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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : enrayer le cycle meurtrier de la violence au Burundi

Mise en ligne du 27/04/2016 au 25/05/2016

Le 26 avril 2015, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Bujumbura, capitale du Burundi, pour protester pacifiquement contre la décision du président Pierre Nkurunziza de briguer un troisième mandat.
La répression des forces de l’ordre a été immédiate et brutale.
Cinq civils ont trouvé la mort par balles, dont un jeune étudiant de 17 ans, Jean Nepomuscène Komezamahoro, assassiné à bout portant par un policier alors qu’il était à genoux sur la voie publique et avait les bras en l’air.

Bilan de la cyberaction :

3649 participants

L’équipe d’enquêteurs indépendants de l’ONU sur les droits de l’homme s’est déployée, au complet, au Burundi, a affirmé à New York le porte-parole des Nations unies.
Les enquêteurs de l’ONU vont, selon M. Haq, collecter les informations au Burundi. Ils se rendront ensuite dans les camps des réfugiés des pays voisins –au Rwanda, en Ouganda, en Tanzanie et en RDC- pour recueillir les témoignages des Burundais qui ont fui leur pays.

Le déploiement des observateurs des droits de l’homme constitue une étape importante conduisant à l’enquête, a soutenu Christophe Haines, chef de l’équipe d’enquêteurs. Une partie de l’équipe avait déjà visité le Burundi en début mars.

Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a institué l’enquête indépendante de l’ONU sur le Burundi en avril 2015.

L’enquête indépendante de l’ONU sur le Burundi va s’y rendre à nouveau en juin et va présenter un rapport final au Conseil des droits de l’homme en septembre 2016.

Le Burundi est plongé dans une crise depuis plus d’un an, après l’annonce de la candidature du président Pierre Nkurunziza à un troisième mandat. Des violations des droits de l’homme y sont quotidiennement enregistrés avec des tueries et centaines de milliers des Burundais obligés de fuir leur pays.
http://www.voaafrique.com/a/les-observateurs-onusiens-des-droits-deployes-au-burundi/3344319.html  

Présentation de la cyberaction :

Ce jour a marqué l’entrée du Burundi dans une crise politique sanglante caractérisée par de graves violations des droits humains, commises en grande majorité par les forces de sécurité burundaises sur ordre des autorités. Un an après, le bilan de la répression serait d’au moins 700 personnes tuées, 4300 détenues, 800 personnes disparues, des centaines de personnes torturées, plusieurs dizaines de femmes victimes de violences sexuelles, et des milliers d’arrestations. 250 000 personnes ont déjà fuit le pays.
Depuis avril 2015, la FIDH et ITEKA, son organisation membre au Burundi, ont documenté les graves exactions à l’œuvre, notamment à l’occasion d’une mission d’enquête dans le pays au mois de mars 2016. Elles ont alerté la communauté internationale sur le risque de perpétration de crimes de masse et d’actes de génocide et appelé le 14 avril 2016 la Procureure de la Cour pénale internationale (CPI) à ouvrir un examen préliminaire sur la situation au Burundi, décision qu’elle a prise le 25 avril.
Un an après, nos organisations exposent dans un dossier spécial les conclusions de leurs enquêtes et appellent la communauté internationale à agir de toute urgence pour enrayer le cycle meurtrier de la violence. La FIDH et ITEKA rendent également hommage à toutes les victimes de la crise.

Burundi : la FIDH et Amnesty pressent la communauté internationale d’agir
http://www.lavenir.net/cnt/dmf20160426_00817512  

Burundi: un an de répression et toujours pas d'issue
http://www.liberation.fr/planete/2016/04/26/burundi-un-an-de-repression-et-toujours-pas-d-issue_1448685  

Un an de crise au Burundi : témoignages de 4 journalistes burundais
http://information.tv5monde.com/afrique/un-de-crise-au-burundi-temoignages-de-4-journalistes-burundais-103913  

Burundi : des images satellites confirment l'existence de fosses communes

http://www.amnesty.fr/Nos-campagnes/Crises-et-conflits-armes/Actualites/Burundi-des-images-satellites-confirment-existence-de-fosses-communes-17460  

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le secrétaire Général,

Depuis avril 2015, la FIDH et ITEKA ont alerté la communauté internationale sur le risque de perpétration de crimes de masse et d’actes de génocide au Burundi.

En soutien à leur action j'invite la communauté internationale à agir de toute urgence pour enrayer le cycle meurtrier de la violence.

Dans cette attente, je vous prie d'agréer mes salutations citoyennes

 

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16 commentaires

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Les restes de notre politique colonialiste
mais n'est-il pas trop tard????

Poulou
Le 01/06/2016 à 11:07:12

L'ONU enquête sur les violations des droits de l'homme au Burundi
http://www.voaafrique.com/a/l-onu-enquete-sur-les-violations-des-droits-de-l-homme-au-burundi/3337375.html  

Alain UGUEN
Le 20/05/2016 à 08:18:38

Peut-on condamner, dénoncer... et continuer à vendre des armes ?

Jacqueline BONNEFOY-CLAUDET
Le 11/05/2016 à 11:47:44

Servir son peuple,c'est aussi savoir se retirer !
Ne pas le faire, c'est confirmer un pouvoir dictatorial !

Nono
Le 29/04/2016 à 10:00:11

Police de l’ONU au Burundi: face aux divergences, le statu quo prévaut
http://www.rfi.fr/afrique/20160428-envoi-une-force-onusienne-burundi-le-statu-quo-prevaut  

Alain UGUEN
Le 29/04/2016 à 08:47:53

Toujours le même type d'horreurs... que l'on ignore si facilement, au lieu de dire NON, de toutes façons

Calypso
Le 29/04/2016 à 00:11:06

Assez de violence ! Nous ne voulons plus de bourreaux ni de victimes. Ne serons-nous donc JAMAIS capables de vivre sans nous entre-tuer ?
J'ai honte de faire partie de l'humanité telle qu'elle est.

Andrée Pons-Jacquet
Le 28/04/2016 à 16:03:25

En soutien au peuple du Burundi, un pays où j'ai vécu et enseigné.

Michel VINCENT
Le 28/04/2016 à 15:21:00

inadmissible cruel et déguelasse

un anonyme
Le 28/04/2016 à 14:28:54

L’ONU condamne le nombre croissant d’attaques au Burundi
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/28/l-onu-condamne-le-nombre-croissant-d-attaques-au-burundi_4910293_3212.html  

Alain UGUEN
Le 28/04/2016 à 14:26:24

Les violences et les tortures envers des citoyens en quête de justice et de démocratie sont insupportables.

anna
Le 28/04/2016 à 13:43:36


La France condamne les assassinats et tentatives d’assassinat qui ont visé, ces derniers jours, plusieurs représentants des autorités burundaises - dont l’attaque qui a coûté la vie le 25 avril au général Athanase Kararuza, conseiller militaire du premier vice-président de la République, et à son épouse, ainsi que l’attentat dont ont réchappé le ministre des droits de la personne humaine et son épouse le 24 avril.

La France dénonce les actes criminels et les violations des droits de l’Homme, quels qu’en soient les auteurs, perpétrés depuis un an au Burundi et qui entravent le processus de réconciliation nationale. La multiplication de ces attaques souligne la nécessité de la reprise, sans délai, du dialogue inter-burundais avec l’appui de la médiation régionale et le soutien de l’Union africaine et des Nations unies. Nous appelons les parties burundaises à participer au dialogue conduit par le facilitateur et ancien président tanzanien, Benjamin Mkapa, annoncé la semaine prochaine à Arusha.

La France est mobilisée au conseil de sécurité des Nations unies face à la dégradation de la situation au Burundi, notamment pour assurer la pleine mise en œuvre de la résolution 2279. Elle souligne que la procureure de la Cour pénale internationale vient d’entamer un examen préliminaire sur la situation au Burundi depuis avril 2015.

mandelkorn
Le 28/04/2016 à 13:18:46

Des centaines de personnes » ont également été « torturées » et « plusieurs dizaines de femmes victimes de violences sexuelles

Les Burundais ont payé un lourd tribut dans cette escalade de violence des 12 derniers mois . Les meurtres, les tortures, les arrestations arbitraires et les disparitions forcées. Regrettant un dédain profond envers les droits humains », il faut que ces violations fassent l'objet d'enquêtes impartiales et que les individus soupçonnés d'en être responsables, dont ceux qui représentent l'appareil d'État, soient poursuivis dans des procès équitables l'ONU planche sur l'envoi d'une présence policière onusienne au Burundi, les préconisations allant de 3 000 à quelques dizaines d'agents.
Il faut rapidement permettre le déploiement de la police onusienne
Du côté de l'Organisation internationale de la francophonie, la secrétaire générale de la Francophonie, Mme Michaëlle Jean, condamne fermement l'attaque qui a causé la mort du général Athanase Kararuza, conseiller du premier vice-président burundais en matière de défense et de sécurité, ainsi que celle de son épouse et de sa fille, le 25 avril 2016, à Bujumbura. Elle condamne également les assassinats du lieutenant-colonel Emmanuel Buzubona, le 20 avril 2016, et du lieutenant-colonel Darius Ikurakure, le 22 mars 2016, ainsi que les attaques dans lesquelles ont été blessés, le 24 avril 2016, M. Martin Nivyabandi, ministre des Droits de la personne humaine, des Affaires sociales et du Genre, et le colonel Donatien Ndabigeze, membre des services de renseignements. « La multiplication d'attaques ciblées visant des personnalités politiques et militaires, ainsi que les citoyennes et citoyens burundais, est le signe d'une détérioration de la situation sécuritaire à laquelle il faut mettre un terme de toute urgence », a déclaré Mme Jean. « Dans ce contexte, il faut que les dispositions nécessaires soient prises rapidement en vue du déploiement de la force de police onusienne, prévue par la résolution 2279 adoptée à l'unanimité par le Conseil de sécurité des Nations unies, le 1er avril 2016
La secrétaire générale de la Francophonie salue la décision de la procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Mme Fatou Bensouda, d'entamer un examen préliminaire sur les violences commises au Burundi depuis avril 2015. « Toutes les mesures doivent être prises pour rétablir la stabilité au Burundi. C'est pourquoi j'encourage, comme annoncé par le président Benjamin Mkapa, facilitateur au titre de la médiation régionale, l'ouverture prochainement, à Arusha, du dialogue inclusif. La tenue d'un tel dialogue, réellement inclusif et associant toutes les parties dans un esprit constructif, permettra un apaisement des tensions et une solution à la crise burundaise . Pour rappel, la gravité de la situation au Burundi a conduit le Conseil permanent de la francophonie (CPF), réuni à Paris le 7 avril 2016 pour sa 97e session, à suspendre temporairement la coopération multilatérale francophone en faveur de la République du Burundi, en vertu du chapitre V de la Déclaration de Bamako. Cette décision induit la suspension de toute coopération avec le Burundi, à l'exception des programmes qui bénéficient directement aux populations civiles et de ceux qui peuvent concourir au rétablissement de la démocratie.

MANDELKORN
Le 28/04/2016 à 13:14:20

Malheureusement le business des armes est très lucratif. Je ne sais pas comment les gens impliques dans ce business font pour se regarder dans la glace tous les matins.... A quand une interdiction totale de ventes d'armes a l'ONU? On a le droit (le devoir?) de rêver!

Steph
Le 28/04/2016 à 12:31:22

pourquoi est-ce qu'on n'entend pas parler de ces violences aux infos sur France inter?

elise
Le 28/04/2016 à 10:44:05

Un scandale, tous ces politiciens en Afrique qui ne veulent pas lâcher le pouvoir!

Alain Pic
Le 28/04/2016 à 10:31:20

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