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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Libération immédiate et sans condition de tous les prisonniers d'opinion sahraouis

La question du respect des droits de l'homme est lourde et douloureuse pour le peuple sahraoui occupé par le Maroc ou en exil en Algérie depuis 1976. Plus de 500 personnes disparues depuis 1976, pour lesquelles leurs familles sans nouvelles n'ont pu faire le deuil.

Bilan de la cyberaction :

3508 participants

Le Comité pour le Respect des Libertés et des Droits humains au Sahara Occidental


Des militants sahraouis condamnés à de très lourdes peines, jusqu’à la perpétuité, par le tribunal militaire de Rabat

Détenus depuis novembre 2010 à la prison de Salé (près de Rabat), les 24 militants sahraouis, tous des civils, ont été jugés par un tribunal militaire en violation du droit international et même de la législation marocaine.

Leur procès, "vicié à la base" selon Amnesty International, s'est déroulé du 8 au 17 février. Malgré le déchaînement de la presse au Maroc qui les présentait comme des criminels et malgré la forte présence policière jusque dans la salle d'audience, les militants sahraouis ne se sont pas laissé intimider et ont imposé leurs témoignages au tribunal. Accusés de crimes qu'ils n'ont pas commis, ils ont décrit et dénoncé leur enlèvement, les humiliations, tortures et traitements inhumains, les pressions psychologiques, les procès-verbaux fabriqués ou falsifiés...

La violence des traitements subis et le refus par le tribunal de faire pratiquer des examens médicaux pour prouver les sévices n'ont pas eu raison de leur dignité, ni de leur idéal de liberté. Déniant la compétence de ce tribunal militaire, qui "est contraire aux normes d'équité reconnues au plan international "(Amnesty International), ils ont chanté à la face des juges l'hymne du Front Polisario et exprimé leur volonté de poursuivre leur lutte contre la colonisation marocaine et pour l'autodétermination du peuple sahraoui.

Ils ont rendu un hommage appuyé à leurs familles qui les soutiennent en manifestant jusque devant le tribunal, à leurs défenseurs mais aussi aux organisations internationales et marocaines (AMDH) des droits de l'Homme, aux nombreux observateurs internationaux et aux représentants d'ambassades qui ont tous été fortement impressionnés par leur détermination.

Le 17 février, le tribunal militaire les a condamnés à de très lourdes peines de prison : 8 à perpétuité, 4 à 30 ans (dont Ennâama Asfari co-président du CORELSO), 7 à 25 ans, 2 à 20 ans.

Au déchaînement médiatique partisan au Maroc répond le silence médiatique en France!
Le verdict scandaleux du 17 février doit être dénoncé par les gouvernements, les partis, les syndicats et les associations des droits de l’homme.
Le mouvement de solidarité avec la lutte du peuple sahraoui doit renforcer la mobilisation. Il faut dès maintenant briser le silence des principaux médias français et obtenir du gouvernement qu'il cesse enfin de soutenir les thèses marocaines et s'engage pour la mise en œuvre du droit à l'autodétermination et l'extension du mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l'Homme au Sahara occidental.
Paris le 17 février 2013

____
Depuis la grève de la faim menée en décembre dernier par la militante sahraouie des droits de l’homme, Aminatou Haïdar, bloquée contre sa volonté dans l’aéroport de Lanzarote, le mouvement populaire de soutien aux Sahraouis ne faiblit pas en Espagne et tout particulièrement aux Canaries.
Mobilisation populaire ancienne, très enracinée qui exaspère le Maroc.
A preuve la manoeuvre de diversion tentée cet été par le pouvoir marocain et ses affidés pour mettre en difficulté les autorités espagnoles dans l’enclave espagnole de Mellila.
S’il est bien légitime de dénoncer violences policières et racisme, n’est-il pas aussi légitime de s’étonner de la différence de traitement de la question du respect des droits de l’homme suivant que l’on se trouve à Mellila ou à El Aïoun ?
Dans un cas il s’agit de citoyens marocains qu’il faut défendre en « réglant son compte » à l’Espagne, dans l’autre c’est seulement des Sahraouis qui réclament l’autodétermination.
Application à géométrie variable des droits de l’homme !
Ce week-end, la situation s’est particulièrement aggravée. Une vingtaine de militants espagnols de Ténérife ont manifesté en faveur de l’autodétermination dans la ville d’El Aïoun, au Sahara occidental sous contrôle marocain.
Ces militants espagnols viennent de créer l’association « Sahara action ». Ils ont décidé de mener des actions de désobéissance civile pour « réveiller »l’Etat espagnol et la Communauté internationale, responsables de la décolonisation ratée du Sahara occidental. Ils entendent aussi alerter l’opinion et les médias sur ce qui se passe au Sahara occidental occupé.
Démonstration intolérable pour les autorités locales qui ont dispersé avec violence ce rassemblement et traité les manifestants espagnols avec la même dureté que les Sahraouis qui très régulièrement manifestent pacifiquement en faveur de l’autodétermination.
L’association des Amis de la RASD, qui a de son côté missionné à plusieurs reprises, en 2010, des observateurs pour accompagner les militants sahraouis à leur retour des campements de réfugiés de Tindouf et repartant chez eux à El Aïoun, est très attentive à ce qui vient de se passer ce week-end. Un membre de son bureau, y était présent.
Elle constate une fois encore, la brutalité de la réaction marocaine et sa dramatique intolérance à toute expression pacifique contraire à ce quelle entend à tout prix imposer depuis 35 ans, sa souveraineté sur le Sahara occidental.
L’association des Amis de la RASD, en appelle une fois encore à la responsabilité de la Communauté internationale et en particulier de la France, afin que la mission de paix des Nations Unies installée depuis 1991, soit dotée d’un mandat élargi à la surveillance du respect des droits de l’homme, première condition pour qu’un climat d’apaisement s’installe et rende possible sa première mission, à savoir l’organisation d’un référendum d’autodétermination pour le peuple sahraoui.
Elle rappelle également qu’une cinquantaine de prisonniers d’opinion sahraouis sont encore dans les prisons marocaines et appelle à leur libération immédiate.
Paris, le 30 août 2010
Régine Villemont
Secrétaire Générale de l'AARASD

Présentation de la cyberaction :

Cinquante deux prisonniers d'opinion, défenseurs des droits humains et militants de l'autodétermination qui depuis plus d'une dizaine d'années expriment pacifiquement leur revendication pour leur liberté d'expression et de circulation.
Sept d'entre eux ont été arrêtés le 8 octobre 2009, à leur descente d'avion à Casablanca, revenant des campements de réfugiés, accusés d'atteinte à la sécurité de l'Etat, pour avoir rejoint leurs compatriotes! Ils sont toujours en prison, à Salé, en attente de procès .Au 12-04-2010, ce sont 36 d'entre eux qui font désormais la grève de la faim depuis 26 jours; par ce seul moyen pacifique, ils espèrent tous être entendus, soutenus pour obtenir leur libération immédiate
De nombreux soutiens s'expriment dans le monde, parlementaires d'Europe, d'Afrique et d'Amérique latine, associations des droits de l'homme et associations solidaires avec le peuple sahraoui.

A vous aussi de réagir en vous adressant aux autorités marocaines et avec cette pétition peser pour la libération des sept de Salé et de tous les prisonniers d'opinion sahraouis.
Régine Villemont, pour l’Association des Amis de la République Arabe Sahraouie Démocratique (AARASD) ;
Alain Uguen, pour l’Association Cyber @cteurs .

Pour compléter vos informations sur cette situation, vous pouvez consulter le site multilingue de la campagne internationale : http://www.libertadpresospoliticossaharauis.com/   et sur celui de l’Association des Familles de Détenus et Disparus Sahraouis (AFAPREDESA) : http://www.afapredesa.org  
et sur l’histoire et la situation du Sahara occidental, les sites suivants :
http://www.arso.org    
http://www.sahara-info.org/  
http://www.sahara-occidental.com/  
http://www.wsrw.org/  
http://www.westelijkesahara.be/  
ou encore sur l’exploitation des richesses :
http://www.fishelsewhere.eu/index.php?parse_news=single&cat=195&art=1022  

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur Mohamed Taib NACIRI, Ministre de la Justice,
En application de l’article 10 de la déclaration universelle des droits de l’homme, fondement de tout Etat de droit, de l’article 21 du traité de Lisbonne, et de l’article 2 de l’accord de partenariat que votre gouvernement vient de confirmer avec l’Union Européenne, je me joins à la campagne internationale de solidarité avec le peuple sahraoui pour la libération immédiate et sans condition de tous les prisonniers d'opinion sahraouis détenus dans les prisons marocaines et en particulier ceux et celles de la prison de Salé dont les noms suivent :

- Mme Degja Lachgar, numéro d’écrou 50016,
(poursuivie en liberté provisoire, non gréviste).
- Ali Salem Tamek, numéro d’écrou 50010 ;
- Brahim Dahane, numéro d’écrou 50014 ;
- Ahmed Naciri, numéro d’écrou 50015 ;
- Yahdih Ettarouzzi, numéro d’écrou 50012 ;.
- Saleh Lebaihi, numéro d’écrou 50011 (non gréviste) ;
- Rachid Sghayer, numéro d’écrou 50013.

Dans l’attente de vous lire, je vous prie d’agréer, monsieur le Ministre, l’expression de ma vigilance citoyenne.

 

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