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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Une loi pour faire reculer la malbouffe : l’occasion de faire primer l’intérêt général.

Mise en ligne du 20/02/2019 au 22/02/2019

Experts, médecins, Organisation mondiale de la Santé : tout le monde s’accorde à dire qu’il faut agir pour protéger la santé des enfants. Tout le monde ? C’est ce qu’on verra demain, jeudi 21 février, alors que les députés débattront d’une proposition de loi qui pourrait enfin décider d’interdire la publicité et le marketing qui ciblent les enfants pour les produits trop sucrés, trop gras, trop salés.
Après l’échec de cette proposition lors des débats sur la Loi EGALIM, une commission d’enquête parlementaire sur l’alimentation industrielle avait conclu que cette interdiction était nécessaire. Mais les jeux ne sont pas faits. Entre jeux d’amendements et jeux politiques, foodwatch rappelle que l’intérêt général doit primer. 

Bilan de la cyberaction :

1857 participants


Alimentation : l'Assemblée rend le "Nutri-score" obligatoire sur tous les supports publicitaires
https://www.europe1.fr/sante/alimentation-lassemblee-rend-le-nutri-score-obligatoire-sur-tous-les-supports-publicitaires-3862073
 
Les députés ont voté jeudi pour rendre obligatoire l'affichage de l'échelle alimentaire "Nutri-score" sur tous les supports publicitaires (diffusé sur Internet, à la télévision et à la radio) pour les denrées alimentaires.
L'Assemblée a rendu jeudi obligatoire l'affichage du "Nutri-score" sur tous les supports publicitaires pour les denrées alimentaires dans le cadre d'une proposition de loi LFI entièrement réécrite par la majorité.
Un texte basé uniquement sur des amendements de la majorité. Les députés ont adopté à l'unanimité le texte déposé par les Insoumis dans le cadre de leur "niche parlementaire", mais uniquement sur la base d'amendements de la majorité. "Vous avez abrogé la totalité de nos articles. On repart d'ici avec le "Nutri-score", on s'en contentera", a commenté désabusé Jean-Luc Mélenchon se demandant si le vote d'un texte vidé de sa substance relevait d'une nouvelle stratégie de la majorité.
"Nutri-Score" s'affichera sur tous les supports publicitaires. La principale mesure adoptée porte sur l'affichage obligatoire sur les supports publicitaires pour l'alimentation du "Nutri-score", une échelle graphique qui classe en 5 catégories les produits alimentaires, en fonction de leurs qualités nutritionnelles.
Pour "les messages publicitaires sur Internet, télévisés ou radiodiffusés, l'obligation ne s'appliquera qu'aux message émis et diffusés à partir du territoire français et reçus sur ce territoire", précise le texte, adopté contre l'avis du gouvernement.
Une dérogation contre une contribution. Les annonceurs pourront cependant y déroger moyennant une contribution affectée à l'Agence nationale de santé publique. L'entrée en vigueur de la mesure est fixée au plus tard au 1er janvier 2021 pour laisser aux professionnels le temps de s'adapter.

Des informations relatives aux produits devront être transmises. D'autres amendements, défendus par la député Blandine Brocard (LREM), ont également été adoptés. Le premier oblige les industries de l'agro-alimentaire à transmettre à l'Observatoire de l'Alimentation des données relatives à l'étiquetage nutritionnel de leurs produits. Il prévoit la remise d'un rapport annuel au Parlement sur l'évolution de la qualité nutritionnelle et, sur la base de ces données, la fixation par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation de seuils de réduction du sel, sucre et acides gras insaturés pour les produits les plus consommés par les Français.
Un nouveau nom pour la loi. Un troisième amendement précise que l'enseignement sur l'alimentation doit être nécessairement intégré à l'enseignement scolaire et reste optionnel pour les activités péri-scolaires. Un dernier enfin a rebaptisé le texte, initialement destiné "à protéger la population des dangers de la malbouffe" en un projet de loi "visant à améliorer la qualité nutritionnelle des aliments et à encourager les bonnes pratiques alimentaires".
Une loi initiale visant les additifs, les taux de sels et de sucre et prévoyant un cours de nutrition. La proposition de loi des Insoumis entendait initialement réglementer la distribution de l'alimentation industrielle responsable de maladies chroniques comme le diabète, les maladies cardiovasculaires, le surpoids, l'obésité ou certains cancers. Elle proposait de n'autoriser la mise sur le marché que des seuls additifs figurant dans la liste des denrées alimentaires biologiques et de baisser les taux de sel, sucre et acide gras dans les aliments transformés. Le texte visait aussi à réduire l'impact de la publicité alimentaire sur les jeunes et prônait l'instauration d'une heure de cours de nutrition par semaine dans les écoles et les collèges.

Présentation de la cyberaction :

Paris, le 20 février 2019. Un enfant sur six en France est en surpoids ou obèse, et risque de le rester à l’âge adulte. L’Organisation mondiale de la santé pointe du doigt la responsabilité de certains acteurs de la malbouffe et recommande depuis des années des règles claires pour interdire la publicité et le marketing qui ciblent les enfants, pour des produis trop sucrés, trop gras, trop salés, sur tous supports. Les engagements volontaires de certains fabricants sont inopérants et ne suffisent pas, ce que foodwatch et nombre d’autres experts - notamment le Haut Conseil de la santé publique - ont déjà démontré. Alors qu’attend-on ? Près de 17 000 personnes ont déjà signé la pétition lancée par foodwatch demandant l’adoption d’une telle loi.
En septembre dernier, le rapport de commission d’enquête parlementaire sur l’alimentation industrielle faisait état de recommandations présentées par Michèle Crouzet, députée LREM Rapporteure de la Commission, et Loïc Prud’homme de LFI. Parmi celles-ci : interdire la publicité alimentaire à destination des enfants. Quelques mois plus tard, le Président de la Commission, Loïc Prud’homme présente une proposition de loi, appelée « Protéger la population des dangers de la malbouffe », qui sera débattue en séance publique à l’Assemblée nationale ce 21 février. Les députés auront donc demain l’occasion de traduire en acte politique l’une des recommandations émises depuis septembre en restreignant le marketing ciblant les jeunes pour les produits peu favorables sur le plan nutritionnel.
Or rien n’est moins sûr. La proposition de loi a d’abord été vidée de sa substance en commission des affaires sociales la semaine dernière. C’est maintenant principalement sur le texte redéposé et sur les nouveaux amendements que les débats auront lieu et qu’il faudra compter. On trouve justement au moins un amendement qui porte sur la publicité et le marketing (numéro 50), émanant de quelques députés de la majorité.  Même si elle n’est pas parfaite, l’adoption d’une telle proposition serait un réel pas en avant.
« Les considérations partisanes ne sont pas recevables sur des sujets aussi importants de santé publique. La solution est connue depuis longtemps et réalisable : aux législateurs de décider dès que possible des règles du jeu qui vont protéger la santé des enfants. Continuer à s’appuyer sur des engagements volontaires des industriels a déjà montré son inefficacité contre les pratiques dangereuses de certains industriels de la malbouffe », insiste Mégane Ghorbani de foodwatch France. 

L’encadrement du marketing ciblant les enfants est prévu dans la Stratégie nationale de santé publique 2018-2022 (page 16)
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dossier_sns_2017_vdef.pdf  

Communiqué de foodwatch sur les conclusions de la Commission d’enquête parlementaire sur l’alimentation industrielle, 26 septembre 2018
https://www.foodwatch.org/fr/presse/communiques-de-presse/page-detail-communiques-de-presse/malbouffe-foodwatch-salue-le-rapport-parlementaire-sur-lalimentation-industrielle-mais-appelle-a-aller-plus-loin-et-plus-vite/  

Malbouffe et marketing ciblant les enfants : comprendre l’enjeu 
https://www.foodwatch.org/fileadmin/foodwatch.fr/campagnes/Malbouffe/Publication_marketing_enfants_foodwatch.pdf  

La lettre qui a été envoyée :


Madame, Monsieur,
Dans l'examen proposition de loi, appelée « Protéger la population des dangers de la malbouffe », je vous invite à voter un amendement qui porte sur l'interdiction de la publicité et le marketing pour des produits alimentaires transformés en direction des enfants et adolescents. (numéro 50).
Même si elle n’est pas parfaite, l’adoption d’une telle proposition serait un réel pas en avant.
Veuillez croire, Madame, Monsieur, en ma vigilance sur vos votes

 

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21 commentaires

credible

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je suis entièrement d'accord, respectons l'humain
sa santé, son équilibre, la malbouffe ^porte atteinte également à la terre, les mers, l'air, elle participe à sa façon à la destruction de notre planète en même temps.

LEFEVRE Françoise
Le 12/03/2019 à 19:05:32

Très bonne initiative! Il faut perséverer!

Noe
Le 05/03/2019 à 02:36:20

Malbouffe , pesticides , pollutions en tout genre, guerre nucléaire , casse sociale, inégalités toujours plus grandes , abandon de l'éducation, sanctification du profit , loi internationale de la finance, assassinats corruptions et traffics tous azimuts , intox et manipulation , loi anti-casseurs et répressions violentes, pouvoir fasciste en MARCHE dans le monde entier , division des oppositions , intégrisme de tous bords , accords commerciaux internationaux génocidaires , justice et police aux ordres des gouvernants , démobilisation politique des peuples , destruction de la nature et réchauffement , croissance, consumérisme ... !?!?!?

richard
Le 26/02/2019 à 22:11:49

Pour le respect et le soin à la terre qui nous nourrit et pour l'homme.

Agnès CATHELIN
Le 25/02/2019 à 10:47:07

Au Japon, depuis 1960 le gouvernement a pris des mesures pour réduire le sel dans l'alimentation. BILAN: réduction des AVC de 85%!

Quand on choisi de privilégier la santé des gens plutôt que les profits des multinationales, ça fonctionne ...

Suitcase Man
Le 24/02/2019 à 22:36:19


merci

Cordialement

BRUNO CASTEX
Le 24/02/2019 à 09:32:19

La malbouffe, rien d'involontaire... Juste pour nous rendre malades et nous faire consommer des médocs !!!

david barrillon
Le 23/02/2019 à 09:23:49

NON à la malbouffe et au gaspillage!!!!!!!!!!!!!

Gérard PERGET
Le 22/02/2019 à 21:59:36

Ils sont puissants autant que le public est faible, essayons encore et encore jusqu'à..

LEONE
Le 22/02/2019 à 10:53:35

Pour répondre à RASLEBOL (2 fois) :
Je suis médecin de prévention et m'adresse à des enfants dans des quartiers défavorisés dont les parents sont trop occupés à joindre les 2 bouts en cumulant des petits boulots mal payés et ou en cherchant du boulot (l'immense majorité des exclus du travail cherche à retrouver une occupation, contrairement à ce que nous laissent croire les discours ambiants sur l'assistanat).
Ces enfants se retrouvent très jeunes en grande autonomie pour se préparer des repas, sans toujours savoir faire et avec des produits industriels dans les placards... Leurs choix sont alors souvent guidés par le marketing. Sans compter que beaucoup ne fréquentent pas la restauration scolaire (trop chère) et ont comme repas le midi un paquet de chips bon marché et un soda...
Les politiques d'éducation à la santé sont financées par des maigres subventions, incomparables aux budgets publicitaires. Les résultats sont faussés (les enfants sont souvent conscients de faire de mauvais choix à l'issue d'action de prévention mais ne savent pas en faire d'autres car les pubs les martèlent)... Facile d'accuser les autres parents, même si je souscris à l'idée qu'il faille responsabiliser tout le monde et que certains choix sont aberrants (fausse économie sur les produits alimentaires bon marché mais peu nourrissants, faux besoins...)

Flip
Le 21/02/2019 à 18:21:59

Il se ferait temps que l'appât'du gain nous empoisonne !

un anonyme
Le 21/02/2019 à 14:40:19

JE NE SIGNE PAS. JE NE SIGNE PLUS. MARRE !
JE SUIS PARENT ET LA MALBOUFFE C'EST AUSSI LA RESPONSABILITÉ DES PARENTS.

PARENTS FAITES VOTRE BOULOT.
Commencez déjà par "vous-même" en analysant vos comportements, vos gosses font du copier-coller.
Arrêtez d'enrichir le système avec tout ce dont vous n'avez pas besoin dont viande à gogo, clopes, alcool, téléphone dernier cri qui tue etc... revoir les vraies priorités.

Apprendre à dire "NON" à vos enfants est leur rendre service pas le contraire.

Bougez-vous, "prenez vos responsabilités" au lieu de toujours compter sur les décrets et lois de Tartempion.
À l'heure des Gilets Jaunes, il faut comprendre que le pouvoir passe aussi par nos décisions au quotidien !

Regarder ce qui se déroule sur le tapis à la caisse et faites un tri sélectif tout en expliquant clairement à vos enfants, à moins que vous-même n'ayez toujours pas compris ?

À bon entendeur salut !

Je m'exprime par expérience vécue depuis des décennies, à vous de faire les vôtres.

RASLEBOL
Le 21/02/2019 à 12:53:16

Ces publicités incitant à manger n'importe quand, n'importe quoi: hypersucré, salé, gras, apparaissant "à tout bout de champ" sont un danger sanitaire pour tous: enfants et surtout pour les fragiles...

jean-louis BANNERY
Le 21/02/2019 à 12:47:53

Quand pourrons nous cesser d'être obligés de surveiller tout ce qui se passe à l'assemblée? Quand nos élus se décideront-ils à œuvrer pour le bien commun, ou va-on se défier d'eux jusqu'à, ce que, de guerre lasse, la majorité des gens se tournent vers l’extrême droite en pensant qu'ils vont mettre bon ordre à tout ça? (j’espère ne pas avoir élus ceux qui permettent ce genre de choses de se produire)

Christian Perez-Gil
Le 20/02/2019 à 21:41:49

C'est un des sujets de la niche parlementaire de la France Insoumise demain à l'assemblée : à suivre sur canalfi.fr à partir de 9h15.

un anonyme
Le 20/02/2019 à 21:40:31

J'ai corrigé la formulation boiteuse de l'avant dernière phrase : "Même si cette proposition n’est pas parfaite, son adoption serait un réel pas en avant".

Bibi
Le 20/02/2019 à 21:09:18

A nmon avis c'est bien plus qu'une loi antipub qu'il faut voter ! le chemin est long avant de revenir à ce qu'etait il y a bien longtemps une alimentation saine . Ce sont les acheteurs qu'il faut eduquer à se tourner vers une alinentation naturelle , c'est aux parents decider des achats alimentaires et non aux enfants....

pascale le gall
Le 20/02/2019 à 21:06:48

Je ne signerai pas cette pétition.
Je suis membre d' une association qui se bat depuis 14 ans maintenant pour "faire reculer la malbouffe".
Ce sujet mérite un engagement militant continu et non une signature à la va-vite en se donnant bonne conscience parce qu'on a signé une pétition dont les destinataires s'en fichent comme de leur première chemise !
Notre alimentation est en danger parce que l'agriculture et notamment l'agriculture paysanne est en danger.Et ce qui est en jeu ce n'est pas la malbouffe, mais la bouufe tout court.

Philippe Obrecht
Le 20/02/2019 à 19:58:23

revoir "l'aile ou la cuisse"
les tricatel sont toujours à la manœuvre, des décennies plus tard...

louis de funès
Le 20/02/2019 à 17:58:47

Toujours les lobbies, et ceux-là sont de taille !
Quelle société se dessine non seulement en France, mais partout ?

CdO
Le 20/02/2019 à 17:54:50

La proposition de loi visant à encadrer le marketing à destination des enfants a déjà été vidée de sa substance lors de son passage en commission des affaires sociales de l'Assemblée la semaine passée ? Les lobbys sont donc activement à l'œuvre et à la manœuvre.
Ou quand on voit une fois de plus que ces industriels n'ont aucune moralité, que seul compte pour eux le profit maximum immédiat au détriment de tous les consommateurs et, circonstance aggravante, des enfants dans le cas présent. Honte aux politiciens qui se laissent également corrompre. Il est également urgent que ces derniers doivent rendre publics et connus de tous leurs liens avec les industriels et leurs lobbys.
Prendre, comme ici, les enfants pour cibles de campagnes publicitaires au travers des emballages de leurs saloperies ou des spots télévisés qui en louent les "mérites" relève tout bonnement de crime contre les générations futures. Vu que politiques et industriels sont complices, il revient aux parents de se montrer suffisamment intelligents pour refuser ces "aliments" mortifères pour leurs enfants qui eux n'ont pas assez de raison pour faire leurs propres choix pour encore. Comme disait Coluche, "Il suffirait pourtant que les gens n'achètent plus pour que ça ne se vende plus". Y'a du boulot sur la planche...

un anonyme
Le 20/02/2019 à 17:16:35

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