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Cyberaction : L'apartheid sexuel, crime contre l'humanité

Un collectif de juristes propose, dans une tribune au « Monde », de s’inspirer de la Convention internationale de 1973 contre le crime d’apartheid pour condamner la « séparation radicale, sous la contrainte, des femmes », comme elle est pratiquée en Iran et en Afghanistan.

[ 1 491 participations ]

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Cyberaction mise en ligne le 02 février 2023

Proposée par Cyberacteurs

Elle sera envoyée à Président de la République | à votre député
En soutien à collectif de juristes parmi lesquels Shirin Ebadi, Prix Nobel de la paix, et Linda Weil-Curiel, responsable de la Ligue du droit international des femmes

Plus d'infos

apartheid sexuelAujourd'hui s'étale sous nos yeux, avec une acuité nouvelle, l'iniquité et la barbarie du traitement réservé aux femmes dans deux pays voisins mais néanmoins de traditions différentes, l'Iran majoritairement chiite, et l'Afghanistan majoritairement sunnite : leur effacement de l'espace public où elles ne sont admises que sous la forme d'ombres silencieuses, le corps dissimulé par le voile qu'elles sont contraintes de porter.

L'Iran a ouvert le bal avec sa « révolution islamique » en février 1979 et sa cohorte d'obligations destinées à les préserver de « la corruption qui pourrait résulter de la présence simultanée d'hommes et de femmes dans un même espace », selon la formule du président Rasfandjani.

Quant aux talibans, « étudiants en religion » après s'être emparés de Kaboul en 1996 (avant d'en être chassés en 2001), ils sont apparus aux yeux du monde comme une horde sauvage contraignant toutes les femmes à s'ensevelir sous le tchadri grillagé, et en les privant d'éducation, de toute vie sociale, politique et culturelle, leur interdisant même les soins à l'hôpital.
Ainsi, au-delà de leurs différences, ce qui réunit la République Islamique d'Iran et l'Afghanistan des Talibans, revenus en force au mois d'août 2021, c'est la séparation radicale, sous la contrainte, des femmes d'avec le monde des hommes, séparation constituant un véritable apartheid fondé sur le sexe.

Pourtant dès le mois de mars 1979 les femmes, jeunes et moins jeunes, étaient descendues par dizaines de milliers dans les rues de Téhéran aux cris de « Nous n'avons pas fait la révolution pour ça ! » en visant le voile obligatoire.

Aujourdhui les protestation des femmes en Iran, après des éruptions vite réprimées, sont soutenues par un mouvement populaire déclenché par la mort de Jina Mahsa Amini le 16 septembre, après son arrestation par la police des mœurs pour avoir mal porté son voile.

Ce n'est pas un hasard si leur slogan est Femmes, vie, liberté !.

Ce qui est nouveau c'est qu'elles sont rejointes par les hommes, et de facon emblématique par les athlètes à l'occasion d'épreuves internationales telles que le Mondial de football .

L'autre nouveauté dont nous devons nous féliciter, c'est la reconnaissances d'organes des Nations-Unies de ce que ces femmes sont victimes d'une oppression institutionnalisée, systémique, et du caractère disproportionné de la réaction des autorités iraniennes aux manifestations populaires :

Le Conseil des Droits Humains a décidé d'ouvrir une enquête internationale sur la répression des manifestations en Iran, et sur l'étendue des violences liées au sexe.

Le Parlement Européen a, de son côté souligné dans une résolution que le port obligatoire du hidjab est devenu un instrument de répression des femmes, qui sont privées de leurs droits en Iran.

Enfin, M.Josep Borell, Haut-Représentant de l'Union Européenne pour les Affaires Etrangères a déclaré sans détours que « la persécution sexuelle est un crime contre l'humanité .»

Nous constatons avec satisfaction que certaines institutions osent maintenant s'affranchir du langage diplomatique convenu, mais pour que l'on en reste pas au stade de la protestation, il faut qu'il y ait une condamnation claire, sans équivoque, de la communauté internationale de tout système instituant l'apartheid sexuel.

Pour cela il lui faut rédiger un instrument juridique opérationnel, sanctionnant sans réserve quelque politique fondée sur la séparation institutionnalisée des sexes, ainsi que les contraintes imposées aux femmes pour y parvenir.

Elle a su le faire pour condamner l'apartheid fondé sur la race, tel que pratiqué en Afrique du Sud. Elle ne doit pas flancher au moment de défendre le droit des femmes à se voir reconnaître le même statut que celui des hommes, au risque d'enterrer définitivement toute idée d'universalité des droits de la personne.

Avec la Ligue du droit international des femmes, qui a été la première dès 1992 à faire l'analogie entre l'apartheid fondé sur la race et l'apartheid fondé sur le sexe, nous proposons de nous appuyer sur les outils juridiques internationaux qui avaient permis de combattre l'apartheid racial.

Nous suggérons de compléter ou de s'inspirer de l'article ll de la Convention Internationale sur l'Elimination et la Répression du Crime d'Apartheid de 1973, afin d'inclure la notion d'apartheid fondé sur le sexe, s'agissant de ségrégation et de discrimination sur le seul critère du sexe.
Le Secrétaire Général des Nations-Unies, le Président du Conseil des Droits Humains, le Haut-Commissaire aux Droits Humains ont été saisis de cette demande afin qu'elle soit mise à l'ordre du jour.

Le Président de la République a également été sollicité en vue d'un soutien à cette démarche.

En cette fin d'année 2022, tandis que des femmes et des hommes en Iran et en Afghanistan font entendre leurs cris au péril de leur vie, et qu'un Iranien vient de se suicider à Lyon pour tirer la sonnette d'alarme, nous ne pouvons pas demeurer des témoins impuissants de la violence extrême des autorités de ces pays déployée contre leurs peuples.

Stéphane Braconnier, Président de l’Université Panthéon-Assas, professeur de droit.
Shirin Ebadi, juge, avocate, prix Nobel
Jean-Pierre Getti, ancien magistrat, président de Cour d’Assise.
Noëlle Lenoir, avocate, ancienne ministre des Affaires Européennes, a été membre du Conseil Constitutionnel,
Jean-Eric Schoettl, Conseiller d'État honoraire, a été secrétaire général du Conseil Constitutionnel,
Frédéric Thiriez, avocat associé auprès du Conseil d’Etat et de la Cour de Cassation
Linda Weil-Curiel, avocate au barreau de Paris, Secrétaire Générale de la Ligue du Droit International des Femmes

« La communauté internationale doit sanctionner tout système instituant l’apartheid sexuel »
https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/02/01/la-communaute-internationale-doit-sanctionner-tout-systeme-instituant-l-apartheid-sexuel_6160071_3232.html  

L’apartheid sexuel, un obstacle dans la lutte contre la pauvreté
https://www.genreenaction.net/L-apartheid-sexuel-un-obstacle-dans-la-lutte.html  

Nous vous proposons d'interpeller le Président de la République

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Récapitulatif

Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à petitions@elysee.fr
Avec les éléments suivants :
  • Sujet : Crime contre l'humanité
  • Message : Monsieur le Président

    Partisan de l'analogie entre l'apartheid fondé sur la race et l'apartheid fondé sur le sexe, je soutiens la demande de s'appuyer sur les outils juridiques internationaux qui avaient permis de combattre l'apartheid racial en complétant ou en s'inspirant de l'article ll de la Convention Internationale sur l'Elimination et la Répression du Crime d'Apartheid de 1973, afin d'inclure la notion d'apartheid fondé sur le sexe, s'agissant de ségrégation et de discrimination sur le seul critère du sexe.
    Dans l'attente de votre soutien à cette démarche,

Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :

  • Votre député.

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11 commentaires

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Voile aux Jeux Olympiques et Paralympiques : l’ONU se trompe de combat !

Les médias se font l’écho de l’opposition de principe des Nations Unies à l’interdiction faite aux athlètes françaises de porter le voile aux Jeux de Paris 2024, au nom de la laïcité. Vous trouverez ci-dessous le communiqué de la Ligue du Droit International des Femmes en soutien à la position française.

Veil at the Olympics : the UN controversy is not founded!

The media widely echoed the UN Human Rights spokesperson's opposition to the French government ban: French athletes will not wear the veil at the 2024 Olympics in the name of secularism. She considers that such decision is contrary to women's right to chose how to dress. You will find below the press release issued by the League of International Rights for Women in support of the French position


COMMUNIQUE DU 27 SEPTEMBRE 2023

La position de l'ONU n’est pas nouvelle mais elle est d’autant plus choquante que les événements d’une extrême violence qui se déroulent en Iran et en Afghanistan démontrent que le voile n’est pas un simple vêtement mais le symbole d’un véritable apartheid sexuel.

La porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits humains qui s'est exprimée, ne semble pas avoir lu la Charte Olympique, qui s’impose à tout le mouvement Olympique.

En effet, la Charte Olympique stipule que « l’appartenance au mouvement olympique exige le respect de la Charte Olympique et la reconnaissance par le Comité International Olympique (CIO) ». Autrement dit le CIO a le devoir de s’assurer que les choix faits par les Comités Nationaux Olympiques ( CNOs) dans leur domaine de compétence, ne contreviennent pas aux principes et règles de la Charte Olympique. En l’occurrence, les fédérations et les CNOs concernés, en imposant ou en admettant que les athlètes femmes portent un costume qui promeut des stéréotypes sexistes et/ou un message politico-religieux, bafouent :

· Le principe de non-discrimination y compris de sexe (principe n°6)

· La règle 50.2 prohibant toute expression politique ou religieuse sur les sites olympiques (« Aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n’est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique).

· Le serment olympique (« Je m’engage à servir le Mouvement olympique au mieux de mes capacités. Je respecterai la Charte olympique et accepterai les décisions du CIO. J’agirai toujours indépendamment des intérêts commerciaux et politiques ainsi que de toute considération raciale ou religieuse »)

· L’article 27.6 relatif aux missions des CNOs stipulant que « les CNO doivent préserver leur autonomie et résister à toutes les pressions politiques, juridiques, religieuses ou
économiques qui pourraient les empêcher de se conformer à la Charte Olympique ».

Notons en outre que le document adopté le 6 février 2018 par le CIO, intitulé : « L’analyse du CIO sur la question de l’égalité des sexes », recommande de « s’assurer que les tenues
de compétition reflètent les spécificités techniques du sport et qu’il n’y a pas de différences entre les femmes et les hommes sans justification » (recommandation n°3).

Enfin, on ne peut que s’étonner que la porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits humains méconnaisse l’article 5.a de la Convention sur l’élimination des discriminations envers les femmes qui oblige les États à éliminer les préjugés et pratiques coutumières fondées sur l’idée de l’infériorité de la femme ou d’un rôle stéréotypé de celle-ci… !

PRESS RELEASE, 27 September 2023


Veil at the Olympics : the UN controversy is not founded!

The UN position on the above mentioned issue is no news, but isn't it all the more shocking when extreme violence on women in Iran and Afghanistan, proves that the veil is not a garment that they chose to wear or not, but the true symbol of sexual apartheid.

Regarding the Olympic Games, hasen't the UN read the Olympic Charter, which binds the Olympic movement?

It is clearly stated that «Belonging to the Olympic Movement requires compliance with the Olympic Charter and recognition by the IOC.meaning that it is the duty of the IOC to ensure that NOCs in their field of competence, do not violate the principles and rules of the Olympic Charter."

Should Federations or CNOs impose or accept that female athletes wear a costume that promotes sexist stereotypes and/or a political-religious message, they would flout:

· Non-discrimination principle : n°6-"The enjoyment of the rights and freedoms set forth in this Olympic Charter shall be secured without discrimination of any kind, such as race, colour, sex, sexual orientation, language, religion, political or other opinion, national or social origin, property, birth or other status.."

· Art.50.2: "No kind of demonstration or political, religious or racial propaganda is permitted in any Olympic sites, venues or other areas".

· Olympic oath :« Honoured to be chosen as a member of the International Olympic Committee, I fully accept all the responsibilities that this office brings:(...) I will respect the Olympic Charter and accept the decisions of the IOC. « I will always act independently of commercial and political interests as well as of any racial or religious consideration".

.. . 27 Mission and role of the NOCs ( …) « The NOCs must preserve their autonomy and resist all pressures of any kind, including but not limited to political, legal, religious or economic pressures which may prevent them from complying with the Olympic Charter» ......

Moreover : In March 2017, the IOC Gender Equality Review Project was launched through a joint initiative of the IOC’s Women in Sport and Athletes’ Commissions to carry-out a comprehensive review of the current state of gender equality in the Olympic Movement. An important outcome was:

« 3. Uniforms • Ensure that competition uniforms reflect the technical requirements of the sport and do not have any unjustifiable differences ».

Final remark: one wondesr that the High Commissioner for Human Rights has ignored Article 5 of CEDAW, the Convention on the Elimination of Discrimination against Women, imposing upon States to eliminate practices reflecting inferiority or a stereotypical role!

Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination against Women /Article 5.a : States Parties shall take all appropriate measures: (a) To modify the social and cultural patterns of conduct of men and women, with a view to achieving the elimination of prejudices and customary and all other practices which are based on the idea of the inferiority or the superiority of either of the sexes or on stereotyped roles for men and women;


Annie Sugier, présidente, LDIF

Alain UGUEN
02/10/2023 - 11:15:11

En Iran, une loi assimile le retrait du voile à de la nudité
https://www.amnesty.be/infos/actualites/article/iran-projet-port-obligatoire-voile-atteinte-droits-femmes-filles  

Alain UGUEN
02/10/2023 - 10:05:53

contre tous les apartheids, y compris la pression injustifiée sur les femmes. égalité pour tous !

Ariane BERLAND
15/09/2023 - 03:25:33

JO 2024: pourquoi un collectif demande l'exclusion de l'Iran pour discrimination
https://www.rfi.fr/fr/sports/20230913-jo-2024-pourquoi-un-collectif-demande-l-exclusion-de-l-iran-pour-discrimination  

Alain UGUEN
14/09/2023 - 10:00:48

L'Union européenne annonce une série de sanctions contre des responsables de violations des droits des femmes dans six pays
https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/l-union-europeenne-annonce-une-serie-de-sanctions-contre-des-responsables-de-violations-des-droits-des-femmes-dans-six-pays_5697989.html  

Alain UGUEN
08/03/2023 - 10:22:14

Afghanistan : le traitement des femmes par les Talibans s’apparente à « un apartheid »
https://news.un.org/fr/story/2023/03/1132972  

Alain UGUEN
08/03/2023 - 10:21:53

Nafisa Amini, activiste pour les droits humains en Afghanistan
https://mrmondialisation.org/nafisa-amini-activiste-pour-les-droits-humains/  

Alain UGUEN
20/02/2023 - 10:28:18

Le mot « apartheid », terme afrikaans ne peut qu’être attaché à l’Afrique du Sud, il est difficile de lire et entendre ce mot qui veut dire discrimination et séparation dans le contexte des violences infligées par les Talibans et les Iraniens (et bien d’autres). Le texte est opaque, mais on comprend rapidement que des juristes offusqués par les agissements dans ces deux pays veulent secouer les masses. Leur projet et leur énergie feront réfléchir ceux qui se passionnent pour Chat GPT, le groin dans les réseaux.
De quel sexe s’agit il? Est ce la partie génitale du corps féminin ou le genre?
Bref, les Talibans et tous les embrigadés islamisés ignobles sont unis pour enrubanner les femmes dans des draps bleus ou noirs, pour les empêcher de voyager, pour les soumettre partout au lit, au travail, à la fac, dans la rue.
L’Iran où les chefs qui perdent leur coiffe sous les coups de coude des jeunes gars maltraitent et tuent filles et garçons comme les tanks de Pékin d’antan avaient ensanglanté la Place.
Maudits soient les assassins.
Lamentable attitude des adolescentes de France qui se drapent dans leur djihad et leur abaya tandis que les femmes d’Iran laissent rouler sur leurs épaules leur longue chevelure.
Aïchat Nussy

Colette Nusbaum Vallet
04/02/2023 - 19:51:00

En Iran, comment le régime utilise le viol pour réprimer les femmes qui manifestent
https://www.huffingtonpost.fr/international/article/en-iran-comment-le-regime-utilise-le-viol-pour-reprimer-les-femmes-qui-manifestent_210675.html  

Alain UGUEN
03/02/2023 - 17:35:52

Comment pouvons-nous tolérer, que les théocrates à la tête de l'Iran, puissent cautionner, voir encourager le viol systématique des jeunes femmes emprisonnées suite aux manifestations, sous prétexte qu'en cas de condamnation à mort, elles ne puissent arriver au paradis "pures"???
C'est une ignominie de plus de la part de ces bourreaux!

Fabrice Oppenlander
03/02/2023 - 17:31:44

Il y a longtemps lors d'une formation pour adultes, un stagiaire musulman, très sympa au demeurant, avait tenté de justifier le statut des femmes dans l'Islam traditionaliste devant notre groupe : « Pour nous, la femme est un bijou précieux à mettre dans un écrin. »
"Ecrin" : en Afghanistan, en Iran, en Arabie Saoudite, le joli mot devient, pour les femmes, synonyme de "soumission", "apartheid", "réclusion", "prison", "tombeau".
Sans oublier que contrairement à une femme, un bijou reste une chose, parfois très jolie et précieuse certes, mais une chose quand même.
Non à l'apartheid des femmes et des gamines, non à leur chosification !

Frawald
03/02/2023 - 13:56:55

 

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