Une cyberaction ou une pétition à proposer à cyberacteurs ?
abonnement
désabonnement
66% déductible fiscalement
Soutien de la CRIIRAD La CRIIRAD a besoin de votre pouvoir de convaincre !
Dans un contexte de relance du...
SPAM ? Du 19 juillet 2022 au 03 novembre 2022, laposte, free, sfr, cegetel, msn...
censurent nos messages classés en spams alors que vous avez... [la suite]
Elle sera envoyée à Présidente du PNRL En soutien à Amilure, AdieuGlacier05 / APPREME, ATTAC05, Buech-énergie,
Climat05, Collectif citoyen Lurs, Confédération Paysanne 04 ,
Confédération Paysanne 05 , Elzéard Lure en résistance,
ExtinctionRebelion05, Mountain Wilderness France, RAF05, Les
Sérigons Terres Vivantes, SAPN-FNE05, SOS forêts PACA, Soupes et
bobines, TERRES05, Terre de liens 04-05
Plus d'infos
Dans les Alpes du sud comme ailleurs, détruire la biodiversité et des espaces naturellement fixateurs de carbone, pour faire de l’électricité « décarbonée » est un non-sens !
Nous, signataires de ce document, habitants de la région PACA vous invitons à nous rejoindre pour défendre nos biens communs, ces terres considérées à tort comme « pauvres et improductives » alors qu’elles sont une source de biodiversité, et objet d’usages pour les habitants (production de bois de chauffage, chasse, cueillette, promenade...).
Ces terres vivantes que certains voudraient convertir en support inerte pour la production industrielle d’électricité photovoltaïque. D’autres solutions existent, pour le climat, pour la biodiversité et pour les habitants de notre région.
Explications : Les constats
? Oui, le dérèglement climatique (dont les premières manifestations sont flagrantes) est un problème majeur et la France est en retard sur ses engagements.
? Oui la chute spectaculaire de la biodiversité est déjà là et s'accélère, c’est un problème tout aussi majeur, dont nous payons le prix tous les jours (pandémies par ex).
? Oui, il est impératif de cesser tout ce qui conduit à l'artificialisation des sols et de préserver nos espaces nourriciers.
? Oui, la politique de nos gouvernements nous mène droit dans le mur.
? Oui, il est impératif de réduire rapidement l’impact de l’homme sur la planète en engageant une large réflexion sur nos besoins essentiels compatibles avec ses limites. … "Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l'homme, mais pas assez pour assouvir son avidité." GANDHI
? Oui, la fourniture clefs en main de centrales à énergie renouvelable par des entreprises multinationales est devenue un business florissant et bien au point auprès des particuliers et des collectivités, en minimisant toujours voire en occultant les impacts négatifs.
? Oui le photovoltaïque fait partie des moyens de produire une énergie moins carbonée. Cependant, la seule énergie totalement décarbonée et sans impacts est celle qu’on ne produit pas ; le développement industriel à grande échelle de cette énergie a, comme les autres, des conséquences très significatives (extractions minières polluantes et destructrices dans des pays éloignés, acheminements énergivores, déchets, impacts sociaux, etc…)
? Oui le photovoltaïque fait partie des moyens de réduire progressivement la part du nucléaire, ruineux (Cf. EPR), dangereux et aux délais de mise en œuvre incompatibles avec l’urgence de la réduction nécessaire de nos émissions.
Nous refusons cependant de voir massivement artificialiser les sols, ici et ailleurs, au nom de la lutte contre le réchauffement climatique. En effet :
? Les sols sont un bien commun très précieux (source de l'essentiel de notre alimentation et énorme puits de carbone notamment) et une ressource non-renouvelable à l'échelle humaine (il faut en moyenne un siècle pour constituer naturellement 1 cm de sol).
? Il existe au niveau national suffisamment d’espace sur les toitures, les zones de friche industrielles et les parkings pour installer la puissance photovoltaïque programmée par le SRADDET pour les trois décennies à venir (1)(2). Localement cela reste à étudier en détail (3).
? Les principales raisons pour lesquelles ces installations prolifèrent dans les Alpes du sud sont le bon ensoleillement, l’accessibilité du foncier, la faible densité de population et l’ « acceptabilité sociale » (4), qui génèrent d'importants profits pour les opérateurs privés et leurs actionnaires.
? Cela soumet nos territoires à la convoitise de grandes entreprises prédatrices ignorant les préoccupations sociales et environnementales, dont le seul objectif est de dégager rapidement un profit maximum pour leurs actionnaires. La quantité d'énergie produite allant bien au-delà des besoins locaux, ces centrales auraient pour conséquence annexe de nouvelles lignes à haute tension. Si, bien sûr, une solidarité doit exister entre les territoires (l’esprit qui nous anime est fondamentalement à l’opposé du NIMBY)(5), elle doit se faire en amont en repartant de la nécessaire réduction des besoins. Dissocier géographiquement à l’extrême les sources de
productions des territoires de consommation est fortement problématique, notamment en risquant d’accroitre les inégalités entre les zones rurales et les grands centres urbains.
? Nos paysages sont le bien de tous.
En revanche nous demandons :
? Qu'en premier lieu soient favorisées les initiatives, à l'échelle locale, régionale et nationale, pour développer la sobriété et l’efficacité énergétique ; l’urgence absolue est de diminuer notre consommation énergétique. Si on ne raisonne pas en termes de sobriété, le photovoltaïque, comme les autres énergies renouvelables, continuera à s’ajouter aux énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon, nucléaire), comme c’est le cas aujourd’hui, sans jamais les remplacer.
? D'inciter à la généralisation de l'auto-production dans les lieux d'habitation (individuels et collectifs), les entreprises, les administrations .....
? Que soient encouragées et accompagnées les initiatives citoyennes de financement et mise en place de petites unités photovoltaïques comme alternatives aux projets industriels (notamment les projets collectifs, comme les centrales villageoises, à décliner au sein de quartiers dans les villes).
? Que soit effectué un inventaire précis des zones artificialisées propices au photovoltaïque dans les départements de la région (3)(6).
? Que les décisions prises en matières énergétiques, environnementales et en général de tout ce qui touche au patrimoine commun des municipalités, soient arbitrées, pour plus de transparence, sous forme de démocratie participative.
? Que les règles du SRADETT PACA (qui contraignent les documents d’aménagement du territoire aux échelles plus locales), visant à éviter l’implantation de parcs photovoltaïques sur des espaces naturels, agricoles et forestiers soient impérativement respectées (7) (8).
? En ce qui concerne l’agrivoltaïsme au sens large, nous sommes particulièrement sensibles et vigilants à ce qui pourrait ressembler à un dévoiement du rôle du monde agricole pour la société, notamment en créant des disparités inadmissibles entre les revenus du travail de la terre et ceux de « rentes » énergétiques industrielles.
Voici donc en quelques mots ce qui nous préoccupe : voir disparaitre nos paysages et les gites offerts encore à la biodiversité sur notre territoire : un Commun que nous voulons continuer à partager avec le reste du monde vivant et non livrer à l’appétit mortifère de quelques-uns. Et nous questionnerons, nous discuterons, et s’il le faut nous nous opposerons, à tous les projets photovoltaïques qui entraineraient une destruction ou une perte de biodiversité des terres naturelles, agricoles ou forestières, existants et à venir dans les Alpes du sud et ailleurs en PACA, en utilisant tous les moyens à notre disposition.
Collectif Citoyen pour un Autre Photovoltaïque dans les Alpes du Sud Contact : ccapas@etik.com.
Signataires au 03/08/2022 :
AdieuGlacier05 / APPREME / ATTAC05 / Buech-énergie / Climat05 / Confédération Paysanne 04 / Confédération Paysanne 05 / Elzéard Lure en résistance / ExtinctionRebelion05 / Mountain Wilderness France / RAF05 / Les Sérigons Terres Vivantes / SAPN-FNE05 / SOS forêts PACA / Soupes et bobines / TERRES05 / Terre de liens 04-05
- * - * - * - * - *- * - * - *
Collectif citoyen Lurs. Lurs le 28 novembre 2023,
à Mme la Sous Préfète Marie-Paule Demiguel, FORCALQUIER
Objet : « concertation citoyenne »sur les ZADER
information sur un projet de parc photovoltaïque
Madame la sous-préfète,
Nous pensons opportun d’attirer votre attention sur la façon dont la commune de Lurs a consulté sa population sur les zones d’accélération des énergies renouvelables et dont elle l’a informée du projet de parc photovoltaïque des Pierras.
Sur la question des ZADER, objet d’une information officielle aux mairies du département avant l’été, une partie des lursiens n’ont reçu dans leur boîtes que le vendredi 24 ou le samedi 25 novembre un courrier les informant des deux zones proposées (comportant une erreur de surface), et indiquant qu’était mis à leur disposition en mairie, aux heures d’ouverture au public un « registre d’observations et de doléances » du 17 au 29 novembre 2023 (soit 4 matinées au total).
Pour être totalement complets l’ouverture du registre a fait l’objet d’une information sur l’application « panneau pocket » et sur le site officiel de la commune à compter du vendredi soir 17 novembre. Une affichette a été apposée sur le panneau officiel le 21 novembre.
Nous sommes au regret de constater qu’il n’y a pas eu « concertation du public » au sens de la loi du 10 mars 2023, puisque la plupart des lursiens n’ont été informés des zones
d’accélération proposées et de l’ouverture d’un registre qu’à compter du 24 novembre, soit
6 jours avant sa clôture, ce qui ne représente qu’une matinée de réception en mairie.
Nous regrettons également l’absence d’accessibilité adaptée aux personnes travaillant à ces
horaires ou aux lursiens absents qui ne pourront pas inscrire leur voix au registre, faute de communication demandée à plusieurs reprises par voie numérique organisée sans difficulté dans les communes voisines.
Pour ce qui est du projet de parc photovoltaïque des Pierras, présenté au guichet unique de votre sous-préfecture au mois de juin, il y a été fait référence dans la deuxième partie de la lettre du 24 ou 25 novembre. Pour contester la nécessité d’un débat public et la communication du dossier demandées à plusieurs reprises, la commune a précisé : « A ce stade, la diffusion de rapports non encore validés n’apporterait que plus de confusion dans un débat qui a besoin d’objectivité et de sérénité », mettant ainsi en cause la capacité des citoyens à utiliser les informations pour se former une opinion éclairée.
L’association Amilure s’est vue également refuser toute information malgré une demande expresse, envoyée en septembre 2023.
Les nombreuses demandes de rencontres avec les élus à ce sujet ces derniers jours n’ont pas reçu de réponse et l’unique rendez-vous accordé il y a de cela trois semaines a malheureusement été annulé ce dimanche 26 novembre.
Le résultat de ce manque de transparence est malheureusement une défiance d’une partie de la population à l’égard de ses élus et de leur conception de l’intérêt commun. Nous le regrettons vivement.
Les quelques éléments lacunaires qui nous sont donnés par le courrier de la mairie, en réaction à la vive insatisfaction des dernières semaines, sur l’intérêt du projet sont de nature à nous inquiéter plus qu’à nous rassurer.
Par ailleurs, l’urgence climatique invite les mairies et ses habitants à mettre en place une politique ambitieuse, novatrice, dans une volonté de répondre à la demande en énergie.
Nous souhaitons pouvoir contribuer à la réflexion d’une potentielle « autonomie » comme elle est réalisée dans de nombreuses communes qui ont choisi cette alternative : des panneaux photovoltaïques sur zones anthropisées, des panneaux en toiture, notamment sur les bâtiments publics pour produire l’énergie nécessaire à leur consommation, (un surplus non consommé pouvant être revendu avec une redistribution des bénéfices à la population).
Aussi nous aimerions comprendre l’argument financier au regard des budgets de la
commune, (Lurs est un village bien doté) quant à ce projet de destruction d’une biodiversité impérieuse à protéger en l’état et d’un paysage remarquable et renommé qui fait de ce village un des plus attractifs du territoire.
Nous tenions à vous informer de la situation.
Nous vous remercions de l’attention que vous ne manquerez pas de porter à ces
observations et vous prions d’agréer, madame la sous-préfète, l’expression de nos
respectueuses salutations.
Les membres du Collectif citoyen LURS
Copies à mairie de Lurs, à Mme la Présidente du PNRL, à M. le vice président de la
Commission patrimoine et Ressources, à la confédération paysanne 04, à l’association
Amilure.
- * - * - * - * - *- * - * - *
Collectif citoyen Lurs pour une information complète sur les projets de parcs photovoltaïques sur la commune de Lurs
Lurs, le 28 novembre 2023
Objet : déclassement de la zone nature et silence
Mme la Directrice, Laure Galpin
M le responsable du pôle transition énergétique, (BP 122 , 60 place Jean Jaurès 84404 APT Cedex)
Madame, Monsieur,
Aux termes de l’article 15 II 2° de la loi 2023-175 du 10/03/2023, l’identification des zones d’accélération pour l’implantation d’installations d’énergies renouvelables est réalisée en concertation avec le syndicat mixte gestionnaire du parc naturel régional intégrant la commune concernée.
Selon les informations très succinctes qui nous ont été fournies plus que tardivement par la commune de Lurs, celle-ci a identifié deux zones d’accélération sur son territoire, dont l’une, lieudit les Pierras, située dans une zone classée Nature et Silence, dans le plan local d’urbanisme.
Il semblerait donc que le Parc, associé à cette identification, ait donné son accord pour un déclassement de cette zone, pour permettre l’implantation d’une installation de panneaux photovoltaïques.
En l’absence d’information précise donnée par la mairie de notre commune, et compte-tenu de l’accélération et de la simplification des procédures environnementales, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous préciser rapidement votre position sur ce déclassement.
Par ailleurs il nous a été indiqué par Mme le maire que la zone concernée aurait été qualifiée de « friches » n’ayant aucune vocation agricole ou forestière affirmée, sans enjeu environnemental ni paysager majeur, et que vous auriez « validé » les études d’impact réalisées ayant conduit à ces conclusions.
Il nous semblait pourtant que cette zone forestière faisait face, d’une part, à une zone classée d’intérêt écologique majeur au PLU, descendant vers la vallée du Buès, d’autre part à l’ubac de la Baume pour laquelle l’administration des Eaux et Forêts avait envisagé, à une époque, une protection spécifique.
Pourriez-vous nous éclairer sur les motifs de votre « validation » des études d’impact?
Nous vous remercions par avance de l’attention que vous voudrez bien porter à nos demandes et vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments distingués.
Copie à Mme la sous-préfète
à la confédération paysanne 04
à l’association Amilure
Mme la Présidente du Parc Naturel Régional du Luberon
Mme la Directrice du Parc Naturel Régional du Luberon
Mme la Chargée de mission maitrise de la
demande énergétique et transition énergétique
60, place Jean Jaurès 84400 APT
Redortiers, le 1er décembre 2023
Objet : Projet de parc photovoltaïque à Lurs
Mesdames
Nous avons été alertés par le nouveau collectif citoyen de Lurs constitué pour obtenir des informations concrètes et précises sur un projet de parc photovoltaïque qui serait en phase d'instruction au lieu-dit les Pierras.
Nous avons tenté, en vain, d'obtenir de la mairie les pièces administratives et les études afférentes.
Nous ne comprenons pas cette « omerta » qui provoque une défiance envers les élus et aussi envers le PNRL puisqu'il se dit que la zone de silence inscrite au PLU et validée comme telle par le parc serait en instance de déclassement par vos services.
La proximité du Prieuré de Ganagobie pourrait justifier le maintien d'une telle zone d'autant que celle-ci est authentiquement un secteur forestier reconnu d'intérêt écologique majeur dans le PLU en vigueur, parcouru par le cours d'eau du Buès avec ses vasques qui font le bonheur des promeneurs et baigneurs amoureux d'espaces naturels.
Nous sommes vigilants sur toute implantation d'installations industrielles photovoltaïques dans les zones naturelles, forestières et agricoles et nous craignons que l'effet cumulé des projets dans et autour du massif de Lure suscite un rejet par la population locale pour l'atteinte au paysage et à la qualité de vie du territoire.
Au moment où le Parc du Luberon ambitionne d'élargir son périmètre en incluant des villages du piémont de Lure labellisés réserve de biosphère, ne pensez-vous pas que la facilitation par une validation de vos services, d'un projet fortement impactant pour l'environnement rejaillirait négativement ?
Après Cruis et Ongles, le projet de Lurs ne serait-il pas celui de trop ?
Nous nous opposons aux projets industriels visant la pure spéculation par des opérateurs plus soucieux de leurs profits que d’enjeux écologiques ou patrimoniaux.
Nous ne nous opposons pas à certains projets qui nous paraissent raisonnables, car ils présentent des conditions acceptables pour aller vers la transition énergétique exigée par le réchauffement climatique.
Nous soutenons résolument dans ce cas l'action du collectif de Lurs qui exprime une volonté de contribuer à la réflexion d'une « potentielle » autonomie par l'installation de panneaux photovoltaïques sur des zones anthropisées, en toiture, notamment sur les bâtiments publics.
La préservation des espaces boisés, même ceux considérés comme de faible intérêt écologique vaut mieux que l'artificialisation des sols qui abritent une biodiversité indispensable à l'attrait de nos sites et paysages et à la qualité de vie de nos villages ruraux.
Aussi nous vous demandons de reconsidérer les critères qui vous ont conduit à envisager le déclassement de la zone de silence de Lurs et d'inviter les élus locaux à communiquer en toute transparence sur leurs intentions avec l'ensemble de la population locale et des associations qui la représentent.
Ceci est inscrit comme un des principes fondamentaux mentionnés sur votre site à la rubrique « comment développer l'énergie photovoltaïque sur le territoire dans le respect des patrimoines, des paysages et de l'environnement :
• L'acceptabilité sociale et l'implication des citoyens est un enjeu fort : la concertation autour de ces projets doit être organisée. »
Si les écrits ont un sens, vous ne pourrez pas cautionner un nouveau sacrifice environnemental sur votre territoire.
Veuillez croire, Mesdames, à nos meilleurs sentiments
Le Conseil d’Administration d’Amilure
Nous vous proposons d'interpeller Mme la Présidente du Parc Naturel Régional du Luberon
Signer !
Récapitulatif
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à accueil@parcduluberon.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : Le projet de Lurs celui de trop ?
Message : Madame,
Opposé aux projets industriels visant la pure spéculation, je soutiens l'action du collectif de Lurs qui exprime une volonté de contribuer à la réflexion d'une « potentielle » autonomie par l'installation de panneaux photovoltaïques sur des zones anthropisées, en toiture, notamment sur les bâtiments publics.
L'acceptabilité sociale et l'implication des citoyens est un enjeu fort : la concertation autour de ces projets doit être organisée. »
Si les écrits ont un sens, vous ne pourrez pas cautionner un nouveau sacrifice environnemental sur votre territoire.
Vous pouvez modifier le sujet et le texte de cette cyberaction en choisissant l'option "modifier des éléments" ou "me connecter et modifier"
Alpes-de-Haute-Provence : "Lure est devenue un eldorado" : un nouveau projet photovoltaïque "fait monter une colère et une rage sans dimension" chez des habitants https://yonnelautre.fr/spip.php?article15928
ALERTE : Défrichage possible dés ce lundi 2.09.24 sur Aubignosc
Dès lundi 2 septembre la multinationale Qenergy (appartenant au coréen Hanwha) va peut-être tenter de passer en force et détruire le site d’Aubignosc au lieu-dit « Malaga ». Défendre la nature avec des mots ne suffit plus, il est aujourd’hui nécessaire d’aller plus loin : protégeons ce site fragile riche en biodiversité coûte que coûte.
Pour rappel, de nouveaux éléments scientifiques indépendants et déterminants ont été rapportés à l’Etat, au Maire d’Aubignosc et à l’entreprise Qenergy via des courriers recommandés.
Tous travaux sur le site seraient donc effectués en violation du code de l’environnement.
Si le déboisement commence demain, une alerte sera donnée par mail et dans nos réseaux sociaux avec invitation à nous rejoindre rapidement sur le terrain.
Merci de vous tenir prêt... elzeard@framalistes.org.
Le décret 2024-318 du 8 avril 2024 relatif au développement de l’agrivoltaïsme et aux conditions
d’implantation des installations photovoltaïques sur des terrains agricoles, naturels ou forestiers, a été publié le 9 avril 2024.
Dans la foulée de sa publication, la Confédération paysanne a annoncé son intention de déposer un recours. Dans un communiqué de presse elle dénonce le fait que “la teneur de ce décret confirme toutes les mises en garde émises par la Confédération paysanne lors des débats sur la loi d’accélération de la production d’énergies renouvelables. Par ce texte, le gouvernement fait même tomber les rares garde-fous instaurés par le législateur pour préserver les paysan·nes et le foncier de l’appétit des énergéticiens. Il confirme le fait que l’installation de panneaux photovoltaïques au sol représente une menace pour notre souveraineté alimentaire”.
Alain UGUEN 18/04/2024 - 08:47:25
On vous soutien: et à bas les panneaux dans les champs déboisées! Mettez les donc sur les toits des supermarchés et vendeurs de bagnoles, ils peuvent se le permettre, non? Ou c'est plus cher qu'un champ nulle part, chez nous quoi?
Tous les coups fourrés sont bons pour détruire la planète or contrairement à ce que pensent des illuminés (sous l'effet de substances illicites) nous n'en avons qu'une
Alpes de Haute Provence
STOP aux panneaux voltaïques. Ils n’ont de place que sur les toits des HLM et ceux que les maires de droite construirons de force, sur les bateaux de croisière, sur les aires d’autoroute, sur les architectures laides et les entrepôts vides de zones artisanales.
Oubliez la colline de Lurs. Il y a là des forêts à ne pas toucher, des cultivateurs bio et des éleveurs loup-lovers, des défenseurs de champignons et des admirateurs de lombrics. Que les profanateurs alléchés installent leurs panneaux sur tous les sites que les industriels de la chimie ont fait exploser, ça masquera la dégoûtation.
Aïchat Nussy
« Ecologie décoloniale et transition énergétique en Guyane »
Cette soirée de solidarité avec les habitant•e•s du village kali’na de Prospérité en Guyane, lauréat•e•s du Prix Danielle Mitterrand 2023, sera l’occasion de découvrir leur lutte pour défendre la forêt et leurs droits menacés par l’implantation d’une centrale photovoltaïque ainsi que d’aborder les enjeux autour de la transition énergétique au prisme d’une approche décoloniale.
Soutien total.
Vers Ales( 30100 ) une zone gigantesque de friche entre Gardon et montagnette a été dévastée pour implantation de dizaines de structures géantes PV.
Honteux quand on sait que TOUS les parking et pas mal de toitures peuvent être équipés et ombrager par la même occasion
Sophie lavorel 14/12/2023 - 19:23:40
Bravo Mesdames !
Votre détermination et votre courage force l'admiration.
Daniel DANIEL 13/12/2023 - 23:01:31
La bio-diversité est le corllaire du changement climatique
Claude Fustier 13/12/2023 - 22:10:57
Le capitalisme verdâtre dans toute sa splendeur...
Sous le Soleil Exactement - RDV jeudi 14/12- 18H Conseil municipal LURS
Alain UGUEN 13/12/2023 - 09:48:55
Diffusion de l'info
Vous avez un site internet, un blog ? faites un lien vers cette cyberaction en insérant ce code sur votre site:
Formulaire de collecte d'informations
Les informations qui vous concernent sont destinées à Cyberacteurs.
Elles serviront uniquement à des opérations dont Cyberacteurs aura la maîtrise, soit seul, soit en partenariat avec d'autres.
Les données (nom, prénom, adresse électronique, ville, profession) sont stockées afin d'empêcher de participer deux fois à la même cyberaction .
Elles n'aparaissent en aucun cas sur notre site, ni celui de notre partenaire.
Les données (nom, prénom, code postal, ville, profession) peuvent éventuellement être publiées sur un fichier pdf et envoyées au(x) destinataires(s) de la cyberaction .
Les adresses électroniques ne seront en aucun cas diffusées à quiconque, excepté bien sûr au destinataire de votre courriel.
Les adresses postales pourront être éventuellement utilisées dans le cadre d'envois communs à plusieurs partenaires le tiers (imprimeur ou expéditeur) s'engageant expressément à n'utiliser le jeu d'adresses que pour l'envoi concerné.
En cliquant sur "Je souhaite recevoir les prochaines actions par courriel", vous acceptez de recevoir les cyber@ctions diffusées par Cyberacteurs au rythme d'une quarantaine par an (inactivité complète en juillet et aout). Vous ne recevrez aucun message d'autres que de cyberacteurs.
Chaque message comporte à la fin une formule de désabonnement utilisable à tout moment.
En ne cliquant pas sur "Je souhaite recevoir les prochaines actions par courriel", vous ne recevrez de Cyberacteurs aucun autre message que les confirmations de participation à une cyber@ction ou pétition.
Vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des donnés qui vous concernent (art. 34 de la loi "Informatique et Libertés"). Pour l'exercer, adressez vous à Cyberacteurs
https://www.cyberacteurs.org/archives/bilan.php?id=5902
Alain UGUEN
08/11/2024 - 16:47:39