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L’historien et défenseur des droits humains marocain Maâti Monjib, a été suspendu, avec non-versement de salaire, jusqu’à nouvel ordre, de son poste de professeur à l’Institut des Études Africaines (IEA) de Rabat.
Attention ! la diffamation accompagnée de la suspension sans jugement et de préférence sans solde des profs ayant tenu des propos "dissidents" vis à vis du régime est un procédé dangereusement contagieux de torture sans ecchymose ; exemples en France: René Chiche, Franklin Nyamsi, Fréderic Mortier, ou Patrick Provost au Québec.
Une plainte d'élève avec validation du rectorat et hop : honneur et dignité explosés, médias alertés. Tant pis si le profil professionnel était irréprochable, la milice de la pensée doit frapper fort pour assurer l'ordre des mots.
Petits rappels de notre passé :
Article 7. - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits.
Article 9. - La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l'oppression de ceux qui gouvernent.
Article 14. - Nul ne doit être jugé et puni qu'après avoir été entendu ou légalement appelé
https://www.humanite.fr/monde/maati-monjib/maroc-le-journaliste-omar-radi-et-lhistorien-maati-monjib-enfin-liberes
Alain UGUEN
23/08/2024 - 11:02:37