Journal des bonnes nouvelles du 5 février 2014

Les Français veulent davantage de bonnes nouvelles aux infos
Selon un sondage, 61% des Français estiment que les médias font trop de place aux mauvaises nouvelles.

Une bonne raison supplémentaire en 2014 de contribuer à Cyber @cteurs qui vous informe, vous permet de vous mobiliser et assure au mieux avec ses partenaires associatifs le SAV des actions sous forme de ce journal des bonnes nouvelles ( mais aussi la revue de presse quotidienne et les bilans trimestriels ) : tous les dons même les plus modestes sont bienvenus.

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Les différentes mobilisations du collectif « semons la biodiversité que nous avons accompagnées depuis le 5 décembre avec la campagne « Stop à l’étouffement des paysans » sous forme d’une pétition puis d’une cyber @ction ont porté leurs fruits.

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NB : Une petite erreur de programmation sur notre nouveau site nous a privé de l’identité de certains don @cteurs. Si c’est votre cas, merci de nous en excuser et de nous faire connaitre la date et le montant du don pour que que je puisse vous faire le reçu de don déductible des impôts.

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Une réflexion au sujet de « Journal des bonnes nouvelles du 5 février 2014 »

  1. Pas pour l’actualité du jour, mais pour le nouveau site cyberacteur… prochain :
    La possibilité dans le compte cyberacteur de chacun d’une vraie gestion (ergonomique et intuitive ^_^) de différents groupes de retransmission possible des appels (un peu comme ce qui est proposé pour les élus) serait un progrès très appréciable, au-delà d’une simple ré-apparition du dernier ensemble utilisé de destinataires en transfert.
    En plus : Savoir ceux des destinataires de transfert qui n’ont plus à l’être parce qu’ils sont devenus eux-mêmes cyberacteurs en direct serait pas mal (au moins connaissance par le système lui-même évitant les doublons, sans indication au cyberacteur d’origine, si une question de confidentialité se pose).
    Bien amicalement, et bien content de sentir une qualité grandissante des débats à travers les commentaires (A moins que je prenne mes désirs pour des réalités…).
    Rodolphe

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