Quel logiciel de gestion pour des circuits courts ?

Notre assoc. comporte une centaine d’adhérents consom’acteurs, et une douzaine de producteurs. Nous avons besoin d’un logiciel permettant de gérer les adhérents, consom comme prod; les listes de produits par producteur avec désignation photo et prix unitaire, de telle sorte que le consom’acteur lambda puisse se servir de la liste Maraîcher et cocher les produits qu’il souhaite commander, préciser la quantité, que la commande ainsi faite soit transmise en temps réel au producteur, que celui ci puisse renseigner la commande et la transformer en bon de livraison effective identifiant d’éventuels manquants, puis la facture adressée au consom’acteur en final… Tous les participants disposent d’un mail…

Quel logiciel sait faire celà ??? Merci de vos aides…Nous faisons cela depuis 5 ans par mail individuellement, un peu d’ergonomie serait un plus évident…

Mme Isler-Béguin nommée Au grade de chevalier de la Légion d’honneur

Marie_Anne_Isler_Beguin_1

Par décret du Président de la République en date du 30 décembre 2016, pris sur le rapport du Premier ministre et des ministres et visé pour son exécution par le grand chancelier de la Légion d’honneur, vu les déclarations du conseil de l’ordre portant que les présentes promotions et nominations sont faites en conformité des lois, décrets et règlements, sont promus ou nommés pour prendre rang à compter de la date de réception dans leur grade :

Ministère de l’environnement, de l’énergie et de la mer, en charge des relations internationales sur le climat
Au grade de chevalier
Mme Isler-Béguin, née Isler (Marie-Anne), présidente d’une association pour la protection de l’environnement et l’amélioration de la qualité de vie ; 37 ans de services.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000033760367

Toutes nos félicitations à notre Présidente et nos remerciements pour son action : les ors de la République retombent ainsi un peu sur nos souris.

Financement participatif court métrage sur les sans papiers

Appel à financement participatif pour un court-métrage musical sur le thème des sans papiers :

https://fr.ulule.com/shens-papers/

Quotidien d’une famille de sans papiers, tolérance, ouverture à l’autre, sous les paroles justes, en occitan et en kabyle, musique entêtante, ponctués par les pas des danseurs de rondeau gascon et une danseuse contemporaine, voilà en quelques mots ce qu’est Shens papèrs.
Merci
Philippe Espinasse auteur, compositeur et co-réalisateur.

Consultation Brennilis

Centrale de Brennilis : consultation sur la prolongation du chantier de démantèlement

Nous vous proposons de vous inspirer du communiqué de la Fédération Anti-nucléaire Bretagne ci-dessous.

Alain Uguen

Démantèlement partiel de Brennilis : EDF réclame encore une prolongation.

Il est plus urgent d’arrêter les centrales que de les démanteler.

La centrale de Brennilis est arrêtée depuis plus de 30 ans et son démantèlement « tellement dément » n’en finit pas. Ce devait être la vitrine, elle en illustre le fiasco démontrant que le nucléaire est dans l’impasse. Le décret de démantèlement partiel de 2011 autorisait jusqu’en juillet 2016 des travaux qui n’avaient pu être achevés lors du premier décret de 1996, notamment la station de traitement des effluents (STE). Cela fera donc 20 ans qu’EDF tente de la démanteler, passant sous silence ses déboires successifs. Le délai expirant, elle redemande à nouveau un délai supplémentaire de 2 ans ; le projet de modification du décret est en consultation jusqu’au 25 juillet. (1)

Mais le pire est à venir avec le projet de démantèlement du bloc réacteur, avec une cuve dont le niveau irradiant pourrait causer le décès d’un travailleur en quelques minutes. La Fédération anti-nucléaire Bretagne s’opposera à sa mise en chantier au vu de l’amateurisme pratiqué, comme cela a pu être constaté lors de l’incendie dans le bâtiment réacteur en septembre 2015.

La priorité est d’arrêter immédiatement toutes les installations nucléaires, puis de réfléchir comment le démantèlement de ces installations peut être mené, le moins mal possible d’un point de vue environnemental et sanitaire. Ce débat ne peut être mené sereinement que lorsqu’il sera déconnecté de l’enjeu de prolonger cette industrie mortifère et d’imposer de façon autoritaire le projet dangereux d’enfouissement des déchets nucléaires appelé CIGEO.

Aussi la Fédération anti-nucléaire Bretagne se joint au Collectif anti-nucléaire Ouest qui appelle à se rassembler à Flamanville les 1er et 2 octobre 2016 pour dire non à l’EPR, non au rafistolage des réacteurs et exiger l’arrêt du nucléaire, énergie de destruction massive (2)

(1) http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-de-decret-modifiant-le-decret-no-2011-886-a1419.html

(2) www.can-ouest.org

Contacts presse : Chantal Cuisnier 06 84 14 58 87/ Marie Nicolas 06 72 50 89 14/ Alain Rivat : 06 65 72 31 66 /

Ours & fêtes médiévales – STOP

Bonjour,

J’ai pris connaissance par hasard qu’un spectacle d’ours allait se dérouler dans un village voisin courant la prochaine fête médiévale locale d’octobre. Faute de financement à l’évidence, la concrétisation de ce spectacle a été possible par un financement participatif!!

J’ai lancé une pétition début mai, et vu l’ampleur des signataires un article dans le Dauphiné Libéré a été publié. Après lecture, il semble que ni l’association à l’origine de ce “projet”, ni le maire de la commune se sentent concernés, et l’animation est toujours d’actualité. Il y a plus de 44 000 signataires à ce jour.

Je poursuis l’action et j’ai écris une lettre ouverte plus générale à ce sujet. Je vous joins le lien de cette pétition pour prendre connaissance notamment du contexte et de la “mise à jour de la pétition”.

A diffuser, à signer, à faire du bruit, SVP pour qu’enfin ce genre de “spectacle” s’efface de notre paysage au lieu de se développer et de s’y ancrer !

Merci de votre attention et pour votre participation.

 

 

SONDAGE Corrida

Traduction
Le maire de Saint-Sébastien, Eneko Goia, a indiqué que la plate-forme antitaurine qui promeut la réalisation d’une consultation sur les corridas dans les arènes municipales d’Illunbe a réuni les signatures nécessaires pour mener à bien ce vote, qui pourrait avoir lieu en septembre.

Cette date dépend de deux décisions. La première des tribunaux de Justice, parce que le règlement de consultations a été contesté par l’Administration de l’État, bien que le maire ait indiqué l qu’on attend un verdict avant deux mois.

La deuxième est que la consultation ne peut coïncider avec aucun processus électoral et en Euskadi les élections autonomes pourraient avoir lieu en automne.

Doit-il y avoir des corridas à San Sébastien ? Votez

http://www.diariovasco.com/san-sebastian/201604/18/consulta-sobre-toros-donostia-20160418115953.html

Le lien fonctionne on est passé à 53/47

Il faut donc continuer à mobiliser.

ATTENTION : Dans Firefox, avec Adblock qui supprime les pubs le bouton Votar disparait. Il faut retirer temporairement Adblock !
ou changer de logiciel d’accès à internet.

Un peuple civilisé doit trouver des solutions pour arriver pacifiquement à un résultat acceptable par tous.

Monsieur le président de la république, Monsieur le premier ministre, Madame la ministre de l’environnement,
Les projets d’aménagement du territoire divisent très souvent la population. Le processus de décision n’est pas exempt de reproches et l’opposition, pour se faire entendre, doit souvent braver la loi. Cette situation est source de tensions qui peuvent dégénérer en violences. Un peuple civilisé doit trouver des solutions pour arriver pacifiquement à un résultat acceptable par tous.

Dans le cas du projet d’aéroport de Notre Dame des Landes, pour désamorcer les tensions, vous avez décidé d’organiser un referendum dont le résultat s’imposerait aux parties de façon définitive. C’est une intention louable. Recueillir l’agrément de la population concernée est en effet une condition nécessaire. Mais elle n’est pas suffisante et ne justifiera pas l’abandon de la contestation. Les opposants pensent que l’homme a des devoirs vis-à-vis de la nature, de l’environnement, de la biodiversité et que les projets ne doivent pas aller à l’encontre de ces devoirs. Une loi votée à l’assemblée ne pourra être appliquée que si elle est reconnue compatible avec la constitution. De la même façon, un projet d’aménagement, voulu par les élus, approuvé par la majorité, doit aussi respecter des principes supérieurs pour être réalisé. Pour gagner en efficacité, il serait préférable de vérifier l’adéquation aux principes avant de demander l’accord de la population.

Mais quels sont ces principes ? Comment les définir pour qu’ils ne donnent pas lieu à des divergences d’appréciation ? Nous allons en proposer deux, l’un lié à la notion de développement durable, l’autre à des exigences de bonne gestion financière. S’ils sont tous les deux respectés et si le résultat du referendum est favorable, alors on pourra envisager de mener à bien le projet. Remarquons que ces critères ne font que formaliser les engagements officiels de notre pays vis-à-vis de l’environnement et de la réduction des déficits publics. Le but de cette pétition est de vous demander de mettre en œuvre cette démarche pour le cas de l’aéroport Notre Dame des Landes et pour les projets à venir.
Abordons maintenant le premier principe. Le respect de la nature est difficile à définir. A défaut de mieux actuellement, contentons-nous des objectifs de développement durable que personne n’ose remettre en cause. Deux indicateurs qui font l’objet d’études continues depuis plus de 20 ans, nous permettent de savoir où nous en sommes et, par leur évolution au fil des années, dans quelle direction nous allons. Il s’agit de l’empreinte écologique et de la biocapacité. L’empreinte écologique calcule, par pays et par habitant, la surface en ha nécessaire pour remplir tous les besoins : alimentation, habitat, déplacements, services, recyclage. La valeur pour la France est de 5,1 ha. La biocapacité évalue, par pays et par habitant, la surface disponible selon les mêmes critères. La valeur pour la France est de 3,1 ha. Ces chiffres proviennent du site www.footprintnetwork.org et ont été calculés pour l’année 2012. Si la biocapacité est inférieure à l’empreinte écologique, cela signifie que le pays ne peut satisfaire tous les besoins de sa population, qu’il est obligé d’importer des ressources ou qu’il épuise ses stocks. Dans une optique de développement durable, c’est une situation qu’il faut absolument chercher à rééquilibrer en diminuant l’empreinte ou en augmentant la biocapacité. Tout projet devrait être évalué vis-à-vis de son incidence sur ces deux indicateurs. Si le projet dégrade le rapport entre les deux, il doit être abandonné. Si malgré tout des raisons impérieuses obligent à le réaliser, il faut alors mener en parallèle un projet qui contrebalancera la dégradation attendue.

Venons-en au principe de bonne gestion financière.

Si le projet a une vocation économique, il faut en laisser le financement à des intérêts privés, sans aucun engagement ni caution des collectivités publiques. Le risque doit être assumé en totalité par l’investisseur. Si l’argent public est nécessaire, le financement doit se faire sans emprunt et résulter de provisions constituées au cours des années précédentes dans ce but. Emprunter oblige à payer un intérêt en plus du capital et augmente ainsi le coût. De plus, le remboursement d’un emprunt obère les finances, prive de moyens d’action et impose, pour de longues années, des choix antérieurs qui n’ont plus toujours leur justification. Quand on constitue des provisions, on peut espérer un léger revenu durant la période d’épargne. Quand les fonds sont réunis, il est encore temps de réévaluer l’intérêt du projet. Quand l’investissement est lancé, il ne pèse pas sur les années à venir et laisse la liberté de moyens à ceux qui gèrent. On objectera peut-être que le projet est différé le temps de l’épargne. A un niveau collectif, quelques années ont peu d’importance. Dans le cas de l’aéroport Notre Dame des Landes, le projet remonte à plus de 50 ans. Que ce soit pour un particulier ou une collectivité, vivre avec des économies plutôt que des dettes, c’est conserver de la liberté et une bonne capacité d’adaptation. Mais les dettes d’un particulier s’éteignent quand il décède, alors que les dettes de la collectivité sont léguées aux générations suivantes. Il est donc tout à fait immoral de contracter des emprunts qui devront être remboursés par d’autres. Honte à nous qui accumulons des dettes sans impérieuse nécessité et dégradons ainsi les conditions que connaîtront nos enfants.

Pour le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes, l’Europe impose avant le début d’exécution des travaux, une étude d’impact environnemental. L’évaluation de l’incidence sur l’empreinte écologique et la biocapacité y aurait naturellement toute sa place. Ce devrait être la première étape de faisabilité du projet. Si elle est vérifiée, les modalités de financement seront à examiner. Si cette deuxième condition est aussi vérifiée, alors il pourra y avoir tenue d’un referendum. Il conviendra de bien en définir les règles, mais c’est un autre sujet qui ne sera pas développé ici.

Voilà la démarche que nous vous proposons pour mener à bien les projets d’aménagement du territoire et que nous vous demandons d’appliquer dès maintenant pour le cas de l’aéroport Notre Dame des Landes.

Dominique R

Faucheurs volontaires. Un procès en vue ?

Le 13 février 2016, quatre Faucheurs volontaires étaient convoqués au tribunal pour une procédure de composition pénale. Une procédure qui permet au délégué du procureur de la République de proposer une mesure alternative aux poursuites, après les graffitis peints à l’entrée du port de Kergroise en octobre dernier. Les militants ont dit non à la sanction proposée, à savoir une amende de 300 € chacun. « On a refusé la transaction, a expliqué Didier en sortant de l’audition, applaudi par les 70 militants anti-OGM rassemblés devant les grilles du tribunal. « On va peut-être être poursuivis. C’est une bonne nouvelle pour les faucheurs ». Satisfaction aussi pour Yves, un autre militant entendu : « On aura enfin la parole au tribunal pour réclamer l’étiquetage des produits OGM et un moratoire sur les importations d’OGM ». Yvon, un militant venu soutenir ses collègues, revendique sa « désobéissance non violente ». « On pollue et on assume notre geste. Le tribunal peut nous offrir une fenêtre médiatique, mais le procureur semble botter en touche. Les industriels ne veulent pas de publicité ». La prochaine marche mondiale contre Monsanto est prévue le 21 mai. Un rassemblement pourrait être organisé à Lorient.

Projet de décret affichage publicitaire

Message de Pierre-Jean DELAHOUSSE, président de Paysages de France, GRENOBLE le 29 janvier 2016

Chères amies, chers amis (si vous me permettez ce terme),

Plus que jamais, nous avons besoin de serrer les coudes pour répondre à ce coup de force téléguidé par le lobby des afficheurs, mais relayé par un gouvernement jusqu’à présent aux ordres.

Car le comble est que ce dernier obtempère sans même connaître le dossier, sans même que la moindre évaluation des conséquences qu’auraient les mesures envisagées n’ait été faite.

En effet, tout démontre que, contrairement aux allégations du gouvernement, ces mesures auraient non seulement des effets catastrophiques sur notre environnement, mais également des effets calamiteux sur le plan économique !

Le ministre Macron est-il à ce point incompétent ? Ou alors se moque-t-il des citoyens ?

Comment peut-il aller jusqu’à répondre n’importe quoi, quand le Président de la République et le Premier ministre lui demandent de répondre à Paysages de France ?

Car le ministre Macron trouve le moyen, dans la lettre qu’il a adressée récemment à l’association, d’accumuler de grossières contrevérités https://drive.google.com/file/d/0B00A_17bQp3cOVJ1bnFvNTFuNG8/view.

Lisez le dernier communiqué de Paysages de France et vous comprendrez tout : http://paysagesdefrance.org/spip.php?article911

Je tenais donc aussi à remercier les milliers de citoyennes et de citoyens qui participent actuellement à cette cyberaction http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/consultation-publique-cours-denonco-1094.html et expriment leur indignation.

Plus nous serons nombreux, plus le refus de nous écouter, si tel devait malgré tout être le cas, serait incompréhensible, indigne et condamnable.

Car ce serait même violer ouvertement la Convention européenne du paysage, ratifiée par la France le 17 mars 2006, qui, dans ses “dispositions générales”, demande aux Etats signataires (38 aujourd’hui) de définir des “objectifs de qualité paysagère” répondant aux “aspirations des populations en ce qui concerne les caractéristiques paysagères de leur cadre de vie” (article 1b) https://rm.coe.int/CoERMPublicCommonSearchServices/DisplayDCTMContent?documentId=090000168008062a

Les paysages sont une composante essentielle du “patrimoine commun de la nation” (loi du 2 février 1995). Les paysages de France sont une composante du patrimoine commun de l’humanité. Notre devoir est donc de faire barrage à ce projet odieux et à ceux qui voudraient envers et contre tout se faire non seulement les complices d’un véritable crime contre l’environnement mais également les complices de délinquants de l’environnement (les dispositions du code de l’environnement n’ont cessé d’être violées depuis 35 ans par nombre d’afficheurs).

Alertez toutes celles et tous ceux que vous connaissez, informez-les : la plupart ne sont pas au courant de ce qui se cache derrière les grandes déclarations faites par les plus hautes autorités de l’Etat dans le cadre de la COP21.

Il y va aussi de la survie de notre démocratie, de plus en plus minée par des pratiques occultes…

2016 : Brennilis, Flamanville Appel à une forte mobilisation des anti-nucléaires

Suite au communiqué du Collectif anti-nucléaire Ouest du 15 janvier 2016 (1), la Fédération anti-nucléaire Bretagne invite les groupes de Bretagne à relayer samedi 30 janvier 2016 dans le plus grand nombre de villes, l’annonce du grand rassemblement des 1er et 2 octobre 2016 à Flamanville afin de faire renoncer à la mise en service de l’EPR et au rafistolage (appelé officiellement « grand carénage ») des réacteurs arrivant à 30 ans d’âge que ce soit à Flamanville, Paluel, Penly et ailleurs.

Nous sommes à un moment clé où près de 3/4 des réacteurs nucléaires français auront plus de 30 ans en 2016 et donc dépassé leur limite d’âge. Le risque de catastrophe est donc imminent. Comme à Tchernobyl et à Fukushima, ce seront des milliers de km2 inhabitables, des centaines de milliers de personnes déplacées, des millions de victimes, des centaines de milliards d’euros volatilisés…

N’acceptons pas que plus de 60 milliards soient injectés dans leur rafistolage, que le chantier de l’EPR de Flamanville dont le prix a triplé pour dépasser les 10 milliards d’euros continue avec les nombreuses malfaçons dont la plus grave est celle de la cuve du réacteur, élément-clé de sûreté.

Mobilisons-nous massivement pour qu’enfin la page du nucléaire soit tournée. Cette technologie est moralement et socialement inacceptable, c’est une énergie de destruction massive

30 ans après l’explosion du réacteur de Tchernobyl et 5 ans après ceux de Fukushima, la Fédération anti-nucléaire Bretagne organise à Brennilis le 23 avril 2016 et à l’Ile Longue (Crozon) le 24 avril deux journées de rassemblement avec films, débats, conférences, marche, fest-noz, vélorution pour l’arrêt immédiat du nucléaire civil et militaire.

(1) http://www.can-ouest.org/communique-du-15012015/

Contacts presse : Chantal Cuisnier : 06 84 14 58 87 / Alain Rivat : 06 65 72 31 66 / Marie Nicolas : 06 72 50 89 14