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Cyberaction : Garantir l’accessibilité économique des produits biologiques à tous et toutes
Et si les distributeurs étaient contraints d’afficher leurs marges ? C’est l’une des propositions de la Fondation pour la nature et l’Homme pour sauver la filière biologique française. L’ONG a publié une note le 16 janvier, élaborée avec le cabinet d’études Solagro.
Cette cyberaction a également pour objectif d'interpeller vos élus. Vous pouvez ajouter vos élus en copie du message en cliquant sur modifier des éléments après avoir rempli vos coordonnées
Cyberaction mise en ligne le 13 février 2024
Proposée par Cyberacteurs
Elle sera envoyée à Présidente de l'AN | à votre député En soutien à Filière Bio
Elle prendra fin le : 13 mai 2024
Plus d'infos
Les grosses marges des distributeurs plombent la filière bio
La filière biologique française traverse une crise profonde : en 2022, les surfaces en première année de conversion ont chuté de 40 % et, en 2023, les pertes économiques pour les agriculteurs biologiques ont été estimées entre 250 et 300 millions d’euros. Selon le Baromètre des produits biologiques en France de l’Agence bio, cité dans la note de l’ONG, le principal motif avancé par les consommateurs interrogés pour expliquer leur non consommation de produits bio est leur prix trop élevé.
Or, si le prix des produits bio est en général plus élevé que celui des produits conventionnels, « puisque ce mode de production nécessite plus de main d’œuvre et peut présenter de plus faibles rendements », il s’expliquerait aussi, selon FNH, « par des surmarges réalisées sur ces produits par les acteurs de la distribution et de la transformation ».
Afin d’instaurer « une véritable politique alimentaire pour renforcer la consommation de produits biologiques à domicile », FNH propose donc de rendre obligatoire la transparence de l’information de la part des acteurs de la distribution et de la transformation « sur les prix et les marges réalisés sur les produits biologiques ». https://www.fnh.org/wp-content/uploads/2024/01/contribution_agriculture_bio_janvier_2024.pdf
Dans les semaines à venir, l’État prévoit de lancer un nouveau Programme Ambition Bio, qui servira de feuille de route pour atteindre les objectifs fixés dans plusieurs stratégies et plans nationaux1 : atteindre 18% de la Surface Agricole Utile (SAU) en agriculture biologique en 2027 et 21% en 2030.
Nous vous proposons d'interpeller la Présidente de l'Assemblée Nationale et votre député.
Signer !
Récapitulatif
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à yael.braun-pivet@assemblee-nationale.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : La bio pour toutes et tous
Message : Madame, Monsieur
Le futur Programme Ambition Bio doit garantir l’accessibilité économique des produits biologiques à tous et toutes.
Je demande de
-Rendre obligatoire la transparence de l’information de la part des acteurs de la distribution et de la transformation sur les prix et les marges réalisés sur les produits biologiques ;
-Soutenir la production bio par
* hausse de l’éco-régime bio pour compenser la suppression des aides au maintien ;
* développement de Paiements pour Services Environnementaux spécifiques à la bio ;
* mise en place de la gratuité de la certification.
Dans cette attente veuillez croire en ma vigilance sur vos votes.
Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :
Votre député.
Vous pouvez modifier ces infos (sujet, texte, elus...) en choisissant l'option "modifier des éléments" après avoir renseigné le formulaire "je signe sans compte"
On constate une agriculture à deux vitesses. D'un côté la FNSEA-JA qui ramasse le pactole et gère la cogestion et de l'autre les agricultures respectueuses de l'environnement qui croulent sous les paperasses et les charges...
Eternels regrets de constater que les agriculteurs bio sont privés de sol et de paquets d'euros.
Cela fait ricaner les conducteurs de tracteurs gavés au Gazole Non Routier et les magouilleurs de grande surface.
Aide de l'Etat aux braves cultivateurs bio qui pourront biner quelques ares en 2027. D'ici là les mercenaires du président seront peut être en Ukraine et les planteurs bio néantisés dans leur carré de carottes.
Et dire que les écoliers et collégiens auraient pu manger de la bonne bectance!
Aïchat Nussy
Colette Nusbaum Vallet 28/02/2024 - 12:09:50
Est-ce qu'il est question, Alain, dans le film dont tu parles, de la surproduction de produits alimentaires qui font, dans nos contrées, que l'on finit par jeter à la poubelle 1/3 de ce qui est produit ?
Un livre sur le sujet est sorti (j'en ai entendu parler sur France Info et l'auteur était présent). C'était sur le même thème : "nourrir le monde". Ce que j'ai trouvé très ennuyeux/problématique est qu'il ne fait aucune allusion à ce déséquilibre outrancier entre les pays qui produisent trop et qui jettent à la poubelle leur surproduction et les pays qui n'ont même pas de quoi offrir à leurs habitants le minimum décent pour se nourrir au quotidien!
Brigitte Bécavin 19/02/2024 - 10:06:49
Le problème n'est pas la marge en %. Exemple :
Un pot de miel producteur à 10 euros vendu 15 euros (50% marge)
Un pot de miel bio producteur à 12 euros vendu 18 euros (même marge à 50%)
Le distributeur à 50% de marge sur tous les produits gagne plus (3 euros) sur la vente des produits bio à coût de logistique identique.
Christian Bertin 18/02/2024 - 11:55:27
L'association "Les Acteurs Locaux pour la Transition Écologique, Sociale et Solidaire", organise des projections de films suivis de débats pour promouvoir son action à Chaville et les communes environnantes.
Prochaine projection "Tu nourriras le Monde" en présence du réalisateur Nathan Pirard le 16 mars.
Le film explique l'évolution de l'agriculture française depuis la dernière guerre et ses dérives en termes d'agrandissement des exploitation, d'artificialisation des sols et de modèle économique. Sans oublier la difficultés au passage en bio. En plein dans l'actu du moment.
La salle peut accueillir plus de 600 spectateurs.
Alain UGUEN 16/02/2024 - 12:07:14
Transition
Un riche laboureur sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins…
Sans témoins !
Mais c'est faux ! J'étais là. Et j'ai tout entendu
Et je peux vous jurer que jamais il ne fut
Question de retourner tous les sols de sa ferme.
Ce riche laboureur, avant de mettre un terme
À sa vie de labeur, avait enfin compris
Qu'en retournant le sol, on y détruit la vie.
Car même si c'est beau, même si ça sent bon,
Les labours tous les ans, surtout s'ils sont profonds,
Sont pour la vie des sols, une calamité.
Ce vieux, je vous l'affirme, y avait renoncé.
J'ajoute - n'en déplaise à Jean de la Fontaine -
Ce que ce type a dit. Prenez-en de la graine :
N'écoutez surtout pas les marchands de poisons ;
Inspirez-vous plutôt du couple Bourguignon,
Ces chercheurs praticiens qui sont spécialisés
Dans la réparation des sols détériorés.
N'arrachez pas les haies. Respectez les talus.
Vous en aurez besoin quand il aura trop plu.
Méfiez-vous des lobbies de l'agro-industrie,
Des grands distributeurs qui casseront vos prix
Des pousse-à-la-dépense et de tous ceux qui pensent
Que votre production doit servir la finance.
Battez-vous. Soyez fiers. Aimez votre métier.
Ne vous laissez pas faire et envoyez-les chier.
La Fontaine à coup sûr, eut été censuré
- La F.N.S.E.A. ne l'aurait pas loupé -
S'il avait osé dire avec tout son talent
Et sans le déformer, le bon sens paysan.
C'est trois siècles plus tard qu'ils sont devenus fous,
Qu'ils se sont fait avoir par un ordre voyou,
Quand ils ont remembré, quand ils ont bousillé
Tout ce que leurs aînés avaient su préserver,
Quand ils ont commencé à penser pesticides
Sans voir qu'il s'agissait d'horribles écocides,
Quand ils ont déserté par milliers les campagnes
Avant de découvrir où était le vrai bagne.
Et si ça n'était qu'eux… mais chacun s'y est mis :
Nous avons tous mangé de ce faux pain bénit
De la course au profit. Nous avons des voitures
Et des supermarchés, produisons des ordures
Qu'on ne sait où cacher. Nous polluons les mers
Et les eaux du sous-sol. Nous contaminons l'air
À coups d'aérosol. Nous rasons des forêts,
Asséchons des cours d'eau. Le vivant disparaît
Mais l'argent coule à flot pour ces gens qui spéculent
Sur les armes ou le blé sans le moindre scrupule.
Quand toute la planète aura été conquise,
Dépouillée, ravagée jusque sous la banquise,
Quand le dernier glacier aura fini de fondre
Condamnant les torrents, qu'aurons-nous à répondre ?
Quand nous aurons tué les derniers éléphants,
Pillé jusqu'aux tréfonds, chacun des océans,
Quand des millions d'humains qui auront fui leur île
Arriveront chez nous pour demander l'asile,
Que leur répondrons-nous : que nous n'y pouvons rien,
Que nous ne savions pas, que ça finira bien ?
Que pourrons-nous répondre à tous ces réfugiés
Condamnés à l'exil, nous, les privilégiés ?
Daniel DANIEL 15/02/2024 - 16:57:26
Un accès plus que jamais nécessaire après que le feu vert ait été donné à la FNSEA d'utiliser les pesticides, y compris les plus controversés, "à gogo". Une "solution" qui tue d'abord leurs utilisateurs, agriculteurs, maraichers, viticulteurs, etc... Il est vrai que laisser négocier sur ce sujet un grand patron de l'agro-alimentaire est contre-productif: il défend d'abord et surtout les intérêts des actionnaires de ses sociétés. Je me demande si le paysan lambda en a conscience. Car il existe d'autres syndicats qui, eux, ont les pieds dans la glèbe et savent ce que trimer et ne pas s'en sortir veut dire.
Mireille 15/02/2024 - 11:46:54
Il faut vraiment soutenir le bio, ce que la FNSEA ne fait pas car ses actions favorisent en priorité les gros agriculteurs
Cabri 14/02/2024 - 21:34:57
ce serait le top, l'humain sera moins malade en mangeant sainement et on fera la nique aux grandes surfaces
Stéphoto 14/02/2024 - 18:26:08
A quand, une sécurité sociale de l'alimentation ?...
Le soin est vital et couvert par la sécurité sociale....
L'alimentation fait aussi partie du vital... surtout si elle participe de la santé du consommateur...
Cette proposition permettrait à tous de se nourrir équitablement avec des produits de qualité respectant l'environnement, la santé t le porte-monnaie de l'agriculteur... Des associations commenceNt à tester le processus...
Régine VALO 14/02/2024 - 16:05:51
Je croyais que le prix d’achat et revente sur les produits frais était déjà une loi qui a plus de 10 ans ! Appliquée pendant quelques mois elle a disparu de l’affichage chez les distributeurs…
Daniel THIERRY 14/02/2024 - 14:23:54
Inflation : les magouilles de l’industrie agroalimentaire et des supermarchés, ça suffit !
le bio doit devenir la norme règlementaire d'alimentation pour éliminer les risques de santé dus aux aliments bourrés d'addictifs nocifs et donc de réduire les coûts de notre protection médicale . Ce qui serait bénéfique à long terme sur la durée de vie en bonne santé ,une fin de vie moins coûteuse pour la société !!
serge Schwindenhammer 14/02/2024 - 10:28:41
ça va être difficile d'obtenir cette info qui est du niveau "secret commercial" mais on se pose souvent la question quand on voit la différence de prix entre le bio et le pas bio dans les supermarchés. On se demande toujours à quel point nous sommes pris pour des vaches à lait de la grande distribution. Et il est clair que les marges sont plus grandes quand c'est bio. Ça a été dénoncé maintes fois.
Laurent PAGANI 14/02/2024 - 09:11:36
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myriam Champeau
06/03/2024 - 09:49:26