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Projet de décret affichage publicitaire
Message de Pierre-Jean DELAHOUSSE, président de Paysages de France, GRENOBLE le 29 janvier 2016
Chères amies, chers amis (si vous me permettez ce terme),
Plus que jamais, nous avons besoin de serrer les coudes pour répondre à ce coup de force téléguidé par le lobby des afficheurs, mais relayé par un gouvernement jusqu’à présent aux ordres.
Car le comble est que ce dernier obtempère sans même connaître le dossier, sans même que la moindre évaluation des conséquences qu’auraient les mesures envisagées n’ait été faite.
En effet, tout démontre que, contrairement aux allégations du gouvernement, ces mesures auraient non seulement des effets catastrophiques sur notre environnement, mais également des effets calamiteux sur le plan économique !
Le ministre Macron est-il à ce point incompétent ? Ou alors se moque-t-il des citoyens ?
Comment peut-il aller jusqu’à répondre n’importe quoi, quand le Président de la République et le Premier ministre lui demandent de répondre à Paysages de France ?
Car le ministre Macron trouve le moyen, dans la lettre qu’il a adressée récemment à l’association, d’accumuler de grossières contrevérités https://drive.google.com/file/d/0B00A_17bQp3cOVJ1bnFvNTFuNG8/view.
Lisez le dernier communiqué de Paysages de France et vous comprendrez tout : http://paysagesdefrance.org/spip.php?article911
Je tenais donc aussi à remercier les milliers de citoyennes et de citoyens qui participent actuellement à cette cyberaction http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/consultation-publique-cours-denonco-1094.html et expriment leur indignation.
Plus nous serons nombreux, plus le refus de nous écouter, si tel devait malgré tout être le cas, serait incompréhensible, indigne et condamnable.
Car ce serait même violer ouvertement la Convention européenne du paysage, ratifiée par la France le 17 mars 2006, qui, dans ses “dispositions générales”, demande aux Etats signataires (38 aujourd’hui) de définir des “objectifs de qualité paysagère” répondant aux “aspirations des populations en ce qui concerne les caractéristiques paysagères de leur cadre de vie” (article 1b) https://rm.coe.int/CoERMPublicCommonSearchServices/DisplayDCTMContent?documentId=090000168008062a
Les paysages sont une composante essentielle du “patrimoine commun de la nation” (loi du 2 février 1995). Les paysages de France sont une composante du patrimoine commun de l’humanité. Notre devoir est donc de faire barrage à ce projet odieux et à ceux qui voudraient envers et contre tout se faire non seulement les complices d’un véritable crime contre l’environnement mais également les complices de délinquants de l’environnement (les dispositions du code de l’environnement n’ont cessé d’être violées depuis 35 ans par nombre d’afficheurs).
Alertez toutes celles et tous ceux que vous connaissez, informez-les : la plupart ne sont pas au courant de ce qui se cache derrière les grandes déclarations faites par les plus hautes autorités de l’Etat dans le cadre de la COP21.
Il y va aussi de la survie de notre démocratie, de plus en plus minée par des pratiques occultes…
2016 : Brennilis, Flamanville Appel à une forte mobilisation des anti-nucléaires
Suite au communiqué du Collectif anti-nucléaire Ouest du 15 janvier 2016 (1), la Fédération anti-nucléaire Bretagne invite les groupes de Bretagne à relayer samedi 30 janvier 2016 dans le plus grand nombre de villes, l’annonce du grand rassemblement des 1er et 2 octobre 2016 à Flamanville afin de faire renoncer à la mise en service de l’EPR et au rafistolage (appelé officiellement « grand carénage ») des réacteurs arrivant à 30 ans d’âge que ce soit à Flamanville, Paluel, Penly et ailleurs.
Nous sommes à un moment clé où près de 3/4 des réacteurs nucléaires français auront plus de 30 ans en 2016 et donc dépassé leur limite d’âge. Le risque de catastrophe est donc imminent. Comme à Tchernobyl et à Fukushima, ce seront des milliers de km2 inhabitables, des centaines de milliers de personnes déplacées, des millions de victimes, des centaines de milliards d’euros volatilisés…
N’acceptons pas que plus de 60 milliards soient injectés dans leur rafistolage, que le chantier de l’EPR de Flamanville dont le prix a triplé pour dépasser les 10 milliards d’euros continue avec les nombreuses malfaçons dont la plus grave est celle de la cuve du réacteur, élément-clé de sûreté.
Mobilisons-nous massivement pour qu’enfin la page du nucléaire soit tournée. Cette technologie est moralement et socialement inacceptable, c’est une énergie de destruction massive
30 ans après l’explosion du réacteur de Tchernobyl et 5 ans après ceux de Fukushima, la Fédération anti-nucléaire Bretagne organise à Brennilis le 23 avril 2016 et à l’Ile Longue (Crozon) le 24 avril deux journées de rassemblement avec films, débats, conférences, marche, fest-noz, vélorution pour l’arrêt immédiat du nucléaire civil et militaire.
(1) http://www.can-ouest.org/communique-du-15012015/
Contacts presse : Chantal Cuisnier : 06 84 14 58 87 / Alain Rivat : 06 65 72 31 66 / Marie Nicolas : 06 72 50 89 14
Un triton dans la mare (fable pour espèces protégées-NDDL)
Par David Derrien
D’hier à aujourd’hui, de jour comme de nuit, la mare des Fosses Noires n’admet aucune indulgence envers une quelconque aquarelle aquatique. L’obscurité a son domaine, ce trou. Un trou qui, abandonné par l’usage, ressemble davantage à une vulgaire vasière, dont la cavité centrale plonge, à première vue et peut-être à s’y méprendre, à quatre pieds sous terre.
Ceinturée de plantains et de roseaux, la mare échappe au palabre des alentours et n’offre un repos qu’aux sangsues fangeuses et autres phytophages qui décortiquent le feuillage. Sa tempérance est aidée en cela par l’abondance de brume nécrophage. Et quand bien même la brume retirerait sa robe fadasse, beau présage à la chaleur de passage, la pluie surgit soudaine et, étouffe la lumière dans des nappes souterraines. L’eau croupissante ajoute à l’inhospitalité de la mare. A part l’agitation désordonnée de quelques gerris en patrouille, qui rident sa toilette, ajoutant à son air un grand âge, l’eau semble, elle-même, sédimentée par le désœuvrement. Les rigueurs de l’hiver en veulent pour leur compte et attribuent une apparence cadavérique, voire mortifère, à l’atmosphère. Le seul avantage qui se soustrait de la gelée, pour le coup salutaire, est l’envahissement freiné des salicaires.
L’ambiance appartient au silence abyssal de la mare. Nulle envie pour l’homme de lézarder à ses côtés. Nul besoin de porter les lèvres au sel de sa surface. Qui fut alors cet intrus qui vint tritonner dans un tel marais ? Qui osa interrompre l’ineffable volonté antédiluvienne de la mare de se taire et se terrer ? Pourtant, et s’étant bien gardée d’attirer le passant, la mare devint, malgré elle, le décorum d’un drame. Mais, après tout, n’était-ce pas là son devoir ? Voici son récit.
Aux bords intérieurs de la Bretagne, à la jonction des bassins versants de la Vilaine et de la Loire, le bocage nantais exhibe sa pilosité naturelle par des landes préservées. Les talus et les haies se tissent en mailles et s’étirent loin, dans des lignes courbées, souvent chevauchés par des chênes pédonculés. Servantes, les rivières Isac et Hocmard serpentent à travers les champs, selon la soif des occupants, abreuvant avec parcimonie les plus gourmands. L’habitat sauvage s’apparente à une zone de refuge pour des espèces d’une grande rareté, disséminées dans les prairies humides et le bas marais, qui, selon les cas, rivalisent harmonieusement pour conserver certaines d’entre elles.
Le triton à crête et son homologue marbré, migrant au gré de leur existence, convoitaient de s’y établir, coexistant, indifférents, avec ceux qui croassaient à l’accueil de la mare. Les pratiques de procréation du triton ne revêtent aucune fantaisie, hormis une révélation rêvée pour un naturaliste tel qu’Arthur d’Isle du Dréneuc, en 1858 : le croisement sexué de la crête et du marbré donna naissance à un hybride, le triton de Blasius. Dévoiler sa population serait vain car les accouplements furent fortuits et probablement la résultante d’un interdit encombrant les désœuvrés en mal d’actes hardis.
Clandestinement, le triton de Blasius s’établit au lieu-dit les Fosses Noires, dans les parages de Notre-Dame-des-Landes. Amphibien, il fit bien, au fil des saisons, de confondre son corps d’un noir verdâtre sur sa tranche supérieure et d’un aspect jaunâtre sur la frange inférieure. La nature l’a bien doté. La crête, dressée tout le long de l’arête dorsale, lui confère un air rebelle : intimider le prédateur est le rôle de cet attribut idéal. Plus que belligérant, le triton de Blasius s’affirme résistant. Il ne lui en faudra d’ailleurs pas moins pour affronter un serf émérite, le laborantin.
Le laborantin est employé par l’Université d’Angers via le Groupe Écologique et de Conservation des Vertébrés. Ce laboratoire mena, en toute discrétion, une étude financée par l’Aéroport du Grand Ouest sur la biologie des populations de tritons et l’efficacité des éventuelles mesures compensatoires. Tout le secteur prévu pour l’implantation de l’infrastructure aéroportuaire fut passé au peigne fin. Denis Defage, le laborantin, et son équipe d’étudiants, procédèrent à des relevés de populations, annotèrent les lieux de repos et de reproduction, cartographièrent l’ensemble des mares. Une seule échappa à leur vigilance, la mare des Fosses Noires. Par là même, le triton de Blasius qui ne figurait sur aucun inventaire, fut ignoré. Les visiteurs pénétrèrent pourtant dans les Fosses Noires. Le manque de discernement et, à défaut d’acuité, la mare resta occulte à leurs yeux d’initiés. Peut-être était-ce le trop plein de zèle ou l’enveloppe épaisse remise par Vinci qui anima Denis Defage, mais le laborantin se montra plus coriace, plus aguerri et certainement plus présomptueux. Sa fouille l’emmena loin dans les Fosses Noires. La minutie était son meilleur outil et son allégeance sa meilleure ambulance.
Comme beaucoup d’étudiants en master de biologie, Defage connaissait la thèse selon laquelle, une autre espèce d’amphibien, du nom de « triton de Blasius », jusque là seulement, et prétendument découverte par Du Dréneuc, s’adonnait avec mesure aux joies de la prolifération. Seul, le naturaliste du 19ème siècle pu attester de la présence du triton de Blasius dans ces contrées marécageuses. Les paris, des plus audacieux, concluaient que cela relevait de la légende ou du fantasme de quelques chercheurs en mal de reconnaissance, Du Dréneuc tentant de dissimuler l’incommodante malchance de verser dans une carrière de crapahuteur crotté. Defage, souffrant certainement du peu d’empathie que soulevait sa condition, s’il jalousait les découvreurs, enviait les légendes. Les légendes entravent les consciences d’un mystère aussi épais que la brume des Fosses Noires. Elles se confinent dans les mémoires travesties, et, se destinent à épouser, œcuméniques, l’œuvre mystique des dieux.
Quelles que fussent ses motivations, Denis Defage parvint, après avoir franchi la palissade de roseaux, aux abords du trou d’eau. Les premiers examens de la mare ne soulevèrent guère chez le laborantin de brins d’entrain. La banalité de l’envol de la libellule, surprise, ou l’apathie indécente de la physe, peina le peu d’enthousiasme qui le fuyait. Il s’assit, agacé. Posa la sacoche près de lui, perturbé. Trifouilla la face émergée de la vase avec ses bottes, tracassé. S’immobilisa un bref instant, sidéré. Déplia prestement les jambes, décidé. Pencha le buste en avant et se mit à rire avec une jubilation qu’il ne se connaissait pas. Le triton de Blasius se montrait enfin ! L’animal, dérangé dans sa retraite, n’avait pour sursis que la poudre d’escampette. C’était sans compter sur la dextérité de Defage, tout excité, à l’idée d’entériner les exposés de Du Dréneuc, considéré, à tort, comme un excentrique ou, au pire, un affabulateur, mais surtout de se prêter au supplice de dissection du fameux Blasius, afin d’étaler au vu et au su de tous les curiosités spécifiques au spécimen. Defage saisit le triton de la main droite. De la main gauche tenta d’ouvrir la sacoche. Un regard à droite, puis un regard à gauche. La seconde boucle résiste. Un regard à droite, puis un regard à gauche. La main gauche est fébrile tandis que, mouillée, la droite semble virile. Un regard à droite, puis un regard à gauche. Le temps à la main gauche de se soulager du labeur, le triton de la main droite a fugué comme un voleur. Defage se fige, foudroyé. Defage fulmine, se fourvoie. Il met la main droite dans la gauche et, tout en serrant le poing contre le front, se maudit. Les yeux fermés et sur les genoux, il reprend ses esprits. Il reviendra, c’est promis. Maintenant que la mare et le triton sont l’objet de sa convoitise, il reviendra, c’est écrit. Le triton, se pressentant trituré, trouva refuge dans les tréfonds de son trou. A l’affût il vit le vilain s’éloigner pour, au final, ne plus former qu’un voile. Dans l’immédiat, le danger s’est effacé. Mais s’il revenait ? Et peut-être plus nombreux ? C’est certain !
Si le dialogue est indigent entre le triton et le laborantin, les insectes, s’invectivant peu, s’échangent leur savoir sibyllin. Il en est un qui peut transformer l’eau en vin. Ce savoir, prisé par les sangsues, consiste à soulager leur sac du sang confisqué à un cadavre. Pour recueillir le liquide, un réceptacle est préférable. Ca tombe bien, dans sa précipitation, le laborantin a laissé choir sa gourde d’eau, encore pleine, dont le bouchon à visser a éclaté, conséquence du choc sur le sol. Le triton de Blasius, après avoir détaillé ses mésaventures aux sangsues de la mare, n’ordonne rien, confiant dans le sort réservé à l’eau de la gourde.
Le triton ne s’était pas leurré. Le lendemain, aux aurores, le laborantin revint seul. De peur de se faire abuser, Defage entreprit de ne pas divulguer ce qui pouvait faire sa renommée. Tandis qu’il s’apprêtait à poser des appâts, sensés éveiller l’appétit du lézard, Defage reconnut la gourde oubliée. Intrigué par l’odeur semblable à du vin, il la porta à la bouche. Comment dire ? Oui, c’est tout à fait ça, c’était à ravir ! Dans l’euphorie de l’orgie, Defage s’enivra. A tel point que l’alcool le fit sombrer dans un sommeil profond. Le réveil fut douloureux, des jambes jusqu’au sommet du crâne. L’obscurité ambiante, nappée de surcroît par un sinistre brouillard, dissimulait à Defage la mutation de ses pieds en nageoires. Il voulut se relever. Ne trouvant, cependant, aucune assise solide, le triton tituba dans le trou. La panique s’empara du laborantin. La vase aussi. L’eau s’agrippa au triton par des fers agrégés de gouttelettes. Les roseaux ne furent pas en reste et s’assemblèrent en forme de voûte pour couvrir ce départ. Le triton eut beau se débattre, le dénouement n’avait comme issue que la mare. Une mare dont la cavité centrale plonge, à première vue et peut-être à s’y méprendre, à quatre pieds sous terre.
Epilogue
Une enquête de police fut diligentée. Les moyens de recherche, équipe cynophile, drones, gardes mobiles en faction autour de Notre-Dame-Des-Landes, déployés par le Préfet de Loire-Atlantique, s’avérèrent improductifs. La disparition de Denis Defage ne s’expliquait pas.
Un temps, des partisans de la Zone A Défendre, la ZAD, furent suspectés, car des altercations avaient déjà eu lieu dans le passé avec des équipes de naturalistes, rémunérés par l’Aéroport du Grand Ouest de Vinci. Les accusations et les incarcérations eurent comme résultat une recrudescence des affrontements entre les forces de l’ordre et les activistes écologiques.
Au bout de deux ans l’affaire dite du « triton », référence aux notes mystérieuses retrouvées chez le laborantin, fut classée. La Population, saisie par l’ampleur du drame, contraignit le Président de la République à décréter, dans une allocution télévisée, l’abandon du projet de l’aéroport de Notre-Dame-Des-Landes.
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Notre Dame des Landes : réservez votre 16 janvier pour une grande mobilisation
Cyber @cteurs bien parti pour réussir son pari de solder le compte de son fondateur à son départ en retraite et se garder une marge de trésorerie pour assurer la poursuite de sa progression.
2250 de nos cyber @mis ont déjà contribué avec pour certains un effort pour marquer ce départ en retraite. Un millier de contributeurs 2014 ont encore 13 jours pour apporter leur obole.
Mais surtout 70 000 d’entre vous ont encore ces 13 jours pour marquer le coup et témoigner même symboliquement leur attachement à cette aventure humaine collective. Il suffirait d’un euro chacun pour faire des heureux
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COP21 : regards croisés
texte définitif de la cop21
le PDF est visible à l’adresse :
Nicolas Hulot: «Nous renouons avec l’espoir»
L’avenir en demi-teinte
Fumée blanche au Bourget. Enfin. Après plusieurs décalages successifs et des discussions ardentes jusqu’à la fin, la COP21 accouche d’un accord. La fin d’un rendez-vous important, à l’issue duquel tout, néanmoins, reste à faire.
Accord à la COP : vraie avancée ou poudre aux yeux ?
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: “L’avenir confirmera si Paris a été un tournant historique”
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Cyber @ction La première des solidarités c’est de payer ses impôts ?
Bonjour,
Comme nous le faisons de temps à autre pour vérifier que vous êtes prêts à ce que votre association porte un sujet qui n’est pas forcément dans nos thématiques habituelles, nous vous proposons de décider par votre vote si nous devons organiser une cyber @ction qui vise à la fois à faire payer les multinationales dans les pays où elles ont leurs activités et à défendre l’idée proposée par Piketty de taxation des billets d’avions modulée selon la classe utilisée pour alimenter le fonds vert qui est au centre des débats de la COP21.
Cyber @ction La première des solidarités c’est de payer ses impôts
Connus pour leur réactivité, les géants américains du web n’ont pas tardé à exprimer leur compassion après les attentats du 13 novembre. Le soir des attaques, Facebook est le premier à se faire le champion de cet élan de solidarité.
http://www.marianne.net/facebook-google-apple-merci-solidarite-c-est-payer-ses-impots-france-100238178.html
En début de mois, une étude d’un collectif d’ONG estimait à 4,2 milliards d’euros en 2012 le manque à gagner fiscal lié à l’imagination déployée par les entreprises américaines pour échapper à l’impôt en France.
Des politiques et des économistes s’unissent pour demander aux Etats membres de l’UE de soutenir la proposition de «reporting pays par pays» qui oblige les entreprises cotées à rendre publiques des informations sur leurs activités et leurs impôts
«Nous demandons aux Etats plus de transparence et de coopération»
Nous vous proposons d’interpeller le Président de la République sur la transparence et sur la taxation des billets d’avions pour abonder le fonds vert destiné aux pays émergeants.
Monsieur le Président,
Les géants américains du web champions de la solidarité avec notre pays au lendemain des attentats du vendredi 13 novembre sont aussi les champions dans l’imagination déployée pour échapper à l’impôt. Or la première des solidarités c’est de payer ses impôts qui permettent aux Etats de mener des politiques de solidarité.
Je vous demande donc «de soutenir la proposition de «reporting pays par pays» actuellement en discussion dans le cadre de la «directive sur les droits des actionnaires» et qui oblige «les entreprises cotées à rendre publiques des informations sur leurs activités et leurs impôts».
Je vous demande par ailleurs de défendre l’idée de taxe sur les billets d’avion, avec un tarif plus élevé pour les business class pour abonder le fond vert en discussion à la COP21
Dans cette attente, veuillez
Piketty propose que les plus riches paient l’addition du changement climatique
Des politiques et des économistes s’unissent pour demander aux Etats membres de l’UE de soutenir la proposition de «reporting pays par pays» qui oblige les entreprises cotées à rendre publiques des informations sur leurs activités et leurs impôts
«Nous demandons aux Etats plus de transparence et de coopération»
Évasion fiscale: la France pointée du doigt pour son immobilisme
50-nuances-devasion-fiscale-au-sein-lunion-europeenne
240.000 euros, c’est ce que Facebook paie au fisc en France
Facebook UK a payé 5 800 € d’impôts en 2014
Google a baissé de 35% ses impôts payés en France
Apple France : 7 millions d’euros d’impôts en 2014, le fisc enquête
La chaîne Starbucks est dans le viseur de l’Union Européenne pour .
Impôts : l’Union européenne réclame des millions à Fiat et Starbucks
Amazon en passe de payer des impôts en France : le grand bluff …
Cyber @ctions suites
La lutte continue contre la gare de la Mogère, car malheureusement pendant les recours qui ne sont pas suspensifs, les bétonneurs passent en force, voir les précisions sur le site
Prochaine action:
Réunion publique à Montpellier le 4 novembre à 19h, Espace Pitot.
Affaire Morfoisse : ce n’est pas fini
Le chauffeur est décédé après avoir déchargé des algues vertes. L’avocat de la famille conteste le réquisitoire de non-lieu.
La suite dans les commentaires de la Cyber @ction
Jungle de Calais : l’appel des 800
Cinéastes, écrivains, philosophes, chercheurs, intellectuels… Tous se mobilisent pour alerter l’opinion publique sur le sort réservé aux migrants et réfugiés de la jungle de Calais. Ils lancent l’appel de Calais dont voici les 800 premiers signataires.
L’appel de Calais
Depuis des semaines, de nombreuses associations sur le terrain cherchent à alerter l’opinion publique des épouvantables conditions de vie réservées aux migrants et aux réfugiés de la jungle de Calais.
Cinq à six mille femmes, hommes et enfants, épuisés par un terrible voyage, laissés à eux-mêmes dans des bidonvilles, avec un maigre repas par jour, un accès quasi impossible à une douche ou à des toilettes,une épidémie de gale dévastatrice, des blessures douloureuses, des abcès dentaires non soignés. Et les viols des femmes. Les enfants laissés à eux-mêmes dans les détritus. Les violences policières presque routinières. Les ratonnades organisées par des militants d’extrême droite.
Jusqu’à quand allons-nous nous taire ?
Au prétexte que des conditions de vie moins inhumaines pourraient produire «un appel d’air» envers d’autres réfugiés, le gouvernement de notre pays a décidé de se défausser sur les associations et les bonnes volontés. Celles-ci sont admirables mais ne peuvent pas tout.
Ce désengagement de la puissance publique est une honte dans un pays qui même en période de crise, reste la sixième puissance économique mondiale.
La spirale du pire est amorcée.
Les discours réactionnaires ou fascisants ne cessent depuis des années de diviser les gens, d’opposer des catégories toujours plus fragmentées, pour mieux propager leur idéologie haineuse.
Aujourd’hui leur propagande avance l’argument qu’il n’y aurait plus de place pour les exilés d’où qu’ils viennent, soi-disant au nom de la défense des plus pauvres des Français.
Cette mise en concurrence des indigences est ignoble.
Elle nous habitue à l’idée qu’il y aurait des misères défendables et d’autres non.
Elle sape les fondements des valeurs constitutives de la France.
Elle nie notre humanité commune.
Elle nous prépare au pire.
Alors que ce sont, précisément, ces mêmes associations, ces mêmes bénévoles, ces mêmes hommes et femmes de bonne volonté qui nous alertent aujourd’hui sur Calais et qui agissent depuis des années à panser toutes les misères de France.
Alors que ce sont, précisément, les mêmes hommes et femmes politiques, ou les mêmes discours qui attisent le feu en soufflant sur les braises des divisions mortifères, qui, par leur action ou leur manque d’action politique, accentuent la pauvreté des plus pauvres et sont incapables de lutter efficacement contre le mal logement ou la misère alimentaire.
Aujourd’hui nous avons décidé de prendre la parole tous ensemble pour dire non à la situation réservée à ceux qui sont actuellement les plus démunis de droits en France : les exilés de Calais.
Au nom de nos valeurs communes d’asile et d’universalisme.
Et parce que nous serons plus forts demain pour nous battre ensemble contre les autres formes d’injustices et de misère.
Nous demandons solennellement au gouvernement un large plan d’urgence pour sortir la jungle de Calais de l’indignité dans laquelle elle se trouve.
Les 800 premiers signataires
NDLR : Nous avons publié une première liste de 500 noms environ qui était la liste arrêtée au dimanche soir. Voici la liste complète des 800 signataires de l’appel recueillis par le collectif d’artistes et d’intellectuels jusqu’au 20 octobre.
Hihi Abdelhamid (médecin), Michel Abramowicz (chef opérateur), Laure Adler (écrivain), Philippe Aigrain (poète), Karen Akoka (maitre de conférence), Pierre Albertini (professeur d’histoire), Guillaume Allary (éditeur), Jérôme Alméras (directeur de la photographie), Jean-Claude Aumont (directeur de la photographie), Siegrid Alnoy (cinéaste), Marianne Alphant (écrivain), Janine Altounian (traductrice, écrivain), Anne Alvaro (comédienne), Audrey Alwett (écrivain), Marie Amachoukeli (cinéaste), Mathieu Amalric (cinéaste, comédien), Jean-Pierre Améris (cinéaste), Marc Amfreville (professeur, traducteur), Louka Anargyros (étudiant), Thomas Anargyros (producteur), Michel Andrieu (cinéaste), Claire Angelini (artiste), Christine Angot (écrivain), Philippe Annocque (écrivain), Georges Aperghis (compositeur), Sophie Aram (humoriste), Danielle Arbid (réalisatrice), Christophe Arleston (scénariste), Nathalie Arroyas (professeure), Ariane Ascaride (comédienne), Marco Assennato (doctorant), Louis Astre (syndicaliste), Aurel (dessinateur), Nurith Aviv (cinéaste), Edith Azam (écrivain), Gabrielle Babin Guggenheim (productrice), Nicole Bacharan (historienne), Laurence Bachmann (productrice), Antoine de Baecque (historien du cinéma), Pénélope Bagieu (auteur de BD), Josianne Balasko (cinéaste, comédienne), Olivier Balez (auteur de BD), Etienne Balibar (philosophe), Jeanne Balibar (comédienne), Nadine Ballot (retraitée de l’édition), Gilles Bannier (réalisateur), Emily Barnett (journaliste), Antoine Barraud (cinéaste), Guillaume de Bary (producteur), Barbara Bascou (monteuse), Dominique Batraville (écrivain), Gérard de Battista (directeur de la photographie), Aziyadé Baudouin-Talec (écrivain), François Bayle (compositeur), Tina Baz (monteuse), Philippe Bazin (artiste), Emmanuelle Béart (comédienne), Alex Beaupain (musicien), Jean-Pierre Beauviala (inventeur d’Aaton), Xavier Beauvois (cinéaste, acteur), Annette Becker (historienne), Bérénice Bejo (actrice), Jérôme Bel (chorégraphe), Yahoutha Belgacem (directrice artistique), Lucas Belvaux (cinéaste), Salah Benacer (photographe), Jean Benguigui (acteur), Caroline Benjo (productrice), Florence Ben Sadoum (journaliste), Ted Benoit (scénariste et dessinateur), Hervé Bérard (réalisateur), Luc Beraud (cinéaste), Emmanuelle Bercot (actrice, cinéaste), Philippe Berling (metteur en scène), Alain Bernardini (artiste), Emmanuelle Bernheim (romancière), Laurent Bettoni (auteur), Didier Bezace (acteur, metteur en scène), Camille Bidault Waddington (photographe), Enki Bilal (dessinateur, réalisateur), Benjamin Biolay (musicien), Hervé Bismuth (enseignant-chercheur), Stéphane Bissot (actrice), Simone Bitton (cinéaste), Emmanuel Blanchard (enseignant-chercheur, président du réseau Migreurop), Catherine Blangonnet-Auer (revue Images Documentaires), Alain Blondel (Artiste peintre), Sylvie Blum (productrice), Sandra Boehringer (universitaire), Christian Boltanski (artiste plasticien), Olivia Bonamy (comédienne), Jacques Bonnaffé (comédien), Irène Bonnaud (metteur en scène), Jacques Bontemps (philosophe), Lucie Borleteau (réalisatrice), Henri Bosch (retraité), Sigrid Bouaziz (comédienne), Nicolas Bouchaud (comédien), Jean-Jacques Bouhon (directeur de la photographie), Patrick Bouffard (médecin), Jean-Marcel Bouguereau (journaliste), Stéphane Bouquet (scénariste), Fatma Bouvet de la Maisonneuve (psychiatre), Olivier Bouvet de la Maisonneuve (psychiatre), Frédéric Boyer (écrivain), Guillaume Brac (cinéaste), Benoît Bradel (metteur en scène), Rachida Brakni (metteur en scène et actrice), Claire Braud (auteur de BD), Dominique Brenguier (directeur de la photographie), Julie Brenta (technicienne de cinéma), Jean Breschand (cinéaste), Marika Bret (DRH à Charlie Hebdo), Pascale Breton (cinéaste), Patrice Bretaudière (philosophe), Laurence Briaud (monteuse), Geneviève Brisac (écrivain), Chantal Briet (cinéaste), Claire Brisset (ancienne défenseur des enfants), Isabelle Broué (cinéaste), Michel Broué (mathématicien), 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