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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : États généraux de l’alimentation : pour un modèle agricole soutenable.

Mise en ligne du 19/07/2017 au 25/10/2017

Ce jeudi s'ouvrent les États généraux de l'alimentation. Le discours qu'y prononcera Emmanuel Macron est très attendu. Avant d''être repris par le Président, ces États généraux étaient une proposition de Nicolas Hulot et de sa fondation. L'idée était d'ouvrir le débat sur les pesticides, les circuits courts, l'agriculture biologique, le bien-être animal… De nombreuses ONG craignent que ces états généraux soient une usine à gaz débouchant sur un catalogue de bonnes intentions plutôt que sur du concret.

Bilan de la cyberaction :

3495 participants

Présentation de la cyberaction :

Parmi celles-ci Inf'OGM a publié une lettre ouverte
Chers mangeurs,
Aviez-vous entendu parler de l’intention du Président Macron d’organiser rapidement des États généraux de l’alimentation ? Ces États généraux nous concernent tous, car nous sommes tous des mangeurs !
Aviez-vous compris que ce chantier serait lancé pendant la traditionnelle trve des vacances d’été, et pensez-vous prendre du temps, maintenant, pour décrypter les enjeux autour de nos assiettes ?

Chers mangeurs, Inf’OGM salue cette initiative qui répond au constat de graves dysfonctionnements dans le système agricole et alimentaire en France, en Europe et dans le monde depuis de nombreuses années. Mais, alors que la voie des biotechnologies est mainte fois présentée comme la solution aux besoins alimentaires d’une population mondiale en croissance constante et que cette solution clé en main est pourtant largement contestée, nous sommes surpris de voir que des OGM, il ne sera pas directement question ! Est-ce à dire que la question est déjà tranchée pour le gouvernement ?

Difficile de connaître la réponse tant l’organisation de ces États généraux se déroule dans l’urgence et l’opacité.

Initialement prévue début juillet, la journée de lancement de ces États généraux aura finalement lieu le 20 juillet. Mais, à une semaine de ce lancement, le 13 juillet, Inf’OGM a appris des personnes en charge de son organisation au Ministère de l’Agriculture que ni les documents officiels, ni le calendrier et la liste des 14 ateliers repartis en deux chantiers [1], n’étaient « finalisés ». Impossible de savoir comment les participants aux ateliers ou les Grands Témoins [2] seront sélectionnés. Impossible de vraiment savoir comment s’impliquer à une semaine du démarrage. Les enjeux sont pourtant trop importants pour tre discutés dans l’opacité et la précipitation : cela crée de la confusion alors que nous avons tous besoin de savoir avec clarté ce que nous mettons dans nos assiettes.

Cette précipitation et cette opacité empchent que soient débattues, collectivement, les conditions dans lesquelles ce débat national aura lieu. Il est dit que ces États généraux doivent tre clos en amont des négociations commerciales de 2018. Autrement dit, le calendrier fixé répond aux enjeux du marché mondial. Nombreux sont pourtant les rapports d’organisations (CCFD, Oxfam, Grain, etc.) qui montrent que la libéralisation des marchés est un facteur prépondérant de la crise agricole. Dès lors, n’y a-t-il pas une autre manière de poser le débat et de fixer l’agenda d’une telle démarche ?

Alors que les États généraux sont organisés par la Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises (et non par la Direction générale de l’alimentation), qu’est-ce qui garantit que ce sera l’intért général qui sera défendu, et non l’intért d’un système économique déjà défini ? Il ressort d’une version provisoire qu’Inf’OGM s’est procurée que les États généraux sont placés sous une dominante économique. Le premier chantier est en effet intitulé « Création et répartition de la valeur » [3]. Pour le gouvernement, la question de l’alimentation semble donc tre avant tout une question économique et d’organisation de la production.
La politique consiste à choisir

Nous pouvons supposer que le flou qui entoure l’organisation des États généraux tient à des désaccords au sein mme du gouvernement. Nous savons par expérience que certains sujets, comme celui des OGM, ne sont pas consensuels. Les pouvoirs publics doivent faire un choix entre des modèles agricoles incompatibles. Les OGM font partie de ces éléments que nous ne maîtrisons pas et qui impliquent des conséquences irréversibles. Or, certains d’entre eux (colza, tournesol), rendus tolérants aux herbicides par mutagénèse in vitro, sont déjà cultivés sur le sol français en l’absence de toute évaluation et d’information du consommateur. Et les OGM issus des nouvelles techniques de modification génétique arrivent… Le débat est donc nécessaire et loin d’tre clos.

L’enjeu de ces États généraux résidera certainement dans la capacité des participants à transformer ce "livrable". En effet, dans la version du texte gouvernemental, l’objectif de ces EGA est que « chaque participant doit pouvoir trouver, dans les conclusions, des recommandations qui l’intéressent, afin de réussir la mobilisation collective qui est un des livrables essentiels de ces États généraux ». Soyons réalistes et raisonnables, il faudra faire des choix, débattre de points non consensuels. Les choses pourraient bouger à condition que l’enjeu ne soit pas de faire plaisir à tous, de l’actionnaire de Nestlé aux paysans bio. Ce n’est pas possible. La politique consiste à choisir, à décider, et non à créer l’illusion d’une société sans tension. Les États généraux ne pourraient-ils pas tre l’occasion réfléchir aux conditions d’un modèle agricole soutenable ?

Pour nous, seul le « débat sur le débat » permet de créer les conditions optimales d’États généraux ou de toute autre instance qui aurait pour rôle d’alimenter de façon pertinente un débat public. Il est toujours préférable de savoir quelle est la méthodologie choisie avant de s’engager pour éviter toute forme de manipulation ou de déception.

Une consultation publique doit démarrer sur Internet et nous en saurons bientôt davantage sur le mode de participation. Nous ne manquerons pas de décrypter ce débat au cours de ces très nombreux ateliers.

https://www.infogm.org/6291-etats-generaux-alimentation-lettre-aux-mangeurs  

En soutien à la position d'Inf'OGM et de nombreuses ONG voir la revue de presse du jour, nous vous proposons d'interpeller le Président de la République qui doit clôturer ces Etats Généraux du 20 juillet.


États généraux de l’alimentation : lettre aux mangeurs
Un rendez-vous pour réconcilier agriculture et environnement
Etats généraux de l'alimentation : ceux qui craignent de rester sur leur faim
États généraux de l'alimentation : des associations de défense de l'environnement interpellent Macron
https://www.cyberacteurs.org/quotidien/equotidien.php?id=2176  

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le Président,

Les enjeux sont pourtant trop importants pour être discutés dans l’opacité et la précipitation : cela crée de la confusion alors que nous avons tous besoin de savoir avec clarté ce que nous mettons dans nos assiettes.

Je tiens à vous faire savoir que je suis pour des Etats généraux de l'alimentation mais pas dans ces conditions de précipitation et d'opacité. Je demande donc que ces Etats Généraux soient réellement l'occasion de réfléchir aux conditions d'un modèle agricole soutenable.

 

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70 commentaires

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Pour les EGA ok a condition que les benets de la fête ne soient pas les portes monnaies des consommateurs car M Travert et ces lobyistes,intermediaires grandes surfaces ,sont ok pour que les 10 et 15% d'augmentation sur les produits ,soient a la charge du consommateurs et eux ne veulent pas mettre la main à la poche!

un anonyme
Le 06/10/2017 à 11:51:25

Que l'état aide plus nettement le bio afin qu'on cesse d'importer des produits agricoles bio que nous pourrions produire. Qu'on aide la création d'entreprise s de transformation des produits bio, dans le même objectif.

Qu'on soutienne financièrement le développemen des circuits courts pour aider les petits producteurs qui tentent ainsi de mettre une alimentation locale et saine à la portée du plus grand nombre.

Qu'on subventionne les emplois de l'agriculture non-industrielle, celle des petits producteurs qui fournissent souvent de l'emploi dans des zones isolées et peu industrialisées.

Qu'on soutienne la pêche par petits bateaux et crée une taxe surla production des navires utilisant des engins de pêche destructeurs de l'environnement sous-marin, de la biodiversité marine et des réserves halieutiques suivant le principe du "destructeur-payeur."

Qu'on impose, et demande que soient imposée dans l'UE, des périodes de fermeture de la pêche dès lors que les prises constatées d'une variété baissent de façon notable.

C'est simple, non ?


Laurence Didion
Le 30/08/2017 à 00:07:36

Il n'y a que les circuits courts qui permettent de connaître réellement la provenance et le mode de production de nos aliments

un anonyme
Le 25/08/2017 à 09:07:17

Un debat sur les nouvelles pratiques de l'agriculture renouvelable telle que la permaculture serait bienvenu. IL aurait le mérite de montrer que l'agriculture "industrielle" telle qu'elle est pratiquér à grande echelle est un non sens: elle epuise les sols, necessite engrais chimiques et pesticides alors que la permaculture sur des surfaces moins grandes a de meilleuts rendements, preserve la qualité des sols et surtout emploie plus de monde

Christiane Poinsignon
Le 20/08/2017 à 16:27:54

Je suis pour un débat où il serait proposé la suppression tous les pesticides qui abîment la terre et qui empoisonnent les aliments que nous mangeons. Nous ne pensons pas aux générations futures qui elles, vont se trouver en face de problèmes pires que les nôtres, l’accélération de la destruction de notre mère la terre s'accélérant.
Expliquons à tous comment se nourrir sans viande, sainement et avec suffisamment de protéines, car je suis contre la souffrance animale et contre toutes les cultures céréalières qui servent à nourrir ces animaux destinés à la boucherie.
Je suis évidemment pour la culture biologique !

Riffi la noire
Le 16/08/2017 à 08:53:50

il y a aussi un problème agrobio !

- depuis longtemps nous savons que le labour provoque un séchage interne du sol, puis une dispersion des gaz à effet de serre contenus dans le sol (réserve importante !) dans l'atmosphère !
Il existe - au moins en zone tempérée - 3 espèces de lombrics qui sont spécialisées pour un espace précis (juste sous la litière, puis le 2e groupe en dessous sur une certaine profondeur, puis le 3e groupe (espèce toute blanche qui n'a jamais accès à la lumière) vit
encore plus profond !

de plus, les cahiers des charges de Nature et progrès, de Demeter autorisent la pratique du désherbage thermique (600à 800°C : création d'une multitude d'ECN (espèces chimiques nouvelles dont les conséquences sanitaires ne sont pas prises en compte tant sur le plan de la qualité du sol, que du végétal qui y pousse que de toute la micro-flore et microfaune du sol !
Cohérence propose de mouiller les sols - au moins tous les deux ans - avec de l'eau chaude sur 10 cm de profondeur ...1 g de terre contient des quantités énormes de bactéries actives .... quel est le résultat de telles pratiques ? et je ne parle pas des effets sur le mycélium....

Déjà Geoffroy (créateur de la "vie claire") mentionnait les expériences de non-labour un texte (édité en 1911) mentionne cette pratique en Ariège !

il a fallu détruire les haies - où logeait des oiseaux insectivores - avoir recours à des matériels de plus en plus lourds (micro-divisions des pédons - individus sol -) tassant terriblement les espaces impactés : blocage de la circulation de l'eau et de l'air dans le sol...

ce matin sur France-culture une productrice d'oeufs bios a dit que le distributeur de produits anti-poux (pour les poules en élevage) parlait de produits issus de la menthe , et ... alors que c'était du friponil. Les oeufs retirés de Leader Price en France étaient des oeufs dits "bios" !

dans mon quartier un boulanger a un panneau d'affichage extérieur signalant l'origine de sa farine agro raisonnée et ayant également le sigle AB (60, rue Duhesme - Paris ! A l'intérieur de la boutique il n'(y a aucune distinction entre les produits qui seraient bios et ceux provenant du non-bio !

Des produits transformés Unilever mentionne provenir d'une origine "agriculture durable" !

l'agro-bio se plaint de ne recevoir que 2% de la PAC mais si elle ne revoit pas très sérieusement ses cahiers des charges (à la lumière des connaissances sur la biologie des sols, ....) j'ignore ce qui peut lui arriver ....

La région Rhone-Alpes-Auvergne en connait certainement les prémices ! les assoc écolo n'ont plus ou très peu de subventions publiques (mais les chasseurs sont gâtés....).

ce qui m'a mis la puce à l'oreille sur ces réalités... j'étais emballée par l'idée des AMAPS et très tôt je me suis inscrite dans cette démarche locale, au bout de près de 10 ans de contrats, un jour de distribution le paysan (demeter) m'a parlé de sa pratique de désherbage thermique.... je n'ai alors plus renouvelé mon contrat !

b l
Le 14/08/2017 à 11:56:09

Il y a à peine plus d'un demi-siècle, les paysans des Pyrénées Centrales vivaient en quasi auto-suffisance alimentaires, avec un bas de laine pour les jours difficiles.
A la deuxième ou troisième génération, ceux qui sont restés sont endettés et ne font même plus leur jardin, avec le syndrome du ventre des camionneurs.
Force herbicides sont utilisés pour le dessous des clôtures, les traitements anti-parasites pour le bétail, les ovins, fait qu'il n'y a plus de sauterelles, de papillons dans les prés, les ruches meurent et il n'y a presque plus d'insectes qui viennent s'écraser sur le parebrise des voitures.
Il y urgence Monsieur Hulot, soyez courageux Monsieur Macron car il vous est possible d'être un marqueur historique, pour le meilleur comme pour le pire!

Honhaire
Le 14/08/2017 à 11:01:43

#EGalim : une organisation verticale d’un autre âge
https://www.infogm.org/6303-egalim-organisation-verticale-autre-age  

Alain UGUEN
Le 12/08/2017 à 08:28:55

#EGalim : la FNAB dénonce une « mascarade »
https://www.infogm.org/6302-egalim-fnab-agriculture-bio-denonce-mascarade  

Alain UGUEN
Le 12/08/2017 à 08:25:18

Nous passons notre temps, ma femme et moi, à nous fournir pour notre alimentation chez particuliers déclarés, petits producteurs et dans les rayons de produits bio, comme une proportion toujours grandissante de Français. Nous préférons aussi, ça va sans dire, Monsieur Hulot au Ministre de l'agriculture actuel et à l’ancien Président de la FNSEA.
L’alimentation est aussi et doit être un geste politique.

philippe Gillier
Le 10/08/2017 à 21:00:02

Retrouvons la juste mesure dans la production alimentaire. Donnons priorité à la production locale en circuit court, au respect de la relation entre l'homme et l'animal, et à la reconstruction de la biodiversité du sol.

Christine JODET
Le 10/08/2017 à 15:01:20

Je pense qu'il faut se réapproprier notre citoyenneté.
Prenons en main notre alimentation. Cultivons partout des légumes et des fruits : en ville avec les "incroyables comestibles" des bacs à la disposition des habitants qui cultivent pour tout le monde; cultivons aux pieds des immeubles ; cultivons sur les pelouses etc...

Et surtout BOYCOTTONS les grandes surfaces.

annette roussel
Le 10/08/2017 à 11:34:14

la décision du ministre Travers de limiter le transfert de budget agricole européen à 4.2% pour les mesures bio, environnementales et zones défavorisé, alors que les besoins sont de 12% montre que la volonté de changer les choses en agriculture n'y est pas. la toute puissante FNSEA s'y oppose et sa présidente angevine en premier!
alors, participation ou boycott?

philippe JAUNET
Le 10/08/2017 à 10:03:55

bonjour, si nous attendons les états de favoriser ce qui est bien pour tous les citoyens du monde, nous risquons d'attendre longtemps. N'attendons pas et prenons des mesures : nous citoyens du Monde.
comme par exemple à Angers dans les 4 magasins CABA biocoop = mise en place de l'"arrondi" lors de nos courses. si votre panier est à 48.25€ eh bien on arrondi à 49€ et 75centimes d'euro vont à Terres de Liens qui va acheter le foncier de futurs producteurs biologiques. Cela fonctionne ....

suire olivier
Le 09/08/2017 à 21:40:31

Il y a déjà eu reculade de Hulot, sur les pertubateurs, jusqu'où va-t-il aller?

Cordier Eric
Le 09/08/2017 à 20:11:10

ce nouveau scandale alimentaire ne suffit t-il pas..ne consommons que bio et local et mangeons moins

monique
Le 09/08/2017 à 09:39:30

Du bio ou local bien cultivé dans les cantines.
1 repas végétarien par semaine pour tous
1 repas végétarien de substitution chaque jour : pour les végétariens, les musulmans, les juifs etc ... éviter ainsi la discrimination. Un choix alimentaire c'est tout.
Le tout doublé d'une pédagogie présentant les bienfaits de la diminution de la consommation de viande.
Pas difficile, pas cher ... il ne nous faut que la volonté politique !

Denise
Le 08/08/2017 à 16:09:36

Pour le respect de toute vie et de ce qui contribue à son épanouissement.
Oui pour le bio, le vrai.
Consommateurs, nous avons le pouvoir de faire changer ce monde.

fanfan
Le 08/08/2017 à 16:08:10

il est absolument INDISPENSABLE de favoriser et subventionner l'agriculture bio,de mettre du bio dans les cantines !!

Ghislaine Millot
Le 08/08/2017 à 12:21:01

C'est quand incroyable que ceux qui produisent la nourriture crèvent de faim ! Alors qu'on est capable de sortir des millions pour un gars qui tape dans un ballon pour un club de foot !!! On marche sur la tête !!!

Véronique
Le 07/08/2017 à 23:26:43

arretons de pourrir nos terres,et de nous rendre malades. Cultivons notre jardin,

martine bedrune
Le 07/08/2017 à 23:07:54

Promote a general food diet for a sustainable agricultural model

Elisabeth
Le 07/08/2017 à 22:11:26

souhaitons que naissent des engagements et non des propositions qui n'aboutissent jamais et que tout soit fait pour favoriser l'agriculture destructrice

dulong
Le 07/08/2017 à 22:11:24

Il est temps que al France passe au bio et cesse de soutenir Monsanto et autres grands pollueurs! Mais on n'est mal partis... Quand on voit l'obligation vaccinale (si, ça a un rapport...), quand on voit que la culture intensive est encore vue comme le modèle idéal... Il y a du pain sur la planche!

Célestine
Le 07/08/2017 à 19:43:38

Bonjour, l' agriculture Bio est rentable pour le paysan comme pour le consommateur. Ceci posé, je pense qu' au lieu de reverser des sommes considérables au riziculteur, par exemple (c'est dans mon département), l'on ferait mieux de soutenir l'agriculture Bio et de raccourcir les distances d'approvisionnement entre le producteur. Les tomates c'est en été et en France, les raisins en automne et en France,ect...! Je n'ai rien à ajouter.

Jean-Michel Sampay
Le 07/08/2017 à 18:51:56

Nicolas ...ne commencez pas à avaler des couleuvres ...il en va de notre survie ...et de votre perrénité d'un homme "politique clean" !

DAUCHER
Le 07/08/2017 à 18:48:54

Je préfère manger bio que manger de l'or. Pour une seule raison : il m'est plus aisé d'être humain qu'imbécile.

Louis Arti
Le 07/08/2017 à 18:00:49

2 manifs en deux-sèvres le 4/08 devant les sous préfectures, avec la Confédération Paysanne, et surtout les citoyens!
Ce sont les consommateurs et les citoyens qui peuvent faire changer les choses, parce que là-haut, ils sont hors sol,et ce ne sont que les intérêts financiers qui les guident. Donc, appel à diffuser toutes ces données auprès des citoyens et les mettre devant leurs responsabilités: je mange bio et local, je soutiens les producteurs locaux, je BOYCOTTE les grandes surfaces, et j'explique pourquoi autour de moi. Pour le reste, ya plus qu'à croiser les doigts parce que la situation se dégrade, à croire qu'ils le font sciemment pour ralentir l'envolée du bio.

Claude
Le 07/08/2017 à 17:48:11

il est absolument INDISPENSABLE de booster
l'agriculture bio,la permaculture etc !

Deanna Martin
Le 07/08/2017 à 16:04:13

Avec espoir qu'enfin nos avis comptent !
Que votre choix aille dans le sens du respect
Merci

evelyne calmel
Le 07/08/2017 à 15:28:39

De l' argent pour les paysans pauvres, par pour les riches !!!

Yann-Loeiz Kabell
Le 07/08/2017 à 15:23:57

Bonjour je suis un petit paysan eleveur en bio bénéficiant de mesures agroenvironementales:zones humides pratiquant une agriculture raisonee on n'a toujours pas recu les aides pac 2015 2016 ma tresorerie ss'en ressent alors quand on va etre paye et qui nous aide je suis adhérant a la conf paysane 31 svp:aidez moi

fronton
Le 07/08/2017 à 14:32:11

Il serait temps !

Madeleine
Le 07/08/2017 à 14:20:07

DES MESURES CONCRÈTES JE SUPPOSE QUE MACRON SE NOURRIT CORRECTEMENT À L 'ÉLYSÉE, ALORS ON VEUT TOUT PAREIL POUR NOUS.
D 'AVANCE MERCI POUR TOUT EMMANUEL ET NICOLAS

Marie Moinard
Le 07/08/2017 à 14:05:05


il est temps que l'on tienne compte de l'environnement, du bien être animal, de la santé de l'homme et celui de la planète. La loi de cause à effet existe;

france arnaud
Le 06/08/2017 à 11:51:33

#EGAlim : l’industrie aux avant-postes

Le ministère de l’Agriculture a rendu public, le jeudi 3 août, le nom des président-e-s des ateliers des États généraux de l’alimentation (#EGAlim). A l’évidence, l’industrie a réussi à se tailler la part du lion. Sur les 20 présidents, huit sont issus de l’industrie agro-alimentaire, six sont des élus, deux représentent la recherche publique et deux autres l’intérêt général d’un point de vue associatif (CLCV, réseau Alerte).

Lire la suite : https://www.infogm.org/6305  

Inf'OGM
Le 06/08/2017 à 08:39:20

Petit à petit les choses avancent et c'est ça qui comptent car il faut bcp de temps pour faire évoluer les mentalités !
C'est faux de dire que les grenelles n'ont servi à rien simplement ça ne va pas aussi vite qu'on le voudrait mais les traces que les Grenelles ont laissé petit à petit tissent un maillage solide !sur lequel on peut compter pour engager des alternatives partout !

hélène taglioni
Le 04/08/2017 à 18:16:31

on se souvient du grenelle de l'environnement du blabla pour rien

Rannou Dominique
Le 04/08/2017 à 09:57:10

Merci encore à toutes les associations, toutes les ONG, tous les militants qui continuent à croire que le bon sens l'emportera, qui se battent avec imagination pour dénoncer inlassablement l'incohérence, l'inconséquence des lobbies, l'aveuglement de nos dirigeants politiques.

Ouvrir le débat sur les pesticides, les circuits courts, l'agriculture biologique, le bien-être animal… et après le débat : DES ACTES !

Mireille LAFFORT
Le 03/08/2017 à 17:34:53

Nicolas Hulot ne pourra pas tout changer du jour au lendemain, mais je préfère que ce ce soit lui qui s'y colle plutôt qu'un politcard carriériste.

Fabrice Terrien
Le 03/08/2017 à 16:14:13

le combat va être rude face à la désastreuse FNSEA, soutenue depuis des lustres par les différents gouvernements; espérons que Nicolas Hulot tiendra bon mais est-il vraiment libre ?

Gaud Chauvin
Le 03/08/2017 à 11:56:01

On manque de politiques courageuses en Europe et en France, pourtant le bio c'est le seul secteur créateur d'emplois en agriculture

Nicolas TRINITÉ
Le 03/08/2017 à 11:44:35

Pour le respect de tout et tous
Merci !

evelyne calmel
Le 03/08/2017 à 10:15:23

PAC : Hulot promet un peu de beurre dans le bio
http://www.liberation.fr/futurs/2017/08/02/pac-hulot-promet-un-peu-de-beurre-dans-le-bio_1587843  

Alain UGUEN
Le 03/08/2017 à 08:12:02

J'ai bien peur qu'avec ce nouveau gouvernement,on n'avance guère dans le bio
Malgré de plus en plus de gens adeptes du bio...mais s'occupe t'on des avis de la population?

monique
Le 02/08/2017 à 11:11:50

Bonjour à tous,
Il me semble que malgré les lobbys, les différentes formes de corruption larvée, l'installation au pouvoir dans de nombreux pays (y compris le notre) de responsables politiques à la botte, les gens se lèvent et tentent de faire entendre la voie du bon sens pour conserver la vie et la paix sur notre planète. La vraie démocratie comme certaines "mauvaises herbes" est beaucoup plus difficile à éradiquer que le pensent les planteurs d'OGM. Macron montre une fois de plus son vrai visage et le peu de cas qu'il fait de la démocratie. Bien qu'il se targue d'avoir étudié Machiavel, il semble ne pas l'avoir compris...

Christian Perez-Gil
Le 02/08/2017 à 10:18:45

Il y a déjà tellement de questions à face à la bio-industriel qui contient sucre et nitrite (charcuterie et plats préparé )Si l'économie régit les E.G il semble que le butte utile pour tous ne peut être atteint et que nous serons comme d'ab enfumé

dominique claudin
Le 01/08/2017 à 18:50:50

je sollicite une réflexion profonde sur l'agro-bio :
mise à jour des cahiers des charges :
- (connaissances de la biologie des sols - les différentesd espèces de lombrics font tout le travail de malaxage, d'aération et de plus ils n'éliminent pas le CO2 contenu dans le sol et ne provoquent une sécheresse des terres ! - refus des désherbages thermiques (gaz ou eau chaude !)
- mise en pratique donc du non-labour, des techniques de la permaculture et de l'agro-foresterie !
- respect du bien-être animal : récente photo dans la presse quotidienne d'une publicité "photo de porcelets la queue coupée ! un animal nourrity de graines germées (sans mélange !) est en excellente forme et ne présente aucune agressivité !
- révision des cahiers des charges des transformateurs : même pas le respect de "nutriscore" admis par un certain nombre de transformateurs de l'agro-industrie (nutriscore : prise en compte du taux de sucre, de graisse, de sel - manque l'apport bénéfique de fibres ! -) je suis choquée de voir des tranches de jambon avec sulfites, des taux de sel supérieurs à ceux de l'agro-industrie parfois
- besoin de cette révision urgent au niveau de l'U.E. (beaucoup de produits tranformés viennent nd'Allemagne, ... taux de sel beaucoup trop importants !)
b l

un anonyme
Le 01/08/2017 à 15:07:33

Jeudi noir pour l'agriculture biologique
http://www.fnab.org/images/files/espace_presse/CP_FNAB-280717_Jeudi-noir-pour-lagriculture-biologique-VF.pdf  

Alain UGUEN
Le 01/08/2017 à 09:47:00

Aides à la bio, le gouvernement à l’heure des choix
Publié le jeudi 27 juillet 2017

Le gouvernement a affiché clairement lors du lancement des Etats Généraux de l’Alimentation (EGA) l’ambition d’engager la transition écologique de l’agriculture française. Alors que l’agriculture biologique, qui connaît un développement sans précédent (21 nouvelles fermes bio par mois et 20 % de progression de la consommation de produits bio en 2016), répond aux défis environnementaux, économiques et sociaux soulevés dans le cadre des EGA, les aides à la bio sont menacées. Premier renoncement du gouvernement en matière de transition des modèles agricoles ?
Lors du Conseil Supérieur d’Orientation et de coordination de l’économie agricole et alimentaire (CSO) qui se tiendra jeudi après-midi, le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation va rendre un arbitrage sur le transfert d’une partie du budget du 1er pilier vers le 2nd pilier, à l’occasion de la révision à mi-parcours de la programmation de la Politique Agricole Commune (PAC) 2014-2020. Il pourrait annoncer la fin du co-financement national pour l’aide au maintien en agriculture biologique.
La FNAB et les ONG signataires appellent de leurs vœux un choix stratégique majeur dans l’orientation des aides publiques : elles réclament un transfert maximal [1] du 1er pilier vers le 2nd pilier de la PAC afin de financer les ICHN (indemnités compensatrices des handicaps naturels), les MAEC (mesures agro-environnementales et climatiques) et les aides conversion et maintien bio. Les enveloppes allouées en début de programmation seront en effet largement insuffisantes pour honorer les engagements pris par l’Etat et financer les nouvelles demandes d’aides (conversion et maintien) sur la 2e partie de la programmation (2017 à 2020). Les budgets des régions et des agences de l’eau, déjà exsangues et promis à des coupes supplémentaires, ne doivent pas pallier un éventuel désengagement de l’Etat.
Pour relever le défi de la transition écologique de notre agriculture, il est indispensable de doter le 2nd pilier de la PAC d’un budget ambitieux. Dans le cadre de ce transfert, il faut flécher a minima 3 % du budget actuel du 1er pilier vers les aides à la bio.
Il s’agit ainsi de pouvoir accompagner le changement de système de tous les producteur(rice)s qui souhaitent passer à la bio (aides conversion). Il s’agit également de reconnaître et d’instaurer concrètement les paiements pour services environnementaux (aides maintien) défendus par le Président de la République dans son programme. La contribution des fermes bio à la protection des biens publics (eau, air, sol, biodiversité, santé...) dans l’intérêt général de tou(te)s les citoyen(ne)s doit être valorisée. L’agriculture biologique suscite des attentes fortes : de la part des consommateurs comme de nombreux agriculteurs qui pourront y trouver une solution d’avenir pour leur ferme. Ces attentes ne doivent pas être déçues.
Les actes doivent être à la hauteur des ambitions.
Organisations signataires : FNAB, Agir pour l’Environnement, Greenpeace, France Nature Environnement, Fondation pour la Nature et l’Homme, WWF


« Stéphane Travert, ministre de l’agriculture et de l’alimentation (…) a décidé un transfert à hauteur de 4,2 % des montants des crédits du pilier I de la PAC (Politique agricole commune) vers le pilier II, pour satisfaire les besoins identifiés sur le pilier II d’ici à 2020. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/07/27/pac-la-repartition-des-aides-agricoles-va-changer_5165785_3234.html#6cPiAbl8VSWC0hXM.99  

A cet égard, ce transfert est bien en deçà de ce que souhaitait la principale organisation d’agriculteurs bio en France, la FNAB, qui réclamait pas plus tard que jeudi un « vrai choix » en faveur de la transition agricole et environnementale en transférant massivement des fonds européens, comme l’UE l’y autorise, pour soutenir le secteur bio.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/07/27/pac-la-repartition-des-aides-agricoles-va-changer_5165785_3234.html#6cPiAbl8VSWC0hXM.99  

L’agriculture bio en panne de financement
http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/07/24/l-agriculture-bio-en-panne-de-financement_5164221_3234.html  

Fédération Nationale d’Agriculture Biologique
Le 28/07/2017 à 10:05:17

LE MODÈLE AGRICOLE DEVRA ÊTRE EN ADÉQUATION AVEC LES DERNIÈRES DÉCOUVERTES CONCERNANT LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS AINSI QUE L'ÉPIGÉNÉTIQUE QUI MONTRENT LE RÔLE CATASTROPHIQUES DES SUBSTANCES CHIMIQUES UTILISÉS PAR L'HOMME... POUR UN NOUVEAU PARADIGME DU MODÈLE AGRICOLE LIRE TOXIQUE PLANÈTE D'ANDRÉ CICOLELLA.

un anonyme
Le 23/07/2017 à 13:52:13

Cybère pépère que c'est bien dit!J'approuve totalement votre commentaire!

Christiane Huard
Le 21/07/2017 à 19:35:50

Soyez un peu courageux les décideurs pour une fois!

Christiane Huard
Le 21/07/2017 à 19:34:23



L’agriculture conditionne la qualité de notre alimentation, base de notre santé. Elle conditionne notre environnement, nos paysages et la vitalité de nos terroirs. Elle peut créer de nouveaux emplois et contribuer à la solution du chômage. Nous ne nourrirons demain les 9 milliards d’habitants de notre planète que si l’agriculture est riche, productive et diversifiée.

Or, depuis soixante ans, le productivisme a envahi l’agriculture française. La monoculture s’est installée dans les zones céréalières et l’élevage hors-sol en production animale. Le résultat en est l’emploi exagéré de pesticides pour les uns, d’antibiotiques pour les autres, la pollution généralisée de l’eau, de l’air, des baies marines, l’appauvrissement des sols en humus, la destruction de nos paysages et le vide des campagnes.

Quant aux revenus des paysans, aux périodes fastes succèdent des crises. Les pouvoirs publics doivent intervenir. Il faut donc, au plus vite, sortir de ce productivisme et s’orienter vers un autre modèle de développement, basé sur l’agro-écologie qui n’est autre que l’agronomie retrouvée.

Revenir aux bases de l’agronomie

C’est l’enjeu d’une autre politique agricole que doit initier le nouveau président de la République. Pour l’instant nous n’en voyons pas la couleur. Emmanuel Macron s’est engagé à débloquer cinq milliards pour les investissements, ce qui est préjudiciable : la solution n’est pas d’investir toujours plus en matériel et bâtiments, mais d’opter résolument pour l’agro-écologie.

Cette autre agriculture repose sur des points clés qu’il nous faut retrouver au plus vite. L’équilibre sol-plante-animaux (sans cette loi fondamentale, il n’y a pas d’agriculture durable sur la planète), un assolement au moins triennal avec une prairie en tête, des animaux logés sur litière avec production de compost, la priorité aux investissements productifs : calcium, phosphore, potasse, animaux et semences sélectionnées, des plantes adaptées au sol et au climat, la prairie à base de trèfle blanc, nourriture de base des bovins.

L’ancien ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, a bien tenté de développer l’agro-écologie mais sans jamais mettre en avant ceux qui la pratiquent. Durant son mandat, il n’a jamais officiellement mis les pieds dans l’une des fermes du réseau, par crainte de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA).

Épaulé par Nicolas Hulot, Emmanuel Macron osera-t-il bousculer le productivisme qui a fait tant de dégâts et promouvoir une agriculture qui revient aux bases agronomiques et l’autonomie en élevage ?

Résister avec courage aux lobbies

Le nouvel hôte de l’Élysée osera-t-il former la jeune génération d’agriculteurs et rénover l’enseignement et la vulgarisation en s’appuyant sur les fermes du réseau « Agriculture durable » ?

Les résultats économiques de ce réseau ridiculisent ceux des fermes conventionnelles, avec une pollution quasi nulle, une contribution décisive à la lutte contre l’effet de serre et une qualité de vie enviée.

Voilà la voie que doit suivre le Président Emmanuel Macron, avec lucidité et courage face aux lobbies, toujours actifs, pour rétablir l’usage de certains pesticides.

André Pochon, militant de l’agriculture durable,
Le 21/07/2017 à 07:17:57

Espérons que cela ne sera pas qu'une opération de communication. trop de lobbys sont à l’œuvre dans ces états généraux.

René HAMEL
Le 21/07/2017 à 07:00:19

Tout est à revoir mais il faut le faire analytiquement
Les sujets principaux:
Prix agricoles décents pour les producteurs (Pb des marges)
Meilleure qualité des produits plutôt que privilégier la quantité; du fait de l'appauvrissement des sols en monoculture
Production bio à augmenter en particulier pour les cantines scolaires et les collectivités
Circuits courts à organiser
Produits phytosanitaires à réduire significativement (sur la part non bio) avec des échéanciers ambitieux
Traitement digne des animaux
Subventions à reconsidérer dans le sens des progrès souhaités

Le Vérinois

Le Vérinois
Le 20/07/2017 à 20:08:45

Que des effets d'annonce, de belles paroles et au final rien de concret que du favoritisme pour les lobbies

Jérôme ROGUEZ
Le 20/07/2017 à 18:23:01

Tout à fait d'accord avec des états généraux de l'alimentation mais
1- avec tous les acteurs de la chaîne consommateurs et petits producteurs compris
2- dans une transparence totale : assez de lobbyistes sous-jacents
3- Pourquoi encore cette précipitation comme si le gouvernement voulait se débarrasser de la question en catimini pendant les vacances

un anonyme
Le 20/07/2017 à 17:39:20

Bonjour,

L'ALIMENTATION EST NOTRE MEDICAMENT.
NOUS VIVONS EN FONCTION D'UNE BONNE AGRICULTURE,PROPRE,BIOLOGIQUE,SANS TRICHER.
L'AGRICULTEUR DOIT ETRE DE BONNE FOI , ET NE PAS TRICHER POUR DE L'ARGENT.
EN
FRANCE ET EN EUROPE, ON EST ASSEZ ELOIGNES D'UNE TRES BONNE AGRICULTURE.
IL FAUT ARRETER IMMEDIATEMENT LES ""NICOTINOIDES""
NOTRE FOIE ET NOTRE PENCREAS, NE SUPPORTENT PLUS CES POISONS VIOLENTS.
la preuve: après analyses d'eau de ruisseaux,dans la ZONE VULNERABLE, l'on a retrouvé des simzines utilisées , voila 50ans, INDESTRUTIBLES.

ALORS : Mr le ministre de l'agriculture, que faites-vous pour arreter tous ces produits chimiques trés dangeureux pour LA TERRE ET NOTRE EXISTANCE.

HUBERT
Le 20/07/2017 à 16:45:53

Bonjour, il y en a encore qui se font des illusions sur qui nous gouverne réellement ? Mais réveillez-vous les enfants ! Sortez de votre caverne !
Ces consultations ne sont que de la poudre aux yeux, du bourrage de mou, un tour de passe passe... "En marche" c'est de la manipulation à tout les niveaux (très fort d'ailleurs).
Malheureusement le degré d'endoctrinement et la fabrique du consentement à l'avilissement du monde a atteint un niveau préoccupant en France.
Mais le culte de l'argent et la civilisation des marchands n'auront qu'un temps, même si celle-ci restera un sommet de l'inhumanité dont l'homme est capable (générer la sixième extinction des espèces en une génération, c'est quand même un exploit intergalactique dans la connerie). Signé CyberPépère

CyberPépère
Le 20/07/2017 à 16:11:00

Cela part mal, aucune association environnementale et trop peu d'associations de consommateurs. La confédération paysanne s'invite au forceps. Que veut encore imposer Macron plus de profits pour l'agro-alimentaire, servir la FNSEA, alors qu'il est urgent de développer une agriculture durable, paysanne et bio pour le plus grand bien de tous, paysans et consommateurs. Produire localement, consommer localement. D'une manière induite maitriser le foncier agricole, contrôle citoyen, non spéculation, gestion collective

joël BELLENFANT
Le 20/07/2017 à 15:24:33




nous proposons
vous disposez
nous sommes vigilants

Mondo
Le 20/07/2017 à 15:02:33

Il serait temps de promouvoir une agriculture "propre", il est dit qu'après la guerre 39-45 le passage à l'agriculture chimique venue dans les valises du vainqueur: les USA, a permis de produire beaucoup pour nourrir des populations affamées en Europe. Mais s'est-on posé la question de poursuivre une agriculture paysanne qui nourrissait les populations d'Europe avant cette guerre impitoyable!!!

Avec l'agriculture intensive basée sur l'utilisation des engrais chimiques et les pesticides, nous avons oublié le sol et ce qu'il doit être c' à dire fertile, en somme l'agronomie... Des agronomes tels que Claude Bourguignon Lydie ou Mr Dufumier ne disent pas autre chose: un bon sol fait des bons produits, nourrissants et abondants....

cactus
Le 20/07/2017 à 14:59:10

Les états généraux de l’alimentation placent l’écologie au second plan
https://reporterre.net/Les-etats-generaux-de-l-alimentation-placent-l-ecologie-au-second-plan  

Alain Uguen
Le 20/07/2017 à 14:48:14

Ce matin encore les médiats parlait des états généraux de l'alimentation avec " les producteurs, les transformateurs et les distributeurs" mais ou sont les consommateurs, ce sont avec les producteurs les premiers concernés non ?
Donc je nous demandons aussi une participation active des consommacteurs et des associations qui les représentes.( AMAP...)

Bernard.
Le 20/07/2017 à 11:19:47

Je pense que dès l'instant que la FNSEA sera présente, ce qui est normal, la Confédération Paysanne doit l'être aussi. Car ces Etats généraux se tiennent surtout pour que l'agroalimentaire se serre les coudes. Les consommateurs, les vrais agriculteurs et éleveurs, pour se qu'il en reste, ne sont représentés que symboliquement. C'est la grand messe des profits sur le dos des consommateurs et des petit exploitants... Pourtant, c'est d'eux dont nous avons besoin.

GEDEON
Le 20/07/2017 à 11:13:19

Etats Généraux de l’alimentation: les organisations de la société civile interpellent le président de la République sur les conditions et enjeux des débats

Paris-le 19/07/17 : À la veille de l’ouverture des États Généraux de l’Alimentation, 39 organisations de la société civile saluent l'initiative d'Emmanuel Macron d'ouvrir le débat sur les questions de l'alimentation et de l'agriculture. Elles rappellent néanmoins que certaines priorités essentielles manquent pour l’instant à l’appel afin d’assurer le succès de cette initiative. Le président de la République doit les prendre en compte et les annoncer dès le lancement des États Généraux ce jeudi 20 juillet.

Engager une phase de négociations politiques
Tout d'abord, il faut clarifier la finalité de ces États Généraux. Au-delà des deux phases d'ateliers thématiques, il convient de prévoir et d'annoncer dès le lancement la tenue d'une phase 3 de négociations politiques. Cette phase permettra d'arbitrer sur les sujets transversaux et les dissensus issus des différents ateliers. Cette troisième phase doit également viser à donner une cohérence aux politiques publiques aussi bien entre politiques sectorielles qu’entre les différentes échelles (nationale – européenne – internationale). Nous ne pouvons en effet pas réorienter la politique alimentaire en France sans prendre en compte ses impacts sur les autres pays (du sud en particulier) et sans une refondation de la Politique agricole commune.

Intégrer des enjeux cruciaux, absents des débats
De plus, certains sujets sont pour l’instant absents des ateliers. Il est urgent d’y intégrer :
- La santé environnementale. Le lien entre alimentation et santé n'est plus à démontrer. La question de la santé des travailleurs agricoles, des riverains et des consommateurs finaux ne doit plus être un sujet tabou.
- L'adaptation aux changements climatiques, phénomène majeur auquel fait déjà face la profession agricole, et qui devrait être un enjeu structurant de ces États Généraux s'il s'agit bien de préparer l'avenir.
- La fiscalité agricole et les droits sociaux des paysans. La politique fiscale oriente fortement le mode de développement des fermes. De plus, le droit au revenu paysan est une priorité.
- La préservation et la répartition équilibrée du foncier qui est pourtant une thématique incontournable, étant à la base du processus de production agricole et garantissant le renouvellement des générations.
- La préservation de l’environnement marin, de ses ressources halieutiques et le développement d’une pêche durable.
- La démocratie agricole et alimentaire. L'ouverture des décisions agricoles, alimentaires et territoriales aux citoyens et à la société civile organisée permettra de jeter les bases d'un modèle agricole réellement soutenu par la société.

Assurer la mobilisation citoyenne
Enfin, nos organisations rappellent que la consultation publique, organisée dans le cadre des États Généraux de l’Alimentation, doit permettre une participation large du public. Or, pour l’instant, ces consultations sont prévues en plein été et à la rentrée, un phasage qui rend difficile leur organisation et la participation du grand public. En particulier, les objectifs et le traitement de cette consultation, encore inconnus, devraient être précisés demain.

L’ensemble de ces éléments doit être pris en compte dans les derniers arbitrages concernant l'organisation des États Généraux de l'alimentation afin de garantir leur ambition, leur succès et la mobilisation des citoyens.

Organisations signataires

ActionAid France, Action contre la faim, Agir pour l’Environnement, Association française des diététiciens et des nutritionnistes, Amis de la Terre, ATTAC, BLOOM, CCFD Terre solidaire, CIWF France, Club Experts Nutrition et Alimentation, Coordination SUD, Crid, FADEAR – Réseau de l’agriculture paysanne, Fermes d’avenir, Filière paysanne, Fédération artisans du monde, Fédération des Associations pour le Développement de l’Emploi Agricole et Rural, Foodwatch France, FNAB, France Nature Environnement, Fondation pour la Nature et l’Homme, Générations Futures, Greenpeace France, Miramap, Mouvement de l’agriculture bio-dynamique, Plateforme de la Petite Pêche Artisanale Française, Plate-forme pour le commerce équitable, Oxfam France, Réseau Action climat, Réseau CIVAM, Réseau Cocagne, Réseau environnement santé, SOL alternatives agroécologiques et solidaires, Terre de Liens, Terre et Humanisme, TFT France, Union nationale de l’apiculture française, WECF France, WWF France

Alain Uguen
Le 20/07/2017 à 09:27:30

Il ne faut plus marcher !

sylvère labis
Le 20/07/2017 à 08:24:21

Que peut-on attendre du pdt macron? Ne soyons pas naïfs la manipulation ça marche. La mondialisation ne profite qu'aux multinationales et aux financiers.Pourquoi attendre un discours de mots?

Biniou
Le 19/07/2017 à 16:27:05

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