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Bilan de la cyberaction : Elevage de montagne: PAC 2015 pas de pénalités suite aux visites rapides

Mise en ligne du 30/10/2015 au 11/02/2016

Les éleveurs de piémont et de montagne auraient du être les grands gagnants de la réforme de la Politique Agricole Commune (PAC). Pourtant, à la suite d'un contentieux entre la Commission Européenne et la France, ceux qui utilisent des surfaces fourragères peu productives (landes, parcours, bois pâturés) ont vu leur surface primable diminuer en 2015.
Maintenant, l'Europe et la France leur imposent des contrôles systématiques, qui entraineront des pénalités, pouvant aller jusqu'à la perte totale des droits à prime pour l'année en cours. Tout ça, en pleine crise de l'élevage, et sur les systèmes d'élevage les plus écologiques, créateurs de paysage et de biodiversité.
Demandons au ministre de supprimer les pénalités sur les "visites rapides"!

Bilan de la cyberaction :

4483 participants

Présentation de la cyberaction :

La mise en place des prorata sur l'admissibilité des surfaces fourragères peu productives, suivie de "visites rapides" sur le terrain, assorties de pénalités, met gravement en danger les éleveurs des zones de piémont et de montagne

Actuellement il est prévu:5000 exploitation contrôlé en Aveyron,2150 exploitations en Lozère,800 exploitations dans l'Aude, 300 en Haute Saone,900 dans le 04 Alpes de H P, 3000 dans le cantal et il reste bien d'autres départements

Les faits:
Suite au contentieux entre la Commission Européenne et la France sur les surfaces fourragères, le Ministère de l'Agriculture a mis en place, dans le cadre de la réforme de la PAC, pour les surfaces peu productives (landes et parcours), des prorata pour l'admissibilité aux primes. En fonction de l'accessibilité par les animaux, et de la ressource fourragère, des ratios de 1, 0.8, 0.6, 0.35... ou 0 seront appliqués, ce qui entraine une perte de surface primable pour les cinq années à venir.
Un référentiel photographique national sert de guide pour l'évaluation du prorata. Il a été accessible en ligne pour les agriculteurs lors de la déclaration PAC, en mai-juin 2015. L'administration a alors précisé que chaque déclarant pourra modifier sa déclaration à l'automne, après l'instruction de son dossier.
En juillet, le ministère annonce que la commission n'accepte pas que les éleveurs estiment eux-mêmes leur prorata, et demande que toutes les surfaces soient contrôlées dans le cadre de "visites rapides", présentées comme des visites pédagogiques, pour sécuriser la situation des exploitations.
Les écarts entraineront des pénalités. Les pénalités ne consistent pas seulement en une perte de droits à prime sur les surfaces non admissibles : pour des écarts > 3% ou 2 ha, la pénalité est du double de l'écart (un écart de 2ha entraine la perte de 2 ha admissibles, plus des pénalités de 2*2=4ha, soit la perte de primes sur 6ha); pour des écarts >20%, l'éleveur perd la totalité des primes de l'année.

L'analyse:

La France n'a pas fait preuve d'autant de zèle dans la question des nitrates, pour laquelle un contentieux l'oppose à l'Europe depuis des décennies. Il est vrai que les lobbies de l'agriculture productiviste et des agro fournisseurs pèsent plus lourd que les éleveurs de montagne...
La mise en place des prorata pénalise de manière ciblée les systèmes d'élevage les plus autonomes, économes, respectueux de l'environnement des zones difficiles (piémont et montagne). Ces systèmes, souvent fragiles économiquement, perdront ainsi une partie de leur surface primable, dans un système en cascade (perte des aides découplées, mais aussi de l'Indemnité Compensatrice de Handicap Naturel (ICHN) et d'autres aides à la surface (aides bio par exemple).[la DDT de Lozère vient d'annoncer que les surfaces déclarées avaient baissé de 15%, soit 30 000ha, les éleveurs s'étant censurés par crainte des contrôles].Cette perte gommera les effets du rééquilibrage des primes et frappe spécifiquement des systèmes d'exploitation agro écologiques, producteurs de biodiversité et de paysage, et ce, en contradiction totale avec les objectifs de la réforme de la PAC. L'admissibilité pose de vrais problèmes d'aménagement du territoire, et conduira à des impasses techniques et environnementales chez les éleveurs qui ne voudront pas perdre leurs surfaces primables .

L'application de pénalités aggravera encore l'impact de ces mesures pour les exploitations d'élevage des zones difficiles, déjà malmenées par la crise de l'élevage.

Notre demande:
Les visites rapides doivent rester des visites pédagogiques, pour sécuriser la situation administratives des éleveurs. Les pénalités ne doivent pas s'appliquer sur les écarts relevés, compte-tenu du caractère subjectif des appréciations, et de l'impact des effets de seuil. L'éleveur doit pouvoir, au terme de la visite rapide, et sur les conclusions du visiteur, modifier sa déclaration sans pénalité.

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le Ministre,

La réforme de la PAC aurait du se traduire par un rééquilibrage des aides en faveur des éleveurs des zones fragiles et de montagne. Cependant, la mise en place de l'admissibilité leur fait perdre, par le biais de la réduction des droits à prime sur les "surfaces peu productives", le bénéfice de ce rééquilibrage.
Contrairement aux engagements que vous avez pris au printemps, les "visites rapides", présentées comme pédagogiques, entraîneront des pénalités: la double peine pour les éleveurs qui ont estimé au mieux leur prorata, dans un contexte réglementaire changeant.
Ces sanctions frappent de manière ciblée les élevages des zones difficiles, les plus économes, autonomes, producteurs de paysage et de biodiversité, bref, les systèmes agro-écologiques que vous appelez de vos vœux. Et ce, en totale contradiction avec les objectifs de la réforme de la PAC.

Je vous demande donc de confirmer le caractère pédagogique des visites à venir, et d'écarter l'application de pénalités.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de ma haute considération.

 

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81 commentaires

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Arrêtons le cercle infernal de la bëtise. Privilégions les vrais éleveurs

Werderer Jean-Marc
Le 19/02/2016 à 16:39:45

NON AUX PENALITES SUR LES VISITES RAPIDES!
Mobilisation le 1er décembre à CARCASSONNE !
à la DDTM bd Barbès
Les paysan-ne-s sont touché-e-s par la crise de l’élevage, la sécheresse, la FCO, leurs aides PAC ne vont pas être versées dans les temps…
Les déclarations PAC ont été très périlleuses, très compliquées, changeant tous les quatre matins et sans appui particulier. On reproche aux surfaces de landes, parcours, bois pâturés, etc. de ne pas être assez productives, on invente une usine à gaz pour les déclarer et maintenant, on met en place des visites rapides coercitives qui viendront pénaliser les paysan-ne-s qui ont déclaré de bonne foi leur surface,
Les petites fermes seront les premières pénalisées par les visites rapides,
Après avoir gavé l’agriculture industrielle de 3 milliards d’euros pour industrialiser les exploitations, voilà qu’on met en place un dispositif pour tordre le cou à des milliers de petites et moyennes fermes qui entretiennent et valorisent le territoire,
C’en est trop !
La Confédération paysanne appelle à se mobiliser :
TOUS les paysans à la DDTM de CARCASSONNE le MARDI 1er décembre !
 Venez remettre des châtaignes, des glands, des ressources fourragères non reconnues à la direction de la DDTM  !
Nous voulons des visites pédagogiques / de calage, NON pénalisantes !
Le maintien des surfaces pastorales est essentiel pour faire face au changement climatique. Dans le cadre de la COP 21, il serait malvenu de pénaliser ces surfaces qui ont un intérêt environnemental reconnu !
Les visites rapides pilotes se sont mal passées dans les départements tests.
Les visites rapides tests ont montré que les contrôles sont très subjectifs et qu’ils se font à la manière « marchand de tapis ».
Pour apaiser les esprits, le ministère a proposé aux chambres d’agriculture d’accompagner les paysans pour les rassurer et les inciter à baisser leur prorata s’ils ont déclaré trop de surface. Tous les paysans concernés ne sont pas accompagnés individuellement, contrairement au dire du ministre. Il y aura donc bel et bien de nombreux paysans pénalisés par les visites rapides.
Évidemment, revoir sa déclaration, c’est uniquement baisser, et non augmenter la surface déclarée. Nous ne voulons pas inciter les paysans à sous-déclarer leur surface qui ont une réelle valeur alimentaire pour leurs animaux !
Le dispositif mis en œuvre par le ministère n’est pas calé. Nous demandons à caler le dispositif ensemble. Nous demandons donc :
La réalisation de visites pédagogiques / de calage chez TOUS les paysans en anomalies pour sécuriser leur déclaration
Les visites doivent être NON pénalisantes ! Elles ont pour but de caler le dispositif. Les paysans sont d'accord pour réviser leur prorata en cas d'erreur, sans avoir de pénalité.
La reconnaissance de la valeur alimentaire de nos surfaces ! Comme l’explique Michel Meuret, INRA, les « surfaces peu productives de la PAC » se révèlent de valeur alimentaire proche de celles des prairies cultivées lorsque les animaux y sont conduits avec les savoirs faire appropriés.
Les petites fermes ne doivent pas être pénalisées : elles ne bénéficient pas ou peu de la réforme de la PAC, certaines d’entre elles perdront même des aides (prorata sur ICHN, planchers, etc) et elles seraient les premières impactées par des pénalités suite aux visites rapides. Nous sommes conscients que cette réforme de la PAC entraînera une augmentation très importante, voire aberrante des aides, pour les fermes ayant des grosses surfaces. Mais certaines petites fermes perdront en partie, voire en totalité leurs aides. Nous avons toujours revendiqué : des plafonds, pas des planchers ! Cette revendication a tout son sens pour limiter les effets de rente et maintenir les petites fermes.

Conf de l\'Aude
Le 24/11/2015 à 15:18:14

La politique agricole en général et particulièrement en zone de montagne est organisée pour faire suicider les paysans . L'administration européenne, ses commissaires grassement payés , ne sachant reconnaître un mouton d'une chêvre , un bouleau , d'un ormeau , organisent la pénurie alimentaire en supprimant les paysans et leurs savoirs faire . Ils en seront eux et surtout leur descendance les premiers à venir affamés , mal rasés frapper aux portes de quelques rescapés pour quémander quelques oeufs , un bout de fromage . Bien sur ils ne déclineront pas leurs fonctions passée. Qu 'ils aillent se faire foutre eux et la majorité des élus qui organisent la destruction de notre avenir commun .
La première énergie est l'énergie alimentaire . Il ne faut pas croire que celle ci est éternelle vues les décisions prises à Bruxelles ou Paris , ainsi que l'augmentation des pesticides dans nos aliments . Notre nourriture va devenir immangeable car manque de calories et d'intrants dangereux !!
Déja produire et vivre où est passé le nuage de Chernobil est un danger ....
bob bio

bob bio
Le 23/11/2015 à 19:06:20

les visites doit restés pédagogiques comme prevu

barny
Le 13/11/2015 à 18:51:57

La Confédération Paysanne offre une tribune en Ariège à Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture
http://www.ariegenews.com/ariege/agriculture_environnement/2015/96336/la-confederation-paysanne-offre-une-tribune-en-ariege-a-stephane-le-fo.html  

David Derrien
Le 11/11/2015 à 09:54:30

il y en a que pour les memes quand les zones de montagne ne seront plus exploitees on verra le resultat

fronton
Le 11/11/2015 à 09:14:38

Il faut changer ce systeme injuste de primes qui bénéficie surtout aux plus favorisés des agriculteurs , encourager la reprises des petites exploitations et tous ceux qui ont a coeur de travailler dans le respect de la qualité et de la protection de la nature .

JEANN
Le 10/11/2015 à 11:06:11

les visites doivent restés pédagogiques...comme annoncé précédemment

dojna
Le 10/11/2015 à 08:31:02

Les parcours de pâture bien gérés sont des armes anti-incendie et anti-érosion des sols des zones de montagnes. Les déjections d'animaux apportent aussi une fertilisation naturelle bénéfique pour les essences forestières qui mieux nourries retiennent mieux le sol lors des orages méditerranéens et cévenoles. Ceux-ci, avec le réchauffement climatique (COP 21 !), seront plus fréquents et plus violents. Pour éviter les « catastrophes dites naturelles » en aval des bassins versants, qui entraînent morts et dégâts économiques considérables, il est important de maintenir ces éleveurs courageux et expérimentés qui façonnent le paysage et entretiennent la biodiversité en même temps que cette agriculture de qualité.
Aussi, la réforme de la PAC, Monsieur le Ministre de l'Agriculture, devrait, grâce à vous, se traduire par un ré-équilibrage des aides en faveur des éleveurs des zones fragiles et de montagne. Oui à la visite pédagogique pour écouter les paysans des montagnes et les soutenir au lieu de les détruire.

L'Europe des peuples (pas celle libérale que nous avons majoritairement refusée par referendum en 2005 et qui nous a été imposée ensuite !) a besoin des paysans de zones difficiles, plus que de ceux qui, subventionnés par les contribuables, produisent surabondamment et exportent leurs produits agro-industriels concurrençant les cultures vivrières des paysans du Tiers-Monde qui sont éliminés, engendrant famines et émigration vers l'Europe. La boucle est bouclée de l'absurdité de ce système organisé. Je m'étonne que vous puissiez le soutenir, Monsieur le Ministre.

Michel
Le 10/11/2015 à 00:25:52

Moins de subventions PAC aux cultures polluantes et intensives qui n'en ont pas besoin et davantage aux paysans de cultures diversifiées et à la géographie plus contraignante. Et surtout aux paysans s'engageant dans les cultures bio.

Serge Salanove
Le 09/11/2015 à 20:16:18

Moins de subventions PAC aux cultures polluantes et intensives qui n'en ont pas besoin et davantage aux paysans de cultures diversifiées et à la géographie plus contraignante. Et surtout aux paysans s'engageant dans les cultures bio.

Serge Salanove
Le 09/11/2015 à 18:31:58

les visites doivent restés pédagogiques...comme annoncé précédemment

dojna
Le 09/11/2015 à 18:20:11

Je suis d'accord avec vous,Guy,mais vous ne pouvez pas imposer aux agriculteurs(surtout les petites exploitations) de choisir leurs modes et leurs préférences en matière d'élevage et de culture quant il s'agit de vrais paysans qui vivent de leurs labeurs et je pense qu'ils sont capables eux-mêmes de gérer la nature ou ils vivent.

ganseman
Le 09/11/2015 à 18:15:12


Je demande au Ministre de supprimer les pénalités sur les "visites rapides" et de rembourser celles qui ont déjà été appliquées.

PHILIPPE
Le 09/11/2015 à 17:58:03

Le texte incriminé, effectivement à faire supprimer, confirme que ses rédacteurs n'ont pas encore de connaissances sérieuses sur ce qu'est l'agriculture durable à développer, et d'urgence (nous sommes en retard, et avons pris de mauvaises habitudes) : une règle à suivre, de validité quasi mondiale, est de favoriser la culture (au sens des cultures annuelles) sur les meilleurs terres, et de favoriser l'élevage sur les moins bonnes terres. Et donc, a contrario (règle réciproque), de décourager l'élevage sur les bonnes terres (pour y laisser plutôt s'y développer des cultures annuelles). Or le texte, incriminé à juste titre, prêche l'inverse ! !
Je croyais (naïveté ? )que les experts européens étaient compétents dans leurs domaines ...

Guy OBERLIN
Le 09/11/2015 à 16:18:07

décidément, l'Europe c'est seulement l'Europe des nantis et des + gros

anne
Le 09/11/2015 à 16:08:11

vive les paysans

bernacci
Le 09/11/2015 à 15:40:30

La Confédération Paysanne offre une tribune en Ariège à Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture
http://www.ariegenews.com/ariege/agriculture_environnement/2015/96336/la-confederation-paysanne-offre-une-tribune-en-ariege-a-stephane-le-fo.html  

Alain UGUEN
Le 08/11/2015 à 10:33:07

Il serait bien qu'enfin les consommateurs (et contribuables) comprennent que les subventions européennes sont là pour maintenir des prix bas pour l'alimentation.

Si nous devions impacter toutes nos charges et des salaires sur nos prix de vente, et faire ainsi de JUSTES PRIX (et accessoirement vivre de nos activités), ils seraient multiplié par trois ou plus !

Donc en acceptant de ne subventionner que les industriels et de laisser crever les autres, on accepte implicitement de ne consommer un jour que de la nourriture industrielle car il n'y aura plus d'alternative...

Christel Le Luhandre
Le 08/11/2015 à 09:57:21

EN MAI IL ETAIT PREVU QUE CES VISITES RAPIDES SERAIENT SUIVIS D4UNE NEGOTIATION AMIABLE ET FINALEMENT IL N'EN EST RIEN ,c'est directement des sanctions
Et il va se passer la meme chose pour les haies avec des sanctions à la clé à chaque fois qu'un proprietaire abattra un arbre de la haie pour se chauffer

un anonyme
Le 07/11/2015 à 22:56:04

Nos décideurs s'occupent de ceux qui les engraissent.
Quand rendront-ils des comptes aux électeurs et aux contribuables ?

Denise Pinout
Le 07/11/2015 à 22:05:13

Faire disparaître les agriculteurs de montagne au profit des agro-industriels de la plaine, c'est un choix de société et de vie... mais il faut arrêter de faire croire au contribuable que ses impôts servent à aider les petits alors qu'on les enfonce un peu pus à chaque nouvelle décision !!!

Christel Le Luhandre
Le 07/11/2015 à 20:00:39

on sait qu'ils veulent vendre les terres à des multinationales, alors ces terres qui coûtent chères à travailler ne les intéresse pas; et pourtant quand nous vivrons une grande famine due à ces pratiques , il ne restera que les petits producteurs pour nous nourrir

tara
Le 07/11/2015 à 19:27:37

DANS LE CADRE DE LA DEFENSE DE L'ENVIRONNEMENT, ON NE POURRAIT PAS TROUVER MIEUX QUE DE S'ATTAQUER AUX PETITS PAYSANS.
MERCI L'EUROPE ! ENCORE 2O ANS COMME CA ET LA PLANETE SERA DEFINITIVEMENT FOUTUE .
BRAVO. CONTINUEZ

PROST
Le 07/11/2015 à 12:42:43


le
plaisir d'être et de faire ensemble
n'est pas quantifié par les technocrates et les fait tirer à leurs chaines.

joël
Le 07/11/2015 à 11:14:42

Que vient faire le loup dans cette histoire où il s'agit de résister aux mesures des puissants (l'agro-industrie) contre les petits (nous-mêmes)? Opposons-nous d'abord aux règles iniques de ce pouvoir européen dévoyé,puis on règlera nos soucis de cohabitation dans le calme.

Danse avec les loups
Le 07/11/2015 à 09:04:57

C'est un choix politique Européen et Français que de vouloir mettre un maximum de pression sur les petits élevages de façon à les faire disparaitre. les subventions de la PAC seront plus importantes pour les " gros éleveurs ou autres" qui résisterons.
Les territoires redevenus sauvages ( le loup n'est qu'un moyen à cet effet) seront financiarisé pour blanchir les consciences des pollueurs de toute nature.Mais la majorité de nos concitoyens manipulée ne voit rien venir et parfois participe à la fin d'un agriculture de proximité, non polluante, respectueuse de l'environnement et des consommateurs, facteur économique sur des territoires qui font vivre une population paisible et digne....

annette
Le 06/11/2015 à 08:00:00

Nos 80 chèvres pâturent en forêt sur 8ha et trouvent là un complément ligneux: genêts, feuilles, ronces, fougères, nécessaire à leur bonne santé: l'herbe seule ne les satisfait pas. En outre les années de sécheresse, comme cette année dans les Vosges,les feuilles qui tombent à l'automne constituent pour elles un bon fourrage: quasiment la moitié de leur ration en automne,et nous évite des achats de foin onéreux.

Bien sûr, et comme presque toujours, ces réalités de terrain ne sont pas connues (ou reconnues?) des technocrates de Bruxelles ou de Paris qui régissent les budgets de l'agriculture. Leur seul souci en ces temps de restriction est de diminuer les aides en faisant le moins de bruit médiatique possible.
Il est donc préférable de s'attaquer aux éleveurs de montagne, minorité dispersée peu représentée par le syndicat dominant.

Dans sont commentaire , Monsieur "Euryloque" plus encore que nos technocrates fait preuve d'une grande méconnaissance du monde agricole et des animaux: comme beaucoup il veut bien du loup, mais plutôt dans le jardin de son voisin.
Défendre la nature passe plus par la lutte contre l'industrialisation de l'agriculture responsable de la disparition 40% des d'espèce d'oiseaux et d'insectes, ces trente dernières années, que par le dénigrements des rares agriculteurs qui maintiennent la biodiversité sur leurs territoires.
Allez donc d'abord, monsieur le beau parleur garder les troupeaux de nuit, avec vos amis amateurs de loup, et aidez ensuite à ramasser les carcasses des brebis égorgées. Je doute que vous parliez ensuite pareillement.
Vous vous indignez pour le loup, mais pourquoi pas pour le ver de terre, , le carabe ou le traquet? Relisez la lettre aux aveugles, peut-être.

fred et franz
Le 04/11/2015 à 19:38:14

laissons donc vivre les petites exploitations qui font bien leur travail... et cessons de soutenir l'agro industrie !!

un anonyme
Le 04/11/2015 à 18:53:26

La seule solution sortir de l'union européenne,allez voir le site de l'UPR.fr vous en saurez un peu plus.

Brigitte Gandelot
Le 04/11/2015 à 16:22:18

Les éleveurs d'ovins restent les oubliés du système , en France on utilise de l'argent pour des tas de choses superflues voir inutiles ,exemple.. les sommes énormes dépensées p 'les Sports ' pendant que d'autres corporations 'souffrent ' et vivent chichement .mais tant pis ..c'est la France .

Monique Boeuf
Le 04/11/2015 à 15:10:30

70% de l'alimentation mondiale est fournie par de petites exploitations (FAO);On veut quoi? supprimer celles la meme qui ne polluent pas?
On nous ment! on marche sur la tete!

Jean Paul
Le 04/11/2015 à 11:59:31

Ce sont les mêmes qui veulent l'éradication des loups. Il est certain que je ne signerai pas non plus cette pétition comme Alain : les loups doivent avoir leur place dans la montagne. Les éleveurs ne veulent pas des règles européennes en ce qui concerne la préservation de la Nature, donc du loup, ils n'ont pas à toucher de subvention de cette Europe.
"les élevages des zones difficiles,(...), producteurs de paysage et de biodiversité" : c'est un mythe comme le montrent les études naturalistes.

Euryloque
Le 03/11/2015 à 22:52:04

Les agriculteurs qui vivent dans ces zones sont formidables, courageux, ne baissent pas les bras! Si on peut continuer à admirer ces paysages, à venir y passer les vacances, c'est grâce à eux…Ce sont de vrais héros! J'en connais!

un anonyme
Le 03/11/2015 à 20:09:26

Les subventions de la PAC sont calibrées pour les agriculteurs les plus productivistes, ceux qui ont le plus de surface disponible et qui gaspillent le plus de pétrole.

Si elles étaient attribuées en proportion du personnel qui travaille sur l'exploitation agricole, ce serait plus équitable pour l'agriculture biologique, qui demande de la main d'oeuvre. Accessoirement, ce serait bon pour l'emploi.
En attendant, boycottons la bidoche industrielle.

g56
Le 03/11/2015 à 20:09:09

Les paysans des zones sont déja pénalisés par les contraintes de travail et vont encore se faire sanctionner par les proratas.Nous vous demandons qu'il n'y ai aucune penalité pour 2015 comme vous l'avez annoncé au printemps

un anonyme
Le 03/11/2015 à 20:00:40

Soyons clairs:
Stéphane Le Foll, Ministre de l'agriculture, a annoncé le 30 avril que les contrôles des proratas sur ces surfaces dites "peu productives" seraient pédagogiques (SANS pénalités) pour cette 1ère année de mise en place afin que les paysans soient en régularité dans leur déclaration.
C'est ce qu'ont relayé une majorité d'administrations départementales pendant tout l'été.
6 mois après, ce même ministre nous annonce des contrôles AVEC pénalités en se couvrant sous le prétexte habituel de l'Europe.
Ce choix est purement politique et non contraint, Monsieur le ministre doit prendre ses responsabilités et ne pas infliger une double voire triple peine aux agriculteurs de montagne!!
OUI à la pédagogie et NON aux sanctions dans la mise en place des proratas sur les zones de montagne!

un anonyme
Le 03/11/2015 à 15:56:34

Je ne comprends rien à cette histoire qui me paraît complètement absurde.C'est pourquoi,je signe!

Monique CHAMPIOT
Le 03/11/2015 à 15:09:21

Je suis en parfait accord avec le commentaire d'Alain, c'est pourquoi je m’abstiens également.

ROYER Thi
Le 03/11/2015 à 13:05:33

simplifie l'administration avec un control necessaire et juste. Ne pas exceder les limiotes!

asun
Le 03/11/2015 à 12:30:59

comment se fait il qu il ny ait pas de normes claires pour qualifier ces paturages
evidemment cela prete a , importe quelle facon de voir!!!

michel girault
Le 03/11/2015 à 12:19:12

retrait des pénalités et rétablissement des droits à prime pour ces éleveurs qui participent à un élevage de qualité, au maintient de la biodiversité

Serge MOUREAU
Le 03/11/2015 à 12:12:35

l'action des troupeaux caprins et ovins dans les montagnes corses permet de créer des coupe-feux dans les endroits difficilement accessibles aux associations de bénévoles qui passent tous leurs hivers à démaquiser pour éviter les catastrophes en été : alors ... je signe !!! et je continue de démaquiser !

vergo
Le 03/11/2015 à 10:57:44

A quand la cohérence entre la préservation de la biodiversité et les modes de production agricole? La réponse consisterait-elle en l'abattage de loups , de chamois , d'ours , de renards laissant croire aux éleveurs qu'ils sont en concurrence ancestrale avec cet environnement qu'ils sont censés préserver ?
En signant , je fais confiance à leur bon sens et à leur perspicacité: Ne pas se tromper de cible ...Si le maintien de leur activité sur les espaces de montagne avec tout le corollaire environnemental et social est bien leur préooccupation réelle et honnête ,je suis solidaire de leur inquiétude.

Chantal Pennetier
Le 03/11/2015 à 10:51:23

Si la défense des petits agriculteurs et éleveurs doit être une priorité face aux agro-industriels de la FNSEA, cette pétition pose un problème de conscience aux défenseurs de la nature quand on constate les violentes attaques et destructions que subissent les loups, occupants des montagnes aussi légitimes que les bergers et leurs troupeaux.
C'est pourquoi, je m'abstiendrai aujourd'hui.

Alain
Le 03/11/2015 à 10:18:40

Réduction de droits à prime sur les surfaces peu productives.
Est-ce que cela va entraîner,surtout en zones de basse et moyenne montagne, encore plus de broyages, arrachages (souvent pratiqués en pleine période de nidification) et écobuages (illégaux pour la plupart) afin de transformer ces surfaces dites peu productives en surfaces productives pour conserver la prime ?
Cette mesure ne risque-t-elle pas d'encourager de mauvaises pratiques peu respectueuses de l'environnement ?
Et la biodiversité dans tout ça ? Elle ira se faire voir ailleurs ?!
Au lieu de sanctionner, encourageons plutôt les éleveurs et agriculteurs à préserver la nature dans toute sa richesse.
Aidons-les à vivre dignement de leur activité tout en protégeant la biodiversité.

Frawald
Le 03/11/2015 à 10:14:53

Oui, effectivement, en Auvergne, dans les zones de montagne les plus reculées et les plus rocheuses (plateau de l'Artense), les éleveurs ont la visite de gens qui ne connaissent rien à l'agriculture, qui regardent vite fait le terrain et jugent qu'il y en a une partie où les vaches ne peuvent pas paître (totalement faux, les vaches vont partout par ici, même si le terrain n'est pas trop beau, elles ne font pas les difficiles, elles !) et partant de là, vous disent que cette partie de votre exploitation sera retirée de la surface retenue pour l'attribution des primes (et ce ne sont pas les primes des exploitations céréalières comme celles de monsieur le président de la FNSEA, on en est loin !). Encore une fois, les petites structures sont un peu plus enfoncées, les taux de suicide n'ont jamais été aussi hauts par ici, mais qui s'en soucie ? Que tous les bureaucrates, technocrates et emmerdeurs confondus viennent un peu mettre les mains dans le cambouis et voir comment on fait pour vivre par ici, ça nous ferait faire de sacrées économies :-))) Un peu moins d'école et de bourrage de crâne et un peu plus de terrain, voilà ce qui ferait du bien en France, en Europe et même ailleurs sans doute... rien ne sert de faire des commentaires et des visites bâclées sans savoir comment ça se passe au quotidien et par où il faut passer pour boucler les fins de mois avec même pas 1000 euros net et bosser 7 jours sur 7. Alors oui, je signe, et en connaissance de cause.

Annie Charbonnel
Le 03/11/2015 à 09:35:32

Les éleveurs de montagne.. ; quels éleveurs, ceux qui tirent sur les loups ou les ours ?? auquel cas, je ne signe pas cette cyber @ction !!

Alain P

Alain P
Le 03/11/2015 à 09:01:23

si l'avidité de pouvoir des hommes faisait du bien, ça se saurait ! (humour de merde)

lu
Le 03/11/2015 à 00:34:14

Le Ministre est plus "vigilant" pour aider l'agriculture productiviste que pour protéger le pastoralisme dans des régions plus déshéritées mais tellement riches de biodiversité

Jean Claude GUILLEMET
Le 02/11/2015 à 23:47:14

c'est le monde à l'envers, jusqu’à qu'il n'y en est plus !

Pascal BERLAND
Le 02/11/2015 à 22:50:31

ce sont les primes (500 à 700€ à l'hectare) données aux céréaliers lesquels polluent, gaspillent l'eau, produisent peu d'emplois, détruisent la biodiversité, qu'il faudrait supprimer et les attribuer à ceux qui produisent une nourriture saine dans le respect de l'environnement.

un anonyme
Le 02/11/2015 à 22:14:58

L'attitude de nos représentants politiques face à l'agriculture et l'élevage respectueux de l'environnement et de la santé me scandalise . De beaux discours dans le meilleur des cas quant aux mesures dignes de ce nom on les attend encore !
une végétalienne qui ne jure que par le bio

PAULE VAISSE
Le 02/11/2015 à 21:51:13

C'est très difficile de porter un jugement sur ces décisions. Par contre, je pense qu'il faut aider ces éleveurs car ils aiment leur métier et entretiennent ces espaces escarpées qui, sans eux, deviendront des friches et par la suite ingérables et impénétrables.
Don, je vote.

MADELEINE BRAUD
Le 02/11/2015 à 20:40:13

non hélas les éleveurs de moutons n'ont "rien " a attendre des Gouvernants Français , ni Européens qui ne pensent qu'a leur ' énorme ' salaire honteux ! pendant qu'il y a de plus en plus de 'malheureux et même qui dorment dans les rues .





Monique BOEUF
Le 02/11/2015 à 20:36:27

J'ai 83 ans, je ne décolère pas de constater les actions dirigées par la finance pour détruire les petits et moyens exploitants qui ont choisi un idéal de vie sain et des méthodes de production de qualité garantissant à nos petits enfants et nos enfants un monde propre. Je soutiens les travailleurs de la Terre qui œuvrent dans la foi, l'amour de leur métier et le respect des consommateurs qui devraient les soutenir avec beaucoup plus de compréhension de leurs difficultés. Je suis entièrement d'accord avec tous les commentaires qui suivent.

un anonyme
Le 02/11/2015 à 20:19:11

je 'confirme ' entièrement à 100 % l'avis de CARABE ,et de toutes façons le Ministre de l'Agriculture comme tous les autres Ministres et le Président ..savent bien qu'ils sont 'cuits ' et qu'ils devront 'dégager ' au Printemps 2017 , et ceux qui les remplaceront ..on les connait ! et 'rien ' ne changera y compris pour les éleveurs , sauf si le Projet de Mr CARABE..se réalise en mettant les Gouvernants Français et Européens ..à genoux ..

PIERRE MAURIT
Le 02/11/2015 à 20:15:04

L'État doit protéger le pays et ses paysans avant tout.

Anton PINSCHOF
Le 02/11/2015 à 19:34:21

Et si on aidait les projets agricoles en fonction de leur impact environnemental et social...

benoit Aubineau
Le 02/11/2015 à 19:23:57

Il est bien évident qu'entre la ferme des 1000 vaches, celle des 1000 veaux et celle des 1000 cochons dans lesquelles les animaux souffrent et qui pourrissent l'environnement qu'il faut "arroser" de primes conséquentes et les petits et moyens élevages il n'y a pas photo. Car l'élevage de montagne, du fait même de la "pauvreté" des sols concerne essentiellement des troupeaux d'ovins (surtout) et de caprins très moyens. (les vaches corses sont une anomalie mafieuse qui ont bénéficié de complicités politiques). Tout comme les gros céréaliers raflent toutes les primes au détriment des petits et moyens agriculteurs respectueux de l'environnement et la qualité de leur production. A la veille de la COP21, vaste escroquerie morale, cette décision montre bien que les politiques se moquent éperdument de sauver l'Humanité et la biodiversité de la planète. Les éleveurs de montagne devraient être félicités, nos politicards stupides et rapaces, les ruinent. Il n'y a sans doute pas assez de suicides de petits exploitants. Je voterai nul tant que ces pantins auront le front d'être candidats à une quelconque élection.

mireille
Le 02/11/2015 à 18:55:33

Je ne comprends pas tout mais au moins une chose: c'est toujours sur les petits qu'on tape, et nos technocrates n'ont aucun sens de la réalité. Avant d'accéder à des postes de responsabilité, nos décideurs feraient bien de faire un long stage d'immersion sur le terrain!

Brigitte Vercez
Le 02/11/2015 à 18:32:40

dresser les uns contre les autres pour mieux régner (écolo chasseurs paysans etc ) pour que la montagne ne servent plus que de lieux de ski qui rapporte de l'or (blanc ? ) aux crapules de banques et autres investisseurs !!

ALAIN MAURICE DROUVILLE
Le 02/11/2015 à 18:01:37

Il semblerait que ce ne soit pas le loup le plus nuisible.

Ydrat
Le 02/11/2015 à 17:45:18

Il ne faut plus rien attendre de nos représentants politiques. Encore moins des technocrates de Bruxelles, jouets des lobbies de l'agrochimie. Ce ne sont que gabegies! Il n'y a plus qu'une seule attitude : s'organiser entre citoyens animés par les mêmes valeurs. Créer des AMAP, boycotter les grandes surfaces, faire pression auprès des communes pour des cantines fournies par des producteurs de proximité capables de montrer leur travail, organiser des filières de distribution directes entre consommateurs et agriculteurs pour valoriser la qualité. Nous avons encore le pouvoir de nos petits porte-monnaie mais mis tous ensemble, ça fait une sacrée cagnotte!

CARABE
Le 02/11/2015 à 17:21:31

Je ne signe pas cette pétition; je n'y comprends rien et en particulier pourquoi reprocher des visites à ceux qui ont justement besoin de voir les difficultés des éleveurs?

le benêt de service
Le 02/11/2015 à 17:08:10

Pas très positive l'attitude du gouvernement !

Boéri
Le 02/11/2015 à 16:48:45

Entendu sur les radios ce jour 2 novembre :"L'alerte à un pic de pollution en région parisienne est dû au beau temps"

Désinformation : quel que soit le temps c'est dû aux émissions de particules fines et aux émissions plus qu'excessive de CO2.

Quand les journalistes arrêteront de mentir en direct, qui peut saisir le CSA pour informations mensongères

Non à la croissance idiote
Le 02/11/2015 à 16:47:17

Cette décision technocratique ne tien en aucune façon compte de la réalité de terrain.Quelques uns de ces messieurs qui croient tout savoir mais qui ne savent rien se sont-ils seulement rendus sur le terrain pour approcher la réalité quotidienne ?Pensez-vous!Ils ont trop peur de salir leurs chaussures de marque dans la gadoue.

louis pastoret
Le 02/11/2015 à 16:13:10

Serait-ce le retour de bâton des abus réels sur les primes à la vache virtuelle? J' ai vécu en Corse...

Cheyenne
Le 02/11/2015 à 16:07:59

Les technocrates sont trop souvent dotés d’œillères, incapables de d'introduire tout ce qui n'est pas dans leur champ immédiat d'action. L'agriculture de montagne n'a pas le rendement de celle de la Beauce (avec ses intrants toxiques) ? Elle ne mérite donc pas d'être aidée ! Raisonnement d'une complète stupidité. Sachant que les espaces ne produiraient rien du tout sans cette pratique il serait plus juste de considérer un rendement infini (Division par zéro). Sachant que cette agriculture repose sur la sobriété, elle est créatrice d'emplois. Sachant que l'entretien respectueux de la montagne repose sur cette activité (pas sur le tourisme) elle devrait plutôt être chaudement encouragée et aidée plus que tout.

JP Verneret
Le 02/11/2015 à 15:56:37

Veuillez trouver ci-dessous la circulaire de Mr Valls d'août dernier qui donne ses instructions aux services
pour ne pas sanctionner les exploitants.
http://www.cyberacteurs.org/pdf/cir-39892-1-_66.pdf  
Hélas si cela peut aider certains éleveurs corrects, c'est un encouragement pour les autres qui ne le sont pas du tout !
cordialement
Jacques J
http://www.terres-rivieres.org  

Jacques J
Le 02/11/2015 à 15:16:42

DEPUIS 20 ans (et plus suivant les cas) le memes refrains : Tout aux riches rien aux autres.
et ça empire.
qu'est-ce qu'on fait pour que cela change VRAIMENT.
Dans tous les domaines c'est pareil !

et nos gouv. meme dits de gauche servent les rentiers pas la population...

On les deboulonne quand ?

un anonyme
Le 02/11/2015 à 14:43:38



les terriens connaissent bien le vivant et l'environnement;attribuons leur notre confiance
ils nécessitent notre aide et notre compréhension d'un monde rural et de son écosystème; eux seuls demeurent les garants d'un avenir
n'abandonnons pas l'agriculture et l'élevage aux politiciens, gestionnaires et administrateurs

mondo
Le 02/11/2015 à 13:21:49

Encore une décision technocratique déconnectée des réalités de terrain, y en a marre !

Dominique Seydoux
Le 02/11/2015 à 13:06:05

L'aide devrait revenir en priorité à ceux qui ont à cœur d'œuvrer pour la qualité et non pour le rendement. Nos santés, celles de nos enfants et petits-enfants passent par eux. Et qu'ils soient remerciés. Il est donc bien normal de les soutenir.

Guillemette47
Le 02/11/2015 à 12:59:14

encore une mesure qui favorise l'industrialisation de l'agriculture .les dirigeants ( nos elites comme ils aiment s'entendre appeler ) de l'europe en general et de la france en particulier ont décidé depuis longtemps que les petites et moyennes fermes devaient disparaitre au profit des grosses exploitations soit-disant plus rentables.....
on va droit dans le mur et on accélère !

D.M
Le 02/11/2015 à 12:31:25

Vaut-il mieux des fermes surpeuplées et des bêtes alimentées avec des produits de synthèse ou laisser gambader les moutons dans la montagne et se
nourrir de la nature? pour moi, y a pas photo! Si nous voulons de la viande bio choisissez la montagne et aidez les paysans en les soutenant par des aides conséquentes.

cheap
Le 02/11/2015 à 11:45:10

Les aides doivent aller prioritairement aux agriculteurs de montagne, à ceux qui ont opté (pour notre santé et notre bien-être à tous) pour le bio et à ceux qui sont en conversion bio.
Les grosses exploitations et toutes les filières productivistes et industrialisées devraient revenir à une agriculture à dimension humaine (dans tous les sens du terme) selon un calendrier à déterminer intelligemment. Sinon leurs primes devraient être réduites en conséquence des engagements non tenus.

HELIANE ROBERT-ROMPILLON
Le 02/11/2015 à 10:56:53

Je souhaite que les responsables paysans mènent une action compréhensible par les consommateurs, car ce sont eux par leur choix de société et leur respect de la santé de leurs enfants et de leurs petits-enfants qui ont la clé. Ensont-ils meme conscients tant les incivilités imprègnent les esprits.Nous-memes nous sommes tellement dispersés dans nos actions.A certains pleins de bonne volonté, comment les joindre?

un anonyme
Le 01/11/2015 à 11:23:00

Monsieur du ministère, lachez la grappe au éleveur paysans!

yves le masson
Le 30/10/2015 à 19:32:37

Citoyens, consommateurs, élus, acteurs de l'agriculture et paysans, il faut soutenir l'agriculture de proximité, éviter la déprise rural, soutenaient cette action.

un anonyme
Le 30/10/2015 à 18:23:59

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