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Vous avez vu cet homme sortir en titubant de sa cabine et s’effondrer mort au pied de son
camion. Images de film certes mais que personne ne conteste. Le réalisateur Pierre Jolivet n’a fait que transcrire dans son film algues vertes une scène réelle, authentique.
Proposée par Cyberacteurs En partenariat avec Défense des Victimes des Marées Vertes
Plus d'infos
Ce sont les premières images de présentation du film ci-dessous.
Cet homme, c’est Thierry Morfoisse. Son seul tort a été de transporter des algues vertes pourries au centre des déchets de Launay Lantic près de Saint-Brieuc. Il n’avait rien demandé. Il faisait son travail. Il rendait service à un collègue en le remplaçant dans cette tâche éprouvante que lui imposait son employeur. Il ne disposait pas de masque à gaz ni de détecteur comme l’imposait depuis deux ans un arrêté préfectoral. Ces derniers mots à sa compagne sont éloquents : putain
d’algues !
Tout accuse l’hydrogène sulfuré produit par la décomposition des algues vertes ramassées deux jours plus tôt sur la plage de Binic d’être à l’origine de ce décès. Un collège de toxicologues réunis par Claude Lesné médecin au CNRS a clairement confirmé cette thèse.
Mais en Bretagne la médecine ne fait pas bon ménage avec toutes les institutions publiques et la quasi-totalité des élus qui ne craignent qu’une chose : la révélation officielle que les algues vertes ont tué des hommes et que la faute en revient à tout un système agricole intensif hors sols.
Comme le montre bien le film de Pierre Jolivet le déni général est la règle. Il faut croire qu’il touche aussi les institutions judiciaires. Jugement après jugement, dont le dernier en appel à la Cour d’Appel du Tribunal des Affaires Sociales refuse d’admettre que Thierry Morfoisse est mort intoxiqué. Au motif que la cause directe de son décès est un infarctus du myocarde, les juges écartent cette hypothèse de l’intoxication en refusant d’admettre que l’hydrogène sulfuré en soit la cause comme le reconnait la littérature médicale.
Aujourd’hui nous vous sollicitons pour l’opération de la dernière chance : financer les frais de justice à hauteur de 3000 euros de l’association Défense des Victimes des Marées Vertes qui soutient le renvoi de l’affaire en Cour de Cassation de la famille Morfoisse. https://www.cyberacteurs.org/boutique/detail.php?id=158
Qui peut admettre, sauf s’il en a intérêt ou qu’il croit aux expertises officielles, cette injustice flagrante ?
Une nouvelle fois dans cette affaire popularisée par la BD puis le film Marées Vertes, nous sollicitons votre soutien financier pour faire face aux frais d'avocat liés au renvoi de l'affaire en Cour de Cassation.
La mort de Thierry Morfoisse n’est pas un accident. Elle est la suite d’une série de
dysfonctionnements et de négligences d’un employeur peu soucieux de la santé de son
personnel. Parce que nous n’acceptons pas cette impunité, nous demandons à la justice de reconnaître l’accident mortel du travail suite à une intoxication à l’hydrogène sulfuré produit par des algues pourries transportées par la victime. Que les responsables soient clairement identifiés et sanctionnés et la famille Morfoisse indemnisée ! Enfin que justice soit rendue ! Nous comptons sur vous !
Apres des années de durs combats contre le fléau des algues vertes, les responsables et coupables courent toujours...
On les a pourtant identifies à maintes reprises...
Mais l 'économie de la région étant plus forte que tout, plus forte que la vie humaine, plus forte que la biodiversité qui se meure au quotidien; plus forte que nos cris d 'alerte,
C est avec une infinie tristesse que je signe la pétition car mon coeur est meurtri de voir les conséquences insupportables de ce fléau!!! Les hommes meurent d avoir travaillé en ramassant les algues, les hommes meurent en traversant des estuaires, les hommes meurent en faisant leur jogging sur les plages envahies d algues.
corinne GRAVIGNY COMONT 12/09/2024 - 17:30:42
C'est avec reconnaissance pour le courage du réalisateur et de tous ceux qui veulent que justice soit rendue à Thierry que j'ai été modeste donatrice et que j'envisage de le faire à nouveau - tellement de combats ne peuvent aller à terme faute de "justice financière" pour pouvoir les mener face aux puissants moyens des évidents coupables !
Anita VILLERS 11/09/2024 - 11:06:26
Il faut tout faire pour que ce scandale cesse.
Dominique Fonfrède 11/09/2024 - 10:26:14
Thierry Morfoisse, pourquoi une cagnotte ?
Thierry Morfoisse est mort le 21 juillet 2009. Il a eu le seul tort de transporter pour son entreprise des algues vertes pourries de Binic à la déchèterie de Launay-Lantic.
A la demande sa fille, Carolane, un comité de soutien s’est constitué. Aujourd’hui il est intégré à la nouvelle association Défense des Victimes des Marées Vertes.
Après avoir vainement tenté de faire reconnaître la mort par intoxication à l’hydrogène sulfuré produit pas la décomposition des algues au Pole Santé de Paris, le nouvel avocat du comité, François Lafforgue, a engagé le combat auprès du Tribunal des Affaires Sociales. Le décès par intoxication a été un moment reconnu par cette cour en 2018, mais contesté par l’employeur en appel. Seule la mort par accident du travail est reconnue mais sans engager la responsabilité de l’employeur, l’entreprise de transports Nicol. Le Tribunal a jugé que le décès de Thierry Morfoisse n’était dû qu’à une récidive d’infarctus du myocarde en refusant de le mettre en relation avec l’hydrogène sulfuré qui aurait pu le déclencher.
C’est ce dernier jugement que Défense des Victimes des Marées Vertes conteste devant la Chambre de Cassation avec un avocat spécialisé. Grâce à la cagnotte de cyberacteurs la somme de 3000 euros a pu être avancée et le recours déposé. D’autres sommes seront nécessaires pour poursuivre cette action. Ce recours auprès de la Justice française est le dernier possible. S’il est gagné, il faudra recommencer la procédure judiciaire qui a conduit a exonéré l’employeur de toute faute. S’il est perdu il ne restera qu’une hypothétique saisine de la Cour européenne de justice.
Quoiqu’il en soit, Défense des Victimes des Marées Vertes remercie tous les donateurs et donatrices qui ont seul(e)s permis que cette procédure de justice soit possible.
Ce qui me peine profondément, c'est l'ignorance politique persistante face à ce problème.
Malgré les appels à l'action de la part des citoyens et des associations locales, les réponses des autorités restent largement insuffisantes ! Le ramassage n'est pas une solution viable !
Les mesures prises, souvent superficielles, ne s'attaquent pas aux causes profondes de cette pollution. On assiste à un manque de volonté politique pour imposer des régulations strictes sur les pratiques agricoles qui contribuent à cette catastrophe écologique.
Le silence et l'inaction des responsables politiques sont non seulement décevants mais aussi dangereux. Ignorer la situation actuelle, c'est compromettre l'avenir de notre littoral, de notre biodiversité et de notre santé.
Les gaz toxiques émis par la décomposition des algues vertes représentent un risque sérieux pour les habitants et les touristes.
Je me souviens avec nostalgie des temps où nos plages étaient un havre de paix et de beauté. Aujourd'hui, cette vision est ternie par l'inaction des décideurs, qui semblent tourner le dos à une crise qui ne fait que s'aggraver. Il est impératif que nous, en tant que citoyens concernés, continuions de nous mobiliser et d'exiger des actions concrètes et efficaces de la part de nos élus.
Nous devons nous battre pour que des mesures ambitieuses soient mises en place : réduction des apports en nitrates, soutien à des pratiques agricoles durables, et véritable engagement pour la protection de notre environnement. Les côtes bretonne mérite mieux que cette indifférence politique. Ensemble, nous pouvons et devons faire entendre notre voix pour retrouver la splendeur de notre littoral.
Avec l'espoir d'un avenir meilleur,
Aurélien Theillier 17/07/2024 - 01:47:14
Comment on encore remettre en question la nocivité des algues vertes ? Il faut encore d'autres décès ? On n'avance vraiment pas !
et l'agriculture manifeste pour poluer plus encore
Dominique RANNOU 25/01/2024 - 11:51:46
répétition comme depuis 2 siècles des mensonges des puissants que NOUS laissons nous dominer
ALORS que le régime EST DIT démocratique.
ça lasse.
que nous dire
pour agir ?
jean 24/01/2024 - 15:08:56
Je suis de tout coeur avec la famille de Thierry Morfoisse .Je suis aussi scandalisée par l'omerta institutionnelle concernant la question des algues vertes
Monique et Maurice cornet 23/01/2024 - 16:44:19
Ne pas reconnaitre le décès de Thierry Morfoisse comme accident du travail alors que tous les éléments du déroulement de sa journée suffisent à conclurent en ce sens est un déni non seulement de justice mais est une démonstration du fonctionnement anti démocratique de notre société
Claude Fustier 22/01/2024 - 19:09:36
M. Morfoisse est mort près avoir charrié des algues tueuses. Si le coureur, le chien, le cheval, les sangliers pouvaient témoigner ils auraient secoué les maires bretons, les agriculteurs, les industriels du cochon et tous les mous du genou qui ne vont pas au bord de l'océan sulfuré.
Un juge, un avocat, un reporter, un syndicaliste de la Conf', des témoins, des vegans, des scientifiques, des admirateurs du film de Jolivet et tant d'autres vont faire crever l'abcès.
La famille Morfoisse doit être dédommagée et M. Morfoisse jamais oublié.
Aïchat Nussy
Colette Nusbaum Vallet 20/01/2024 - 17:49:02
Il serait plus que temps que cette histoire d'algues vertes voit enfin la fin !
Sinon prendre un Juge d'Instruction pour éclaircir le problème et connaître la vérité, qu'on connait déjà, mais que les responsable refuse de voir, c'est du déni, et aujourd'hui, on en a marre du déni des choses qui dérangent !
Il n'y a que ça partout !
Geneviève KILBURG 12/01/2024 - 19:16:34
Il est inadmissible de constater que les algues vertes - dont on sait pertinemment d'où elles viennent, et ce qui les produit, alors cessons de croire que c'est la nature ! que des animaux, solides comme les sangliers soient morts après en avoir mangé, et les responsables se demandent encore d'où ça vient ??? il serait temps que les responsables assument et fassent le nécessaire pour que le problème des algues vertes cessent une bonne fois pour toutes ! Sinon, prendre un juge d'instruction pour faire aboutir la vérité !
Geneviève KILBURG 12/01/2024 - 19:13:00
Le film "les algues vertes", ( tout simplement ) , est extrêmement bien fait. Je l'ai vu même étant au courant et favorable.
Donc pour être encore ignorant volontairement de la réalité, il faut être ou foncièrement contre la biodiversité et le respect du vivant, ou ne vivre que pour le fric quelles qu'en soient les conséquences.
Les responsables politiques favorables à cette agro industrie, on devrait leur en faire bouffer de l'algue verte, même cachée dans autre chose, juste pour les intoxiquer un moment , le temps de la réflexion !!!
Christiane Beley 07/01/2024 - 16:38:54
Les algues vertes! l'Etat, les agriculteurs et leurs syndicats devraient enfin prendre cette question au sérieux!....
par égard aux victimes... Et pour une question de santé publique, de qualité des eaux, des visiteurs nombreux de la Bretagne...
eugène ravenet 07/01/2024 - 15:36:10
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corinne GRAVIGNY COMONT
12/09/2024 - 17:30:42