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Le très contesté projet de loi Climat et résilience arrive en débat à... 200 à 250 personnes ont marché autour du site d’Amazon à Briec pour réclamer « une vraie loi climat »[la suite]
Cyberaction : Pas d’accord de libre-échange entre l’UE et le Mercosul
Dans une tribune au Monde, treize représentants de peuples indigènes de différents continents, dont ceux de l’Amazonie brésilienne, lancent un appel à protéger le caractère «sacré» de la nature et à s’opposer aux projets du président du Brésil.
Raoni Metuktire, chef du peuple Kayapo en Amazonie brésilienne, initiateur de l’Alliance des gardiens de Mère Nature.
Elle sera envoyée à le Président de la République, le Président de la Commission
Européenne et l'Ambassadeur du Brésil à Paris En soutien à Cacique Ivanice Pires Tanone, peuple Kariri Xocó, Brésil; Cacique
Paulinho Paiakan,peuple Kayapó, Brésil; Cacique Ninawa Inu
Pereira Nunes Huni Kuí, peuple Huni Kuí, Brésil; Jorge Quilaqueo,
peuple Mapuche, Chili; Mindahi Crescencio Bastida Munoz, peuple
Otomi, Mexique; Magdalene Setia Kaitei, peuple Maasaï, Kenya;
Hervé Assossa Soumouna Ngoto, peuple Pygmée, Gabon; Vital
Bambanze, peuple Batwa, Burundi; Tom B.K. Goldtooth,peuple
Navajo, Etats-Unis; Mihirangi Fleming, peuple Maori, Nouvelle-
Zélande; Edouard-Jean Itopoupou Waia, peuple Kanak, Nouvelle-
Calédonie; Hairudin Alexander, peuple Dayak, Indonésie; Su Hsin,
peuple Papora, Taïwan.
Membres de l’Alliance des gardiens de Mère Nature, créée en2015
pendant la COP 21, à l’initiative du chef du peuple Kayapo en
Amazonie brésilienne, Raoni.
Plus d'infos
Appel des peuples indigènes: «Depuis l'élection de Jair Bolsonaro, nous vivons les prémices d'une apocalypse»
Tribune. Nous, gardiens et enfants de la Terre Mère, peuples indigènes et alliés, nos prophéties, notre sagesse et nos savoirs nous ont permis de constater que la vie sur la Terre Mère est en danger et que l'heure d'une grande transformation est arrivée.
Les peuples indigènes ont toujours pris soin de la Terre Mère et de l'humanité. Nous représentons 370millions de personnes dans le monde, répartis sur 22% de la planète et couvrant 80% de la biodiversité mondiale.
Nous appelons l'humanité à prendre des mesures pour protéger le caractère sacré de l'eau, de l'air, de la terre, du feu, du cycle de la vie et de tous les êtres humains, végétaux et animaliers. Il est vital de transformer notre approche de la nature en l'envisageant non comme une propriété, mais un sujet de droit, garante de la vie.
Partout dans le monde les droits des peuples indigènes et de la nature sont bafoués, des leaders indigènes sont assassinés. Des millions de nos frères et s½urs ont été tués pour prendre le contrôle de leurs territoires et on continue à nous détruire avec de belles paroles et de l'argent, cette malédiction du monde.
Cent terribles premiers jours
Aujourd'hui nous sommes particulièrement inquiets de la situation au Brésil, depuis l'élection du nouveau président Jair Bolsonaro. Depuis cent jours nous vivons les prémices d'une apocalypse, dont les peuples indigènes sont les premières victimes. Dès le premier jour de son entrée au pouvoir, il s'est attaqué à la Fondation nationale de l'Indien (Funai), qui garantit le droit à la terre des peuples indigènes du Brésil, en transférant sa compétence en matière de démarcation des terres traditionnellement occupées par les peuples indigènes au ministère de l'agriculture, qui défend les intérêts de l'agrobusiness.
Que cela soit clair: nous sommes catégoriquement opposés à toute déforestation, toute plantation de soja ou tout élevage de bétail sur les terres indigènes. Nous cultivons la terre pour nourrir nos peuples et non pour nourrir des animaux à l'autre bout du monde. Nous ne sommes pas des animaux, nous sommes des êtres humains, nous nous nourrissons d'alimentation traditionnelle saine, sans produits chimiques.
Le gouvernement de Bolsonaro menace le système de santé déjà fragile établi aux peuples indigènes et met en danger leur vie en ayant autorisé 86 nouveaux pesticides dès les deux premiers mois de son arrivée au pouvoir. Alors que de 2010 à 2016, les autorisations ont toujours été inférieures à vingt par an. Selon M. Bolsonaro «les questions environnementales entravent l'industrie agroalimentaire».
Ce gouvernement veut s'accaparer toute l'Amazonie, la saigner encore davantage en construisant de nouvelles routes et des voies ferroviaires. Alors que l'Amazonie est vitale pour l'humanité, et que les peuples indigènes sont les premiers gardiens de cette nature, il tente de nous couper de nos soutiens internationaux en menaçant d'expulser les organisations alliées du pays, au prétexte d'ingérence et d'atteinte à la souveraineté.
Sanctuariser les forêts primaires
Jair Bolsonaro veut aussi relancer la construction des grands barrages et vient de livrer par décret les terres indigènes à l'industrie minière, qui ne laisse que mort et destruction sur son passage. Cette liste non exhaustive est le symptôme de toutes les agressions que les peuples indigènes du Brésil ont eu à subir durant ces cent terribles premiers jours, marqués par une augmentation significative de la déforestation.
Il est clair que nous refusons totalement cette vision capitaliste sur nos terres parce qu'elle détruit non seulement la nature et nos modes de vie, mais anéantira aussi à terme celle de tous les peuples du monde!
Les nombreuses entreprises et les Etats qui contaminent l'environnement avec des produits toxiques sont responsables d'écocide. Il est donc temps de mettre en ½uvre une transition juste en tenant compte des savoirs traditionnels et sacrés des peuples indigènes, pour passer de l'économie des combustibles fossiles à une énergie 100% propre et renouvelable. Nous exigeons également l'interdiction de toute nouvelle exploration et exploitation de pétrole, sables bitumineux, gaz et pétroles de schiste (notamment par la fracturation hydraulique), de charbon, d'uranium, de gaz naturel, y compris pour les infrastructures de transport.
De même il est vital de sanctuariser de toute urgence la totalité des forêts primaires de la planète qui sont traditionnellement sous la garde des peuples indigènes, puisque l'Organisation des nations unies a déjà reconnu que leur présence est un facteur garantissant la non-détérioration de ces environnements inestimables.
Les peuples indigènes ne peuvent être expulsés de ces espaces. Ces écosystèmes ne doivent pas non plus être utilisés dans le cadre d'un marché de compensation carbone, qui quantifie et transforme en marchandise la Terre Mère, ni de tous mécanismes de compensation de la biodiversité et de financiarisation de la nature.
Il est plus que jamais urgent que le monde adopte une Déclaration universelle des droits de la Terre Mère.
Nous appelons à des solutions concrètes qui reconnaissent les droits des peuples indigènes et de la nature pour la survie de tous. Nous appelons les dirigeants du monde, les Etats, les Nations unies et la société civile à amorcer une réflexion visant à abandonner progressivement les systèmes capitalistes et juridiques hérités de l'époque coloniale pour les remplacer par de nouveaux principes. Nous devons évoluer vers un paradigme basé sur la pensée et la philosophie indigènes, qui accorde des droits égaux à la Nature et qui honore l'interrelation entre toute forme de vie. Il n'y a pas de séparation entre les droits des peuples indigènes et les droits de la Terre Mère.
Il est plus que jamais urgent que le monde adopte une Déclaration universelle des droits de la Terre Mère, et que tous les Etats ratifient et appliquent rigoureusement la Convention 169 de l'Organisation internationale du travail, qui garantit à tous les peuples indigènes une consultation libre, préalable et éclairée sur les sujets qui les concernent.
Pas d'accord de libre-échange entre l'UE et le Mercosul
Et parce que l'Union européenne (UE) est le deuxième partenaire commercial du Brésil, offrant un immense marché pour les exportations agricoles brésiliennes, nous appelons celle-ci à mettre en place une traçabilité irréprochable garantissant que les produits vendus dans ses pays membres ne détruisent pas les forêts de la planète, ne justifient pas l'accaparement des terres et ne violent ni les droits des peuples indigènes ni les droits de l'homme et les droits de la Terre Mère.
Nous appelons aussi les citoyens européens à une exigence sans faille sur leur consommation et à une opposition de principe à un accord de libre-échange entre l'UE et le Mercosul[marché commun composé de l'Argentine, du Brésil, du Paraguay, de l'Uruguay et de quelques pays associés],qui ne ferait qu'aggraver encore davantage la situation des peuples indigènes et des défenseurs de l'environnement.
Nous avons la responsabilité de dire à la terre entière que nous devons vivre en paix les uns avec les autres et avec la Terre Mère, pour assurer l'harmonie au sein de ses lois naturelles et de la création. Nous souhaitons qu'il en soit encore ainsi, avec le soutien de tous les peuples du monde, notamment de tous les citoyens. Rejoignez notre Alliance des gardiens de Mère Nature pour ½uvrer et veiller tous ensemble aux générations futures.
Les signataires : Cacique Ivanice Pires Tanone, peuple Kariri Xocó, Brésil; Cacique Paulinho Paiakan,peuple Kayapó, Brésil; Cacique Ninawa Inu Pereira Nunes Huni Kuí, peuple Huni Kuí, Brésil; Jorge Quilaqueo, peuple Mapuche, Chili; Mindahi Crescencio Bastida Munoz,peuple Otomi, Mexique; Magdalene Setia Kaitei,peuple Maasaï, Kenya; Hervé Assossa Soumouna Ngoto ,peuple Pygmée, Gabon; Vital Bambanze,peuple Batwa, Burundi; Tom B.K. Goldtooth,peuple Navajo, Etats-Unis; Mihirangi Fleming,peuple Maori, Nouvelle-Zélande; Edouard-Jean Itopoupou Waia,peuple Kanak, Nouvelle-Calédonie; Hairudin Alexander,peuple Dayak, Indonésie; Su Hsin,peuple Papora, Taïwan.
Membres de l'Alliance des gardiens de Mère Nature, créée en2015 pendant la COP 21, à l'initiative du chef du peuple Kayapo en Amazonie brésilienne,Raoni.
Pour faire connaître et soutenir cet appel, nous vous proposons d'interpeller le Président de la République, le Président de la Commission Européenne et Mr Paulo Cesar de Oliveira Campos, Ambassadeur du Brésil à Paris
Signer !
Récapitulatif
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à petitions@elysee.fr | President.Juncker@ec.europa.eu | ambassadeur.paris@itamaraty.gov.br Avec les éléments suivants :
Sujet : Pas d'accord UE-Mercosul
Message : Monsieur le Président
Face aux risques que fait peser le pouvoir brésilien sur les forêts primaires dont les peuples indigènes sont les gardiens reconnus par l'ONU, il est plus que jamais urgent que le monde adopte une Déclaration universelle des droits de la Terre Mère.
Je vous appelle à refuser tout accord de libre-échange entre l'UE et le Mercosul qui ne ferait qu'aggraver encore davantage la situation des peuples indigènes et des défenseurs de l'environnement.
Dans cette attente, veuillez agréer mes salutations citoyennes
Vous pouvez modifier le sujet et le texte de cette cyberaction en choisissant l'option "modifier des éléments" ou "me connecter et modifier"
La France reste opposée au projet actuel d'accord commercial entre l'Union européenne et les pays du Mercosur, a indiqué vendredi le gouvernement en pointant le problème « majeur » de la déforestation, après la publication d'un rapport critique sur les risques environnementaux.
Le gouvernement français formule trois « exigences » pour poursuivre les négociations avec ces pays (Brésil, Argentine, Uruguay et Paraguay), dont l'indispensable respect de l'Accord de Paris sur le climat et l'alignement des importations sur les normes sanitaires et environnementales fixées par l'UE.
Les ONG entendues
Signé à l'été 2019, mais en attente de ratification par les Etats membres, cet accord « représente une occasion manquée pour l'UE d'utiliser son pouvoir de négociation pour obtenir des garanties solides répondant aux attentes environnementales, sanitaires et plus généralement sociétales de ses concitoyens », a conclu la Commission d'évaluation indépendante nommée en 2019, dans un rapport publié jeudi. Son rapport évalue notamment l'impact de la déforestation en Amazonie résultant d'une hausse de la production de viande bovine.
« La France doit bloquer cet accord », avaient réagi dans la foulée les ONG Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l'homme, et Institut Veblen.
Fin août déjà, Angela Merkel avait émis de « sérieux doutes » au sujet de l'accord, emboîtant le pas au président français Emmanuel Macron qui avait menacé de ne pas ratifier l'accord si le gouvernement brésilien ne prenait pas les mesures nécessaires pour protéger la plus grande forêt tropicale du monde.
soutenons les peuples indigènes et cessons ces traités mortifères pour l'humanité et la planète
JACQUELINE AUBERGER 06/05/2020 - 17:47:02
D'accord à 100% avec Francis : "Soutenons les Peuples Indigènes...
Arrêtons ces traités de libre-échange dont l'absurdité est maintenant clairement démontrée..."
Jean-Louis Tetrocurieux 05/05/2020 - 15:40:26
liberté d'entraide pas de liberté d'échange au service des actions destructrices de l'environnement et de la vie qui l'environne
marie-hélène boissin-manson 05/05/2020 - 13:02:58
Soutenons les Peuples Indigènes...
Arrêtons ces traités de libre-échange dont l'absurdité est maintenant clairement démontrée...
Francis Meuley 04/05/2020 - 19:49:10
C'est ahurissant, alors que la pandémie nous a démontré le danger, la folie de faire fabriquer ailleurs et d'acheminer chez nous des biens qui nous sont indispensables. On développe encore les échanges internationaux, on les organise, on gaspille du transport pour rien, on pollue pour rien.
De plus, pas avec n'importe quel pays, avec le Brésil, pays qui laisse brûler l'Amazonie, qui déforeste à coeur joie, chassant les peuples qui y habitent et en vivent en harmonie avec la nature, loin de notre société prédatrice.
Je me demande si de telles pratiques sont les derniers soubresauts d'une civilisation de consommation moribonde ou s'il va falloir nous résoudre à disparaître pour que la Terre puisse se régénérer.
Mireille LAFFORT 04/05/2020 - 19:35:31
C'est inconcevable,alarmant et inhumain... On ne tient compte que du commerce ,pas de la biodiversité et ce quelle apporte,pas des hommes qui vivent sur ce territoire avec toute une culture et une compréhension de la forêt que nous n'aurons jamais! Il faut que cela cesse et vite...
MARYLISE BOROWY 04/05/2020 - 18:14:55
Merci de respecter les plus anciens habitants de ce pays
jo derrien 04/05/2020 - 17:02:57
Assez de ces accords qui ne profitent qu'aux financiers et qui détruisent les peuples et la planète !
Bernard JALABERT 04/05/2020 - 15:06:48
Assez de ces magouilles qui détruisent les peuples, les cultures et la planète !
Bernard JALABERT 04/05/2020 - 15:05:59
Maintenant, à minima, le libre échange alimentaire c'est fini, tous les pays doivent redevenir autonomes pour le bol alimentaire de tous les mangeurs du pays... Mais attention, bien évidemment selon les pratiques de l'agriculture biologique...
gilles bas 04/05/2020 - 14:02:38
Soyons nombreux au côté de l'Alliance des gardiens de Mère Nature.
Jacques Bigot 04/05/2020 - 11:54:09
Qu'il y a loin de la parole politique aux actes de nos gouvernants...
Non aux accords qui affaiblissent le niveau de protection qu'il faudrait pourtant élever.
Que les ogres respectent le sacré et se reconnectent avec lui, sinon, ils seront mangés
Muriel FOSSARD 15/10/2019 - 16:21:15
je tourne avec le vent signé Macron
michel armagnat 28/08/2019 - 16:25:44
Comment encore soutenir des actions mortifères pour la nature et l'Homme ?!!
Honte à nos élus du monde entier !!
ligeron 27/08/2019 - 14:55:05
Les accords doivent respecter des normes environnementales de haut niveau et encourager nos agricultures à élever ce niveau et non pas l'inverse
corinne 27/08/2019 - 11:32:40
De tout c½ur avec ces peuples qui aiment et respectent la nature
Joelle Nuguet 27/08/2019 - 09:42:24
tout ça pour manger des burgers !
Catrib 27/08/2019 - 09:41:21
Je suis très contrarié de devoir une fois encore émasculer mon nom (MAÏS) pour entrer dans le moule de votre logiciel anglo-saxon qui ignore toujours l' existence des trémas !
Encore un bel exemple de vassalité envers nos chers amis anglo-américains !
Je disais donc que MACRON n' a rien à envier aux éoliennes : farouche défenseur de tous les accords de libre-échange un jour, puis détracteur opportuniste à BIARRITZ un autre jour !
Vous avez dit "girouette" ?
Jean Paul MAIS 27/08/2019 - 09:34:20
Cet accord est suicidaire pour l'agriculture Française et une grande partie de ses paysans, mais aussi pour la grande majorité des paysans Brésiliens. Les seuls bénéficiaires seront les loups de la finance.
Manguy Yves 27/08/2019 - 09:32:58
Mercosur accord commercial désastreux pour la planète
Enna 27/08/2019 - 07:41:20
Halte aux décisions destructrices de l'Amazonie, solidarité avec les peuples indigènes !!!
Bruno 26/08/2019 - 20:21:20
Le "Free-Exchange", c'est la concurrence sauvage et déloyale, destinée à écraser la concurrence par tous les moyens pour favoriser des compagnies-mastodontes et des multinationales plus puissantes que les Etats démocratiques ou non.
sylvère labis 26/08/2019 - 14:51:44
Avec le peuple Kayapo et avec tous les peuples de la planètes humains et animaux.
Andrée Battaglieri 26/08/2019 - 13:48:09
Quelle honte pour l'humanité, ces dirigeants actuels qui ne respectent plus rien !
Ursula Pezeu 26/08/2019 - 12:06:15
Pour une fois, d'accord avec Macron, avec une réserve : comme la ratification du CETA nous l'a montré, avons-nous vraiment la possibilité de nous opposer aux traités signés par l'UE, ou notre Parlement n'est-il plus qu'une chambre d'enregistrement ?...
Claireal 26/08/2019 - 11:31:01
Halte aux décisions destructrices de l'Amazonie, solidarité avec les peuples indigènes
Marie-Christine
Marie-Christine Callet 26/08/2019 - 11:00:21
Comment peut-on encore envisager ce type d'entente
l'accord avec le Canada n'est pas plus acceptable!
Vendredi, pendant que la forêt amazonienne continue de brûler, Emmanuel Macron s'est opposé au traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur en affirmant que le président brésilien Jair Bolsonaro avait "menti" sur ses engagements environnementaux. Une décision du président français saluée par le monde agricole et Nicolas Hulot, son ancien ministre de la Transition écologique.
Alain Uguen 24/08/2019 - 09:26:18
Arrêtons cette monstrueuse entente, qui nous détruira tous !
Margaret 15/08/2019 - 23:20:26
Mais cessons de tout détruire, bloquons ces gouvernements destructeurs !!!
Margaret 15/08/2019 - 23:19:33
De même que la Terre ne vous appartient pas, l'Amazonie ne vous appartient pas Mr Bolsonaro.Elle appartient aux indigènes qui l'habitent et la protègent pour le plus grand bien de la planète et de l'humanité toute entière. Vous êtes l'ennemi du vivant, l'ennemi de la Terre dans votre immense orgueil et stupidité. Mais vous êtes aussi bien peu de bien peu de chose, vous aurez des comptes à rendre à vos enfants. Et nous ne vous laisserons pas faire.
Brigitte 14/08/2019 - 23:18:54
je soutient grandement la protection sacré de cette nature au Brésil c'est notre Survie
Rosalyn 14/08/2019 - 19:04:54
Merci pour votre courage et la defense de notre belle nature !
Calmel 14/08/2019 - 08:37:13
protégeons les terre et les peuples qui y vivent!surtout la foret amazonienne ou vivent des ethies qui pourraient nous apprendre beaucoup de choses conçernant la biodiversité et le vivre ensemble!
fraternel 13/08/2019 - 17:53:05
la protection de la nature c'est notre protection à tous même malheureusement à des individus comme Bolsonaro
michel armagnat 13/08/2019 - 16:27:09
Après le Ceta,le Mercosul, l'ACP, qui prend la suite?
Schaffner Georges 13/08/2019 - 14:36:43
stoppons les richesses au détriment de la vie
scherrer 13/08/2019 - 10:48:53
Depuis le temps qu'il fait tout pour protéger les terres où vivent des peuples indigènes me donne l'impression qu'il n'y a personnes pour les écouter et le pire avec ce nouveau président qui veut de l'argent ici et maintenant cela ne fera qu’aggraver le sort des populations qui maintenant doivent ce battre avec des orpailleurs clandestins avec la presque bénédiction de ce climato-sceptique de l’extrême droite
de gussem 12/08/2019 - 19:35:41
nous serons de plus en plus nombreux!!
merci à Alain pour son militantisme, sa vigilance, son information sur l'annulation du décret de
Bolsonaro
BRAVO!
mondo 12/08/2019 - 19:05:17
Latinos, Occidentaux, Russes, Indonésiens, Népalais… ou Chinois, laissons les peuples indigènes opprimés vivre et choisir librement leur destin dans leurs terres!
cg
Christian GARNIER 12/08/2019 - 13:08:33
ce gouvernement est térrifiant !!!! rapelons que cet homme a dit que les "indigènes" ne comptaient pas etc
De plus,niveau planète,il est un danger colossal !
deanna martin 12/08/2019 - 11:14:48
Merci à tous ceux qui protègent la nature depuis toujours et bienvenue à tous les autres.Nous ne serons jamais assez
Pourquoi toujours ouvrir l'Europe et augmenter pollution et disparition de biodiversité ?
Michèle 06/07/2019 - 10:42:59
Je suis solidaire avec les peuples indigènes. Je sui contre le transport de denrées alimentaires sur des longues distances.
Patrice Bigaré 04/07/2019 - 15:29:59
c'est vraiment une aberration d'accepter ce traité, c'est une faute grave contre le climat,les transports augmentent la pollution, un encouragement à la destruction de la forêt amazonienne et aux cultures pleines de pesticides.
Nos dirigeants sont de beaux parleurs mais ils agissent en actes contraires à la protection de notre planète.
Danièla Grellier 04/07/2019 - 14:09:43
Quand le dernier arbre aura été abattu, la dernière rivière empoisonnée et le dernier poisson péché, alors l’ homme s’apercevra que l’argent ne se mange pas.
Soutenons les peuples indigènes luttant pour l'environnement de notre Terre et pour conserver intactes les forêts primaires .
Ghislaine Millot 24/04/2019 - 16:58:39
valeur fondamentale le respect de la nature respecte aussi les hommes.
Claudine quiénot 17/04/2019 - 10:19:18
un psychopathe destructeur de plus au pouvoir, qui mènera l'écologie au désastre on l'aura cherché on ne vote pas pour des criminels
Béatrice 16/04/2019 - 23:52:49
Que va devenir la Planète avec des dirigeants tels que Bolsonaro et Trump qui n'ont qu'une idée en tête ,destruction!
Christiane Huard 15/04/2019 - 19:56:51
Pour assumer la transition écologique dont nous avons besoin pour que le réchauffement climatique ralentisse ou s'inverse? nous n'avons pas besoin de ces traités qui ne servent qu'à enrichir certains et qui nous font consommer quotidiennement des denrées qui viennent du bout du monde, à contre saison, produites dans des conditions agronomiques et sociales souvent désastreuses.
Il nous faut absolument arrêter la frénésie ambiante.
cactus 15/04/2019 - 18:30:02
Les indigènes aussi ont droit a leur environnement
Leurs droits sont à reconnaître !
ENFIN,!
ewande Monique 15/04/2019 - 13:48:45
Ces forets et ces peuples D'Amérique du sud emprunts d'une grande sagesse, sont sacrés.
Beaucoup d(entre eux arrivent à vivre en étant acteurs d'une agriculture biologique solidaire.
Préservons la Vie, Préservons la Nature et tous ces peuples indigènes d'Amérique du Sud qui sont riches d'une culture qui préserve leur environnement depuis des millénaires et qui assurent leur survie et continuité, en conservant leurs savoirs millénaires et qui sont en osmose avec la Nature.
N oublions jamais que la Foret Amazonienne garantie l'Équilibre climatique de la planète, et est le poumons vert qui l'oxygène, si cette Foret Amazonienne disparait, nous aussi qui vivons aux antipodes, nous disparaitrons aussi avec.
Un grand MERCI à Cyberacteurs pour cette action !
Cacique Ivanice Tanoné est en France actuellement (du 5 au 20 avril) : http://planeteamazone.org/actualites/visite-de-la-cacique-tanone/
Nous aussi, du fond de notre Franche-Comté, avons le sentiment qu'une page se tourne : les atteintes à la nature se multiplient et leur rythme s'accélère. Alors nous signons pour dire stop à cette folie destructrice et pour demander que soit adoptée une Déclaration Universelle des droits de la Terre Mère.
Nous sommes tous des indigènes et la Terre est notre réserve.
Frawald 12/04/2019 - 21:19:20
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La France reste opposée au projet actuel d'accord commercial entre l'Union européenne et les pays du Mercosur, a indiqué vendredi le gouvernement en pointant le problème « majeur » de la déforestation, après la publication d'un rapport critique sur les risques environnementaux.
Le gouvernement français formule trois « exigences » pour poursuivre les négociations avec ces pays (Brésil, Argentine, Uruguay et Paraguay), dont l'indispensable respect de l'Accord de Paris sur le climat et l'alignement des importations sur les normes sanitaires et environnementales fixées par l'UE.
Les ONG entendues
Signé à l'été 2019, mais en attente de ratification par les Etats membres, cet accord « représente une occasion manquée pour l'UE d'utiliser son pouvoir de négociation pour obtenir des garanties solides répondant aux attentes environnementales, sanitaires et plus généralement sociétales de ses concitoyens », a conclu la Commission d'évaluation indépendante nommée en 2019, dans un rapport publié jeudi. Son rapport évalue notamment l'impact de la déforestation en Amazonie résultant d'une hausse de la production de viande bovine.
« La France doit bloquer cet accord », avaient réagi dans la foulée les ONG Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l'homme, et Institut Veblen.
Fin août déjà, Angela Merkel avait émis de « sérieux doutes » au sujet de l'accord, emboîtant le pas au président français Emmanuel Macron qui avait menacé de ne pas ratifier l'accord si le gouvernement brésilien ne prenait pas les mesures nécessaires pour protéger la plus grande forêt tropicale du monde.
Alain UGUEN
19/09/2020 - 08:18:43