Cette cyberaction est maintenant terminée
Nous avons absolument besoin d'aide pour empêcher que nos paysages entre Turenne - Sarrazac, Cazillac Les Quatre Routes du Lot - Condat soient détruits par une route qui va en plus mettre à sec les finances du Lot et de la Corrèze.
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Réponse du Conseil Général le 3 novembre 2014VOIE D'AVENIR: comment il faut en sortir !
Aujourd'hui, le paradoxe est que les entrepreneurs et les associations s'efforcent, au-delà de leurs divergences, de trouver une solution où avantages et inconvénients seraient partagés par tous, alors que certains élus en charge de l'intérêt général défendent aveuglément leurs intérêts territoriaux. C'est une guerre des tracés où pleuvent les invectives, les insultes à l'environnement, les procès d'intention à l'encontre de cabinets d'études de réputation intègre, et de façon générale la mauvaise foi et la désinformation.
Turenne-Environnement ( Lot et Corrèze) propose une solution tenant compte à la fois :
– des nouvelles directives de « mobilité durable » qui viennent de faire l'objet du rapport Duron remis au gouvernement le 27 juin mettant en avant l'abandon de nouvelles structures de transport au profit de l'entretien et de l'aménagement des réalisations existantes et du développement du transport ferroviaire.
– de l'urgence de réaliser des voies plus commodes reliant Biars à l'A20 réclamées par les entrepreneurs, et cela par le plus court accès possible à l'autoroute elle-même.
– du respect de l'environnement, des surfaces et des productions agricoles, et du patrimoine paysager et naturel qui sont une donnée majeure et une richesse dans ce territoire touristique sensible.
Soyons constructifs :
– Que l'option dite « T3 » soit revue à la baisse et se traduise seulement - la déviation de Condat étant repensée - par l'amélioration de la D 96 à partir du territoire des Quatre-Routes avec, à l'autre extrémité, le contournement nord de Martel et double jonction avec la D 840 vers l'échangeur de Gignac (54) et Brive ; et avec la D 803 permettant un accès sud vers l'A20 par l'échangeur de Souillac (55). Cela rend inutile de compléter à grands frais l'échangeur 54 vers le sud.
– Simultanément, aménageons avec le concours financier de la Corrèze, pour les usagers qui veulent un accès par le nord vers l' A20 et ceux qui désirent rejoindre le centre de Brive, la D 720 (qui devient D8 en Corrèze), et notamment, une fois pour toutes, la côte de Turenne.
– Prévoyons à moyen terme la réduction du goulot d'étranglement de Noailles par la jonction Monplaisir-A20 (contournement sud de Brive) et d’autres travaux structurants accroissant la diversité des itinéraires dont celui par Lanteuil, déjà très utilisé par les transporteurs, arrivant à Malemort et menant au contournement nord de Brive et à l'A 20 ( échangeur 49).
Cette proposition raisonnable de répartition du trafic suppose simplement l'abandon de l'tinéraire appelé « T2/1 », prétendue unique « Voie d'Avenir ». Chacun sait (ou comprend) que cette option est en réalité extrêmement fragile et qu'elle est véritablement condamnée. Elle l'est en raison d'une double disproportion :
-disproportion entre l'ampleur du budget envisagé et la nature ( une deux voies) et l'utilité des travaux prévus.
-disproportion entre les travaux prévus et les atteintes à l'environnement et à l'activité économique et sociale des communes concernées notamment dans la vallée de la Tourmente, le causse et la forêt de Turenne. Un surcoût par rapport à l'itinéraire dit « T3 » d'environ soixante millions d'euros (estimation basse), cela équivaut à la construction d'un hôpital et de plusieurs collèges ! Et comment financer, au surplus, le confortement des itinéraires existants, indispensable mesure d'accompagnement du projet ? La D 96 aménagée, c'est aussi un meilleur maintien de l'équilibre fragile entre la ruralité de notre territoire et toutes ses activités économiques, en particulier le commerce de proximité.
Ainsi, nous vous proposons d'adopter la transformation du projet qu'on appelait T3 (le moins impactant pour l'environnement, ce qui répond à l'exigence du Grenelle) en aménagement routier, doublé d'une amélioration simultanée de la D 720 et surtout de la partie corrézienne remontant vers Brive à partir de Turenne-Gare. Et prévoyons, à moyen terme, une indispensable diversification du trafic routier.
Tout cela peut aller vite.
Il faut sortir de 20 ans d'atermoiements.
Turenne-Environnement ( Lot et Corrèze)
 
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alice G.
Le 24/09/2013 à 17:21:11
Jacques C
Le 24/09/2013 à 16:28:09
MarieC
Le 23/09/2013 à 18:40:14
Daniel Scheppler
Le 20/09/2013 à 23:29:19
Jean-Noël Plauchu
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HUTEAU
Le 20/09/2013 à 18:14:40
Patrick Maurer
Le 20/09/2013 à 14:49:22
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Alain
Alain Uguen
Le 24/09/2013 à 17:27:36