Cette cyberaction est maintenant terminée
Le nouveau PLU va gouverner pour plusieurs années l'urbanisme métropolitain. Il est donc fondamental que les citoyens et les associations donnent leur avis. Nous abstenir de contribuer, ce serait accepter d'emblée ces modifications.
1824 participants
La modification du PLU sera soumise au vote des élus le 29 juinJusqu'au 16 avril, la concertation est ouverte sur jeparticipe.brest.fr sur les modifications du PLU proposées par Brest Métropole.
Nous vous demandons de participer avec nous, avant le 16 avril, à la protection du Vallon du Stang Alar :
en consultant notre argumentaire détaillé sur notre site (le sommaire simplifié est ci-dessous) ;
en déposant votre contribution, qui peut s'inspirer de (ou copier/coller) nos demandes ci-dessous. Vous pouvez aussi transmettre le fichier .pdf de notre argumentaire détaillé.
Vous pouvez donner votre avis de diverses façons :
très simplement, en un seul clic ! qui envoie un courriel au bon destinataire, avec "modification simplifiée du PLU" dans l’objet du message …
ou sur le registre numérique, après avoir créé votre compte ;
https://jeparticipe.brest.fr/projets-en-participation/modification-simplifiee-du-plu-de-brest-metropole/registre-numerique-5478.html
ou par la poste en écrivant à Monsieur le Président de Brest métropole – Modification simplifiée du PLU - Direction des dynamiques urbaines - 24, rue Coat-ar-Guéven - CS 73826 -29238 BREST CEDEX 2.
Sommaire de notre argumentation :
Le Vallon du Stang Alar est une zone patrimoniale du pays de Brest.
Et pourtant, il n'y a dans le PLU aucune protection spécifique pour le Vallon.
La biodiversité de Vallon est exceptionnelle: plus de trente espèces protégées recensées. Cette biodiversité doit être protégée par le règlement du PLU.
La présence dans le Vallon de zones humides, de sources, des étangs et du ruisseau imposent une gestion très rigoureuse des eaux de ruissellement.
Ce que nous demandons :`
Nous demandons que le nouveau PLU crée un “secteur de projet” englobant le vallon du Stang Alar (réunion du Conservatoire Botanique et du parc public), et les parcelles contiguës, ou simplement séparées de ce vallon par une voie.
Il faut appliquer dans ce “secteur de projet” des règlements plus stricts concernant la protection de la biodiversité : avant toute construction faire établir un recensement des espèces protégées sur la parcelle, et prendre des mesures de conservation adaptées.
La réglementation des eaux de ruissellement doit imposer sur les zones sensibles la réinfiltration sur le terrain des pluies centennales, un calcul précis et vérifiable des débits de fuite à l'exutoire, et la végétalisation des toitures. Ces zones sensibles sont précisément définies par la pente du terrain naturel (supérieure à 10%), ou par le “coefficient d’imperméabilité” (supérieur à 50%), ou par leur proximité avec une zone humide, un cours d'eau, la trame verte et bleue ou une zone classée N.
Édicter des prescriptions spéciales pour protéger le secteur de projet du Stang Alar est possible, conformément aux article R. 111-26 et R. 111-27 du Code de l'Urbanisme.
Les vallons du Stang Alar et du Costour, et leurs bassins versants, participent d'un éco-site à préserver pour les générations futures.
La semaine prochaine, contribuez avec nous sur la "règle du velum"
Cette règle a conduit la Cour Administrative d'Appel de Nantes à supprimer, fin septembre 2020, le permis de construire qui menaçait le Vallon (cinq niveaux de béton au cœur de la partie piétonne du vallon).
Mais le promoteur du projet avait aussitôt déclaré dans la presse locale qu'il allait déposer un nouveau dossier.
Le nouveau PLU propose une re-définition du velum, qui nous semble a priori très imprécise, et contradictoire avec l'arrêt de la Cour dAppel.
Restez à l'écoute ! Nous vous en dirons plus après une réunion vendredi 9 avril avec les services de l'urbanisme, qui doivent nous présenter cette nouvelle définition du velum.
Association Savestangalar
 
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Pascal LE ROUX
Le 06/04/2021 à 20:27:19
Frawald
Le 06/04/2021 à 13:24:50
Eugène-François Ravenet
Le 06/04/2021 à 11:50:35
Cécile Joucan
Le 06/04/2021 à 10:07:18
La collectivité a agréablement transformé ce qui était une décharge sauvage en Conservatoire Botanique de premier plan.
Céder à la voracité de certains promoteurs ne serait grandir l'image de Brest Métropole.
Bibi
Le 06/04/2021 à 21:00:00