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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Agir contre les élevages industriels dans l’Yonne : Un projet d’élevage de 66 000 poulets de chair,

Mise en ligne du 25/09/2021 au 11/10/2021

Un projet d’élevage de 66 000 poulets de chair, 250 vaches allaitantes et 100 bovins à l’engraissement a été déposé par le GAEC de la Maison des Champs sur la commune de Saint-Léger-Vauban,

Bilan de la cyberaction :

2546 participants

Consultation terminée

Présentation de la cyberaction :

dont le dossier est consultable ici.
https://www.yonne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement/Installations-classees-Loi-sur-l-eau-Declaration-d-Utilite-Publique-Photovoltaique/Enquetes-Publiques/GAEC-de-la-Maison-des-Champs-a-Saint-Leger-Vauban  

La Mission régionale d’autorité environnementale (MRAE) de Bourgogne-Franche-Comté a émis des réserves, au vu des nombreux impacts de ce projet d’élevage intensif sur l’environnement. Vous aussi pouvez exprimer votre opposition en participant à l’enquête publique jusqu’au 9 octobre. Ici toutes les modalités pour y participer.
https://www.yonne.gouv.fr/content/download/34979/260660/file/AvisEnqPubl.pdf  

Des projets de poulaillers inquiètent les riverains à Saint-Léger-Vauban et Saint-Brancher

L’augmentation du trafic routier, les zones d’épandage et la question non seulement des odeurs, mais de l’impact sur les eaux environnantes, comme le souligne Nathalie Millet, maire de Bussières, situé dans la zone d’épandage du projet de Saint-Léger, présente samedi à titre personnel : "Avec plus de 60.000 poulets sur la zone, à un moment donné, les nappes vont être impactées". Un avis que complète Daniel Lulic, président de l’AAPPMA Avallon Morvan Pêche : "Au niveau environnemental, on s’interroge, ça fait trop de poulets et on a des inquiétudes par rapport au Trinquelin".

Le parc du Morvan, que Saint-Brancher a rejoint l’année dernière, a lui aussi son mot à dire. Il était représenté par Christian Guyot samedi : "Il y a aussi la question de la viabilité du modèle économique. Il faut aider les éleveurs à s’installer sur le territoire, la question c’est la manière". Une manière qui ne correspond pas aux spécificités inscrites dans la charte du Parc du Morvan.
Reste que les révélations passées de l’association L214 (notamment sur un élevage à Chailley) jouent dans la perception des riverains : "Que ce soit 18, 21 ou 22 poulets au mètre carré, c’est inacceptable", relevait un participant à la réunion, tandis que d’autres s’indignent du manque de lumière naturelle dans le bâtiment. "On a tous nos opinions, le législateur a défini des normes, vous avez le droit de ne pas être d’accord, ce n’est pas ça qui tranchera", répond Édith Foucher, responsable environnement, irrigation à la Chambre d’agriculture.
https://www.lyonne.fr/avallon-89200/actualites/des-projets-de-poulaillers-inquietent-les-riverains-a-saint-leger-vauban-et-saint-brancher_14007963/  

La lettre qui a été envoyée :


Madame, Monsieur,
Au vu des nombreux impacts de ce projet d’élevage intensif sur l’environnement, je vous demande d'émettre un avis défavorable.

 

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29 commentaires

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Avis sur le projet de création d'un bâtiment d'élevage intensif à Saint-Léger Vauban


Monsieur le Commissaire Enquêteur,

Originaire de la commune de Saint Léger Vauban et soucieux des problèmes d'environnement, je me permets de donner un avis sur la construction de ce bâtiment voué à un élevage intensif de poulets.

Je partage la totalité des remarques faites sur ce projet par la MRAe (Mission Régionale d'Autorité environnementale de Bourgogne Franche Conté) données par l'avis du 30 juin 2020, augmenté de l'avis du 23 juin 2021. Ces avis montrent que toutes les garanties portant sur la protection de l'environnement ne sont pas assurées dans ce projet.

Je voudrais insister sur trois aspects qui sont d'ailleurs abordés par la MRAe:

1- l'inadéquation du réseau routier avec le développement de la circulation de poids lourds de fort tonnage entraîné par cet élevage intensif qui vient grossir des installations déjà présentes dans cet endroit. Le réseau de petites routes de cette zone n'est pas calibré pour recevoir un trafic important de poids lourds, ce qui ne peut qu'engendrer des problèmes de sécurité, de nuisances diverses et de détériorations des revêtements routiers chaque hiver.

2- la contradiction, à mon sens, entre l'existence du Parc Régional du Morvan et le développement d'une agriculture d'élevage intensif. L'objectif du Parc Régional est de faire en sorte que le Morvan, tout en se développant, garde ses spécificités: ses paysages, son architecture, sa biodiversité, la qualité de ses cours d'eau..., L'installation de vastes bâtiments sans rapport avec le paysage qui fait l'attractivité du Morvan (cf les documents photos et simulations joints au dossier de l'enquête publique ), le danger que fait peser sur l'ensemble du réseau hydrographique l'épandage en quantité importante des fumiers sont loin de correspondre à ce que visiteurs et habitants attendent d'un Parc Naturel Régional. Quelle est la logique suivie par la juxtaposition à des distances très courtes de zones Naruta 2000 et d'espaces agricoles peu soucieuses de qualité de l'environnement?

3- l'installation d'une unité de production d'élevage "industriel" de poulets - poulets élevés en 40 jours avec une densité de 22 volailles par M2 sur la même litière- , même si c'est conforme aux normes, est de plus en plus contestée par une part importante de la population soucieuse du bien être animal. Sans extremisme hors de propos, il est possible de développer un élevage raisonné pour une production de qualité dans le respect de l'animal et qui ne crée pas de nuisances environnementales.

Avec tout mon respect.

Bernard Hojlo

Bernard Hojlo
Le 09/10/2021 à 08:59:43

Merci à Mireille et Buriti pour les infos supplémentaires fournies.

Frawald
Le 04/10/2021 à 23:08:40

finiront ils par manger leurs BILLETS.

gérard BERTIN
Le 04/10/2021 à 13:01:26

82% DES FRANÇAIS SONT POUR LA FIN DE L'ÉLEVAGE INDUSTRIEL, SELON UN SONDAGE IFOP
https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/articles/261909-82-des-francais-sont-pour-la-fin-de-l-elevage-industriel-selon-un-sondage-ifop  

Alain UGUEN
Le 04/10/2021 à 08:53:38

Courriel envoyé à l'enquête publique :
De tels élevages sont aujourd'hui d'un autre âge. Il est inadmissible que de tels projets soient à l'heure actuelle encore mis en route ..!..

Alors que le monde entier subit les conséquences de la surexploitation des sols (déforestation, pollutions de toutes sortes, changement climatique et les répercussions désastreuses pour la vie sur Terre...), je suis sidérée de voir qu'un tel projet peut encore germer dans un esprit humain

Il faut tourner la page de ce genre d'industrie à contre emploi du mieux être humain et animal et de la préservation de notre environnement.

Aidons plutôt les éleveurs à évoluer vers de meilleurs structures (Qualité à tous les étages, plutôt que rentabilité à court terme, bénéficiant au porte monnaie des empoisonneurs).
Ce projet ne doit pas être accepté ..!..

Mme Dominique Serve-Catelin
Le 04/10/2021 à 07:23:11

Il est évident que notre consommation tue la planète
il suffit de stopper de manger la viande( notamment industrielle)pour sauver biodiversité et climat.
Cruauté et pollution sont le résultat de cette mafia agro alimentaire avec tout nos politiques complices et malhonnêtes
le GIEC alerte sur cette outrance alimentaire en produits animaux.

jacqueline jacqueline PELERINS
Le 30/09/2021 à 16:08:52

Tant que nous laisserons les mafieux dominer le monde,
il en sera ainsi.

une pétiton, mille pétitions et cela continue.

car ILS sont au pouvoir que nous leurs laissons garder...

jean
Le 29/09/2021 à 22:18:54

Toujours et encore, le principal vecteur de disproportion criminelle est l'industrie...

Thierry Dramard
Le 28/09/2021 à 20:33:02

De tels élevages sont aujourd'hui d'un autre âge.Il faut tourner la page de ce genre d'industrie à contre emploi du mieux être et de la préservation de notre environnement. Aidons plutôt les éleveurs à évoluer vers de meilleurs structures (Qualité à tous les étages, plutôt que rentabilité à court terme, bénéficiant aux porte monnaie des empoisonneurs)...

Nicolibri De Garenne
Le 28/09/2021 à 17:44:45

On peut constater que ce qui ne doit plus se faire depuis des années continue à se développer, merci à nos politiques toujours "sensibles" aux lobbies.

Robert BOIS
Le 28/09/2021 à 10:12:10

On a du mal à réaliser que des individus puissent encore créer de telles entreprises en étant tout à fait conscients de la tragédie que cela va engendrer.
La "mal bouffe" provoque des maladies graves voire mortelles comment est-il possible que les communes, régions, et gouvernement n'interdisent pas systématiquement ces propositions scandaleuses????

BRIGITTE BATTEUX
Le 28/09/2021 à 09:50:52

élevages industriels NON merci, i8ls sont responsables de ses pandémies et de la dégradation de notre environnement

Stéphoto
Le 28/09/2021 à 08:22:23

Alors que le monde entier subit les conséquences de la surexploitation des sols (déforestation, pollutions de toutes sortes, changement climatique et les répercussions désastreuses pour la vie sur Terre...)je suis sidérée de voir qu'un tel projet peut encore germer dans un esprit humain ! En 2007 Hervé Kempf écrivait un livre "Comment les riches détruisent la planète"... 14 ans déjà et rien n'a changé ! Que les décideurs pensent enfin aux générations futures et opposent un NON CATÉGORIQUE à ce projet mortifère.
Liliane Girard

Liliane Girard
Le 28/09/2021 à 00:21:54

ils n'ont pas compris encore? on n'en veut plu de vos élevages industriels

mere noel
Le 27/09/2021 à 19:28:27

à Mesdames ou Messieurs le préfets de Côte d’Or et du Morvan,
Voici une déplorable nouvelle.
Malgré les recommandations des cinéastes pro agriculeurs, les aidants de paysans prêts à se passer la corde au cou ou à se faire éclater la tête à coup de fusil, les industriels de l’agro, mal guidés et trompés s’entêtent à faire crever des milliers de poulets dans un hangar qui sentira la putréfaction dont les effluves s’échapperont dans le beau parc naturel.
Il faudra supporter:
un bruit effroyable,
le martyre des volailles,
les conditions sanitaires infectes,
une contamination effroyable dans le cas de virus ,
de la chimie et des mutations génétiques (l’Inra fait joujou)
l’esclavage des exploitants par les firmes qui vendent des produits qui suintent la douleur,
les livraisons par poids lourds avec gozole, pot d’échappement pour pulmonaires fragiles, routiers éreintés, cages remplies de morts vivants, traffic interminable…
le moral des travailleurs qui s’infectent les voies respiratoires, qui ont envie de vomir en écrasant les carcasses de poulets sous leurs bottes en caoutchouc.


Interdisez, s’il vous plaît, cette implantation et tout le monde en sortira indemne.

colette Nusbaum Vallet
Le 27/09/2021 à 17:59:32

Toujours les mêmes aberrations et on nous parle écologie et biodiversité !

Dominique Thuiller
Le 27/09/2021 à 17:50:03

est-ce d'un tel élevage que va nous être proposé de la viande digne de ce nom ; c'est une ineptie d'appeler cela de l'élevage et je ne voudrais pas manger de ces poulets-là.

Michèle Léonard
Le 27/09/2021 à 17:18:49

J'ajoute mon opposition au projet de cet élevage - ayant du mal à croire que de tels aménagements puissent encore être envisagés - alors que les élevages industriels contreviennent à tout ce que l'on combat aujourd'hui : la maltraitance animale, le réchauffement climatique, etc, etc... Que de belles paroles, des promesses, jamais tenues de la part de ceux qui détiennent le pouvoir décisionnel, donc...
Pour le reste, j'aligne mon refus catégorique sur les arguments émis par les autres contributeurs.

Claudette ROSE
Le 27/09/2021 à 15:53:30

NON AUX ELEVAGES CONCENTRATIONNAIRES MALTRAITANT LES ANIMAUX, EN L'OCCURRENCE NOS AMIES LES POULES!!LA JUSTICE DOIT PASSER!!

BAUER maryvonne
Le 27/09/2021 à 15:41:40

Je viens de lire les commentaires ...certains sont très bien documentés et très complets !
Un grand MERCI pour ces pistes et ces arguments qui vont servir vis à vis d'autres opérations qui ne manqueront pas d'être tentées !

Robert BAUDOING-SAVOIS
Le 27/09/2021 à 14:16:57

Quand on voit les détails, donnés par l'article de L’Yonne Républicaine, sur l‘ensemble des projets (car il faut tenir compte des installations récentes pour évaluer l’impact environnemental), on s’aperçoit d’abord que la société DUC, après avoir pollué l’Ouest et le Sud-Ouest se tourne vers l’Est de la France et commence à polluer dans l’environnement immédiat de son siège social. C’est aussi une manière d’influencer plus facilement les décideurs du monde agricole local (Chambres d’Agriculture).

On constate d’après le récit de la chose elle-même par DUC que les agriculteurs sont ni plus ni moins que des salariés de DUC pour cette partie de leur exploitation. DUC gouverne tout : l’implantation, les conditions d’exploitation, la nourriture, le nombre de poulets et leur durée de vie. Une fois le local financé, l’agriculteur est prisonnier des méthodes de DUC jusqu’à ce qu’il ait remboursé son emprunt.

Ces méthodes sont-elles saines pour les animaux et pour l’environnement? DUC lui-même reconnaît que l’élevage de Chailey était une erreur. En dépit des méthodes d’investigation parfois contestables de l’association 214, les excès de l’élevage industriel sont avérés. C’est toutefois curieux de constater la propension qu’ont les responsables économiques ou politiques à avouer leurs erreurs passées sans rien changer à leurs comportements. Il semble bien que nous soyons dans le même cas.

A qui profitent ces méthodes industrielles d’engraissement de poulets ? Aux éleveurs ? Si l’on exclut le complément de ressources (montant non connu), relativement peu. Davantage au groupe néerlandais qui a racheté DUC. L’avantage pour ce groupe c’est qu’il ne subit pas les conséquences néfastes sur l’environnement et les foudres de ses compatriotes. C’est aux petits Français du Morvan de subir la pollution des élevages.

Du côté des protections environnementales, même laxisme. On a un parc régional du Morvan. A quoi sert-il ? A préserver une certaine qualité d’environnement et protéger les équilibres naturels. Le projet d’élevage intensif soumis en ce moment à enquête publique va-t-il dans ce sens ?

En outre, quand on dit que les projets respectent la réglementation, c’est vite dit. Que penser d’un projet de 39600 volatiles juste en dessous du minimum pour être soumis à enquête publique ? Comment vérifiera-t-on le moment venu que l’élevage ne contient pas 41000 poulets ou même 45 000 ? Le comptage dans ce genre de lieu n’est pas chose aisée. Que feront les autorités sanitaires?
Autre incohérence : on vient d’approuver un PLUi et le terrain d’assiette du projet est pour moitié inconstructible. De qui se moque-t-on ? Du public qui a participé à l’enquête de PLU puisqu’on s’empresse de contourner le règlement de PLU ? Des élus qui ont donné leur avis pour l’élaboration de ce PLU intercommunal ? Qui a consenti sachant parfaitement que le PLU serait aussitôt contourné ? Va-t-on déclarer ce PLU tout neuf caduc ? Que d’argent du contribuable de l’intercommunalité gaspillé pour l’élaboration de ce PLUi !

A qui profite ce tour de passe-passe ? A personne ? Soit. Mais les habitants de ces communes rurales ne sont-ils pas fondés à dire qu’on se fiche d’eux ?

Si les autorités préfectorales laissent passer cela c’est qu’elles n’ont rien compris à la lassitude des Français devant les reculades des responsables publics (hauts fonctionnaires ou politiques) non pas en vue de favoriser une activité agricole dynamique mais pour permettre une surexploitation de la terre du Morvan qui va surtout profiter à nos amis néerlandais qui, n’ayant pas assez de terres dans leur plat pays, viennent profiter de la nôtre sans subir les conséquences négatives de leurs choix. La libre circulation des capitaux a ses effets pervers. Bientôt ce seront des entreprises chinoises qui viendront élever des poulets chez nous.


buriti
Le 27/09/2021 à 12:37:12

Les elevages industriels n'ont sans doute pas assez fait parler d'eux quant à leur responsabilités dans la propagation des pandemies!

Bernard ROLIN
Le 27/09/2021 à 12:30:25

Je vomis les élevages concentrationnaires d'abord parce qu'ils impliquent une maltraitance animale, ensuite parce qu'ils produisent une viande sans qualité gustative et bourrée de substances chimiques nocives pour la santé, enfin parce qu'ils engendrent une atteinte gravissime à l'environnement : pollution des eaux souterraines et de surface, enlaidissement des paysages, algues vertes, multiplication des transports d'animaux vivants ou morts sur de longues distances.

Daniel DANIEL
Le 27/09/2021 à 11:32:01

j'ai répondu ceci à l'enquête publique :
Mme Pohier Mireille
21530 Saint Andeux

Monsieur le Commissaire Enquêteur,

En réponse à l'enquête publique concernant
l'installation d'un poulailler industriel de 66000 poulets de chair, plus 250 vaches allaitantes et 100 bovins à l'engraissement à SAINT LEGER VAUBAN -89- dans le parc régional du Morvan.

je veux faire les observations suivantes :

Je suis absolument contre pour les raisons suivantes :

Au niveau environnemental :

L’élevage intensif est très néfaste pour la planète : il constitue la plus grosse source d’émission des gaz à effets de serre, devant le secteur des transports. Il engendre de la déforestation, pollue l’eau et les nappes phréatiques, et nécessite cinq fois plus d’eau que l’élevage traditionnel en pâture .

Le Trinquelin est juste en dessous de l'exploitation et le ruisseau qui descend de la ferme actuelle est déjà dans un état déplorable.
Le Trinquelin est classé cours d’eau en liste 1 et 2 , article L.214.17 du code de l’environnement, issu de la loi sur l’eau de 2006 (LEMA), depuis le 2 décembre 2012.
Un programme LIFE Continuité Ecologique est en cours sur le Trinquelin, coordonné par le Parc Naturel Régional du Morvan (PNRM)
Le Trinquelin possède plusieurs zones classées NATURA 2000.
Le Trinquelin s’inscrit dans l’objectif européen de la Directive Cadre sur l’Eau (DCE) qui fixe l’atteinte du bon état écologique des cours d’eau en 2015.


D'où mes questions :


Où vont-ils déverser le lisier et les déjections une fois que leur fosses seront pleines….???

Comment pensent -ils gérer le poids des camions par rapport au tonnage autorisé des routes.

Leur installation industrielle n'est pas compatible avec les valeurs environnementales du PRN du Morvan .

Autre point concernant le bien-être animal :

L’élevage intensif ne respecte en aucune façon les règles de bases du bien-être animal. Il est en effet contre-nature d’enfermer des animaux dans des cages ou des espaces confinés, sur des grillages ou du béton, sans accès à la lumière du soleil ou à un seul brin d’herbe.
Les animaux ne peuvent pas exprimer les comportements naturels inhérents à leur espèce et souffrent souvent de pathologies liées à ces conditions de vie extrêmes (boiteries, infections…). En prévention, les antibiotiques sont utilisés à outrance sur ces animaux et occasionnent de graves problèmes de santé publique.
Du fait de l’ennui et du stress, les animaux se blessent souvent entre eux. C’est pourquoi il est courant dans ces élevages de pratiquer l’écornage, la coupe de queue, le limage des dents, l’épointage des becs ; toutes ces méthodes sont généralement réalisées à vif sans aucune insensibilisation, ce qui engendre de réelles douleurs pour les animaux.


Merci de me tenir informée des suites de ce dossier.

Mme POHIER

MIREILLE
Le 27/09/2021 à 11:01:29

C'est curieux de constater cet entêtement de l'humain à vouloir s'enferrer dans sa bêtise. Les élevages industriels sont destructeurs de l'environnement (nitrates), du climat (Co2). Ils maltraitent les animaux et leur chair de mauvaise qualité (antibiotiques et autres produits ) rend malade ceux qui les consomment.

Jean-Baptiste PASQUET
Le 27/09/2021 à 10:08:50

Je connais bien le problème: il y a un poulailler DUC (21000) à 300 m de chez moi, et un futur à 3 km...
On continue à résister comme on peut!

PETIT
Le 27/09/2021 à 10:01:24

non

philippe coelho
Le 27/09/2021 à 09:22:55

Très grand merci à Cyber@cteurs de sa solidarité avec les associations locales !
https://yonnelautre.fr/spip.php?article7361  

Pascal Paquin
Le 27/09/2021 à 08:21:07

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