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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Pour un nouveau moratoire sur les OGM

Le conseil d'Etat a annulé lundi la suspension de culture du maïs OGM de Monsanto prise par le gouvernement français en février 2008 et remise en cause depuis par la Cour de justice européenne.

"Le Conseil d’État relève que le ministre de l’Agriculture n’a pu justifier de sa compétence pour prendre les arrêtés, faute d’avoir apporté la preuve de l’existence d’un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l’environnement", a indiqué le Conseil dans un communiqué.

Bilan de la cyberaction :

10190 participants

Présentation de la cyberaction :

S’IL LE FAUT, NOUS RETOURNERONS DANS LES CHAMPS DE MAïS AU PRINTEMPS PROCHAIN
 
Suite à la levée de la clause de sauvegarde sur le maïs Mon810, les semences OGM risquent d’être commercialisées et vendues au printemps prochain.

Il est URGENT que le gouvernement rende effectif un nouveau moratoire. Le dossier du Mon810 comporte encore plus de preuves à charge qu’en 2008 : problèmes de santé, miel contaminé, insectes résistants, …

Une course de vitesse est engagée ; Monsanto et ses amis sont prêts à distribuer dans nos campagnes leurs chimères brevetées et contaminantes, et mettre tout-le-monde devant le fait accompli : gouvernement, paysans et consommateurs.

La France a la possibilité dès aujourd’hui de déposer un moratoire qui prend en compte les décisions politiques de l'union européenne, notamment en ce qui concerne la modification des évaluations, quel que soit l'avis de la commission européenne .

Nous sommes déterminés à engager toute action permettant d’éviter tout nouveau semis au printemps prochain.

Nous réaffirmons notre opposition à tous les OGM en plein champ, qu’ils soient transgéniques ou issus de mutagénèse, qu’ils soient destinés à l’alimentation animale, humaine ou aux agro carburants, qu’ils soient produits chez nous ou ailleurs.

Le Collectif des Faucheurs Volontaires, le 29 novembre 2011

Nous vous proposons de vous mobiliser pour associer le plus grand nombre de citoyens à cette demande urgente

Alain Uguen
Association Cyber @cteurs

La lettre qui a été envoyée :


Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement,

Madame la Ministre,
Il est URGENT que le gouvernement rende effectif un nouveau moratoire. Le dossier du Mon810 comporte encore plus de preuves à charge qu’en 2008 : problèmes de santé, miel contaminé, insectes résistants, …

La France a la possibilité dès aujourd’hui de déposer un moratoire qui prend en compte les décisions politiques de l'union européenne, notamment en ce qui concerne la modification des évaluations, quel que soit l'avis de la commission européenne .

Nous réaffirmons notre opposition à tous les OGM en plein champ, qu’ils soient transgéniques ou issus de mutagénèse, qu’ils soient destinés à l’alimentation animale, humaine ou aux agro carburants, qu’ils soient produits chez nous ou ailleurs.

Je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma plus haute mobilisation.

 

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32 commentaires

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marco m'a convaincue...je l'étais déjà mais j'ai besoin d'informations pratiques: quelle machine utilise-t-il?pour fabriquer ce BRF?
merci d'avance
ghislaine

genest
Le 10/02/2012 à 19:54:24

Le lisier ? Non, mais !

D'après le dictionnaire Larousse, le lisier est "un mélange liquide des urines et des escréments des animaux domestiques, en particulier des bovins et des porcins, servant d'engrais"...

Ayant été un agriculteur professionnel, je fabriquais du lisier "naturel" et j'affirme la justesse de la définition du dictionnaire Larousse.

L'anonyme ci-dessous raconte n'importe quoi !

Jean-Marc
Le 16/01/2012 à 23:27:16

Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent le lisier n'est pas un produit naturel!
Dans la nature la vache fait pipi et caca séparément. Le lisier est un mélange des deux et fermenté d'une façon non naturelle ce qui a comme conséquences de polluer et empoisonner le sol et la nappe phréatique.

un anonyme
Le 15/01/2012 à 02:41:44

La Terre et l’Eau
D’abord, merci à Michelle BRUN pour son article à ce sujet paru dans le PUBLIAÏRE dernièrement.
Oui, il faudra se réveiller car l’eau propre va manquer bientôt, peut être manque t’elle déjà ? En tous cas elle devient de plus en plus chère. Par exemple, l’eau en bouteilles à 100 euros le mètre cube pour les sources raisonnables, et 330 euros pour certaines autres ! Quant à l’eau du robinet son prix est justifié, parait-il ?
Notre gestion de ce fameux liquide est désastreuse et cela depuis fort longtemps : assainissements tout à fait imparfaits, cultures submergées entrainant dans les profondeurs phréatiques les sels minéraux et les engrais chimiques qui souillent les cours d’eau …
Bon, et si nous parlions de celle qui sert à arroser nos légumes !
Généralement employée en trop grande quantité, elle donne de la turgescence aux légumes c'est-à-dire du volume pour très peu de matière sèche. Il en résulte une perte de goût.
Elle est souvent aussi responsable des maladies de la plante. Gaspillage non pas tellement d’elle-même mais des valeurs nutritives de la plante. Autre gaspillage : lorsqu’elle est employée en mélanges avec des produits phytosanitaires, pesticides et autres désherbants.
Notre agriculture intensive sait très bien faire ces choses et pourtant il y a d’autres alternatives mais très peu de monde en parle. Cela coûterait très cher dit on ! Mais toute cette pollution, ne faudra t-il pas la payer ? Et, bien sûr, les plus gros payeurs seront les plus pauvres d’entre nous ! Et pas seulement par l’argent mais aussi par le risque de maladies, cancers, dégénérescences, etc.
Alors laissez-moi vous parler une fois de plus du BRF !

Le BRF Qu’es aquo ?
Vous vous souvenez bien ? Ces petits bouts de bois peuvent sauver notre eau, notre nourriture, notre santé, notre atmosphère, notre air, et nous occuper à tout autre chose qu’à faire la guerre ! Mais voila, pour cela il va falloir mobiliser des énergies difficilement mobilisables… à commencer par la notre car il y a des choses qu’il faut oublier et d’autres qu’il faut adopter.
• L’alternative au feu :
Le feu ne sert à rien sinon à se débarrasser des encombrants plastiques, pneus, chiffons, huiles de vidange. Et la plupart des gens y mélangent des végétaux de taille ou de débroussaillage… Et alors ça pue pour ceux qui sont sur le passage des fumées ! Pour le linge qui sèche « ô quel bonheur madame ! Il ne vous reste plus qu’à le relaver et le désodoriser, formidable !».
NON, une logique doit être mise en place par les responsables de l’assainissement afin de gérer ces déchets qui ne demandent qu’à être valorisés.
Petite citation biblique pour imager : DIEU dit à Adam : « La terre te fera germer des épines » ! Bien sûr, les épines ça pique ! Mais c’est aussi un très bon matériau pour l’aggradation des sols une fois transformé en BRF.
Les déchèteries sont pleines de ce matériau mais tout est mélangé : les branches de feuillus et celle de résineux, tout ensemble. Seulement voila, les résineux dégradent le sol alors que les feuillus, eux, l’agradent. C’est donc ceux là qu’il nous faut ! Alors quelle technique employer ? La MANIF ? Bof… Mais en parler autour de soi… moi je fais ça et vous ?
Vous voulez de plus amples explications ? Venez les demander ! Des résultats ? Venez voir ! A savoir tout de même au sujet des résineux, une fois broyés très fin ils peuvent devenir un désherbant naturel pour les allées car rien ne pousse sous les résineux.
L’agriculture de « papa » est donc terminée pour ceux qui le veulent, ceux qui se comportent en citoyens responsables dans le développement durable.


L’utilisation des BRF :
C’est un moyen privilégié permettant la restauration du système humique.
La structure de la lignine qui est une des composantes du bois avec la cellulose et l’hémicellulose, lignine de type syringyle c'est-à-dire de feuillus, a une importance considérable car elle est à la base du premier maillon de la bio transformation des litières.
Une structure différente amène des organismes bio transformateurs différents (mycéliums bruns issus du résineux, ou blancs qui viennent sur les feuillus). Elle donne, par conséquent, des produits différents, dépendant de l'influence exercée par les facteurs abiotiques (climat, teneur en argile...). De plus, mis à part le feuillage et les radicelles, les rameaux sont les parties les plus riches de l'arbre en (N, P, K...). Les rameaux contiennent peu de polyphénols (tanins) et possèdent une lignine peu polymérisée ce qui fait du BRF un substrat de qualité. Cela Permet de stimuler les chaînes trophiques (ensemble des êtres vivants dans le sol) notamment la micro méso macro faune, qui, par broutage des mycéliums sapides, permet une minéralisation rapide même à un ratio C Carbone / N azote élevé. La faune favorise le recyclage des nutriments. Les BRF, eux, favorisent la formation d'humus.
Ce qui distingue les BRF des amendements agricoles (engrais, fumiers, composts), c'est leur teneur en lignine et leur qualité en tant que substrat. La dépolymérisation de la lignine par les Basidiomycètes de Mycélium blanc est le facteur le plus important, qui, via les polyphénols et leur polycondensation oxydative, permet la formation d'acides fulviques et d’acides humiques. Ce système, contrairement aux activités agricoles et forestières actuelles, est essentiellement basé sur l'humification. L'humus étant une interface entre le sol minéral et la végétation, sa restauration favorisera l'aggradation du système dans son entier. Il semblerait que les polyphénols dérivés de la dépolymérisation de la lignine, de biosynthèses microbiennes ou d'exsudations racinaires ou foliaires soient à la base de la stabilité et de l'effet régulateur du système humique. Ils sont fortement impliqués dans la conservation et dans la prévention des pertes de nutriments puisqu'ils empêchent la minéralisation des litières à l'automne. Ils évitent ainsi une décharge de nitrates dans le milieu à une période où aucun organisme n'en nécessite ce qui limite les pertes par lessivage.

Au regard des expériences menées sur mes parcelles depuis mars 2002 et l’enseignement reçu de 1988 à 1991 par le test « Oasis » selon JEAN PAIN, les informations ci-dessus sont très concordantes
Les BRF soumis à l’action mycélienne en litière ou en incorporation dans les premiers centimètres du sol donnent un humus très lié c'est-à-dire gras et très résistant au lessivage. De plus, les mycéliums blancs et la racine des plantes créent ainsi une symbiose que l’on nomme mycorhize. La plante donne au champignon l’azote qu’il ne sait pas capter faute de photosynthèse et le champignon apporte du phosphore, des antibiotiques et surtout de l’humidité en période sèche aidé pour cela de la micro faune, la méso faune et la macro faune qui cohabitent dans la zone.
La faune du sol, ainsi constituée, trouve une nourriture si abondante que sa démographie explose à tel point que le sol primaire est perforé très profondément ce qui permet à la pluie de rejoindre rapidement la phréatique étant, au passage, épurée par les champignons.
Imaginons un instant des sécheresses extrêmes où la végétation de notre jardin ne souffrirait pas ! Impossible me direz vous !
Et pourtant, l’année 2003 nous avons effectué un test : nous avons apporté :
Un demi litre d’eau à chaque individu après plantation le 25 mai,
Un litre d’eau le 14 juillet parce que fête nationale !
Un litre d’eau le 8 août pour cause de départ en vacances…
Et c’est tout ! Le ciel a fait le reste.
Le même test a été repris en 2004 où il nous a fallu, en tout, trois fois un litre d’eau à peu prés aux mêmes périodes car la pluviométrie de mai à début aout a été de 10 mm pour 100 mm en 2003.
Ce procédé a été d’autant plus expérimenté cette année 2011 pour laquelle la pluviométrie a été presque nulle depuis le mois de juin. Les réserves d’eau de mon puits sont devenues si basses que la pompe se désamorçait après cinq minutes de pompage avec un temps de récupération de plus en plus long qui ne permettait que des arrosages superficiels destiné évidement a mes cultures florales. Les cultures potagères elles n’ont plus rien reçus depuis fin juillet.

Dix années d’études et d’expériences m’ont amené à vous communiquer quelques unes de mes réflexions. Donner le peu de savoir que j’ai acquis ne me coûte rien car je suis convaincu que d’autres peuvent le faire grandir pour le partager avec la communauté pour le bien de tous.
Pour que les dons de la nature ne soient pas gaspillés, que les pollutions et les nuisances soient évitées, nous devons passer à autre chose. L’agriculture conventionnelle (avec intrants chimiques) ou l’agriculture qui s’appuie sur des engrais organiques qui sont chargées de sels minéraux, en grande quantité, qui au moindre arrosage se dissolvent et vont souiller les eaux souterraines. En plus les plantes sont envahies par la nourriture enfin gavées comme les canards
Souvenons-nous aujourd’hui, 18 octobre 2011, des quatre mois de sécheresse et admirons la nature. Elle vit encore et si nous voyons des signes de fatigue elle resurgira, se guérira et au printemps sera belle comme toujours ! Et qui sera allé la guérir ? Vous ? Moi ? Non… Elle a, elle-même le pouvoir de se tirer des sables mouvants sans l’aide de personne.
Vous avez essayé ?

• Récupération des eaux de pluie :
Vingt centimètres de couverture de BRF suffisent pour qu’en trois ans toute l’eau de pluviométrie annuelle soit absorbée par le sol car sa vie est réveillée. Une multitude de bestioles se mettent alors à bouger, à manger, à creuser et il n’y a plus d’érosions, plus de sols mous où l’on s’enfonce et nous salissons les pieds…
Les relevés pluviométriques mentionnés dans le dernier Publiaïre (texte de Jean Teissier) donnent une notion approximative de la pluviométrie annuelle : 65 cm à Montpelier, 1m30cm à St Martin de Londres, 2m28cm au Mont Aigoual et bien pas une goute ne ruisselle dans un sol BRF. Tout est bu ! Alors en voila de l’eau ! Celle là c’est de l’économie ! De plus, il est bien connu que le jardinier fume son jardin avant les plantations. Et bien savez vous que 20 cm de BRF amende votre sol pour 7 ans ? Voire plus, car le bois c’est du carbone donc il stocke le co2. Et ce n’est pas tout ! L’humus qui est produit par la bio transformation due aux champignons ne se lessive pas ou très peu car ces champignons favorisent la propreté de l’eau.

. Les champignons assainisseur

Quand le mycologue, Paul STAMETS, suggère que les champignons peuvent aider à sauver la planète, il est absolument sérieux. En fait, il affirme qu’ils peuvent la sauver de plusieurs façons différentes. Les champignons peuvent absorber les substances toxiques de leurs environnements (comme les métaux lourds, les fuites de pétrole et la radioactivité).
Des partenariats fongiques peuvent révolutionner nos méthodes agricoles et nous pouvons guérir les écosystèmes forestiers endommagés grâce aux champignons.
La recherche médicale se tourne de plus en plus vers les champignons pour essayer de fabriquer de nouveaux médicaments (contre le cancer notamment).
Paul STAMETS est un des visionnaires de notre temps. Il révolutionne notre façon de voir les champignons et nous explique comment ils peuvent nous aider à sauver la planète.
Ces derniers sont les assainisseurs de toute la planète comme dit ci-dessus. Il ne faut pas confondre leurs carpospores qui sont leurs fructifications avec le mycélium, qui lui, est leur appareil végétatif. Même si les retombées radioactives souillent les chapeaux qui ne sont plus comestibles, il n’en reste pas moins qu’après maturité la semence est encore plus performante
Pour digérer les matériaux nocifs.

Marco

marco
Le 09/01/2012 à 19:40:09

ARf cyberaction périmée ???
je veux bien croire au dernier post de tatou que la forme de l'action est un peu maladroite jouant en la défaveur de la résistance au don que l'on fait fait de fort pouvoir à des apprentis-chimistes des dernières décennies comme mosanto, ne donnant pas de légitimité au principe de précaution. J'en vois plus d'un argument potentiel, mais personne pour les appuyer plus...
je suis pas contre remettre en cause les études actuelles si l'on montre en quoi elle ont de fortes chances d'être trop subjectives (sujet trop simplifié alors qu'un écosystème est animé par des phénomènes plus complexes et imbriqués pouvant renverser une théorie qui est unanime un moment périssable => la précaution)
mais il manque d'appui d'exemples de risques alors qu'on a dû en observé plus d'un (je veux bien croire que les rapprocher d'un cas théorique c'est pas évident)

je verrais bien des idées autour de cette réaction :
Il est URGENT que le gouvernement rende effectif un nouveau moratoire. Le dossier du Mon810 soulève une grande problématique. En effet, proposer dans une liste fermée un produit issu d’une technologie (trop ?) récente (à en voir le débat si actif en France d’autant plus et par une grande multinationale) contraint les paysans à devoir se positionner en méconnaissances de causes. À l’heure du déchaînement des problèmes de santé (dit de civilisation, justement questionnons-nous sur les changements récents), contamination du résidu de la manipulation génétique par technologie moderne, nouvelles résistances des insectes, etc, autoriser de nouvelles semences créées toutes ou partie par des manipulations (brutales et forcées) à des paysans qui n’ont pas l’expérience de ces « ingrédients » disponibles dans des quantités colossales et qui pourraient faire l’objet de cocktails semenciers dévastateurs de la biosphère, comme on proposerait à de simples abeilles (simple vis à vis de leurs intentions de maîtrise des éléments) de n’utiliser que certains pollens dont ceux proposés par une multinationale qui vient de créer en labo une nouvelle plante et a de plus grands moyens de se faire connaître et de diffuser => risque de concurrence déloyale et monopole de la décision au vivant par une intrusion brutale d’un produit assimilé de « synthèse » alors que les techniques actuelles ne savent expliquer certains principes de bases (voire les problèmes de santé basiques de carence alimentaire, système immunitaire ou basculement écologique…).
Dans tous les cas, autoriser ce type de gène Mon810 induit un fort risque de déversement intensif d’un pool génétique limité, l’un des buts de l’OGM est justement de créer un produit non diversifié luttant contre la diversité (ou une soi-disant menace qui peut être due au fait simple de faire de l’exploitation intensive favorisant la menace elle-même, comme de jeunes conquérants agricoles furent/seront victimes de grosses pertes menant au fatal choix du recours toxiques aux pesticides de masse ou à l’abandon des hectares dévastés par des « nuisibles » que nous avons collectivement érigé à ce statut en leur offrant cette capacité qui n’était pas dans leur nature passée mais étiquetée par nos nouveaux jugements de valeur). Cela paraît contre-nature, jusqu’à la preuve que nous prouvions qu’un système de culture de ce type de semence est viable. Une autorisation devrait suivre une recherche qui prend en considération la culture de semences parmi la survie d’un écosystème entier. Or déjà l’état des sols en termes d’activité biologique des cultures prévues avec le Mon810 me semble contre productif à long terme et dangereuse pour la pérennité de le fertilité des terres.

Sans compter que la culture de maïs dans nos territoires de plus en plus appauvris en eau devient de plus en plus discutables. Pourquoi n’avons nous pas un moratoire sur les semences de maïs. Et surtout simplement car nous avons une réglementation sur les semences qui dirigent déjà les grandes orientations de culture, la proportion des types de produits cultivés. Or d’un point de vue écologique, cela semble être un non sens de ne pas induire de quoi assurer le maintien suffisant des ressources utilisées par les cultures déjà règlementées.
Soient les paysans sont libre d’utiliser les semences, et l’on agit en limitation sur les volumes de produits cultivés qui portent un risque de péril écologique localement ou globalement sur le pays,
Soient les semences sont règlementées comme actuellement, et un système (taxation intelligente) relativise le coût du producteur de semence en y faisant jouer les impacts sur l’écosystème (le maïs est peut-être fortement sous-évalué)

Que le mot précaution ne soit pas une joli mot que nous apprenons illusoirement à nos enfants !

Fais
Le 03/01/2012 à 16:04:19

une des trop nombreuse manifestations du pouvoir du capital, évidemment au détriment de la pérennité du vivant pris dans son sens universel . On est entrain de créer des ''Monstres''eux mêmes porteur de pesticides que l'on prétend vouloir diminuer... voir les demandes de certificat d'obtention végétale...
On ne naît pas rebelle on le devient par instinct de survie

asphodele
Le 30/12/2011 à 23:27:01

Je réponds à Steph.Quel dommage que beaucoup trop d'écolos jouent sur la peur, aussi sur l'anti "politique". Exemple du maïs en France: bien sûr que dans la plus grande partie de la France il est aberrant de cultiver du maïs, plante semi-tropicale,OGM ou non, avec une retombée néfaste sur l'eau. Mais qui veut çà? l'agriculteur, qui fait du lobbying sur les autorités politiques...comme les écolos et d'autres pour d'autres points.Les premiers sont des politicards véreux, mais les autres, comme J.Bové, sont des purs, bien sûr ! Concernant les pesticides, il est faux de dire que 95% des publications sont initiées par des industriels, sauf à ne retenir que les revues éditées par les syndicats professionnels! La réalité est que les publications émanant d'autorités gouvernementales des pays développés sont fiables. Et j'inclus des prestigieuses revues "privées" comme "Nature" ou "Scientific Americain". Il est d'ailleurs intéressant de noter que les études, quand elles condamnent des substances (exemple le gaucho), sont applaudies entre autre par les "écolos". Lorsqu'elles autorisent certains OGM ou autres substances, elles deviennent aussitôt issues de suppots du grand capital ! Pour ma part je constate que les énormes progrés en santé, en alimentation ( regarder l'histoire ! ou simplement, sans remonter au mal des ardents, comment vivaient noe grands parents) sont le fait d'études sérieuses qu'il faut continuer à effectuer, quelque soient les incompréhensions. L'innovation a, de tout temps, fait peur, et fait naître des chasses aux sorcières.

Tatou
Le 09/12/2011 à 08:20:40

D'accord avec Tatou, les scientifiques de par leur formation sont sans prejuges. Il faut savoir que certains pourtant deviennent biaises dans leurs travaux et publications pour tout simplement garder le ventre plein. Eh oui les scientifiques repondent aux lois de la physiologie comme tout un chacun! C'est pourquoi tout travail scientifique serieux doit respecter trois regles primordiales:
1) En amont une autorisation / revision Ethique et methodologique de l'etude.
2) En aval une revue des resultats / publication par des pairs
3) Que tous ces acteurs soit au dessus de tout soupcons au regard des conflits d'interets avec l'industrie et la finance.
Quand ces 3 regles sont respectees on peut commencer a lire des articles scientifiques avec interet.
Pour illustrer mon propos: 95% des articles concernant les pesticides sont commandites par l'industrie chimique. Conclusion: complete perte de temps de les lire et affligeant de penser que la legislation se base sur ces resultats! Demission du politique devant ses vrais maitres encore une fois!
Pour les OGM, il y a aussi peu d'etudes independantes et de toutes facons il faut des etudes sur du tres long terme pour avoir suffisament de recul sur les consequences du tout OGM. Donc principe de precaution: point barre!
Remarquons que dans le cas du Mais poser la question des OGM en France est encore plus "risible" si je peux m'exprimer ainsi! Deja qu'on sur-utilise le nappes phreatiques avec cette plante devoreuse d'eau, mais avec les projections du changement climatique en France le bon sens voudrait qu'il faille abandonner cette culture sur la plupart de notre territoire.
Le probleme: toujours pareil! politiciens et bon sens font deux...
Sans parler des degats ecologique que cela cree. Dans le poitou (sud-vendee, charentes maritimes, Deux-sevres) on a assecher des marais, abattu des haies, boucher des canaux pour leur foutu Mais (politiques de la PAC)avec des consequences visibles sur la biodiversite et l'environement.
Comment faire pour changer les choses?
Continuer d'arracher les champs d'OGM et nous opposer a leur culture. Merci Jose!
Arreter de voter pour ces moins que rien que sont nos hommes politiques et eventuellement les renverser par la force avant qu'il ne soit trop tard.
Changer notre facon de vivre et de consommer pour mettre a bas ce systeme de comsommation qui conduit a notre propre perte!

steph
Le 09/12/2011 à 05:30:52

Au même moment, les députés ont voté la loi sur le certificat d’obtention végétale, qui supprime le droit de ressemer librement sa propre récolte sans verser de taxe.
Les français étant majoritairement contre les OGM, et ça ne va pas changer de sitôt, ça ne mange pas de pain (de maïs) de s'y opposer.
Mais quid des COV, c'est très dangereux comme législation, ça va finir dans un bain de sang cette histoire!

Monier
Le 08/12/2011 à 14:59:08

Je réponds à Maguy. Certes les scientifiques se trompent, mais moins que les autres, et ils ont le courage de se remettre en question, sans être sûrs d'eux et dominateurs avec LA vérité révélée. Il en est ainsi des hormones pour animaux très vite critiqués. Quant aux pesticides,aucun scientifique ne recommande leur emploi sauf en précisant des doses limites ( les DJA périodiquement ré-actualisées)et à défaut de mieux. Par exemple, dans les pays peu développés cultivant de l'arachide et qui, hélas, n'ont pas de moyens de séchage et de conservation ad hoc, il est recommandé d'appliquer des fongicides afin d'éviter le développement de Aspergillus flavus, dont la toxine produite est cause de cancers du foie, action mise en évidence par des scientifiques, par ailleurs, soit imbéciles, soit aux mains des multinationales ainsi que je le lis ! Autre exemple, à juste titre il est recommandé d'épandre du fumier en assolement, mais des quantités sont à respecter, à forciori s'il s'agit de lisier car, dans le cas contraire, il y a accumulation de nitrites " naturels " très dangereux entre autre dans le collet de la carotte, bio cela va sans dire, et donnée inconsciemment en purée aux bébés ! Enfin, personne n'oblige en pays démocratique d'utiliser ou non des semences OGM ou certifiées obtenues "naturellement". Je répète que le projet qui obligerait le cultivateur à n'utiliser que des semences certifiées n'a pas mon accord. En résumé, OGM ou "naturel" nécessite des études afin de connaître les bénéfices et risques consommateurs, à réactualiser, et sans, je le dis à nouveau dogmatisme et insultes.

tatou
Le 05/12/2011 à 16:17:19


Avons nous remarqué l'expression "pas de risques particulièrement élevés " cela veut-il dire que des risques sont acceptés ? à quel taux ?
exit le principe de précaution . Est-ce égal au principe de jurisprudence ?

Regarder diffuser le DVD de Coline Serreau ---solutions locales pour un désordre global . à diffuser, à débattre , il n'y a que nous pour le faire .

jeanine poitiers
Le 04/12/2011 à 09:09:05

Pour reprendre les mots de Tatou, pour ma part je ne suis pas une anti-ogm dogmatique mais une simple citoyenne qui s'informe en continue. Je signe cette pétition pour faire jouer le principe de précautions. La fameuse FDA (Food and Drugs Administration) a mis 50 ans pour se rendre compte que de donner des antibiotiques aux animaux a des conséquences néfastes sur la santé. Les producteurs de bœuf, de porc et de volaille utilisent trop d’antibiotiques. Ce qui crée une résistance accrue des bactéries et un risque sérieux pour la santé humaine. Même si cela fait 15 ans, nous n'avons pas encore assez de recul sur l'impact des ogm sur la santé et l'environnement. On sait aujourd'hui, des études scientifiques le montrent, que les pesticides, conservateurs alimentaires, additifs, etc. sont à l'origine de certain cancer et autres maladies, pourtant on n'interdit pas leur utilisation, même la FDA...étrange non?! De quoi s'agit-il alors? dénie? inconscience? lobbying? un peu tout ça à la fois?

Maguy
Le 03/12/2011 à 22:58:50

Achetez des graines chez Kokopelli, les irréductibles défenseurs de la nature et du naturel, mais ne faites pas confiance aux OGM, inventés pour le profit maximum des fabricants au détriment de la santé !

Nicole
Le 03/12/2011 à 22:47:08

" Nous sommes en démocratie OUI OU NON ! "

Non Raoult c'est fini ce temps là!

cristof
Le 03/12/2011 à 19:31:54

génétiquement modifie = pas naturel = pas bon !!

coconut30
Le 02/12/2011 à 20:12:07


Je suis retraité, mais, pendant toute ma carrière professionnelle j'ai travaillé pour le Ministère de l'Agriculture.
A la fin de mon activité, j'ai fait 5 jours de stage sur les biens fait, et les dangers des O.G.M.
Depuis Je suis très opposé aux OGM.

DAURY
Le 02/12/2011 à 10:12:03

On en finira donc jamais, un OGM est un brevet et ces graines(chimère: mettre des gènes animal dans un végétal) appartiennent à ces sorciers de Mon,Bay, ....(on va pas faire de pub a ces voyous et assassins donc pas de nom). Imaginez si tous les grains de riz,blé,soja, coton vous appartiennent vous devenez le maitre du monde.Alors oui il y a un max de pognon a gagner.Et même si il y a risque de bousiller les fonctions rénales des consommateurs,meme si le pack OGM/glyphosate(round up pour Mon)rendra les paysans et les consommateurs(accumulation dans l'OGM résistant)stériles. Le marché c'est le marché. Mais tout ça c'est un peu comme le climat si on veut être aveugle au dérèglement climatique même les plus grandes tempêtes catastrophes ne peuvent vous convaincre. La reponse a ce comportement est très bien expliqué dans une chanson de Brassens "quand on est C on est C

Fred
Le 01/12/2011 à 20:17:54

Merci!!§

La compagnie de Comète
Le 01/12/2011 à 17:01:05

je ne signe pas faute de connaissances suffisantes. J'ai beaucoup d'admiration pour ceux qui savent, malheureusement je ne suis pas de ceux-là malgré beaucoup de recherches et lectures car effectivement l'enjeu n'est pas mince, dans les deux sens : OGM ou pas OGM.

micocharly
Le 01/12/2011 à 17:00:33

Pour mener à la ruine les agriculteurs européens comme c'est le cas en Inde ????

Bubble
Le 01/12/2011 à 16:59:44

Depuis des années, j'essaie d'informer et d'alerter le public sur le Codex alimentarius, adopté par l'U.E dont la Commission n'est composée que de capitalistes pourri(e)s. Monsanto n'est que la partie émergée d'1 iceberg empoisonné !

Darna
Le 01/12/2011 à 15:09:02

re
pour répondre à Tatou sur les semences " taxables", si l'on remonte dans le passé , c'est grâce à nos arrières arrières grands parents et tous leurs ancêtres depuis le néolitique, que toute les semences de mil , maïs , blé , riz , etc... ont été sélectionnées et se sont maintenues . ils ont fait le travail gratuitement pour eux et les générations futures.
alors pourquoi payer plus , pourquoi nous interdire de les multiplier gratuitement , c'est notre patrimoine commun , les sélectionneurs ont pris trop de pouvoir en faisant disparaitre trop d'espèces et cultivars( variétés), au profit de leur seules semences commerciales, ils ont fait disparaitre des millions de végétaux utiles nous faisant croire que sans eux on ne survivrais pas , pas sans leur seules variétés! c'est une honte que de les croire, nombre d'entre eux sont directement par le capital, dépendants des firmes phytosanitaires pour lesquelles ils "construisent" à façon des variétés de végétaux suffisamment affaiblis pour dépendre de leur super fongicides et insecticides dont ils inondent nos terres et par lesquels ils polluent nos sources, nos sols et notre alimentation.
les choix de sélection variétaux ne sont jamais anodins!! et l'agriculteur transformé en véritable vache à lait est tout aussi victime lui aussi de ces semences , et traitements phytosanitaires.
Donc pour cela le brevetage ou l'appropriation du vivant, notre bien commun devraient être interdit par toutes les constitutions nationales et internationales

dompicker
Le 01/12/2011 à 14:53:56

bonjour
une fois de plus Monsanto est montré du doigt, cette fois-ci pour nous imposer ses semences transgéniques, comment ne pas réagir, grâce au Round up leur super désherbant promis dans les années 1975/ 1980 comme le super produit totalement biodégradable avec l'aval des services scientifiques français! depuis 5 ans on se rends compte avec 25 ans de retard de deux choses : premièrement Monsanto nous a mentis et deuxièmement nos services scientifiques d'état se sont montrés incompétents pendant 25 ans , partant de ce fait ce sera donc dans 25 ans qu'ils nous montrerons que les OGM sont ou étaient dangereux .
l'ordre divin nous a interdit l'usure , on en voit aujourd'hui les effets avec la super concentration de nos banque et notre effondrement économique en cours.
l'ordre divin nous avait interdit l'alchimie dont découle la chimie , on en voit les conséquences aujourd'hui
l'ordre divin nous a aussi interdit de modifier en profondeur le vivant , on sait déjà que l'on coure a la catastrophe
le passé est le passé, on n'y peut plus rien , mais je suggère que si l'on faisait payer Monsento pour ses mensonges et pour la dépollution réelle de 70% des nappes françaises pollués par le Round up , ils n'aurais peut être plus envie ni les moyens de risquer de nous imposer leurs semences.
nos institutions ont donc étés floués, alors pourquoi ne réagissent-elles pas pour demander réparation pour notre bien commun qu'elle gèrent grâce à nos voix?

dompicker
Le 01/12/2011 à 14:30:17

C'est domage de constater que des gens comme "Tatou" soient encore dans une tel ignorence ! Ce n'est pourtant pas les sources qui manquent pour comprendre les enjeux des OGM , leurs dangers etc ... croire en la FDA !!!
Dans quel monde vit on ?

Fred A
Le 01/12/2011 à 14:12:14

Je ne signerai pas cette pétition. Le Monsanto dont il est question ici a recu l'aval du Comité scientifique de l'UE, le même qui est mis en avant par les anti-OGM lorsqu'il refuse beaucoup d'autres produits OGM !Il a recu aussi l'aval de la très sérieuse et sourcilleuse FDA ( Food and Drug Administration ) américaine et de la puissante association de consommateur de ce même pays, du fait du bénéfice sanitaire pour le cultivateur et le consaommateur. Cet OGM est cultivé depuis plus de 15 ans aux USA sans problème et sans aucune coercition. Ceci dit, comme pour toute mise sur le marché, s'il est révélé scientifiquement et non par des on-dit amplifiés par des anti OGM dogmatiques, un risque consommateur, il y a lieu, et çà se fait ! de retirer un agrément. Il ne faut pas en outre mettre en avant des coercitions dans des pays sous-développés qui ont pour origine des propriétaires usuraires qui taxent les paysans depuis bien longtemps hélas et avant l'apparition d'OGM ! Enfin le propos de dire que le vivant est breveté, c'est omettre que les semenses obtenues dites traditionnellement font l'objet de brevets .Il faut à contrario lutter contre l'obligation qui apparaît d'obliger les paysans de l'UE à utiliser des semences certifiées. Le paysan doit rester libre de son choix.

Tatou
Le 01/12/2011 à 08:42:37

"Le Conseil d’État relève que le ministre de l’Agriculture n’a pu justifier de sa compétence pour prendre les arrêtés, faute d’avoir apporté la preuve de l’existence d’un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l’environnement"
Une fois de plus, l'analyse et le jugement ne portent que sur les aspects scientifiques et techniques de l'introduction de cultures OGM en plein champ. En sus des risques sanitaires et environnementaux souvent dénoncés, quid des conséquences sociales, économiques, familiales, culturelles, etc. notablement désastreuses dans de nombreux pays (plutôt au sud) dans lesquels Monsanto s'est introduit par effraction envers les agriculteurs - mais avec la bénédiction des politiques - et sévit dans l’hégémonie ?
Voilà bien une toute petite vision de certains qui prétendent nous gouverner...

Nafaï
Le 30/11/2011 à 21:38:28

Un bonjour à tous les cybernautes. Personnellement j'ai cru bon de rajouter le paragraphe ci-dessous.

Une étude a pu prouver qu'un maïs OGM avait dégradé les cellules hépatiques chez le rat. La santé des finances de Monsanto aurait-elle plus de valeur que celle de vos concitoyens ?

MILLEMANN Jacques
Le 30/11/2011 à 20:21:42

J'ai ajouté ce texte à ma lettre à Mme Kociusko-Morizet :
Par ailleurs,nous n'avons pas entendu, jusqu'ici, la Cour Européenne de Justice, se prononcer sur le droit "hors du commun" accordé à un semencier international, de breveter à son profit, le vivant, patrimoine de l'humanité.
C'est là, un préalable absolu !

Périscope
Le 30/11/2011 à 18:46:49

De quoi se mêle Bruxelles et consort ? Nous sommes en démocratie OUI OU NON ! Nous ne voulons pas nous laisser empoisonner même par les Maîtres du monde !

RAOULT
Le 30/11/2011 à 18:38:48

C'est le monde à l'envers et le renversement de la charge de la preuve. Il existe une légitime suspicion au regard de la non dangerosité des produit OGM. Au nom du principe de précaution on devrait s'abstenir de cultiver des plantes OGM en plein champ. Tous ces politiciens français ou bruxellois, tous ces juges qui prennent des décisions contraires à ce que souhaitent les peuples tirent-ils un bénéfice personnel de leurs choix ? On peut se poser la question. Et puis si une catastrophe sanitaire survient en raison de ce qu'ils prétendent nous imposer, ils savent qu'il n'y aura ni responsable, ni coupable comme à chaque fois dans le passé (cf. hormone de croissance, sang contaminé, amiante, vache folle,...etc.). Celà s'explique par le fait que ceux qui prennent ces décisions sont les mêmes ou leurs "copains" que ceux qui jugent ou font voter les lois judiciaires. La démocratie est décidément moribonde en France et en Europe.

un anonyme
Le 30/11/2011 à 18:29:04

Il faut quand même bien compendre que cette décision est providentielle pour un gouvernement qui va pouvoir MONTRER ELECTORALEMENT QU'IL EST POUR LE MORATOIRE comme il a été pour le grenelle de l'environnement. Il n'y a pas de petits profits.

Germani, agriculteur
Le 30/11/2011 à 18:05:49

pour moi l'introduction du Maïs OGM Mosanto oblige les Agriculteurs l'utilisation des engrais+insecticides+fongicides tous chimiques de Mosanto. Mosanto veut le monopole de l'Agro-alimentaire dans le Monde déjà implanté en Asie, Afrique, Europe et principalement en Amérique sud/nord. C'est toute une filière liée aux Chimiquiers . NON et 3 fois NON à ces Sociétés N°1 des Pollutions de nos Sols donc nos Nappes Phréatiques.

luidji80
Le 30/11/2011 à 18:02:41

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