fast-fashion

L’industrie de la fast fashion, comprenez mode rapide en Français a connu un essor en Europe à partir des années 2000. C’est seulement en 2005 lorsque le système de quota a complètement été éliminé et remplacé par un accord de l’OMC que le phénomène a pris toute son ampleur. Le documentaire The True Cost ou encore le drame du Rana Plaza au Bangladesh n’ont pas suffit à faire changer l’industrie.

Aujourd’hui les collections s’enchaînent dans les enseignes de fast fashion à raison de 50 par an, soit presque une toute les semaines, contre 2 collections par an dans la mode traditionnelle. Nous sommes devenus friands de produits peu chers et à la mode, bien souvent ces achats impulsifs finissent au fond d’un tiroir, nous ne portons régulièrement que 20% des vêtements qui composent notre garde robe. Cette industrie a des conséquences dévastatrices pour l’humanité.

Le concept de “Race to the bottom” ou course vers le bas

Les entreprises à la recherche de coûts de production toujours plus faibles ont délocalisé l’ensemble de leurs chaînes de production dans des pays où la main d’oeuvre est peu chère et les états peu regardant sur l’impact environnemental de l’activité. En 2017, le chiffre d’affaires de l’industrie textile et de la fabrication de vêtements à atteint des sommets records, à hauteur de 181 milliards d’euros.

Les entreprises afin de satisfaire la clientèle, n’hésitent pas à exercer une pression sur les fournisseurs et les sous-traitants qui à leur tour exigent aux salariés d’augmenter les cadences de production. Dans des pays comme l’Inde, le Bangladesh ou encore la Chine où l’abondance de la population met les travailleurs en concurrence, avoir un boulot est une chance. Ainsi ils acceptent ces cadences, travaillent de longues heures supplémentaires, tout cela pour un salaire ne leur permettant pas de vivre décemment.

L’association Asia Floor Wage, se bat pour que les salariés de l’industrie de la mode soient payés un salaire décent. Bien souvent, les employés sont payés au minimum légal du pays, ce qui ne suffit pas à satisfaire les besoins de bases.

Une industrie extrêmement polluante

La pollution engendrée à travers l’ensemble du cycle de vie de nos vêtements est monstrueuse. Le coton est une fibre naturelle qui requiert énormément d’eau pour pousser, le polyester moins cher que le coton est dérivé du pétrole.

Nos vêtements polluent à chaque étape jusqu’à la fin de leurs vies, que ça soit au lavage et au séchage ou encore lorsqu’ils sont incinérés ou enfouis dans des décharges.

Bien que le recyclage des fibres se développe, la technique ne permet pas de réutiliser à l’infini les fibres de coton qui se détériorent avec le temps. Des alternatives existent à la fast fashion, le concept de slow fashion se développe rapidement et les consommateurs se rendent compte que la quantité ne fait pas toujours tout.

Consommer moins mais mieux

De nombreuses marques éthiques, durables se développent et certaines marques utilisent du plastique recyclé dans leur production (Nike, Patagonia). Le consommateur a plus de pouvoir qu’il n’y paraît, en changeant nos habitudes de consommation et en dénonçant les marques qui polluent nous pouvons changer l’industrie. Cette infographie revient sur l’essor de la fast fashion tout en donnant des alternatives individuelles qui mènent au changement.

Réparer nos vieux vêtements, acheter en fripes, accepter de payer un peu plus cher pour de la qualité, choisir des pièces intemporelles, autant de petites actions qui cumulées peuvent faire des merveilles pour votre bourse mais aussi pour la planète !

Les secrets de la fast fashion

massacres de dauphins perpétués aux iles Féroé.

Voici les courriels des 179 membres du Parlement Danois.

SVP , Envoyez leur cette image en CCI en leur demandant que le Danemark cesse de protéger militairement les massacres de dauphins perpétués aux iles Féroé.

Le Danemark est signataire des conventions de Bern et de Bonn sur les espèces migratrices et s’est engagé à œuvrer à leur protection. Sept membres de Sea Shepherd ont été arrêtés en tentant de s’opposer au massacre de 250 dauphins globicéphales (pilot whales) jeudi dernier. Ils risquent selon la loi féringienne, soutenue par le Danemark, deux ans de prison.

Inondons leurs boîtes mails !

MERCI !

Article: http://www.seashepherd.fr/news-and-media/news-20150724-fr-01.htmlmassacre aux Iles Féroé

Lidia

Exemple d’Objet:

Stop the slaughter of pilot whales in the Faroe Islands!‏

Exemple de texte:

Are you sure this is the picture of a civilized nation you wish to give the world to see?

Please do something about it, and intervene to free the the Sea Shepherd activists . The wrong criminals have been locked up!

Regards,

Signature

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Journal des bonnes nouvelles du 31/03/2015

OGM

La Malaisie abandonne le « moustique OGM » contre la dengue 

HEURE D’ETE

Nous sommes passés à l’heure d’été…58% des Français se disent toujours opposés à cette mesure et 66% disent ne pas croire à son impact en terme d’économies d’énergies, selon un sondage BVA-Orange-I-TELE. 

La ministre de l’Ecologie, Madame Ségolène ROYAL a donc annoncé, samedi soir 28 MARS 2015, que ses équipes vont “vérifier” les “économies d’énergie” qui pourraient découler de la mesure. Et, à partir des résultats, elle décidera “de l’opportunité l’année prochaine” de reconduire ce dispositif. (source JDD et LE FIGARO). 
Maryvonne BAUER
Encore quelques jours pour  participer
cyberaction n° 681 : une heure d’avance ça suffit

LGV Bordeaux-Toulouse : avis défavorable de la commission d’enquête publique

La commission d’enquête publique a rendu un avis défavorable sur l’utilité publique des projets de LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax. Un avis qui va être transmis à la SNCF, maître d’ouvrage qui va formuler ses remarques et éventuelles modifications au projet.

Merci aux 3075 participants à la cyber @ction express au moment de l’enquête publique 

Prix national “Arbre durable, Patrimoine & Biodiversité”

Règlement©

Edition 2015

Objet
Le prix « Arbre durable, Patrimoine & Biodiversité© » est indépendant de toutes organisations syndicales, professionnelles et politiques ainsi que de toutes autres reconnaissances déjà existantes. Enfin un bol d’air frais !

Une première en France, enfin un prix pour valoriser et encourager des initiatives exemplaires, innovantes et écologiques. Enfin un prix pour mettre l’arbre à l’honneur, effectivement il en existe d’autres qui selon nous sont beaucoup trop restrictifs quand à la sélection des candidatures. Une démarche sera récompensée et non une structure.

Arbre durable : Gestion écologique et gestion durable vont de pair et sont indissociables (pour nous en tous cas !). Réapprendre à vivre au quotidien avec nos puits à carbone, l’éducation à l’environnement est la clé voûte.

Patrimoine : Il peut s’agir de patrimoine bâti, culturel ou végétal. Les plantes font partie de notre patrimoine vivant et commun. La diversité végétale est indispensable avec notamment l’utilisation d’espèces oubliées ou méconnues.

Biodiversité : La faune et la flore doivent être favorisées, cela passe par l’abandon des molécules de synthèses, et l’utilisation de préparations naturelles à base de plantes.

3 types de démarches :

– Espaces verts aménagés

– Espaces verts naturels

– « outils » pédagogiques ou de sensibilisation

4 catégories :

– jardins privés et châteaux : (1 lauréat + mention spéciale du Jury)

– associations (et structures privées) : (1 lauréat + mention spéciale du Jury)

– entreprises : (1 lauréat + mention spéciale du Jury)

– collectivités (et structures publiques) : (1 lauréat + mention spéciale du Jury)

De nombreux lots de qualité et écologiques sont à gagner !

Thème : « L’Arbre à l’honneur ! »

Inscription

L’inscription s’effectuera du 17 Février 2015 au 1er Juin 2015 à minuit (cachet de la poste faisant foi). Le dossier d’inscription doit être complété avec précision (un dossier par démarche présentée). Toute inscription sans règlement sera immédiatement rejetée. Toute structure désireuse de s’inscrire doit obligatoirement s’acquitter des frais d’inscription (60€ TTC/démarche présentée). Aucun remboursement ne sera effectué en cas de désistement.

Conditions

La structure qui candidate doit obligatoirement être propriétaire et/ou gestionnaire d’espaces verts ou participer activement à la sauvegarde de notre patrimoine ainsi qu’à sa valorisation et à sa transmission (événements, guide pédagogique, ateliers, animations…). La démarche présentée devra avoir débuté au 1er Juin 2015 (au plus tard), ne pas dater de plus de 5 ans et être toujours “d’actualité.” Respecter le thème de l’édition 2015 est primordial : « l’Arbre à l’honneur ! ©»

Pré-sélection

La pré-sélection se fera uniquement sur dossier entre 1er Juin 2015 et le 15 Juin 2015. Le jury de pré-sélection étudiera chaque présentation de façon anonyme pour des raisons de transparence et d’impartialité. En cas de pré-sélection, la structure s’engage à verser la somme de 190€ TTC/démarche pré-sélectionnée au plus tard le 1er Juillet 2015 (frais de publicité et de déplacement) faute de quoi la démarche serait exclue du ce prix. Aucun remboursement ne sera effectué en cas de désistement.

Visite sur site

La structure dont la démarche aura été pré-sélectionnée s’engage à accueillir un évaluateur (qui ne pourra être membre du jury) entre le 15 Juin 2015 et le 15 Septembre 2015 (présentation de la démarche, visite sur site…). S’il s’avère que les informations présentes sur le dossier d’inscription étaient erronées, la structure en question serait automatiquement disqualifiée (avec interdiction de concourir à ce prix pendant 3 ans). L’évaluateur dressera un bilan de cette visite qu’il restituera au Jury.

Campagne publicitaire

Les démarches pré-sélectionnées ainsi que les lauréates bénéficieront d’une campagne publicitaire (envoi de communiqué de presse à plus de 150 journalistes « jardins », article et lien sur le Web, réseaux sociaux, « foire aux plantes en Aveyron© », dossier de presse …)

Attribution des prix

Les prix seront attribués après délibération du jury et vote à bulletin secret. Le dépouillement aura lieu le Samedi 19 Septembre 2015 (Journée Européenne du Patrimoine) à 15h00 lors de la « foire aux plantes en Aveyron© » (pré de Livinhac 12 500 St Côme d’Olt). Le jury a la possibilité de ne pas attribuer de prix ou de mention spéciale dans une ou plusieurs catégories s’il ne le juge pas nécessaire et des ex-aequo, ainsi que de créer de nouveaux prix. Le jury (nombre impair) est composé de spécialistes et d’experts dans les domaines de l’arbre, de la biodiversité, du patrimoine, de la gestion écologique… La liste des membres du jury sera rendue publique courant 2015. Les familles des membres du jury ne peuvent pas concourir à ce prix. Les démarches lauréates ne pourront pas faire l’objet de nouvelles candidatures lors des prochaines éditions de ce prix.

Remise des lots aux lauréats

La remise de lots s’effectuera courant Octobre au sein des structures lauréates. Sont à gagner 5 mois à 10 mois d’assistance technique (conseils divers en espaces verts, accompagnement des projets, suivi sanitaire des arbres…), une journée de formation professionnelle continue, une conférence… (offerts par l’association Révolution Ecologique du Patrimoine Arboré) et nombreux autre lots d’une valeur totale de plus de 8 000€ ! Les lots sont ni échangeables, ni remboursables, ni payable en chèque.
Site internet
Toute l’actualité de ce prix ainsi que la présentation des démarches pré-sélectionnées et lauréates seront consultables sur le site : http://www.protectiondesarbres.org

Organisateurs

Ce prix est initié par « un plaidoyer pour l’arbre durable dans nos villes et jardins® » parrainé par le botaniste Jean-Marie PELT (président de l’Institut Européen d’Ecologie à Metz) et en partenariat avec l’association environnementale et citoyenne de protection et de défense des arbres d’ornement (Révolution Ecologique du Patrimoine Arboré). http://www.plaidoyer-arbredurable.org Les organisateurs ne peuvent pas proposer de démarche à ce prix. Toute structure, en signant sa fiche d’inscription après « Je reconnais avoir pris connaissance du règlement … » en bas de celle-ci, accepte les prescriptions du présent règlement. Aucune inscription ne pourra être prise en compte sans le dossier complété et le chèque de règlement.

Renseignements et informations au 06-42-91-80-98

ou revepatriarbo-asso@laposte.net

Règlement rédigé par l’association (loi 1901) Rêv.E.Patri.Arbo le 1er Décembre 2014 à Espalion

Lettre verte à Ségolène ROYAL, Ministre de l’Ecologie

Lettre verte à Ségolène Royal

L’arbre à l’honneur

à ESPALION (12), le 24 Octobre 2014

 

 

Madame la Ministre,

 

 

Vous aviez déjà occupé cette fonction de 1992 à 1993 sous le gouvernement de Pierre Bérégovoy, vous-vous étiez emparé des sujets du traitement des déchets, des nuisances visuelles/sonores, et aviez même fait adopter une loi sur l’eau.

Vous-vous êtes récemment engagée pour :

 

  • la pérennisation de l’inscription du patrimoine naturel dans les journées annuelles du patrimoine.

  • l’intégration du rôle des paysages au 3ème plan national Santé-Environnement.

  • l’inscription de biens naturels au patrimoine mondial de l’UNESCO.

  • faciliter la commercialisation de produits naturels pour le traitement des plantes.

  • la relance de la politique des paysages et des jardins…

L’arbre symbole de vie

 

L’arbre climatiseur naturel

 

L’arbre, un formidable puits à carbone…

 

Et pourtant, c’est le grand oublié du développement durable (taille abusive et inappropriée, mauvaises implantations et conditions de plantation, mauvais choix d’espèce, de gestion, d’entretien…).

 

Les pratiques actuelles datant d’une autre ère, et malheureusement bien ancrées, sont néfastes et désastreuses pour ces organismes vivants.

 

Pas de loi … , rien (oui rien) ne le protège, pas même le plan local d’urbanisme (PLU) contrairement à ce que tout le monde croit ou pense.

 

Notre combat à tous : le protéger, le conserver, le promouvoir.

 

L’ intégration dans les politiques publiques, la reconnaissance en tant que patrimoine vital de l’humanité, une loi dédiée, de nouvelles normes… sont pour nous indispensables pour changer notre regard sur l’arbre et ses bienfaits…

 

 

Parce que la diversité végétale n’a pas de prix
Parce que les espèces oubliées ou méconnues méritent d’être remises au goût du jour
Parce que nous devons réapprendre à vivre, au quotidien, avec ces grands végétaux ;
la clé de voûte c’est l’éducation à l’environnement.

 

Quand la France va t-elle s’engager ?

 

Maintenant ?

 

 

Dans une dizaine d’années, cela sera trop tard nous n’aurons plus rien à transmettre (à part de l’électronique), il est encore temps d’y remédier.

Nous ne faisons pas partie des utopistes qui affirment que « tout va bien dans le meilleur des mondes » et que l’arbre n’est pas malmené. Les faits sont là, nous les regrettons (et regretterons), arrêtons de les regarder ! Mobilisons-nous !

 

Tout le monde parle de biodiversité…, c’est à la mode c’est vrai ! Mais nous, nous-en parlons parce que cela fait partie de nos valeurs et de nos convictions les plus profondes, nous faisons d’ailleurs plus qu’en parler.

Nous avons rencontré dernièrement des représentants de votre ministère qui ont été sensibles à nos concepts et nous ne doutons pas que vous le serez également.

 

L’association nationale de protection et de défense des arbres d’ornement ; Rêv.E.Patri.Arbo : pour une Révolution écologique du patrimoine arboré propose une offre assez large pour accompagner tous les gestionnaires ou propriétaires d’arbres (publics et privés) dans la mise en œuvre d’une gestion écologique et durable. Le botaniste Jean Marie PELT est le parrain de ces démarches. L’immobilisme et l’attentisme ne font pas partie de nos valeurs.

 

 

Ce que nous avons créé en 2014 ; deux dispositifs unique en France :

  • Arbres d’Avenir. Gestion écologique du patrimoine arboré®:

le 1er label écologique pour les arbres d’ornement, un label participatif d’envergure nationale, un outil pédagogique à part entière : un terrain d’expérimentation, de recherche et d’innovation à ciel ouvert pour l’arbre.

Valoriser, certifier la véritable gestion écologique et surtout accompagner les gestionnaires dans ce concept novateur, telles en sont les missions : accompagnement et suivi, projet personnalisé, assistance technique, évaluations, étude et expertise… pour 5 ans renouvelables.

C’est une démarche globale et de A à Z : de la conception du projet jusqu’à l’entretien pluri-annuel en passant par la plantation. Elle concerne le patrimoine arboré existant comme les nouveaux projets. C’est un plaidoyer pour l’arbre durable qui a pour ambition d’associer gestion de patrimoine arboré, espèces oubliées ou méconnues et transmission des savoirs botaniques, horticoles et arboricoles.

Le label s’appuie sur des critères écologiques, clé d’entrée vers la labélisation, qui encouragent les gestionnaires signataires de la charte à s’inscrire d’une part, dans une politique durable, et d’autre part, dans une dynamique de progrès.

Le seul centre d’intérêt du label ; c’est l’Arbre !

 

 

 

Un plaidoyer pour l’arbre durable dans nos villes et jardins®

 

Une convention ou un contrat (personne physique et morale) peut être signé avec l’association concernant la gestion écologique du patrimoine arboré (ou des espaces verts).

 

Une plate-forme d’assistance technique, composée de professionnels de divers horizons expérimentés en la matière et dont les preuves ne sont plus à faire, ce qui en fait des ambassadeurs. Ils ont pour mission d’aiguiller et d’assister d’un point de vue technique  (conseils divers, arbres malades, maladies, parasites, ravageurs, moyens de lutte…) dans la mise en œuvre de chaque projet.

 

La formation professionnelle continue est réalisée par des hommes et des femmes formés à la gestion écologique et experts des arbres. Les objectifs : réaliser un diagnostique du patrimoine arboré, évaluer la gestion écologique, constater des écarts, noter le ou les site(s), proposer des solutions concrètes et donner des conseils pour poursuive la valorisation du patrimoine arboré dans des conditions optimales.

 

Un programme de conférences, partout en France, a pour but d’expliquer à tous les bienfaits des arbres et donc de sensibiliser pour réapprendre à vivre au quotidien avec eux. Changer les pratiques sera un travail de longue durée mais il est indispensable.

 

 

 

 

Ce que nous allons créé en 2015 :

 

  • la 1ère édition de la « foire aux plantes en Aveyron » :

un événement régional regroupant des producteurs de plantes venus de toute la France (arbres, arbustes, vivaces, rosiers, aromatiques…) artisans, outillages, associations, produits locaux…

 

  • le prix national « Arbre durable, Patrimoine & Biodiversité » :

attribué aux collectivités, associations, entreprises, jardins privés… par un jury de professionnels et d’experts, il aura pour but de valoriser et d’encourager des initiatives exemplaires, innovantes et écologiques (pré-sélection sur dossier, visite sur site).

 

 

Ce que nous demandons :

  • la reconnaissance de l’arbre (qu’il soit d’ornement, d’agrément, fruitier, forestier…) comme patrimoine vital de l’humanité.
  • un débat permanent à bâton rompu entre tous les acteurs concernés (paysagistes, jardiniers, concepteurs, architectes, experts, techniciens, ingénieurs, écologues, agronomes, botanistes, pépiniéristes, biologistes, naturalistes, élus, citoyens…) pour faire émerger de nouvelles attentes…
  • la valorisation et la reconnaissance publique des espèces oubliées ou méconnues qui sont déjà acclimatées en France (ou acclimatables) et ont des intérêts ornementaux incontestables : originales et rustiques elles possèdent des écorces décoratives, des floraisons spectaculaires, des fructifications insolites ou encore des feuillages flamboyants.
  • de nouvelles normes (pour les collectivités, entreprises et particuliers) pour que la conception, la plantation ainsi que l’entretien aient lieu dans des conditions optimales (et pour ne plus voir des arbres à côté des lampadaires ou un socle béton autour du tronc…).
  • un plan national, sans précédent, pour l’arbre dès 2015 : avec l’intégration de « l’arbre durable » dans les politiques publiques ainsi que dans les enseignements (aménagements paysagers, pépinières, conceptions, architectures). Faciliter et soutenir la création d’arboretum ou de jardin botanique (privé ou public). Accompagner toutes les actions (y compris celles venant d’un privé) à caractère innovant et culturel. Créer la formation (niveau II) « technicien de l’arbre durable ».
  • Soutenir et faciliter la transmission des pépinières botaniques et /ou de collections qui assurent la pérennité du patrimoine vivant.
  • le 1er colloque national « Arbre durable » en 2015 : qui consistera à réaliser un inventaire de toutes les bonnes pratiques et avancées (quelles soient publiques ou privés), de réaliser de nouvelles expérimentations et de nouveaux projets dans le but principal de créer la loi « Arbres ».

 

NB : Retrouvez toute l’actualité de cette lettre sans concession sur le site internet qui lui est consacré                                http://www.protectiondesarbres.org

 

Une pétition en ligne sera lancée dans les tous prochains jours.

 

Vous pouvez compter sur notre engagement chevillé au corps.

En espérant vous lire prochainement et vous rencontrer.

 

Veuillez-recevoir, Madame la Ministre, l’expression de nos sentiments les plus sincères.

 

 

Les arbres rassemblent.

 

 

« Arborément » vôtre.

 

 

 

Matthieu LEMOUZY

Président de l’association Révolution Ecologique du Patrimoine Arboré

 

“Je partage avec vous le soucis de promouvoir et de protéger les arbres en raison non seulement de leur intérêt esthétique mais aussi de leur intérêt écologique et ce de multiples façons.

C’est ce qui m’a amené à vous accorder notre parrainage.”

Jean-Marie PELT (24 Octobre 2014)

Journal des bonnes nouvelles du 07 juillet 2014

Republication de l’étude du Pr Séralini sur un maïs OGM et le roundup

« Un grand merci à tous ceux qui nous ont accordé leur confiance et leur soutien. Tous ensemble, avançons vers une science transparente au service de la santé publique en aidant le CRIIGEN »

Victoire de la science

Après deux ans de bataille scientifique et les pressions sur l’éditeur ayant conduit à la censure de notre étude de long terme sur un maïs OGM et l’herbicide Roundup, nous avons la joie de vous annoncer la REPUBLICATION de nos travaux !

Nos découvertes ont permis d’identifier des effets néfastes sur le foie et les reins, ainsi que le développement de tumeurs mammaires liés à la consommation d’un maïs OGM et de l’herbicide Roundup.

Aujourd’hui, cette victoire est aussi un peu la vôtre car vous avez été plus de 120,000 à nous soutenir en signant des pétitions portées par des associations nationales, des bénévoles déterminés et des sites d’information en ligne.

Gilles Eric Séralini, professeur de Biologie Moléculaire, Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie Génétique

Algues vertes : jugement attendu

Dans un communiqué de presse, l’association Sauvegarde du Trégor juge qu’« il s’est passé quelque chose » le 2 juillet dernier, devant la cour d’appel administrative de Nantes qui s’était saisie de la procédure lancée par le cavalier dont le cheval était mort sur la plage de Saint-Michel-en-Grève, en 2009. L’association souligne que, cette fois, « la rapporteur publique a demandé aux juges de condamner l’État pour n’avoir pas pris les mesures qui s’imposaient pour prévenir la toxicité des marées vertes ». Pour Sauvegarde du Trégor, si la cour suit cet argumentaire dans son arrêt, qu’elle doit rendre dans quelques semaines, cela ne pourra qu’accélérer l’instruction menée par les juges du pôle santé à Paris, suite aux plaintes déposées par plusieurs associations pour mise en danger délibérée de la vie d’autrui.

Pétition : Thierry Morfoisse mort en transportant et déchargeant des algues vertes en décomposition

Consultation TAFTA :
la date de fin de consultation indiquée sur le site de la commission européenne est repoussée au 14/07

http://trade.ec.europa.eu/consultations/index.cfm?consul_id=181

Le questionnaire est en ligne
http://ec.europa.eu/yourvoice/ipm/forms/dispatch?form=ISDS

Vous pouvez consulter les réponses du collectif Roosevelt ici. Vous pouvez les reproduire à l’identique si vous le souhaitez

Plusieurs d’entre vous nous ont signalé le site belge transat qui propose aussi des réponses types

http://www.no-transat.be/plus-infos/mobilisation-generale

Enfin Jean Yvon signale un excellent modèle de réponse est disponible ici et en français :
http://www.no2isds.eu/fr/information 

Il est possible d’agir en 2 clics :
http://www.no2isds.eu/fr#take-action 

Par contre Valérie nous signale

A Bruxelles, l’écran de fumée de la consultation publique
http://www.monde-diplomatique.fr/2014/07/NOLETI/50583

A chacun de juger de l’intérêt de participer à cette consultation.

Le gouvernement recule sur CIGEO

Autisme et pesticides : une nouvelle étude confirme le lien

Le Jury de déontologie publicitaire donne raison à l’Observatoire du nucléaire :AUTOLIB’ n’est pas écologique car l’électricité utilisée est principalement nucléaire

Ondes électromagnétiques : un texte adopté au Sénat pour mieux les encadrer

Journal des bonnes nouvelles du 22 avril

Quelques lueurs dans la grisaille d’un printemps qui tarde à décrocher l’hiver : de quoi inciter ceux qui ne l’auraient pas encore fait à participer à nos actions.

Nouveaux contretemps pour les forages pétroliers en Arctique

Voir Pétition : Arctique réserve naturelle consacrée à la paix et à la science

Notre-Dame-des-Landes : les gendarmes se retirent de la zone
http://www.lepoint.fr/societe/notre-dames-des-landes-les-gendarmes-se-retirent-de-la-zone-du-projet-d-aeroport-20-04-2013-1657283_23.php

Notre Dame des Landes oui au débat non aux expulsions

Verberie la centrale au gaz c’est fini!

cyberaction N° 531 : moratoire sur la construction de centrale à gaz

Les prises de baleines les plus basses depuis 87

Port du Betey : l’avis est bien défavorable

Une primaire de la gauche et des écologistes pour Quimper

Pour des raisons de fond
1 Conception de la démocratie
Pour associer un maximum de citoyens à la démarche et ne plus en faire l’apanage des partis
Nous avons défendu depuis 10 ans l’idée de primaire pour contribuer à réduire le fossé de plus en plus grand entre le peuple et ses représentants et créer des dynamiques électorales positives. Nous avons gagné au moins sur cet aspect à la présidentielle même si la primaire n’a pas été celle que nous souhaitions.
Les partis nous proposent de constituer des listes entre eux, débattre ensuite entre eux et de faire voter les citoyens à la fin. Nous proposons de débattre d’abord en présentant les différentes options, de faire voter les citoyens et de constituer ensuite la liste et le programme en fonction du rapport de forces définis par les citoyens qui ont participé à la primaire.
Le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, a indiqué le 22 janvier qu’il souhaitait organiser des primaires “ouvertes à tous les citoyens” dans “toutes les villes où cela nous permettra de créer une dynamique”.
Le Conseil national du Parti socialiste, le «parlement» du PS, se prononcera le 13 avril, en vue des municipales, sur l’organisation à Marseille, à Aix-en-Provence et au Havre de primaires, qui pourraient avoir lieu les 13 et 20 octobre, a indiqué mardi le secrétaire national du PS aux fédérations, Alain Fontanel. ..«Une primaire réussie, c’est l’une des conditions de la victoire (…) et le chemin le plus sûr vers une victoire possible», a insisté Christophe Borgel, secrétaire national du PS aux élections.
2 Conception de l’écologie
Parce que contrairement aux militants qui veulent annexer l’écologie à la gauche, nous pensons que l’écologie c’est l’affaire de tous et que nous refusons par principe le sectarisme qui reviendrait à réserver à certains le droit de se revendiquer écologistes.
Parce que l’écologie est un paradigme novateur qui n’a rien à voir avec la conception de la politique héritée du dernier millénaire. L’écologie est à la politique ce que Galilée a été à la géographie ou la 3D par rapport au Noir et Blanc.
Parce que notre conception c’est de convaincre plutôt que de contraindre : la majorité sortante n’a pas créé les conditions pour minorer les oppositions à son projet en associant plus largement.
3 Conception de la ville

La ville doit pouvoir accueillir toutes les activités économiques, sociales, sportives, culturelles.
Vouloir à la fois un haut service de transports en commun avec des parkings en périphérie et des parkings au centre ville est totalement contradictoire.
La ville doit rester accessible à tous mais comme les surfaces sont limitées, il faut inciter ceux qui travaillent au centre ville de laisser leur voiture à la périphérie pour laisser les places du centre-ville en zone bleue ou payantes pour ceux qui ont besoin de leur véhicule pour leur activité.

Pour des raisons stratégiques : permettre un débat sans risque entre les différentes sensibiités susceptibles de gérer ensemble
entre une majorité sortante (ou ses composantes) et une opposition écologiste à la gestion sortante
Parce que cantonner l’écologie dans la gauche c’est se condamner à ne pas peser dans le débat puisque la gauche assurée d’obtenir ces voix au second tour n’a aucun effort à faire pour essayer de les récupérer en prenant en compte les aspirations exprimées.
Parce que concrètement sur Quimper enfermer l’écologie dans le clivage gauche-droite revient à se priver du droit de contester le bilan des sortants sous peine de passer pour un dangereux droitier.
Le chef de file de l’écologie à gauche termine sa réponse au chef de file de l’économie à droite
Que Ludovic Jolivet se rassure, cette différence d’appréciation, sur l’opportunité du calendrier ne remet aucunement en cause notre accord sur la politique globale des déplacements et du stationnement proposées par la municipalité de Quimper.
Comme la politique des déplacement et des transports sera au cœur de la campagne, il serait logique que la majorité sortante qui partage la même vision défende son projet et que ceux qui ne partagent ni la vision conservatrice de la droite ni la vision contradictoire de la majorité sortante puissent permettre une expression des quimpérois et donc une révision d’un projet nécessaire mais inopérant et couteux dans sa version actuelle.
N’avoir comme seul bilan que la place Terre au Duc et le parking de la Providence ne nous paraît pas suffisant pour contrebalancer les fautes politiques en terme de démocratie locale qu’ont pu constituer l’affaire de la fermeture des écoles, la gestion désastreuse du dossier stationnement qui a cristalisé les oppositions au plan transport ou l’absence de communication en amont sur les travaux rive gauche (Jean Jaurès)

Pour des raisons tactiques : éviter le jamais 2 sans 3
La politique n’est pas un métier or cela fera 40 ans en 2017 que l’on retrouve les mêmes Poignant, Guenegan, Rainero, : il est temps qu’une autre génération émerge pour faire entrer Quimper dans le 3è millénaire.
Cela fait deux fois qu’une confrontation Andro-Le Bigot a pour résultat de faire gagner la droite : aux municipales de 2001 et aux législatives de 2002 : nous ne voulons pas connaître une troisième expérience.
La primaire est l’occasion de permettre aux citoyens intéressés de trancher le débat à la fois sur le bilan et sur la politique pour les prochaines 6 années sans prendre le risque d’un entre-deux tours qui se passe mal et fasse gagner la droite à cause des séquelles de la campagne électorale ou d’une fusion de listes qui se passerait d’autant plus mal qu’il y aurait de listes à prétendre à une fusion éventuelle.

Pour des raisons pratiques :
lutter contre la fracture générationnelle
Nous souhaitons des trenta et des quadra puissent s’impliquer. Pour cela, l’ordre (débat-vote-constitution de la liste) nous paraît préférable pour laisser à des jeunes de s’impliquer en allant y compris jusqu’à accepter de figurer sur la liste plutôt que la formule traditionnelle qui oblige à choisir sa liste préalablement.
Eviter les coucous
Le fait que le débat se fasse entre des porteurs de positions et s’adresse à l’ensemble des citoyens souhaitant le changement dans la continuité plutôt qu’entre des listes préalablement constituées évite qu’une sensibilité ne vienne parasiter les votes dans une sensibilité concurrente.

Mener campagne à la fois sur le fond et sur la forme
Comme notre but est citoyen et non politicien et que nous voulons débattre à la fois du fond et de la stratégie, nous proposons de cibler notre campagne pour la primaire au travers d’un collectif sur la problématique de l’énergie (CITES = Collectif Initiatives pour une Transition Energétique Solidaire) avec plusieurs axes possibles
– Débat Transition Energétique actuel
– programme économies d’énergie dans l’habitat
– plan transport et déplacements Pays de Quimper – Promotion de la marche et des transports en commun
– vie quotidienne et économies : énergie, déchets, eau, déplacements, consommation locale, alimentation….
+ relais de mobilisations
– centrale à gaz GASPARE
– Gaz de schiste
– Notre Dame des Landes
– Démantellement de Brennilis

Nous proposons que Quimper ( voir même Quimper Communauté puisque de plus en plus de compétences sont communautaires ) soit rajoutée à la liste des villes où il y aura une primaire de la gauche et des écologistes et nous invitons tous les quimpérois (et le habitants de Quimper Communauté) qui partagent notre souhait du renouvellement du débat politique local dans le sens d’une participation accrue des citoyens et d’une prise en compte de la transition énergétique à nous retrouver jeudi 4 avril à Confluences 7 rue Aristide Briand à 18 h 30

POUR UNE TERRE SANS PESTICIDES / 23 Mars 2013

POUR UNE TERRE SANS PESTICIDES / 23 Mars 2013

Projet d’une journée d’action pour opposition aux pesticides et sensibilisation aux problèmes.
date :samedi 23 mars de 10 h 30 à 13 h
Lieu avancé : Quimper

Pour des alternatives aux pesticides

Cette déambulation active aura lieu en lien avec la semaine nationale sur le sujet.

C’est la suite logique des marches de mars 2010 et 2012 à La Torche et à Audierne en 2011.
Nous aimerions renouveler l’action et proposer une autre forme qui ne serait pas une manifestation classique avec défilé groupé sur le voie publique, mais une forme d’action militante plus spontanée et auto-gérée avec le moins possible d’organisation centralisée.

L’idée serait que chaque participant vienne en ville avec le minimum requis d’un masque sanitaire sur le visage et par petits
groupes rallie le centre ville en se mêlant à la vie de badauds et clients du samedi en ville. Les actions créatives individuelles sont ouvertes.
Toute autre forme de « signalétique » corporelle et sonore est possible. A chacun selon sa bonne humeur et engagement contre ces saloperies chimiques qui pourrissent la vie et rapportent gros.

L’information plus didactique sur le problème des pesticides serait lisible sur des petites pancartes, cartons dans le dos des porteurs de masques et petit panneau de slogans et (ou) infos tenu de face par l’un des militants de chaque petit groupe qui le rend visible aux personnes qui s’interrogent sur le pourquoi de tout cela. Le dialogue avec les gens peut s’instaurer à partir de cet ensemble.

Depuis divers points de départs entre 10 h30 : chaque petit groupe ( venu par ex en co-voiturage) démarre depuis les 3 points de rassemblement et de façon liquide les petits groupes s’immiscent là où ils sont, dans la vie du samedi.

Les petits groupes convergent tous vers la place Saint Corentin lieu de visibilité de de groupe, et d’ échanges /entre-nous et avec les gens. ( les thermos partageurs sont les bienvenus)

Contenu de l’action : faire porter les slogans et infos sur les problèmes de santé publique et d’atteinte irréversible à la bio-diversité.