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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Pour la remise en ligne de l’article de GE Seralini

Mise en ligne du 09/12/2013 au 21/05/2014

Le 27 novembre 2013, l’éditeur de la revue Food and Chemical Toxicology FCT, Wallace Hayes, a écrit à l’équipe de Séralini en leur demandant de retirer leur article publié il y a tout juste un an au motif qu’il était ’peu concluant’, mais pas parce qu’il y avait eu fraude ou erreur [5]. En fait, le document avait été publié après lecture et examen par des pairs au nombre de 5 - le nombre habituel étant 2 ou 3 - et les critiques formulées avaient fait l’objet d’une réponse détaillée par l’équipe de Séralini, et cette réponse était parue dans la même revue [6].

Bilan de la cyberaction :

5048 participants

L’éditeur de Food and chemical toxicology applique deux poids deux mesures en matière de publication en faveur de l’industrie.
Face à cette partialité flagrante, la revue a enfin publié un droit de réponse de l’équipe Séralini.

Plus d’un an après publication [1], le rédacteur en chef de Food and chemical toxicology (Fct), Dr A. Wallace Hayes, retirait l’étude de toxicologie de long terme sur deux produits de monsanto, le maïs ogm (NK603) et son herbicide associé (Roundup) de l’équipe Séralini & al, tout en reconnaissant [2] ni fraude ni mauvaise interprétation intentionnelle.

Dans un nouvel article publié dans les colonnes de Fct, grâce à la pression du groupe éditorial Elsevier, les chercheurs expliquent pourquoi ils n’acceptent pas les conclusions du Dr Hayes : ils dénoncent l’absence de sérieux des raisons scientifiques évoquées, réfutent la prétendue sensibilité des rats et précisent les statistiques approfondies portant sur les paramètres sanguins et urinaires perturbés, confirmant les pathologies hépatiques, rénales, et les tumeurs mammaires.

Lire la suite : http://www.reporterre.net/spip.php?article5878  

Présentation de la cyberaction :

OGM - Santé publique: 130 ONG exigent la transparence et réclament la suspension provisoire des autorisations du Maïs NK603 et du Roundup
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/lettre-ouverte-ministres-ogm-sante-publique-516.html  

Devant l'incroyable levée de boucliers suscitée par la publication de Gilles-Eric Séralini et de son équipe dans le journal Food and Chemical Toxicology, nous, membres de la communauté scientifique, tenons à affirmer les points suivants. Voir la pétition lancée l'an dernier.
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/science-conscience-535.html  

Ce qui suivit fut une campagne mondiale concertée pour discréditer les conclusions de ce groupe de recherche, y compris la nomination de l’ex- scientifique de Monsanto Richard Goodman au poste nouvellement créé de rédacteur en chef adjoint de la biotechnologie auprès de la revue Food and Chemical Toxicology FCT [4]. Peu de temps après la nomination de Richard Goodman, une étude menée par des chercheurs au Brésil, qui avait également montré des effets potentiellement nocifs des OGM, a été retirée de la revue FCT, mais elle est réapparue presque immédiatement après dans une autre revue.

Les critiques de fond se ramènent à deux : la souche de rats de laboratoire ‘Sprague-Dawley’ utilisée était inappropriée, car elle est sujette aux cancers, d’une part, et le nombre d’animaux à utiliser pour des tests sur le cancer trop petit, d’autre part. En fait, l’étude n’avait pas explicitement comme objectif de faire une étude sur les cancers, mais concernait une expérimentation de toxicologie alimentaire, pour laquelle la souche de rongeurs de laboratoire ‘Sprague-Dawley’ est la souche la plus couramment utilisée, et le nombre d’animaux, soit 10 dans chaque groupe, était en conformité avec les directives de l’OCDE pour conduire ce type d’expérimentation.

Un jour plus tard, un communiqué de presse a été publié par une société de relations publiques, intitulé « Elsevier annonce le retrait de l’article de la revue Food and Chemical Toxicology’ [8], en précisant que la décision a été prise au plus haut niveau, par le géant de l’édition qui se décrit comme « une société internationale qui emploie plus de 7.000 personnes dans 24 pays », et en partenariat avec une communauté mondiale de 7.000 éditeurs de revues » [9]. L’éditeur Elsevier est déjà connu pour avoir publié 6 revues truquées commanditées par des sociétés pharmaceutiques anonymes, faites pour rassembler des pairs des revues médicales [10]. Il est également la cible d’un boycott toujours en cours, initié par le mathématicien éminent, Sir Tim Gowers FRS [Fellow of the Royal Society], comme une protestation par des universitaires contre les pratiques commerciales d’Elsevier, en particulier les prix élevés exigés pour les revues et les livres [11]. Jusqu’à présent, 13.974 personnes de toutes sortes de centres d’intérêt ont signé et se sont engagés à n’y plus publier, êtres juges lors de relectures ou faire un travail éditorial avec Elsevier [12].
L’équipe de Séralini s’élève fermement contre ce retrait et entend recourir à des mesures juridiques contre la revue pour protéger leurs droits [5]. La revue incriminée Food and Chemical Toxicology’ et son éditeur Elsevier opèrent à un double niveau avec ce retrait d’un article présentant des impacts négatifs sur la santé, et pour lequel aucune fraude ou erreur n’a été trouvée, par opposition à un article qui prétend qu’il n’y aucun impact négatif sur la santé, et dans lequel une erreur grave a été pour le moins impliquée. Ce n’est pas seulement une violation flagrante de l’éthique dans le secteur de l’édition, mais cela signifie aussi une conspiration en vue de retirer des résultats rendus publics qui pourraient être d’une grande importance pour la santé publique. En outre, c’est un abus de la science qui s’élève au rang d’une forme de terrorisme d’entreprise sur la recherche scientifique et les scientifiques indépendants. Cela frappe au cœur même de la science et de la démocratie, et à l’aspiration de scientifiques à travailler pour le bien public.
C’est pourquoi un groupe de scientifiques a rédigé une lettre ouverte demandant une annulation du retrait de l’article en question et des excuses publiques exprimées auprès des auteurs.

Voir l'article qui a servi de support à cette action où vous trouverez en particulier les références en anglais
http://www.isias.lautre.net/spip.php?article349  

Nous vous proposons de nous associer à cette campagne en écrivant directement a Thomas Reller
 Vice President, Global Corporate Relations de Elsevier


La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le Vice Président,
Je m'élève fermement contre le retrait de l’article sur les résultats des recherches du groupe Séralini.
Ce n’est pas seulement une violation flagrante de l’éthique dans le secteur de l’édition, mais cela signifie aussi une conspiration en vue de retirer des résultats rendus publics qui pourraient être d’une grande importance pour la santé publique. En outre, c’est un abus de la science qui s’élève au rang d’une forme de terrorisme d’entreprise sur la recherche scientifique et les scientifiques indépendants. Cela frappe au cœur même de la science et de la démocratie, et à l’aspiration de scientifiques à travailler pour le bien public.

 

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82 commentaires

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Nous sommes gouvernés par la finance et 2012 n'a hélas rien changé.Heureusement que nous sommes tenus au courant en ligne.Courage à tous ces scientifiques indépendants.Luttons avec eux.

Gachu
Le 22/05/2016 à 16:55:33

SOS terriens en détresse

papyladouceur
Le 07/09/2015 à 22:17:23

soyons responsables,pour ne pas etre coupables

lucie
Le 03/03/2015 à 17:14:41

Je reprends car j'adhère au post de EDEN:
"Monsieur le Vice Président,
Je m'élève fermement contre le retrait de l’article sur les résultats des recherches du groupe Séralini.
Ce n’est pas seulement une violation flagrante de l’éthique dans le secteur de l’édition, mais cela signifie aussi une conspiration en vue de retirer des résultats rendus publics qui pourraient être d’une grande importance pour la santé publique. En outre, c’est un abus de la science qui s’élève au rang d’une forme de terrorisme d’entreprise sur la recherche scientifique et les scientifiques indépendants. Cela frappe au cœur même de la science et de la démocratie, et à l’aspiration de scientifiques à travailler pour le bien public."

Alain Beausire
Le 02/03/2015 à 18:47:41

Monsieur le Vice Président,
Je m'élève fermement contre le retrait de l’article sur les résultats des recherches du groupe Séralini.
Ce n’est pas seulement une violation flagrante de l’éthique dans le secteur de l’édition, mais cela signifie aussi une conspiration en vue de retirer des résultats rendus publics qui pourraient être d’une grande importance pour la santé publique. En outre, c’est un abus de la science qui s’élève au rang d’une forme de terrorisme d’entreprise sur la recherche scientifique et les scientifiques indépendants. Cela frappe au cœur même de la science et de la démocratie, et à l’aspiration de scientifiques à travailler pour le bien public.

EDEN
Le 02/03/2015 à 18:29:06

on a le droit de savoir! C'est notre sante qui est en jeu!

pink alex
Le 17/11/2014 à 21:21:59

Stop à la désinformation et au lobbying, chaque citoyen a le droit de connaitre la vérité sur les OGM ! On ne doit pas jouer avec la santé des gens et ne pas empiéter sur le droit des générations futures

Michèle de Paris
Le 03/11/2014 à 23:25:30

Comment peut-on prétendre faire de la qualité ...

Scalpa
Le 23/04/2014 à 17:21:15

A l'heure où il est plus qu'évident que notre façon de nous nourrir doit être révisée en urgence dans le sens d'une alimentation beaucoup moins carnée,la création d'une nouvelle usine à animaux est un non sens!!!

LETZ Pierre
Le 15/04/2014 à 19:08:37

Halte à l'insécurité alimentaire en tout genre !

giori
Le 09/04/2014 à 09:45:27

Non aux élevages intensifs.

Gisèle
Le 08/04/2014 à 18:36:22

Stop aux âneries bordel !!!

Fritsch
Le 08/04/2014 à 14:30:20

non et non à cette torture !!!!

wessang monique
Le 08/04/2014 à 13:30:23

vivre autrement loin des profits sur les autres vivants

Gabriel Poulard
Le 08/04/2014 à 12:24:18

je m oppose fermement à ce genre de projets nuisibles sur tous les plans sauf pour l'initiateur qui va s'enrichir sur le dos des consommateurs , de la nature, de l'environnement . On commence à ressentir un ras le bol des consommateurs face à l agro alimentaire il faut l'amplifier.

ivanova anna
Le 08/04/2014 à 12:18:05

De la viande: oui! Mais de la bonne et dans de bonnes conditions pour les animaux, avec des revenus correctes pour les petits paysans.

DELAUNAY
Le 08/04/2014 à 11:25:21

La France suit aveuglément ce que font les américains !
Et l'identité française et européenne doivent prôner une autre agriculture plus innovante et plus proche de la nature

ginou
Le 08/04/2014 à 11:14:43

Tout est résumé dans cette phrase:"Ce type de ferme industrielle est à l'opposé de ce qu'il faut faire, tant sur le plan économique qu'écologique, sans compter le respect dû à la population locale et aux animaux!"

MULLER Annette
Le 08/04/2014 à 11:11:02

SVP cessez de tout transformer en usines ! Merci
Laissez les agriculteurs faire leur boulot.

wmichelange32
Le 08/04/2014 à 08:46:29

Arrêtons de faire souffrir les animaux, il est possible de revenir à un traitement plus humain et une dimension raisonnable des exploitations d'élevage.

Désandré Laurence
Le 08/04/2014 à 06:46:04

Comment nous déshumaniser ? En niant une existence à l'animal.

Julie Kuhn
Le 07/04/2014 à 23:40:21

Combien d'éleveurs en faillite ? La désertification du milieu rural va encore s'accentuer!

jeym1
Le 07/04/2014 à 23:30:58

Avant il y a avait des fermes, des poulaillers, des écoles...

Cécile B
Le 07/04/2014 à 22:02:35

Il faut arrêter de maltraiter les animaux et les considérer comme de la vile matière juste bonne à être au service de la cupidité et du dévouement de l'homme.

Lautrec
Le 07/04/2014 à 21:00:07

Il est abhérant de concevoir de pareilles horreurs , encore plus de les approuver , criminel d'en permettre l'établissement .

EMMANUEL
Le 07/04/2014 à 20:44:22

resistons vive la decroissance
revolution

bouchet
Le 07/04/2014 à 20:35:56

NON à la souffrance animale , à l'exploitation outrancière, au profit en dépit de la souffrance!!
RESISTANCE, comme à GUERET, RESISTANCE!!!!!!

hubert lysiane
Le 07/04/2014 à 20:07:04

non aux usines a vaches

personne yves
Le 07/04/2014 à 19:17:57

Je suis opposé à ces usines qui n'ont absolument rien d'une ferme et favorable à une réduction de la consommation de viande et de produits laitiers dans la mesure où le ratio calories végétales pour une calorie animale est beaucoup trop ignoré faute d'une pédagogie insistante. Toutefois, tout en laissant aux végétaliens leur entière liberté, en ce qui les concerne, je n'accepte pas leurs campagnes pour la suppression pure et simple des produits qu'ils récusent, sachant que les méfaits de l'agriculture intensive est tout aussi néfaste que l'élevage pratiqué dans des conditions identiques. Ce n'est pas leur faire insulte que de dire qu'ils ingurgitent majoritairement autant de "saloperies" que les autres. Alors réduction, oui naturellement pour un retour aux équilibres fondamentaux d'un régime omnivore qui a toujours été celui des primates dont un souffle de temps nous sépare, car si les chimpanzés et gorilles se nourrissent de végétaux, ils ne négligent pas non plus larves et insectes.

Charles-Antoine
Le 07/04/2014 à 19:16:00

Pas d'élevages concentrationnaires pour une production néfaste à la santé

parvane
Le 07/04/2014 à 19:15:07

S'il vous plaît, libérez le bétail, ces ovins, bovins, volailles, etc...
des laboratoires des grands semenciers, usines agro-alimentaires...
Merci
Bien à vous
Christine

Christine
Le 07/04/2014 à 19:14:25

SCANDALEUX!!!!!

PAGE Marie-Joëlle
Le 07/04/2014 à 18:51:43

Un peu de bon sens:le bien être des êtres humains passe par le bien être des animaux.

Renaud Gillet
Le 07/04/2014 à 18:27:50


Pour une nourriture saine et de proximité , assez de trafics des animaux contraire à la déonthologie et à la santé .

Gondard
Le 07/04/2014 à 18:20:23

halte...ils sont devenus fous...

ja
Le 07/04/2014 à 18:17:35

Pour les animaux du monde

Dominique Bineaux
Le 07/04/2014 à 18:10:55

Il est temps de tenir compte de la souffrance animale.
"Ce qui arrive aux animaux arrivera un jour aux hommes"...
disait Steiner.
Et ça arrive à grands pas...
Bleuenn

BERGE Bleuenn
Le 07/04/2014 à 18:04:45

1000 vaches alors qu'en Bretagne des exploitants ont été fortement touchés par les nquotas laitiers. Nous marchons sur la tête ! quand je dis "Nous" ce sont les politiques et le ministre de l'agriculture,ces personnages se sont coupés du peuple voir les résultats récents ils sont autistes.

B. LE LORC'H
Le 07/04/2014 à 17:50:16

Quelle horreur!
Stop à l'extensif ! Revenons à la taille "humaine" ...

churie-le goal Christine
Le 07/04/2014 à 17:35:40

j'ai été agricultrice .
je connais bien ce métier
comment on peut faire ses usines . on vas détruire
ses élevages à taille humaine
des familles ou on pourrait vivre bien . plus on grossit les plus les maladies sont sensible .
Aberrant ce projet .

Mado
Le 07/04/2014 à 17:27:11

Pas d'avantage pour la santé,à consommer du lait, de la viande non plus ... PLantons des arbres fruitiers, cessons cette torture faite aux animaux

Naldini Sandrine
Le 07/04/2014 à 16:53:08

Pas d'avantage pour la santé,à consommer du lait, de la viande non plus ... PLantons des arbres fruitiers, cessons cette torture faite aux animaux

Naldini Sandrine
Le 07/04/2014 à 16:52:45

Les citoyens que nous sommes voulons :
- Une alimentation saine
- Un bien-être animal qui est incompatible avec un élevage intensif
- Nous ne voulons pas d'un élevage qui pollue notre atmosphère avec un méthanisation - des risques pour le sol - l'eau
Nous refusons l'implantation d'une telle industrie.
D'autre part, le metier d'agriculteur se perd - Combien d'emplois en moins. Continuellement, tout est fait pour favoriser les gros éleveurs, les gros agriculteurs au détriment des petites structures créatrice d'emploi et maintenant, l'environnement campagnard. Sincères salutations

Huguette Robbe
Le 07/04/2014 à 16:45:48

l'exemple des porcheries industrielles ne vous suffit pas, il faut maintenant que les vaches er veaux subissent le même sort.
Mais quand la bêtise humaine va t elle s'arrêter?

cortesi
Le 07/04/2014 à 16:20:50

usine à vaches, usine à lait usine à merde de fric et les autres n'ont qu'a cre er vive l'europe et les technocrates vissé le cul sur leurs chaises qui ont inventé les quotas , les jachéres et autres torduseries pour LEURS BENEFICES PAS LES VOTRES !!

dautreville
Le 07/04/2014 à 16:20:42

basta de ces projets inhumains

ykhat
Le 07/04/2014 à 15:44:19

Derrière ce projet, il y a la transformation des “animaux” en “machines” de production industrielle. Descartes n'est pas loin avec sa conception stupide sur les “animaux-machines”. De même que le taylorisme-fordisme est une reprise moderne de l'esclavage antique : déshumanisation, décervelage, etc. La monstruosité de ces actes “rationnels” rappelle la rationalité des convois de la mort nazis...

Alain Juvenon
Le 07/04/2014 à 15:33:17

Je me passe également fort bien de lait, mais là n'est pas le propos. Je signe cette pétition pour vous approuver totalement dans vos démarches et pour dire non aux usines à animaux.

Rémy BERGER
Le 07/04/2014 à 14:33:27

C'est clair et niet... stop aux machines a engraisser des bêtes.

Soluno
Le 07/04/2014 à 14:31:51

Arrêtez le massacre

un anonyme
Le 07/04/2014 à 14:24:04

C'est une Honte,un Crime, de ne pas tenir compte de l'étude de Séralini. Il y a une dérive malsaine des producteurs de OGM. Il en est ainsi de bons nb d'aliments, de médicaments,de produits "phyto-sanitaires", produits chimiques nocifs pour la santé (insecticides, pesticides, fongicides, "morticides"...), qui ne sont testés guère que par les fabricants, les personnes "neutres", ayant des accointances avec les fabricants, ou étant marginalisés comme Séralini.
Lire "Complot mondial contre la Santé" de Claire Sévenac aux éditions "Elie et Mado".
Interdisons les produits naturels (le purin d'ortie, insecticide et engrais naturels a failli être interdit même pour une utilisation personnelle !
Mort aux produits de Dame Nature avec l'interdiction de pratiquer la phytothérapie et l'interdiction d'ouvrir des boutiques d'herboristerie !!!
Vivent les produits chimiques mal ou pas assimilables, générant des effets secondaires à traiter par ailleurs pour le + grand profit des labo !!!
J'ai honte de mes congénères, qui, ne croyant plus en Dieu, jouent au démiurge par son mépris pour la Nature, scient la branche sur laquelle ils sont assis !!!
Je me suis laissé dire qu'en ce moment 2 labo étudient le virus H5N1 pour l'inoculer aux furets ! Cela s'appelle jouer à l'apprenti sorcier.
Quid des autres espèces, voisines ou non ? ? ?
Rappelez-vous de la myxomatose créée par un fanatique car il avait trop de lapins dans son jardin et qui a envahi le monde entier.
Soyons humbles ; Respectons et remercions Dame Nature ; Soyons solidaires et l'Avenir nous souriras.

mino
Le 01/04/2014 à 22:00:18

Il est insupportable que les multinationales réussissent à faire taire les scientifiques oeuvrant pour une terre et les hommes en bonne santé ... et tout cela pour leur PROFIT !!! C'est tout simplement CRIMINEL.

B.M.
Le 10/03/2014 à 10:34:56

Quand on aura bousillé la planete avec toutes ces saloperies on aura que nos yeux pour pleurer...

un anonyme
Le 09/03/2014 à 17:54:15

A bas les multinationales!!!

un anonyme
Le 08/03/2014 à 18:26:49

A BAS MONSANTO!!!

un anonyme
Le 08/03/2014 à 18:26:11

Quelques modifications pour ceux qui, comme moi, ont été dérangés par certaines formulations, mais non sur le fond:

Monsieur le Vice Président,
Je m'élève fermement contre le retrait de l’article sur les résultats des recherches du groupe Séralini.
Ce n’est pas seulement une violation flagrante de l’éthique dans le secteur de l’édition, mais cela atteste aussi d'une volonté délibérée de retirer des résultats rendus publics qui pourraient être d’une grande importance pour la santé publique. En outre, il s'agit d'un dangeureux abus, à savoir l'instrumentalisation de la science, qui prend pour cible la recherche scientifique et les scientifiques indépendants. Cela frappe au cœur même de la science et de la démocratie, et à l’aspiration de scientifiques à travailler pour le bien public.

anonyme
Le 08/03/2014 à 18:24:32

Introduction du Prof. Roberfroid

A propos de la rétraction de l’article de GE Seralini publié en 2012 dans la revue ‘Food and Chemical Toxicology’ et intitulé (traduction française du titre en anglais): « Toxicité à long terme de l’herbicide Roundup et du mais génétiquement modifié tolérant au Roundup ».

Cette étude d’une durée de 52 semaines, qui a fait grand bruit, rapporte des effets néfastes d’un OGM, d’un pesticide dans sa formulation disponible commercialement et du mélange des deux. Parmi ces effets néfastes il y a, principalement chez les rates, l’apparition de tumeurs parfois très volumineuses.

C’est en tant que toxicologue, par ailleurs ancien éditeur de la revue ‘Food and Chemical Toxicology’ que j’ai été amené à m’intéresser à cette publication. C’est aussi à ce titre que j’ai été très interpelé par la décision récente de l’éditeur en chef de rétracter cet article sur base d’arguments que je n’ai pas vraiment compris. C’est à ce titre que j’ai réagi en lui envoyant la lettre dont copie ci-dessous, lettre qui, normalement, devrait être publiée avec d’autres dans un supplément de la revue.

Lettre du Prof. Roberfroid à la revue Food and Chemical Toxicology

Cher Collègue,

En tant qu’ancien rédacteur en chef de la revue Food and Chemical Toxicology (FCT), j'ai honte de votre récente décision de retirer l’article du Prof. Séralini que vous aviez préalablement accepté de publier après un processus de relecture complet qui, je le crois, avait été réalisée avec le sérieux habituel d’un journal de grande qualité comme FCT. L’un des arguments à l'appui de votre décision semble être, si je suis correctement informé, le nombre d'animaux par groupe. Evidemment tous vos relecteurs connaissaient ces nombres mais n’ont pas considéré cela comme un argument suffisant pour rejeter l’article. Comme indiqué clairement par ailleurs, votre décision n'est pas conforme aux règles éditoriales du FCT.

Dans vos réponses qui justifient le retrait, vous soulignez en outre ce que vous appelez une « conclusion non fiable » . En effet, vous écrivez que : « Les données ne sont pas concluantes, donc la revendication ( c.-à-d la conclusion ) que le maïs Roundup Ready NK603 et / ou l'herbicide Roundup ont un lien avec le cancer n'est pas fiable. Le Dr Séralini mérite le bénéfice du doute : c’est une erreur honnête qui a mené à cette conclusion non fiable. L'examen des données a précisé qu'il n'y avait pas faute. Toutefois, pour être très clair, c'est tout l’article, avec l'affirmation selon laquelle il existe un lien certain entre les OGM et le cancer qui est rétracté. Le Dr Séralini a exprimé de manière très loquace qu'il estime que ses conclusions sont correctes. Selon notre analyse, ses conclusions ne peuvent être déduites des données présentées dans cet article » .

En relisant l'article, je n'ai pas trouvé où serait revendiqué ou conclu qu’ « il existe un lien certain entre les OGM et le cancer » . Au contraire, dans le paragraphe de conclusion, les auteurs ne mentionnent même pas les tumeurs et, dans le dernier paragraphe, ils concluent que « ... les OGM alimentaires agricoles et de pesticides formulés doivent être évalués avec soin par les études à long terme pour mesurer leurs effets toxiques potentiels ».

Selon moi, les auteurs de l'étude n’avaient plus que probablement pas prévu les effets tumorigènes. Même si l’on peut argumenter que l'étude ne suit pas strictement les recommandations adéquates de l'OCDE, il reste une importante observation «scientifique» (pas «réglementaire») qui ne peut être ignorée et justifie la poursuite des recherches à long terme avec un accent particulier sur les effets tumorigènes non seulement des OGM mais aussi des formules pesticides, et du mélange des deux comme utilisé dans les pratiques agricoles .

Je me sens également honteux parce que votre décision apporte des arguments à ceux qui soutiennent et même affirment que la recherche scientifique (en particulier dans les sciences biologiques) est de moins en moins indépendante et de plus en plus soumise à la pression de l'industrie. Votre décision qui peut être interprétée comme une volonté d'éliminer les informations scientifiques qui ne permettent pas de soutenir certains intérêts industriels est, à mon avis, inacceptable. Si vous et vos collègues du comité de rédaction aviez des questions concernant la conclusion de l'étude Séralini, la seule attitude scientifique aurait été de demander des études complémentaires. Rétracter des données soulève des questions et crée la suspicion et n'est pas une attitude scientifique.
Sincèrement,

Marcel Roberfroid
Professeur émérite de biochimie et toxicologie
Université Catholique de Louvain, Belgique-

Alain Uguen
Le 27/02/2014 à 17:24:12

Dans Science et Vie de ce mois-ci, encore un article douteux qui décrie les travaux de Gilles Eric.
L'auteur, Elsa Abdoun, journaliste sans aucune formation scientifique, affirme que le retrait de son article (toujours présent, consultable, mais dont l'utilisation n'est plus autorisée)a été décidée par non validation de ses travaux par des "experts".
Elle réfute que le fait que l'arrivée au comité éditorial de la revue, début 2013, du toxicologue Richard Goodman, professeur à l'université du Nebraska (Etats-Unis) et ancien employé de Monsanto, soit la cause du retrait de son étude. Ben tiens, comme par hasard, il arrive 3 mois après la publication de l'article !
Pour info, je me souviens également d'un article qu'elle avait écrit il y a un an ou deux sur l'incidence ou non des centrales nucléaires sur les leucémies infantiles.
Et devinez quoi ? elle avait mis en avant le fait qu'il y avait d'autres causes plus probables à ces hémopathies.
Pour info, je vous rappelle que Corinne Lepage avait été débarquée du gouvernement Juppé après avoir soulevé cette question sur l'usine de retraitement de la Hague suite à des alertes de médecins dans la région sur l'augmentation des leucémies infantiles.
http://www.lesechos.fr/27/05/1997/LesEchos/17403-47-ECH_la-hague---corinne-lepage-s-inquiete-des-rejets-en-mer.htm  
Et puis les radioémetteurs alpha, comme l'uranium appauvri, vont souvent se loger dans la moelle osseuse, celle-là même qui fabrique nos cellules sanguines. Le lien radioactivité et leucémie est donc tout à fait établi. C'est le combat que mènent les familles des anciens combattants(Français, Anglais, Américains ou autres)contre l'utilisation de l'uranium appauvri dans les munitions, dont ils estiment la responsabilité dans les décès par leucémies de leurs proches qui en sont décédés.

Lionel OUTRIGGER
Le 01/02/2014 à 18:58:41

@ Ryuujinn : C'est bien un groupe de 200 rats, 100 mâles et 100 femelles, divisé en 10 lots de 20 rats chacun, qui ont servi de base aux tests de Gilles Eric.
Cette expérience indispensable, qui a coûté la bagatelle de 3.2 millions d'euros, a été financée par une cinquantaine d’entreprises privées (principalement de la grande distribution, inquiètes des dérives croissantes observées depuis quelques années, poulets à la dioxine et boeuf de cheval entre autres), la fondation suisse Charles Léopold Mayer et par ministère de la recherche pour une faible part.
Indispensable, car les seuls tests effectués par les producteurs d'OGM en permettent la vente en Europe.
Peut-être, Ryuujinn, faites-vous partie de ceux qui demandent au serveur si le plat du jour est bien frais et non congelé : c'est sûr qu'il va vous donner la juste information ...^^
Gilles Eric Séralini a, en 2011, gagné un procès en diffamation à l'encontre de l'Association Française des Biotechnologies Végétales (Gros lobby OGM) et de son président, Marc Fellous.
Ce dernier a à diverses occasions sous-entendu que son confrère serait incompétent : "...c’est l’équilibre nécessaire au débat scientifique, la qualité de l’expertise contradictoire au service de décisions éclairées et la bonne information du public trop souvent entretenu dans des peurs sans motif ... ce marchand de peur ...".
Gilles Eric Seralini n'est pas le seul biologiste à alerter sur la suspicion de toxicité des OGM : il y a aussi Jacques Testart et Christian Vélot, pour citer les deux plus connus.
D'autre part, je rappelle ici la découverte révélée en 2011 par une équipe scientifique de renom chinoise sur l'action directe des micro-ARN que nous ingérons avec notre nourriture sur l'ARN messager de nos cellules (voir les liens que j'ai mis sur mon autre post plus bas). Ils ont réalisé l'expérience avec un riz OGM et ont montré le déséquilibre induit par cet aliment sur la fabrication d'une protéine.
Bien évidemment, les grosses têtes médiatiques se sont bien gardé de divulguer cette information (qui risque fort de rapporter un prix Nobel à cette équipe), serrant les fesses en espérant que cela ne va pas avoir de répercussions sur la vente d'OGM en Chine et ailleurs.
Ce qui n'est pas gagné : la Chine vient de renvoyer 545 000 tonnes (12 cargaisons !) de maïs vers les USA suite à la présence de traces de maïs MIR-162. Ce qui a fait chuter le cours mondial du maïs.
http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/cereales-la-chine-rejette-du-mais-ogm-americain-non-autorise-82089.html  
Il est à noter que suite à cette étude menée par Gilles Eric (dont il reconnaît les limites, vu qu'il a utilisé les mêmes conditions que Monsanto, hormis la durée plus réaliste, 2 ans au lieu de 90 jours), 5 millions d'euros devraient être débloqués pour réaliser au niveau européen une étude plus complète. A moins que le lobby OGM ne la bloque ... A suivre, donc.

Lionel OUTRIGGER
Le 12/01/2014 à 19:16:22

Les réactions sont intéressantes. Au vu des affirmations fausses qui y figurent, personne ici n'a pris la peine de lire l'article de Seralini.

C'est sans doute pour ça que personne n'a remarqué non plus qu'il est toujours en ligne. Hé ouais : quand un article est rétracté, il reste en ligne.
La pétition (et l'hébergement de l'article) n'ont donc d'autre intérêt que de montrer à quel point certains sont à la masse.

Allez le lire d'ailleurs : vous verrez que Séralini utilise 10 rats par groupe contre 20 pour Hammond et al. 2004, et qu'AUCUNE des conclusions n'est supportée par un test statistique (normal : il n'y a pas de différence significative entre les groupes du fait du faible nombre de rats par groupe).

Enfin bref. C'est bien d'avoir une opinion et de la défendre, mais c'est mieux si on s'est informé avant.

Ryuujin
Le 03/01/2014 à 03:59:14

Qu'on arrête les empoisonneurs!

Limeretz Herve
Le 20/12/2013 à 23:20:36

Object : rétractation de Séralini et al. 2012

Thomas Reller Vice President, Global Corporate Relations T.Reller@elsevier.com.  
Cc. A Wallace Hayes Editor-in-Chief of Food and Chemical Toxicology (FCT).
Ccc. cyberacteurs@wanadoo.fr.  

Messieurs le Vice Président et le Rédacteur en Chef … A plus d'un titre, le retrait par vos soins de l’article sur les résultats des recherches de l'equipe de Gilles-Eric Séralini sent le souffre, le trucage et le double langage. D'abord souffre et trucage : cet acte viole les normes éthiques internationales établies par le Committee on Publication Ethics (COPE), dont le journal FCT est membre.

Ensuite double langage : Elsevier et FCT defend l'article de Monsanto (Results of a 13 week safety assurance study with rats fed grain from glyphosate tolerant corn Hammond et al., 2004), alors que la méthodologie de Séralini et al. 2012 est plus rigoreuse et génère plus de données par groupe.

En effet l'étude des salariés de Monsanto a utilisé le même nombre et la même variété de rats que Séralini et al. 2012. Si l'outil statistique du dernier était critiquable, il serait le même que celui utilisé par Hammond et al. 2004. Ainsi que par toutes les études initiées par les producteurs OGM ayant été avalisées par les organismes de contrôle sanitaire. Séralini et al. 2012 dure deux ans, au lieu des trois mois effectués par le groupe chez Monsanto. Ce qui est plus réaliste pour analyser une toxicité sur le long terme. Bizarrement, ce manque d'intéret pour de tels effets sanitaires chroniques ne provoque pas des réactions critiques de votre part et ne fait pas la une de l'information.

Cette affaire confirme une fois de plus la force du lobbying de l'industrie des OGM agricoles. Ce n’est pas seulement une violation flagrante de l’éthique dans le secteur de l’édition, mais cela atteste aussi d'une volonté délibérée de retirer des résultats rendus publics - qui peuvent nuire à certains intérêts
spéciaux – et financiers - mais qui ont l'air d'être d’une importance primordiale pour la santé publique.

Non seulement vous vous couvrez de ridicule. Vous jetez l'oppobre sur tout le système de l'évaluation par les pairs et portez atteint à l’aspiration de scientifiques à travailler pour le bien public.

En l'occurrence, concernant votre décision scandaleuse, il s'agit d'une dérive qui compromet la recherche indépendante. Cette instrumentalisation de la science soumise à une dictature commerciale frappe au cœur même de la communauté scientifique et prend pour cible l'ensemble de l'humanité.

Paul et Iris Matthews
TR18 5EY Newlyn
Cornwall UK

Paul et iris
Le 19/12/2013 à 21:35:11

Quelques modifications pour ceux qui, comme moi, ont été dérangés par certaines formulations, mais non sur le fond:

Monsieur le Vice Président,
Je m'élève fermement contre le retrait de l’article sur les résultats des recherches du groupe Séralini.
Ce n’est pas seulement une violation flagrante de l’éthique dans le secteur de l’édition, mais cela atteste aussi d'une volonté délibérée de retirer des résultats rendus publics qui pourraient être d’une grande importance pour la santé publique. En outre, il s'agit d'un dangeureux abus, à savoir l'instrumentalisation de la science, qui prend pour cible la recherche scientifique et les scientifiques indépendants. Cela frappe au cœur même de la science et de la démocratie, et à l’aspiration de scientifiques à travailler pour le bien public.

anonyme
Le 18/12/2013 à 16:25:09

Monsieur le Vice Président,
Je m'élève fermement contre le retrait de l’article sur les résultats des recherches du groupe Séralini.
Ce n’est pas seulement une violation flagrante de l’éthique dans le secteur de l’édition, mais cela signifie aussi une conspiration en vue de retirer des résultats rendus publics qui pourraient être d’une grande importance pour la santé publique. En outre, c’est un abus de la science qui s’élève au rang d’une forme de terrorisme d’entreprise sur la recherche scientifique et les scientifiques indépendants. Cela frappe au cœur même de la science et de la démocratie, et à l’aspiration de scientifiques à travailler pour le bien public.

Jean-Marie ROY
Le 12/12/2013 à 19:53:24

Bonjour amis cyberacteurs,
Je suis scandalisé par le comportement des responsables de la revue. Les nombreux "référés" n'ont émis aucun message de fraude ... seulement un avis "non conclusive" qui appellent des études complémentaires par la même équipe ou, mieux, par d'autres laboratoires non privés !! Evidemment il faut des moyens pour ces études ... qui va financer ?

Je suis un ancien directeur de recherche du CNRS, et je ne me rappelle pas avoir vécu une telle situation chez les physiciens. Il est vrai que les sciences de la santé et/ou de la manipulation des végétaux, semences etc ... impliquent le business de multinationales présentes partout dans les organismes de décisions politiques ... on devrait réguler drastiquement leur présence comme lobbies.
Le commentaire de Lionel OUTRIGGER le 09/12/2013 est très précieux (voir la liste des commentaires).
Les scientifiques qui publient dans cette revue devraient manifester leur réaction scandalisée auprès de l'éditeur ... quitte à publier dans une revue concurrente ?
Merci à tous ceux qui résistent à ce genre d'action déshonorante ... et merci à Cyberacteur de nous donner le moyen de mutualiser nos réactions.
Robert Baudoing-Savois

Baudoing-Savois Robert
Le 12/12/2013 à 15:17:42

Bonjour,
Je soutiens l'article de GE Seralini , car c'est un scientifique compétent et indépendant de tous lobbys financiers, pharmaceutiques et politiques, ce qui n'est pas politiquement correct.
Nous sommes simples citoyens les seuls à décider de notre avenir et de celui des générations futures et ce n'est pas aux puissances de l'argent de nous imposer nos choix.
Bon courage à tous et surtout soyons tous vigilants et critiques dans le bon sens du terme.
Alain Sureau.
achillea90@yahoo.fr.  

dauphin
Le 12/12/2013 à 13:14:20

Merci à tous ceux qui ont participé à cette nouvelle présentation du site, bien plus facile que la précédente.

daniele
Le 12/12/2013 à 12:30:05

D'accord avec les autres personnes, ce texte est nébuleux. Même le titre d'ailleurs qui se voudrait plus clair. Là je me suis fait violence pour signer. C'est un comble.
Je trouve que depuis quelques temps, les pétitions n'ont pas la même qualité qu'avant.
Attention.

Jacqueline
Le 12/12/2013 à 11:58:42

Il devient essentiel de protéger les chercheurs qui ne sont pas à la botte des industriels. La société en a besoin

un anonyme
Le 12/12/2013 à 11:46:04

Avant d'envoyer, j'ai supprimé la phrase: "c’est un abus de la science qui s’élève au rang d’une forme de terrorisme d’entreprise sur la recherche scientifique et les scientifiques indépendants."
Cette phrase est incompréhensible, et puis il ne faut pas employer un mot comme "terrorisme", qui est inapproprié ici.

alaroz
Le 12/12/2013 à 11:41:09

Oui, Monsieur Séralini a fait un excellent travail et dans des conditions très difficiles.
Travail salutaire car dans nos pays, on préfère ne rien savoir. Quel obscurantisme !
Cela n'a aucun sens d'avoir accepté son article puis de le retirer. Cela ne fait qu'ajouter du discrédit à la revue de publication.

antidote
Le 12/12/2013 à 11:15:33

le PDF de l'étude de l'équipe de Séralini est visible à l'adresse : http://www.cyberacteurs.org/pdf/-22long-term-toxicity.-22-fct-sept-2012-2.pdf  

Alain Uguen
Le 12/12/2013 à 10:49:42

Les corporations parasites qui oeuvrent pour la destruction l'humanité et de la liberté de choix : DEHORS !

runriver
Le 12/12/2013 à 07:33:44

Cet article est contre productif dans le sens ou il apparait incompréhensible à sa lecture.
Est-ce qu'il ne pourrait pas être fait un résumé clair et lisible pour tous ?

un anonyme
Le 10/12/2013 à 15:56:59

Le texte tel quel est particulièrement nébuleux! Relisez donc vos proses et mettez-vous un instant à la place de celui qui le reçoit!

mona
Le 09/12/2013 à 23:05:29

1 Sur le plan mathématique, l'étude statistique de Gilles Eric SERALINI est de bien meilleur niveau que celle effectuée par Monsanto. Si l'outil statistique est critiquable, il est le même que celui utilisé par toutes les études initiées par les producteurs OGM ayant été avalisées par les organismes de contrôle sanitaire. Bizarrement, les réactions critiques vis à vis de ces études n'ont pas fait la une de l'information.

2 Monsanto, pour son étude sur le MON 810, a utilisé le même nombre et la même variété de rats que SERALINI. Même remarque que pour le point 1. Son étude a duré 2 ans au lieu des 3 mois effectués par MONSANTO, ce qui est plus réaliste pour analyser une toxicité sur le long terme. L'étude ridiculement courte de Monsanto n'a pas non plus défrayé la chronique.

3 Les vrais scientifiques partisans OGM se sont bien gardés de critiquer la partie statistique de son étude. Ils ont par contre, de manière fourbe, attaqué l'addenda de l'étude qui faisait part du nombre important d'animaux décédés et malades dans le lot testé, photos à l'appui. Gilles Eric s'est expliqué sur cet addenda par l'effroi qu'il a ressenti en voyant les résultats.

Ce genre de manipulation de l'information par les anti OGM, on peut en trouver l'équivalent dans les graves affaires de santé que l'on a connu dans le passé : innocuité du tabac, de l'amiante, du sang non réchauffé (les américains étaient désignés par de grands médecins comme étant incompétents en voulant chauffer le sang pour détruire le VIH), de l'hormone de croissance prélevée sur des cadavres (combien d'enfants décédés depuis ?), etc, etc, etc, etc ...

Il faut aussi ajouter au dossier l'importante découverte faite par une équipe chinoise en 2011 montrant que la nourriture que nous absorbons agit sur l'ARN messager, donc sur les protéines qui constituent notre organisme, donc sur notre santé. En lien, sur ce sujet, un article paru dans Libération de notre célèbre Biologiste Jacques Testart ainsi qu'un autre paru dans le Courrier International bien détaillé.
http://www.liberation.fr/sciences/2011/10/14/l-humain-vegetalise_767811  
http://www.courrierinternational.com/article/2012/01/26/ogm-et-sante-la-polemique-eclate-a-nouveau  

Lionel OUTRIGGER
Le 09/12/2013 à 19:13:53

Si on faisait la même étude de l'effet du cyanure ou de l'arsenic, sur des rats, on refuserait l'étude en prétendant qu'il n'y a pas assez de rats avec que 10 pour prouver, même si tous morts !!
C'est scandaleux ce type d'arguments !!
Il prouve la puissance des lobbys de Monsanto qui font peur à tous les scientifiques et qui empoisonnent toute la planète, avec des produits autorisés, sans jamais les tester plus de 90 jours, ni sur la vie complète du foetus à la mort, contrairement à Seralini !!
Vu l'épigénétique, avec la nourriture des grands parents qui donne des maladies aux petits enfants, (cas du dystilbéne, un bisphénol particulier ) il faut tester sur 3 générations, comme les cobayes humains que nous sommes de force !!

dedelreu
Le 09/12/2013 à 16:16:39

pourquoi n'écrire qu'au vice président et non pas au président de l'entreprise concernée?
Et aussi merci de reformuler la pétition, voir les autres commentaires

fanch
Le 09/12/2013 à 15:48:09

Claude a raison. C'est pas si évident la compréhension de la formulation de la pétition pour qui ne manipule pas les contre négations. Mais même moi qui ai des difficultés avec ça, j'ai bien compris que , d'une part, c'était le droit à l'information qui est en jeux et que d'autre part dans cette affaire, les lobbies (des multinationales ) étaient à l’œuvre comme ils le sont en permanence tant immenses sont leurs moyens.
Aujourd’hui le terrain de la lutte est entre le citoyen lambda et le pouvoir exorbitant des multinationales conjugué à celui de la finance ( l'ennemie de Hollande parait-il !)

jojoduchato
Le 09/12/2013 à 15:02:51

"Pour" l'annulation du retrait!
il y a un retrait en vue,
Vous êtes "Pour" L'article et donc "contre" son retrait.
Ils veulent le retrait, nous voulons ANNULER ce retrait, nous luttons donc:
POUR l'annulation du retrait de l'article...
C'est vrai que c'est un peu complexe pour qui ne manipule pas bien les contre négations.

Claude
Le 09/12/2013 à 12:01:13

Lire l'historique dans la page d'explication ci-dessus ou là: http://www.isias.lautre.net/spip.php?article349  

Le mouvement est {pour l'annulation} du retrait et (trop tard) contre la demande de retrait faite par la direction de la publication aux auteurs et contre ce même retrait (décidé in fine sans les auteurs). En effet, le retrait a été décidé unilatéralement par l'éditeur. C'est cette décision qui est contestée.

PhL38F
Le 09/12/2013 à 11:58:51

Mais enfin ! C'est CONTRE l'annulation ou POUR ?!?!?!

Claux
Le 09/12/2013 à 11:35:11

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