Cette cyberaction est maintenant terminée
Dans une ordonnance rendue publique mercredi 21 octobre, le tribunal administratif de Grenoble a refusé de suspendre l’arrêté préfectoral autorisant l’abattage des bouquetins du Bargy (Haute-Savoie), malades de la brucellose, comme Cyberacteurs et d'autres associations le demandaient. Le juge des référés a estimé qu’« aucun des moyens » invoqués par les organisations de défense de la nature n’était « propre à créer un doute sérieux quant à la légalité de la décision ».
Avant d'opter pour des mesures inadéquates parce que des solutions alternatives existent, il est urgent de reprendre le dialogue à partir de l'initiative du ministère de l'écologie.
3250 participants
Un espoir pour les Bouquetins du BargyPlusieurs associations avaient saisi le tribunal d’un recours en référé à la fin du mois de septembre, demandant la suspension de l’arrêté du 16 septembre du préfet de la Haute-Savoie. Cet arrêté autorise l’abattage de 200 à 300 bouquetins, c’est-à-dire la quasi-totalité des animaux du massif, à l’exception d’un noyau sain de 75 individus, préalablement identifiés. Près de 70 animaux ont déjà été abattus dans le cadre de cet arrêté, les 8 et 9 octobre. Après cette « première étape », la préfecture avait suspendu les opérations « jusqu’à nouvel ordre ».
« Légal ne veut pas dire opportun. Les tirs ne doivent pas reprendre », a réagi la Fondation Nicolas Hulot dans un communiqué publié le mercredi 21 octobre.
Nicolas Hulot demande à Ségolène Royal qu’elle prenne d’urgence une initiative de médiation pour remettre tout le monde autour de la table, retrouver le sens du dialogue et élaborer des solutions de compromis acceptables pour tous.
La fondation estime notamment que « les alternatives à l’abattage massif (…) n’ont pas encore été sérieusement étudiées ». Pour les défenseurs des animaux, abattre massivement une espèce protégée, sans faire de distinction entre les malades et les bien portants, est absurde et contre-productif : l’opération risque de pousser les animaux restants vers d’autres massifs ou d’attirer des mâles des alentours auprès des femelles survivantes. Vouloir éradiquer la quasi-totalité du cheptel ne ferait que contribuer à propager la maladie, assurent-ils. Ils proposent plutôt de recourir à la vaccination ou d’endormir les caprins puis de déterminer ceux qui sont atteints grâce à un test réalisable sur place, ce qui permettrait d’épargner les individus sains.
Hulot veut sauver les bouquetins
http://www.parismatch.com/Actu/Environnement/Hulot-veut-sauver-les-bouquetins-du-Bargy-850341
Qui sauvera les bouquetins ?
http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/biodiversite/20151012.OBS7469/qui-sauvera-les-bouquetins-du-bargy.html
La justice ne s'oppose pas à l'abattage
http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2015/10/21/la-justice-ne-s-oppose-pas-a-l-abattage-des-bouquetins-du-bargy_4793957_1652692.html
 
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mandelkorn
Le 12/04/2016 à 09:25:28
Melba
Le 02/01/2016 à 16:14:28
Monique Boeuf
Le 15/11/2015 à 08:48:48
Rémy GILLET-CHAULET
Le 05/11/2015 à 16:24:46
Brigitte GUEVENEUX
Le 02/11/2015 à 20:20:08
Philippe Daupias
Le 02/11/2015 à 16:47:43
ISABELLE GALLINA
Le 29/10/2015 à 22:57:26
béclard
Le 29/10/2015 à 00:25:09
yves day
Le 28/10/2015 à 16:43:19
JEAN MICHEL NAVARRO
Le 28/10/2015 à 16:34:52
Marc Liaudon
Le 28/10/2015 à 15:55:38
Marc Liaudon
Le 28/10/2015 à 15:14:31
MAURICETTE BIGARD
Le 28/10/2015 à 10:30:13
Jean-Claude IBANEZ
Le 28/10/2015 à 09:33:26
Bernard SANCEY
Le 28/10/2015 à 05:53:13
Stéphoto
Le 27/10/2015 à 22:17:46
PIERRE MAURIT
Le 27/10/2015 à 20:29:01
Marie-Paule Fratani
Le 27/10/2015 à 18:38:59
AnneV
Le 27/10/2015 à 17:45:23
thierry LECERF
Le 27/10/2015 à 17:44:35
edmee jacquet
Le 27/10/2015 à 13:04:15
peker
Le 27/10/2015 à 10:20:05
Marie
Le 26/10/2015 à 19:53:29
Calypso
Le 26/10/2015 à 17:22:38
OLIVIER LAVOISIER
Le 26/10/2015 à 17:22:20
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Après leur course aux commentaires et diagnostics - plus ou moins laborieux - aux dits « séquelles d’épisodes psychotiques aiguës, à la labilité émotionnelle, à l’anxiété, la fatigue, j’étais déjà entré dans une nouvelle séquence, celle du rapprochement à mon domicile, à l’hôpital militaire PERCY de CLAMART et du débat d'idées. Mais la palette semble pour l'instant se concentrer sur une thématique, celle d’une gêne antérieure au service et qui portait sur un délit de relation ou délit sensitif. Une tendance qui en principe profite avant tout à cette théorie qui profite de tout, après n’étais pas forcément en manque d’un défoulement suffisant puisque j’étais à l’armée et qu’on se basait sur une vie normale, pleine et entière Si ce vocabulaire précis et méticuleux qui jouit d'une crédibilité sur le sujet psychiatrique est réel, et où les praticiens s'y sentent à leur aise, personne à ma place ne pouvait y souscrire ; En effet, une plainte fut augurée en justice dès mars 1975, lorsque mon temps fut achevé, on évoqua « psychose chronique « ainsi « que troubles du comportement », « personnalité pathologique ». « personnalité névrotique sensible » »critique imparfaite d’éléments déréels » « problèmes professionnels et privés »
Les fonctions réglant ma requête était royal, elles sont celles qui tiennent à la souveraineté d'un État qui jouit d’un arsenal juridique pour s’en défendre, ce qui me fut avancé était très fort, et je l’avoue bien au-delà de mes réalités, pour s’en convaincre, il suffit d’ouvrir un précis de psychiatrie et lire, que ces évocations sont réservées à de vraies maladies psychiatriques, Dans sa définition la plus répandue, il regroupe, les fonctions essentielles manquantes à mon cas d’espèce, donc il fut plaidé abus d’une part sur place de ces militaires sur place en caserne,propos fallucieux, allusions en nombre puis hospitalisation tout aussi abusive quand aux termes, on les rendit non imputables au service militaire , voire de justice,,,Au sens large, le champ d’application recouvre aussi des questions comme la souveraineté budgétaire du juge des tutelles qui évidemment n’indemnisera pas, les taux handicap était si faibles qu’ils n’existaient pas mais le pouvoir de faire appel était sans fin
« Toutes les études le montrent, l'économie du droit du tribunal d’instance de NANTERRE et du tribunal de grande Instance de VERSAILLES sont les deux priorités de cette trajectoire des pensions, on évoqua le conseil d’État mais je n’avais pas de quoi payer un avocat titulaire loin devant tout le reste pour annuler la procédure. Aborder un autre sujet pendant la dite procédure était donc imposible, hors de portée des juridictions simple, on m’opposa un arêt préfectoral, c’est dire que la mécanique juridique était mieux rodé que les allégations, par exemple tout ce qui serait sociétal, n'aurait que très peu d'impact auprès du Juge qui aurait préféré avoir affaire à un vrai militaire, vraiment handicapé » ; Néanmoins, d’après son études , il admis que les attendus était surinterpréter mais sans plus
Des programmes trop similaires via l’État qui débouta ma demande
Problème, mes idées, ma contestations n’apportait pas la preuve que j’étais malade, ça je le savais et ne cherchait pas à le dire, bien au contraire, mes propositions sont quasiment similaires à l’idée de réceptionner des erreurs successives : je souhaitais la suppression de ces jugements mais sans le conseil d’état, il y avait incompatibilité du tribunal, etc. A chaque fois, la différence, si il y en a une, se fait sur ces petites nuances dans les faits. Difficile donc pour moi, en particulier me se démarquer sur cette thématique.
L’État continue d'afficher un discours strict sur la psychiatrie, mais où est donc passé le débat d'idées?
Il ne faut pas oublier que tous les plaignants sont du même camp et ont donc la même sensibilité libérale , explique l’État - Mais il est vrai que je n’avais penser que poursuive mon programme d’étudiant c'était beaucoup plus clivant, notamment entre les lignes d(études supérieures et l’armée, je le rappelle haut et fort,,
Seul le champ du militaire permet du coup de sortir du lot. L’État y est dans son élément., tandis que sur les questions d’abus, ces mêmes personnes interrogées font largement plus confiance aux vocabulaire juridique
Le « piège » tendu par quelques uns
Qui a donc tout intérêt à insister sur ce terrain. J’ai été globalement déçus , je dois donc rester sur le terrain au risque qu'on me renvoie mon bilan à la figure ;
Axer le débat sur ces questions personnelles permet à l’État, aux tribunaux en outre de garder la main : on m’a fait tomber dans un piège. Les sujets de société ne sont pas une priorité, et le point fort est que je ne souffre pas ; Du coup, je n’ai plus de marge de manœuvre. C'est l’État qui maîtrise le débat et son tempo , Une impuissance qui me pousse à signaler l’ adversité a être dans l'attaque ou la réaction, comme je le déplore « la nullité du débat » ou mes immanquables attaques frontales ; Le dernier avocat, me demande de rien dire, il écrira « il faut être gentil avec M Marcel MANDELKORN qui a servi la France »
Peu de place pour les outsiders
Selon L’État la fermeté des propositions d’ordre psy et les réactions que cela provoque transforment mes idées en duel entre ma requête et ce qui est écrit trente ans après « Avec des positions médicales si offensives, j’aurais souhaité galvanisé le tribunal mais je ne peux que l’exaspérer . Du coup, il risque de transformer la requête en une question simple dans l'esprit du jry, du débat contradictoire : 'Pour ou contre les soins' et c'est les praticiens actuels qui pourraient jouer ce rôle d'alternative , mais si refuse en évoquant qu’il ne s’agit que du concept médical, même si elle s’avère être de masse et grossier
Du coup, difficile pour moi d'être identifiable, apôtre de la « trajectoire et de l’épiphénomène décomplexée, j’affiche des positions aussi dures que ce que j’ai vécu
Je peinent à afficher les mêmes positionnement au milieu du duel Etat-MANDELKORN.
Pour l'instant, la stratégie de l’État fonctionne. En quelques semaines le Conseil d’État aurait pu grappillé ; Mais faute de quoi,il n’y aura pas de retournements de situation , il n’y aura plus rien à exclure , « Beaucoup de choses aurait du arriver d'ici là, notamment dans mon actualité, mes idées par exemple, pouvaient vite changer la donne , Sans compter les soucis propres
mandelkorn
Le 19/02/2017 à 14:30:23