Cette pétition est maintenant terminée
Habitants et amis des Cévennes, votre lieu de vie ou villégiature subit une modification drastique.
La légion s'installe dans une ferme à Saint-Jean du Gard et une présence armée en permanence implique des dégradations de la qualité de vie.
Entrainements, tirs, marches régulières vont impacter l'attrait, la quiétude et le rayonnement de la célèbre "perle des Cévennes"
2303 participants
SAINT-JEAN-DU-GARD Entre partisans et opposants, la Légion étrangère a voulu donner des garanties mais a laissé quelques questionse rachat en cours de finalisation par la Légion étrangère de la ferme de Bannière dans la commune de Saint-Jean du Gard pose pour le moins la question à ses habitants et ceux de la région. Présenté comme un centre de repos « naturellement tourné vers la ruralité et la rusticité » du pays cévenol, ce projet s’annonce d’ores et déjà comme celui de l’implantation d’un avant-poste militarisé.
En effet, avant même d’avoir acquis cette propriété de 9 hectares, plusieurs incursions de légionnaires dans le village ont eu lieu : présence en grande pompe du 2e Régiment étranger d’infanterie nîmois lors de la cérémonie du 11 novembre (les enfants du village y furent même conviés !), naturalisation de quelques légionnaires à Maison Rouge (en présence du maire de Saint Jean du Gard) le même jour, opération de déploiement de 600 militaires armés dans les sentiers de la vallée et les rues de plusieurs villages le 23 mars dernier…
Et qu’en sera t-il une fois leur présence actée ? Qui peut réellement croire que les militaires se contenteront de faire pousser quelques carottes et de se revigorer en se plongeant dans les bienfaits d’une activité agricole ? Interrogé par Objectif Gard, le chef de corps du régiment est pour le moins clair sur ce sujet : « L’idée c’est de permettre au régiment de s’approprier davantage le département du Gard, en rayonnant vers le nord ». Cette « appropriation » s’effectuera d’une part avec la présence permanente entre 40 et 150 militaires sur place mais également par des entraînements de « combats à pied en zone boisée » dans les « sous-bois » de la ferme mais également en « terrain libre » pour lesquels il faudra l’autorisation des propriétaires environnants et de la municipalité. Sans oublier les marches dans les sentiers cévenols. Evidemment que des entraînements s’effectueront avec des tirs mais le colonel rassure : ce ne seront que « des tirs à blanc, et ça ne fera pas plus de bruit qu’une chasse au gros gibier ». La présence militaire dans les vallées et les villages semble inévitable !
 
Courriel | |
Mot passe | |
Rester connecté-e
|
philippe vicherat
Le 29/10/2022 à 11:00:56
Alain UGUEN
Le 26/10/2022 à 10:21:33
Philippe Gillier
Le 24/08/2022 à 11:02:27
Alain UGUEN
Le 17/08/2022 à 16:05:53
Rhaude
Le 30/06/2022 à 14:11:45
Virginie Riou
Le 18/06/2022 à 23:04:35
FREDERIC seguin
Le 16/05/2022 à 09:30:27
Jean-Marc CONVERS
Le 26/04/2022 à 20:21:36
brigitte courcier
Le 19/04/2022 à 12:01:20
Chanteux
Le 18/04/2022 à 15:58:20
buriti
Le 18/04/2022 à 14:37:29
colette Nusbaum Vallet
Le 18/04/2022 à 08:45:13
Jacques
Le 16/04/2022 à 14:46:46
Jacques
Le 15/04/2022 à 20:04:48
Frawald
Le 15/04/2022 à 08:13:22
Françoise De Bock
Le 14/04/2022 à 22:00:45
Bibi
Le 14/04/2022 à 19:12:41
FRANCOIS ETEVENON
Le 14/04/2022 à 18:45:31
JEAN CLAUDE SCHMITT
Le 14/04/2022 à 17:47:01
Christian MASSON
Le 14/04/2022 à 16:24:41
Jérôme BON
Le 14/04/2022 à 15:49:29
Stéphoto
Le 14/04/2022 à 15:14:47
Jojo
Le 14/04/2022 à 14:04:56
Andrée Battaglieri
Le 14/04/2022 à 12:48:58
CHIPO
Le 14/04/2022 à 12:14:52
MARIE-CLAUDE SALICETI
Le 14/04/2022 à 08:32:34
Alain UGUEN
Le 14/04/2022 à 07:01:15
Marie Brun
Le 01/11/2022 à 18:12:29