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OGM, du port de Sète à notre assiette
Depuis 2002, c’est plus de 300 000 tonnes de tourteaux de soja OGM qui sont débarquées à Sète chaque année.
Pétition mise en ligne le 25/11/2009 , en partenariat avec : Collectif anti-ogm Sète (Semeurs 34 , Faucheurs volontaires d’OGM , Conf . LR , BEDE , Attac Sète , Verts de Sète , Greenpeace , CHAOS-BT)
Elle sera envoyé à : têtes de listes aux élections régionales du Languedoc-Roussillon de mars 2010
Ils sont déchargés des c...Pour une Région Languedoc-Roussillon VRAIMENT sans OGM!
En 2004, le Conseil Régional Languedoc-Roussillon vote une motion en faveur de « l’interdiction de toute culture d’OGM en plein champ ». En 2008, la France active la « clause de sauvegarde » et déclare un moratoire sur la culture d’un maïs OGM, le MON 810.
Malgré ces décisions, dans de nombreux ports français -dont celui de Sète- chaque année, des millions de tonnes de soja OGM débarquent des bateaux et vont alimenter, poulets, vaches et porcs.
Les OGM se retrouvent dès lors dans la plupart des produits issus de l’élevage - viandes, laitages, fromages, charcuterie, œufs...- que nous consommons.
Nous, citoyens de la région ne voulons dans notre assiette ni OGM ni animaux nourris aux OGM, tout comme l’écrasante majorité des français.
Dans les pays producteurs de soja, le développement exponentiel de cette culture sur des millions d’hectares a un impact désastreux. En Argentine et au Brésil, ces cultures détruisent les forêts tropicales et amazoniennes, épuisent rapidement les sols et polluent les nappes phréatiques. Sur des millions d’hectares, elles chassent les petits paysans et les indiens de leurs terres et mettent en danger la santé des populations rurales par le recours massif aux pesticides.
Nous savons aussi qu’il est impossible de faire co-exister des filières OGM et non-OGM, que ce soit dans les zones de productions, au cours du transport ou à l’intérieur des élevages. Par contre, il est tout à fait possible de produire davantage régionalement de quoi nourrir les animaux sans avoir recours aux OGM ou aux importations massives de tourteaux de soja.
Aujourd’hui, la région Languedoc-Roussillon, propriétaire et gestionnaire du port de Sète s’apprête à investir 200 millions d'Euros pour appuyer son « développement durable ». Pour répondre aux exigences de durabilité, la question de son développement ne saurait être dissociée de la question des OGM.
Aussi, nous demandons :
que les aides régionales soient affectées au port de Sète sous condition d’une interdiction formelle des importations de toutes denrées issues des cultures transgéniques,
que la Région appuie la mise en place et le développement d’une filière locale de production de protéines végétales afin d’assurer l’autonomie alimentaire des élevages,
que la Région mette sur pied un label «issus d'animaux nourris sans OGM» même si la future réglementation sur l’étiquetage des produits issus de l’élevage ne le rend pas obligatoire,
et que la Région s’implique fermement au sein du réseau des régions européennes « libres d'OGM » comme le font déjà la Bretagne, le Poitou-Charentes, Rhône-Alpes et bien d’autres sans perdre de vue l'objectif d'une Europe SANS OGM.
Tout au long de la campagne électorale, nous ferons le bilan des actions conduites en ce sens et informerons les électeurs des engagements pris.
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Sur 5,5 hectares à la ferme de Coat Keroëc en Tremeoc, Yveline Hélias entretient depuis 14 ans un cheptel composé de 20 ovins, 2 vaches, 2 porcs et une petite basse cour. Elle cultive également sur ces terres quelques légumes. Les animaux sont traités avec le respect dû aux êtres vivants et les terres ne connaissent comme amendement que le fumier produit par le bétail , ignorant pesticides et engrais chimiques . Brebis et vaches donnent du lait qui est transformé en fromages , yaourts , etc . Les sous-produits de cette transforma...Nous, signataires de ce texte, apportons tout notre soutien à Yveline Hélias dans le combat qu’elle mène pour la sauvegarde des petites fermes. Nous demandons
*aux responsables politiques, à tous les échelons - du national, régional, départemental au communal - de prendre des mesures pour la préservation des petites exploitations agricoles et l’installation de jeunes paysans
* à tous les syndicats agricoles de s’engager véritablement dans ce combat.
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Le gouvernement a donc choisi de céder au lobby de l'élevage industriel de porcs en relevant le seuil d'autorisation des porcheries industrielles de 450 à 2000 places comme il a cédé sur la ferme des 1000 vaches. Devant ce recul environnemental , Eau & Rivières de Bretagne a décidé , en lien avec France Nature Environnement , de cesser immédiatement de participer aux États Généraux de la Modernisation du Droit de l'Environnement lancés en juin dernier par le ministère de l’Écologie .
L'association va également saisir la commission europée...Monsieur le Premier Ministre,
Le gouvernement a donc choisi de céder au lobby de l'élevage industriel de porcs en relevant le seuil d'autorisation des porcheries industrielles de 450 à 2000 places comme il a déjà cédé sur la ferme de 1000 vaches.
Je tiens à dénoncer ce recul grave qui va à l'encontre de tous les beaux discours sur la transition écologique et à soutenir ceux qui défendent l'avenir de l'agriculture et des paysans, dans le respect de l'environnement et de la vie des territoires.
Vous demandant de revenir sur ces décisions,
je vous prie de croire, Monsieur le Premier Ministre à ma mobilisation sur ce sujet.
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Le 1er février 2013, Monsieur le Préfet a donné à la SCEA COTE DE LA JUSTICE l'autorisation d'exploiter pour 500 vaches. Le 02 février 2013 , NOVISSEN a fait un communiqué de presse dont voici la teneur :
Novissen a appris comme vous la décision préfectorale d'autoriser une ferme de 500 vaches laitières avec un méthaniseur avec des conditions d'encadrement et de restriction sévères .
Notre réponse est vigilance et dÃ... Monsieur le Ministre,
Le Préfet de la Région Picardie et de la Somme a autorisé, ce 1er février 2013, l'exploitation d'une ferme-usine de 500 vaches et plus de 400 veaux et génisses. Ce projet était initialement prévu pour 1000 vaches et 750 veaux et génisses avec un méthaniseur d'une puissance de 1.4 Mw. Même avec 500 vaches, il s'agit toujours d'un élevage intensif qui générera les mêmes risques et nuisances : pollution de l'air, de l'eau, du sol, risques sanitaires, destruction d'emplois, qualité de production médiocre, conditions de vies animales, accroissement de la circulation... D'autant plus, que cette autorisation conserve la même capacité du méthaniseur et la même taille de salle de traite ce qui revient à permettre au promoteur d'atteindre son objectif initial de 1000 vaches et 750 veaux et génisses.
Par-delà l'exemple de la ferme dite des "mille vaches", nous tenons à manifester notre opposition à l'exploitation de telles fermes-usines à lait et/ou à viande caricatures de la politique agricole menée depuis près d'un demi-siècle et qui débouche sur un désastre environnemental, social et sanitaire.
Dans l'attente d'une prise de position de votre part,
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, nos salutations distinguées.
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D'après la Confédération paysanne, dans la nuit de vendredi à samedi, Michel Ramery a installé illégalement, et sous la protection de la police, plusieurs dizaines de vaches dans son usine à Drucat dans la Somme. Les riverains de l'association Novissen ont immédiatement bloqué le site. Les paysans de la Confédération paysanne sont en train de les rejoindre. Merci de faire passer le message, ils ont besoin d'un maximum de soutien sur place !!!! Mobilisations en cours dans les départements , plus d'informations à venir .
La mobilisation s'est immédiatement organisée et ne va faire que grossir pendant les heures qui viennent . L'Etat doit prendre ses responsabilités pour empêcher une traite illégale au lieu de protéger cet industriel qui s'octroie tous les droits !
Pour c...Madame la Préfète,
Alors que des recours juridiques concernant cette exploitation n'ont pas été jugés, Monsieur Ramery a installé quelques dizaines de vaches dans cette ferme usine ; et ce, avec le soutien complaisant de la gendarmerie.
Je vous demande d'empêcher cette voie de fait en enjoignant à Monsieur Ramery de cesser ces agissements manifestement illégaux.
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La "SCEA Côte de la Justice" de M. Ramery (entrepreneur de BTP du Nord-Pas-de-Calais) envisage d’implanter une étable de 1000 vaches laitières et 750 veaux, et un méthaniseur, sur les terres de Drucat-le-Plessiel et de Buigny-Saint- Maclou, dans les Communautés de Communes d'Abbeville et de Nouvion. Un projet hors normes, jamais vu en France ! Nous nous sommes déjà mobilisés sur ce dossier à deux reprises .
cyberaction N° 523: Non aux usines à animaux !
http://www . cyberacteurs . org/archives/bilan . php?id=708
Des fermes pas des usines !
http://www . cyberacteurs . org/archives/bilan . php?id=707
L'actualité du moment
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17 février 2014 : audience au Tribunal ...Madame, Monsieur
Senoble dit votre site, s'associe à un spécialiste des desserts haut de gamme. Il se murmure que vous pourriez être l'acheteur du lait produit industriellement par la ferme des 1000 vaches hors sol. Croyez- vous que ce serait compatible avec l'image de noblesse que vous entendez incarner ?
Dans l'attente de votre réponse, je vous prie de croire en ma détermination de consom'@cteurs à refuser une telle industrialisation de l'agriculture.
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Demande de soutien courrier aux organisations et autres comités : Soutenez la caravane des paysans et citoyens en grêve de la faim : Petites fermes en danger ! Et défendez les prévenus du démontage de l'usine des 1 000 vaches ! > ACTION de DÉFENSE des « PETITES FERMES » exclues de la PAC
Si 20 % des agriculteurs touchent 80 % de l'argent de la PAC , certains comme les maraîchers , les arboriculteurs , les viticulteurs ne touchent aucune aide !
Le gouvernement français poussé par la FNSEA exclut des paysans dans la nouvelle loi d'orientation agricole . Ils ...Monsieur le président, Monsieur le Ministre de l'agriculture,
je soutiens la démarche des grévistes de la faim partis de Narbonne pour arriver à Amiens, à l'occasion du « procès des 1000 vaches »et comme la Confédération paysanne de l'Aude, je demande :
- que soit révisée l'application française de la PAC
- qu'une aide spécifique « petites fermes » soit créée rapidement
- que le décret qui sera publié pour la mise en place du registre de l'agriculture ne serve pas de filtre à exclure encore plus de paysans pour l'accès aux aides et à l'installation comme le voudrait la FNSEA.
Dans cette attente, veuillez recevoir l'expression de ma mobilisation citoyenne.
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Michel Ramery et son salarié Michel Welter exploitent illégalement depuis plusieurs mois l’usine à vaches de Drucat Le Plessiel. Ils refusent de payer les amendes imposées par la Préfecture et ridiculisent l’Etat de droit en demandant aujourd’hui leur régularisation par une extension de troupeau de 500 à 880 vaches. Nous disons fermement "NON A CE PROJET HORS LA LOI ET DANGEREUX" , "NON A CET ELEVAGE CONCENTRATIONNAIRE QUI NIE LA CONDITION ANIMALE" et demandons à la Commission d’Enquête Publique d’émettre un avis défavorable clair et définitif pour manque de compétence technique , mise en danger de l’environnement , de la population et de l’an...Monsieur le Président de la Commission d'enquête,
Cette usine des 1000 vaches est en pleine illégalité avec un dépassement de près de 300 vaches de la limite de cheptel autorisée à 500 vaches. Cette grave infraction relevée par la préfecture a donné lieu à des amendes dont le montant s'élève aujourd'hui à 57000€.
Les exploitants n'ont à ce jour toujours pas retiré leurs vaches illégales et les amendes ne sont pas payées. Cela montre un parfait mépris de la loi et de l'Etat de droit qui ne nous surprend pas.
Comment envisager une quelconque extension d'une exploitation « hors la loi » qui ignore avec arrogance arrêtés officiels et réglementations ?
Face à un tel comportement, je demande avec force que le principe de précaution s'applique : dans les conditions actuelles, il est absolument inenvisageable qu'une extension de troupeau soit autorisée.
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Suspecté d’utiliser le lait issu de la ferme-usine des Mille vaches dans ses produits, Senoble jette l’éponge et se dégage de toute responsabilité. Le réseau Biocoop a en effet décidé de dé-réferencer ses produits.
C’est une fin de feuilleton qui ressemble fort à un aveu . En annonçant lundi se retirer de la propriété de Senagral , dont il possédait 49 % , pour les vendre à Agrial , actionnaire majoritaire avec 51 % , Senoble se dégage de toute responsabilité dans l’utilisation du lait de la ferme-usine des Mille vac...Madame, Monsieur
Senoble ayant jeté l'éponge, Il se murmure que vous pourriez être l'acheteur du lait produit industriellement par la ferme des 1000 vaches hors sol.
Agrial, avec Super U, Auchan, Monoprix, Carrefour… qui sont ses clients, doit renoncer à collecter le lait des 1000 vaches ! Les éleveurs coopérateurs n'ont pas à subir les conséquences de son appât du gain déconnecté de la réalité des paysans !
Dans l'attente de votre réponse, je vous prie de croire en ma détermination de consom'@cteurs à refuser une telle industrialisation de l'agriculture.
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Après une action de démontage menée par la Confédération paysanne sur le site usine des 1000 vaches, 4 militants ont été interpellés et placés en garde a vue. Quelques heures plus tard, alors qu'il retournait à Abbeville pour les soutenir, le porte-parole de la Conf', Laurent Pinatel, a été violemment interpellé en gare d'Amiens. C'est la 3ème fois qu'il est placé en garde à vue dans le combat contre ce projet destructeur. C'est deux poids, deux mesures : répression syndicale d'un coté, impunité de l'autre.
Selon Politis "Ils avaient promis d’empêcher la première traite des « 1000 vaches » de la ferme-usine de l’industriel Michel Ramery , ils sont passés à l’action ce matin . Dès 8 heures , une cinquantaine d’agriculteurs et de militants de la Confédération paysanne ont débarqué à Drucat , dans la...Monsieur le Ministre,
Par la présente, je tiens à marquer mon soutien aux militants de la Confédération Paysanne interpellés et mon opposition au modèle agricole que représente la "ferme des mille vaches."
Veuillez croire, Monsieur le Ministre en ma détermination.
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Après des condamnations injustes et bâclées le 28 octobre, la Confédération paysanne a décidé de faire appel. Des actions syndicales n'ont pas à être sanctionnées pénalement ! Les militants de la Conf' ont agi pour l'avenir de tous, contre la disparition des paysans, la précarisation générale, la destruction de l'environnement et la dégradation de notre alimentation !
A une semaine du procès, gros retournement de situation aux 1000 vaches !
Le témoignage accablant d'un ex salarié de l'usine des 1000 vaches atteste de conditions de travail désastreuses, d'un état sanitaire du troupeau catastrophique et surtout de la présence de plus de 720 vaches laitières sur site (alors qu'ils ne sont autorisés à en avoir que 500) ! Chiffre confirmé par Ramery lui même !
La Confédération paysanne écrit une lettre ouverte au ministre de l'agriculture pour lui demander sa fermeture immédiate. Nous pouvons faire le choix d'une agriculture paysanne , respectueuse des hommes et de l'environnement dans des territoires vivants , garante d'une alimentation de qualité pour tous et seule capable de « refroidir » le climat . Nous devons avoir la possibilité de défendre un avenir commun dans une société plus juste .
Alors que les ...Monsieur le ministre,
Nous avons lu, comme vous, dans la presse d'hier le témoignage d'un salarié de l'usine des 1000 vaches confirmé par son promoteur, qui affirme sans scrupules qu'il y a plus de 700 vaches alors que l'autorisation d'exploiter n'est que de 500 !
Vous ne pouvez désormais plus nier l'évidence : l'industrialisation de l'agriculture conduit à des dérives inacceptables à tous points de vue. Ses promoteurs s'enrichissent sur des règles faites pour des fermes, pas pour des usines. Désormais, il est de votre devoir d'agir pour mettre fin à cette dérive, aux 1000 vaches et ailleurs. Cette usine doit fermer, et la réglementation doit empêcher d'autres usines de se développer.
Monsieur le ministre, vous ne pouvez plus fermer les yeux, il faut agir.
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Dernier épisode d'une lutte entre éleveurs et opposants à une agriculture « productiviste » autour d'une exploitation géante dans la Somme, la justice administrative a donné jeudi son feu vert à l'augmentation du cheptel de bovins de la ferme dite des « 1.000 vaches », jusqu'ici limité par l'État à 500 têtes.
Selon l'AFP Le tribunal administratif d'Amiens en a décidé ainsi et annulé les sanctions financières prises par la préfecture à l'encontre de l'exploitant , la SCEA (Société civile d'exploitation agricole) Côte de la justice , financée par un puissant groupe régional de BTP , le groupe Ramery .
« C'est une victoire importante pour...Monsieur le Ministre
Comme le souligne l'avocat de Novissen, « la préfecture a saboté le dossier : c'est la première ferme d'élevage et ils loupent le délai ? »
Pour éviter le soupçon de connivence avec la ferme-usine, l'Etat français peut encore agir en faisant appel du jugement du tribunal administratif. C'est le préfet de la Somme qui peut le faire.
Je vous demande d'agir au plus vite pour ça.
Dans cette attente, veuillez agréer, mes salutations citoyennes attentives à vos décisions.
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Le GAEC Tourmel à Commana a en projet d'augmenter son cheptel qui passerait de 140 à 400 bovins (320 vaches laitières et 80 vaches de réforme) et donc, de devenir une "FERME USINE" au coeur du site naturel des Monts d'Arrée, château d'eau du Finistère. Cet agrandissement a pour but d'alimenter un méthaniseur (géré par la SARL Ecobiommana) et ainsi de créer des déchets supplémentaires pour produire du gaz , puis de l'électricité . Les vaches , enfermées nuit et jour , deviennent des "sous-produits" destinées à produire plus de déchets et de l'énergie...Monsieur le Préfet
Ce projet industriel de non-sens, déguisé en projet "vert" est en totale contradiction avec les attentes locales d'une agriculture tournée vers la qualité plutôt que la quantité, une réduction des polluants et une meilleure prise en compte du bien-être animal. Pour l'avenir de Commana, de ses habitants et des Monts d'Arrée, cette ferme usine ne doit pas exister.
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Les opérations prévues aux articles 3 et 4 du présent arrêté consistent au prélèvement, par tous moyens prévus à l’article 6, de blaireaux afin de dépister sur les animaux capturés, la présence de mycobactéries responsables de la tuberculose bovine sur les zones «infectées » et «tampon» Le lien vers le projet d’arrêté :
www . ardennes . gouv . fr/IMG/pdf/art_sylvatub_2021 . pdf
La vénerie sous terre est interdite pour ces abattages mais pourront être tués 2 blaireaux par terrier sur ces 3 zones , notamment par piégeage et tirs de nuit .
[b]Les arguments de notre partenaire AVES France[/b] :
Votre projet d’a...Madame, Monsieur,
Merci de noter mon opposition à la chasse aux blaireaux qui ne sont pas responsables de la tuberculose bovine dans les élevages bovins. La solution est à trouver du côté du monde agricole et à la remise en question de ses pratiques…
.D'autant que l’installation d’un fil électrique ou l’utilisation d’un produit répulsif sont des mesures préventives efficaces, également pour éloigner les blaireaux des troupeaux de vaches.
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Électricité : des coupures pouvant aller jusqu'à deux heures dans les foyers en cas de besoin cet hiver ? 32 réacteurs nucléaires sur 56 sont à l'arrêt . Face au risque de pénurie d’électricité pour cet hiver , pas de black-out prévu . Toute une série de moyens sont programmés avant d’éventuelles coupures .
Les approvisionnements d’électricité pour la fin d’année 2022 pourraient manquer . L’Hexagone en produit nettement mo...Madame, Monsieur,
Comme le rappelle le PNR des Mille Vaches*, en éteignant 5 à 7h par nuit, on peut réaliser jusqu'à 50% d'économie sur la facture d'électricité d'une commune et en paramétrant l'extinction nocturne, on obtient un potentiel de 40 à 75% d'économies d'énergie.
En outre, il est notoire que l'extinction des éclairages publics permet de : protéger la biodiversité, préserver le ciel nocturne, améliorer la santé humaine.
Dans cette attente, je vous prie de croire en ma vigilance sur vos actions
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