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Bilan de la cyberaction : Interdire la pub pour la malbouffe ciblant les enfants.

Mise en ligne du 25/02/2020 au 26/08/2022

L’Organisation mondiale de la santé tire la sonnette d’alarme depuis des années sur le surpoids et l’obésité, et pointe le lien avec la malbouffe. Les débats sur la réforme de l’audiovisuel qui démarrent à l’Assemblée nationale ce mercredi 26 février doivent être l'occasion d'interdire la pub pour la malbouffe.

Bilan de la cyberaction :

3197 participants

Présentation de la cyberaction :

De nombreuses études montrent en effet comment la publicité influence les enfants et les adolescents, puissants vecteurs d’achat de leurs parents. Pour beaucoup, le poids des lobbys l’a emporté face aux enjeux de santé publique. Or, la nécessité « de limiter l’influence de la publicité et du marketing alimentaire sur les enfants en les réglementant et d’encadrer la promotion des marques associées à des aliments peu favorables au plan nutritionnel » est inscrite dans la stratégie nationale de santé publique 2018-2022 du gouvernement.

L’Assemblée nationale s’est refusée, en mai dernier , au terme d’un débat animé, à inscrire dans la loi l’interdiction des publicités pour des produits alimentaires trop gras, trop sucrés ou trop salés à destination des enfants, ainsi qu’à rendre obligatoire l’étiquetage Nutri-Score.

Lors de l’examen du projet de loi agriculture et alimentation, des députés ont cherché à interdire ou limiter les messages publicitaires en faveur des « produits alimentaires et boissons trop riches en sucre, sel ou matières grasses et ayant pour cible les enfants de moins de 16 ans »sur « tout support de communication radiophonique, audiovisuel et électronique ».

Le volontariat des industriels ne fonctionne pas

Comme le souligne la cour des comptes :
https://www.ccomptes.fr/system/files/2019-12/20191211-rapport-prevention-prise-en-charge-obesite.pdf  
La France a fait le choix d’une politique incitative tant en matière d’offre que de publicité et de marketing dans un dialogue nourri avec les secteurs agroalimentaires et de la publicité. Les résultats obtenus par cette autorégulation montrent aujourd’hui leurs limites. La mise en place de l’étiquetage nutritionnel et du Nutri-Score, encore trop peu développé, se heurte encore à de nombreuses oppositions de la part des industriels du secteur. Les tentatives d’encadrement accru du marketing dont les enfants sont les cibles dans les médias audiovisuels et numériques, ont échoué, tandis que les stratégies de commercialisation de la grande distribution et la présence massive des distributeurs automatiques échappent à la régulation publique.

Ces limites ont de longue date été soulignées par les études internationales et par l’OMS, qui privilégie une approche de régulation plus normative. Nul ne conteste, aujourd’hui, la nécessité d’améliorer la qualité nutritionnelle des aliments, de réduire l’accessibilité des enfants aux aliments peu sains et de mieux informer le consommateur pour l’aider à choisir les produits les moins nocifs pour sa santé. Au vu des résultats encourageants mais encore insuffisants de la politique de prévention et de lutte contre l’obésité, les pouvoirs publics devraient travailler à l’adoption d’une régulation plus contraignante, en application des recommandations de l’OMS et de la littérature scientifique internationale.
…/...
L’obésité, qualifiée d’épidémie mondiale par l’OMS, est à l’origine d’un coût sanitaire, social et financier considérable pour la collectivité. C’est pourquoi les pouvoirs publics doivent se mobiliser sans plus tarder comme ils l’ont fait pour la lutte contre le tabagisme.

Pub pour la malbouffe ciblant les enfants : la réforme de l’audiovisuel est l’occasion à ne pas rater pour enrayer l’obésité et le surpoids des enfants en France, presse foodwatch
https://foodwatchfrance.klantsite.net/l/mailing2/browserview/dd171999-1134-4d91-930d-83991387930c?utm_source=mailing&utm_medium=email&utm_campaign=pub-malbouffe-ciblant-les-enfants-demain-l-occasion-a-ne-pas-rater  

Dans sa version actuelle, le projet de loi ne permet aucunement de protéger les enfants - et leur santé - du matraquage publicitaire pour des produits alimentaires et boissons pourtant trop sucrés, trop gras, trop salés. Le gouvernement s’est contenté d’y inscrire que les industriels pourraient adopter des « codes de bonne conduite » … sur base volontaire !

La publicité pour la malbouffe augmente la consommation des enfants de 45%
https://www.mieux-apprendre.com/blog/2018/09/20/la-publicite-pour-la-malbouffe-augmente-la-consommation-des-enfants-de-45/  

Trop de sucre accélère le déclin cognitif
https://www.mieux-apprendre.com/blog/2018/09/20/trop-de-sucre-accelere-le-declin-cognitif/  

Obésité infantile : trop de pubs incitent à la malbouffe
https://www.topsante.com/maman-et-enfant/enfants/sante-des-enfants/obesite-infantile-trop-de-pubs-incitent-a-la-malbouffe-622617  

6 publicités sur 10 promeuvent la malbouffe dans les émissions familiales à la télévision
https://actualite.housseniawriting.com/sante/obesite-alimentation/2017/11/28/6-publicites-sur-10-promeuvent-la-malbouffe-dans-les-emissions-familiales-a-la-television/25018/  

L’Assemblée rejette l’interdiction des publicités pour aliments trop gras et l’étiquetage nutritionnel obligatoire
https://www.lemonde.fr/sante/article/2018/05/27/l-assemblee-nationale-rejette-l-interdiction-des-publicites-pour-aliments-trop-gras-et-l-etiquetage-nutritionnel-obligatoire_5305464_1651302.html  

La lettre qui a été envoyée :


Madame, Monsieur
L’Organisation mondiale de la santé tire la sonnette d’alarme depuis des années sur le surpoids et l’obésité, et pointe le lien avec la malbouffe.
Constatant que le volontariat des industriels ne fonctionne pas je vous demande d'interdire à l'occasion de la réforme de l’audiovisuel les messages publicitaires en faveur des produits alimentaires et boissons trop riches en sucre, sel ou matières grasses et ayant pour cible les enfants de moins de 16 ans sur tout support de communication radiophonique, audiovisuel et électronique.
Je vous prie de croire en ma vigilance citoyenne attentive à vos votes en faveur de la santé de nos enfants.

 

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24 commentaires

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« Il faut mettre fin au matraquage publicitaire des industriels de la malbouffe sur nos enfants »
https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/10/28/sante-il-faut-mettre-fin-au-matraquage-publicitaire-des-industriels-de-la-malbouffe-sur-nos-enfants_6196999_3232.html  

Aujourd’hui, en France, la situation n’est plus tenable : 17 % des enfants et adolescents sont en surpoids ou en situation d’obésité, et de 50 à 70 % d’entre eux le resteront à l’âge adulte. Or, on le sait, surpoids et obésité augmentent les risques de maladies cardio-vasculaires, de diabète de type 2, de syndrome du foie gras et même les risques de cancer. Un enfant sur six est un futur malade, c’est presque écrit.

Alain UGUEN
Le 28/10/2023 à 17:13:10

IMC : voilà le calcul facile pour savoir si votre poids est normal ou si vous êtes en surpoids
https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-nutrition/2441413-comment-calculer-son-imc-facilement-surpoids/  

Alain UGUEN
Le 28/10/2023 à 16:53:58

Pub pour la malbouffe Les enfants toujours plus exposés
Plus de la moitié des publicités pour des produits alimentaires vues par les enfants et adolescents à la télévision glorifient la malbouffe. Voici une des conclusions les plus frappantes d’une récente étude menée par Santé publique France, qui conforte celles obtenues par l’UFC-Que Choisir en 2006, 2007 et 2010.
https://www.quechoisir.org/actualite-pub-pour-la-malbouffe-les-enfants-toujours-plus-exposes-n80891/  

Alain UGUEN
Le 09/08/2020 à 10:56:07

J'ai alerté les 2 députés des Landes. Lionel Causse, député LREM m'a répondu par retour du courrier :
« Un texte de loi est débattu qui pourrait enfin protéger les enfants du matracage publicitaire de producteurs qui les cible directement. Quand on voit l’impact de ces produits sur la santé des jeunes, il semble indispensable de modifier l’article 54 de ce projet de loi, pendant leurs débats dans la commission des affaires culturelles. Nous aimerions que vous interveniez auprès de vos collègues de cette commission pour que le gouvernement ne se contente pas d’inviter les industriels à adopter des « codes de bonne conduite ». Là encore nous nous permettons de faire observer que les démarches volontaires produisent le plus souvent des progrès trop faibles pour qu’on puisse continuer à s’en satisfaire. Dans la mesure où le gouvernement reconnaît lui-même qu’il y a un problème, il semble inacceptable qu’il compte sur les lobbies de la malbouffe pour être « raisonnables ».
Nous souhaitons un encadrement réglementaire : La Commission des affaires culturelles doit prendre une décision courageuse et interdire dans la réforme de l’audiovisuel le marketing de la malbouffe qui cible les enfants. Ce dont les enfants ont besoin, c’est certainement d’une éducation à bien se nourrir... »
Par retour du courrier Lionel Causse répond à la SEPANSO : « ... Conscient des risques que présente la malbouffe, en particulier dès le plus jeune âge et engagé pour une alimentation plus saine et plus responsable, j’ai signé deux amendements allant dans ce sens et qui seront prochainement étudiés en commission ... interdire toute publicité à destination des enfants et adolescents pour les denrées alimentaires dont le nutri-score qui reflète la déclaration de l’intérêt nutritionnel du produit montrerait la présence majoritaire de nutriment et aliments à limiter (acides gras saturées, sucre, sel) ... instaurer l’affichage du nutri-score sur tous les supports publicitaires pour les denrées alimentaires... »

Georges CINGAL
Le 11/03/2020 à 09:24:22

Nous devons utiliser les leviers de la communication pour éduquer/créer des comportements citoyens et non pour "lessiver le cerveau" pour maximiser l'économie pulsionelle

Alain Kernevez
Le 09/03/2020 à 09:57:10

Si nous additionnions tous les Kg en trop de nos enfants, tout leur surpoids et que nous demandions aux industriels de la malbouffe de supprimer le même poids en sucre et graisse de leurs aliments il en resterait largement suffisamment pour ne pas les mettre en faillite.

Monique Deslandres
Le 05/03/2020 à 15:54:28

Il n'y a qu'à regarder autour de soi : l'obésité chez les enfants comme chez les adultes devient presque majoritaire. Pour savoir comment sera notre société dans 10 ans si on ne fait rien, il suffit d'aller voir les Américains qui ont toujours un train d'avance dans ce qu'il y a de pire. Aux Etats-Unis, royaume de la malbouffe, les non-obèses deviennent une espèce en voie de disparition et caractérisent plutôt la classe sociale la plus aisée. Alors à quand une éducation à la santé dans les écoles et dans les médias...libres des lobbies bien sûr ??!

daniel san
Le 04/03/2020 à 10:30:23

Foodwatch Communiqué de presse

Journée mondiale de l’obésité : la réforme de l’audiovisuel est l’occasion à ne pas rater pour protéger les enfants

Le 4 mars rappellera avec la Journée mondiale de l'obésité ce chiffre alarmant : 1 enfant sur 6 en France est en surpoids ou obèse. Espérons que les député.e.s entendront cette alarme car ils ont l’occasion de protéger les enfants du matraquage publicitaire pour des produits alimentaires et boissons trop sucrés, trop gras, trop salés. Cette semaine justement est débattue la réforme de l’audiovisuel à l’Assemblée nationale, dans la Commission des affaires culturelles. Dans sa version actuelle, le projet de loi ne met aucunement les enfants à l’abri des abus des industriels de la malbouffe. Car le gouvernement s’est contenté d’y inscrire que les industriels pourraient adopter des « codes de bonne conduite »… sur base volontaire ! Inacceptable pour foodwatch, alors que même la Cour des comptes a insisté en novembre sur le fait que les engagements volontaires étaient très insuffisants. Il faut une loi contraignante, d’autant plus urgente que le coût social de la surcharge pondérale s’élève, selon le Trésor public, à plus de 20 milliards d’euros par an.



La Commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale est en plein débats cette semaine sur la réforme de l’audiovisuel. Ce projet de loi est une opportunité d’enfin concrétiser la recommandation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de règlementer la publicité et le marketing qui ciblent les moins de 16 ans pour des produits trop sucrés, trop gras, trop salés, à la télévision mais aussi sur tous les autres supports électroniques.

Il est urgent d’agir, car aujourd’hui en France 1 enfant sur 6 est en surpoids ou obèse, et la Direction générale du trésor estimait déjà en 2012 le coût social de la surcharge pondérale à 20 milliards d’euros par an.

Face à ce constat, deux réponses s’opposent : la première, portée par tous les experts, prône une loi pour encadrer efficacement ces pratiques et interdire publicité et marketing qui ciblent volontairement les jeunes pour des produits trop sucrés, trop gras, trop salés. La seconde voudrait faire croire que de simples engagements volontaires des entreprises de l’agroalimentaire pourraient suffire à limiter l’exposition des enfants au matraquage publicitaire et marketing de la malbouffe.

Or plusieurs études ont montré que les engagements volontaires n’étaient pas du tout efficaces pour assurer une prévention de la publicité et du marketing ciblant les enfants pour des aliments déséquilibrés. C’est aussi la conclusion du rapport de la Cour des comptes sur la prévention et la prise en charge de l’obésité de novembre 2019 : « La France devrait se doter d’une régulation normative de la publicité pour enfant ».

Le gouvernement joue en fait un double jeu : il reconnaît le problème puisqu’il inscrit un article dans le projet de loi de réforme de l’audiovisuel, mais tue dans l’œuf toute possibilité de mesures efficaces en faisant le choix de laisser carte-blanche aux industriels. L’article 54 « prévoit l’adoption de codes de bonnes conduite » de la part des acteurs de l’industrie agroalimentaire qui seraient ainsi censés s’autoréguler. Pour foodwatch, cette proposition n’est pas sérieuse.

« Comment peut-on oser écrire dans une loi qu’on compte sur la bonne volonté des géants de la malbouffe pour protéger les enfants du matraquage publicitaire et marketing ? C’est aberrant. On a déjà démontré avec des cas concrets comme Lu et Caprisun qu’ils ne tiennent pas ce genre de promesse. Et une loi est censée mettre des règles pour protéger les citoyens, pas donner carte blanche aux entreprises. », insiste Karine Jacquemart, directrice générale de foodwatch France.

Des député.e.s de plusieurs groupes avaient déjà porté cet objectif d’encadrer efficacement la publicité et le marketing qui ciblent les enfants pour des produits trop sucrés, trop gras, trop salés dans des projets de loi, notamment la loi EGALIM en 2018, mais la majorité les a lors bloqués.

Auront-ils cette fois le courage politique de voter cette mesure essentielle pour protéger les enfants et leur santé ? Pour foodwatch ce serait un vrai scandale de ne pas saisir l’occasion de ce projet de loi.

Alain UGUEN
Le 03/03/2020 à 13:33:01

Insupportable. Interdiction totale

Edmond Dobryk
Le 27/02/2020 à 12:27:53

Et il y en a des choses à faire , en premier abandonner les pub à la TV .

MCHELE CATHALA
Le 27/02/2020 à 11:42:53

J'ai signé ! Mais j'entends d'ici des députés dire "si on supprime une partie de la pub sur les supports radiophonique, audiovisuel, électronique, on leur supprime du même coup une aide financière importante qui impactera la qualité du service rendu". On les verra brandir le risque de mise au chômage d'une partie du personnel... et à la fin le poids de Monsieur Fric Industriel sera plus imposant que celui de tous les obèses victimes de la malbouffe réunis !!!
En clair, je suis un peu pessimiste.
Aïchat, l'école fait ce qu'elle peut, les enfants ne lui sont confiés qu'à peine 8h par jour ,cantine comprise, ça veut dire 18h passées ailleurs, justement là où ils sont matraqués par la pub.Les familles ont bien plus de responsabilité.
Lilig

Lilig
Le 26/02/2020 à 23:35:08

Pour empêcher la malbouffe industrielle à nos en
fants...il faut obliger les producteurs à vendre
ou transformer leurs produits par eux-mêmes,dans
1 rayon de 50km autour de leur lieu de production
...Ainsi que permettre la transformation des pro
duits bruts en produits à longue conservation...

stoppeur
Le 26/02/2020 à 12:23:06

laissons à nos enfants la chance de grandir sainement sans toutes ces saletés qu veulent nous imposer la pub

michel armagnat
Le 26/02/2020 à 12:16:03

Comme dit Pierre Rabhi à propos de la malbouffe
"bonne chance" au lieu de "bon appétit"

marioncip
Le 26/02/2020 à 11:53:30

Action indispensable .
Dans le même ordre d' idée
j' avais participé à une enquête pour proposer une évaluation nutritionnelle des aliments industriels. Je vois que c' est le nutriScore qui apparait désormais sur plus en plus de produits et c' est déjà une bonne chose

sophie l
Le 26/02/2020 à 10:55:07

Entièrement d' accord avec cette pétition!

Liliane Daumain
Le 26/02/2020 à 10:41:18

Oui, c'est pas mal, mais c'est l'éducaton des parents qui devrait être faite aussi. Qui pousse le caddie rempli de bouteilles de 2 litres de Coca et autres déchets?
L'école doitagir et nettoyer le crâne des enfants qui avalent les trucs auxquels ils sont addicts. Inégalité sociétale, le pauvre continue à manger de la bouillie immonde et les autres pourront espérer s'alimenter chez BIO machin.
Les nutritionnistes sans obédience aux lobbies doivent prendre le pouvoir, les docteurs non véreux doivent tirer les ficelles. Chartes, semonces et amendes pour les vendeurs de nourriture assassine. Pas de quartier et surtout pas de quartiers de viande.
Aïchat nUssy

c nusbaum
Le 26/02/2020 à 10:26:38

et pas que pour les enfants, même pour les adultes la malbouffe est source de nombreux problèmes de santé.
il faut également condamner les pubs mensongères des grandes surfaces qui prétendent favoriser l'agriculture Française avec les circuits courts mais où l'on ne trouve que des légumes gorgés de pesticides en provenance principalement d'Espagne et de plus avec le label "BIO"
et il en est de même avec la viande "origine France" mais importée d'Irlande.
LA PRINCIPALE QUALITÉ DE CES ENSEIGNES EST LE MENSONGE.

Jean-Pierre Reillon
Le 26/02/2020 à 10:26:28

C'est une première étape nécessaire et salutaire mais c'est toute la pub qui devrait être attaquée, pour mettre fin à une consommation frénétique et abrutissante.

François VERRET
Le 26/02/2020 à 10:08:24

Nous sommes "dans le trop de tout"! Trop de pub pour la malbouffe, trop de nitrates qui se retrouvent dans l'eau des rivières et qui engendrent les marées vertes en Bretagne, trop de pub sur les bagnoles qui cherchent à vous rendre "plus heureux" en possédant une caisse "suréquipée" comme ils disent!!! Et j'en passe....
Le coronavirus ralentit l'économie mondiale, avec certes des conséquences sociales!
Mais conjointement à ce ralentissement, c'est aussi moins de CO2 émis.......

cactus
Le 26/02/2020 à 09:58:14

Cette interdiction est INDISPENSABLE et FONDAMENTALE, de toute évidence les industriels ne seront PAS RAISONNABLES tout seuls.
Ni sur la publicité qu'ils nous assènent à gros bouillons dans les films télé de certaines chaînes,cinémas, journaux, magazines, bords de routes, villes, abribus, etc.
Ni sur les emballages plastiques,
NOUS DEVONS LEGIFERER et BOYCOTTER simultanément...

Bernard Pothier
Le 26/02/2020 à 07:51:18

Une interdiction FONDAMENTALE INIDSPENSABLE...
Les industries agro-alimentaires se contrefoutent des dégâts sur leurs clients, seuls comptent leurs PROFITS et DIVIDENDES.
De toutes façons, une première limitation de la PUBLICITE est elle aussi indispensable, combien de temps encore allons-nous nous laisser agresser par les publicités partout, le long des routes, au cinéma, pendant les films sur certaines chaînes télé, dans les journaux, magazines, MARRE...

Bernard Pothier
Le 26/02/2020 à 07:46:41

Malbouffe ?
Soyons clairs, parlons de ce que c'est vraiment : l'alimentation industrielle (y compris avec un logo AB) qui n'est pas une nourriture vivante mais un remplissage.

Et notons aussi qu'en plus de du surpoids ou de l'obésité, d'autres maladies sont grandement favorisées par ce type d'alimentation : diabète, cancers, troubles du comportement (les additifs sont parfois de puissants psychoactifs, notamment chez l'enfant), troubles endocriniens, et possiblement aussi certaines maladies auto-immunes et nombres d'allergie alimentaire (le corps réagit t-il à l'arachide ou apprend t-il à s'en défendre à force d'associer cet aliment à l'intoxication par les pesticides répandus dessus ???)

Dr BAJON
Le 25/02/2020 à 21:46:40

Par ailleurs, le problème, ce n'est pas seulement le "trop-gras", ou "trop-salé" ou "trop-sucré", c'est tout simplement le "trop" : trop transformé, et donc trop plein d'additifs en tout genre : les colorants en premier lieu, mais aussi les "émulsifiants", les "édulcorants" (que l'organisme trompé prend pour du sucre, et donc, dont l'effet est le même!), les "exhausteurs de goût" (qui agissent sur le système nerveux!), sans compter le gluten à tout-va, et les remplaçants du gluten (fécule de pomme de terre, qui ne vaut pas mieux), etc.
Dans ces conditions, je me permets de signaler que le Nutri-score, parti d'une bonne volonté, ne sert pas à grand-chose, car un bon beurre bio - score E ! - (certes du gras, mais qui annonce la couleur) est plus mal noté qu'une margarine - score D - pleine de graisses hydrogénées, de sel, et de cochonneries en tout genre. Bon courage. Je suggère d'apprendre aux gens à lire les étiquettes, tout simplement, et de faire comme on a dit jadis: ne pas acheter un "aliment" contenant plus de 3 "E quelque chose", c'est à dire pas plus de 3 additifs, même autorisés - car le dioxyde de titane, ne l'oublions pas, a été autorisé pendant (trop) longtemps, y compris dans les bonbons et les MÉDICAMENTS (ce qui est encore le cas pour ces derniers, et maintenant sous forme "nano", ce qui le dispense de l'étiquetage...) A méditer.

Anne
Le 25/02/2020 à 19:31:09

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