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Bilan de la cyberaction : Fin des soutiens financiers à l’exploitation des énergies fossiles à l’étranger

Mise en ligne du 11/11/2020 au 27/05/2022

Ce 12 octobre, le gouvernement a remis au Parlement un rapport sur la décarbonation des financements export de la France. Ce « Plan Climat », présenté par le gouvernement comme “ambitieux”, propose de soutenir financièrement de nouveaux projets pétroliers jusqu’en 2025 et gaziers jusqu’en 2035.

Bilan de la cyberaction :

2912 participants

Présentation de la cyberaction :

Mesdames et Messieurs les député.e.s
Nous sommes en 2020 et l’Etat français soutient toujours financièrement l’extraction des énergies fossiles dans le monde, de l’Arctique (1) au Mozambique (2-3) en passant par le Yémen (4), et bien loin de l’Accord de Paris.

Ce 12 octobre, le gouvernement a remis au Parlement un rapport sur la décarbonation des financements export de la France.
Ce « Plan Climat », présenté par le gouvernement comme “ambitieux”, propose de soutenir financièrement de nouveaux projets pétroliers jusqu’en 2025 et gaziers jusqu’en 2035.

Des financements à l’export ?
Les garanties à l’exportation sont des outils qui permettent d’aider financièrement les entreprises actives sur le sol français à exporter. En bref, l’État se porte garant de prêts octroyés par des banques commerciales pour des transactions à l’étranger, via la filiale Assurance Export de Bpifrance. Si il y a un problème, c’est le contribuable qui indemnise la banque, pas l’entreprise. Ce type de subvention publique permet de dérisquer des projets qui pourraient ne pas voir le jour sans le concours de la puissance publique, mais aussi aux entreprises d’emprunter moins cher auprès des banques. Depuis 2016, Bpifrance a repris pour le compte et sous le contrôle de l’État cette activité, opérée auparavant par la Coface.
De nombreux pays de l’OCDE possèdent une telle agence de crédit à l’exportation et subventionnent, à travers elles, les énergies fossiles. Entre 2016 et 2018, les pays du G20 ont fourni à travers elles 31,6 milliards de dollars par an d’aides financières aux énergies fossiles. En France ce sont au moins 9,3 milliards depuis 2009 pour le pétrole et le gaz.
Le « Plan Climat » proposé par le gouvernement français s’aligne davantage sur les trajectoires de croissance de Total que sur les scénarios préconisés par le GIEC, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
Les financements que souhaitent engager l’Etat français au nom des contribuables nous conduisent à courir le risque d’une augmentation de la température globale de +4°C à +5°C d’ici 2100.

La COVID, les feux qui embrasent le monde, le dégel inquiétant des calottes polaires qui commencent à émettre du méthane, gaz qui attaque massivement la couche d’ozone... sont autant de conséquences des activités humaines n’ayant pas respecté l’environnement dans lesquels nous évoluons. Voulons-nous vraiment poursuivre sur cette voie ? Considérer à l’instar de théories économiques que la nature est une « externalité » alors qu’elle est le fondement même de notre survie ?
Plutôt que de nous projeter dans un inconnu dangereux, le gouvernement devrait s’atteler à construire, dès aujourd’hui, une stratégie de transition juste pour les salariés des secteurs extractivistes et une feuille de route pour le développement des énergies renouvelables.
C’est ce que souhaite une partie croissante de la population française.
Mesdames et Messieurs les député.e.s, nous vous demandons, le 12 novembre lors du vote du budget, de mettre fin dès 2021 à toutes les aides à l’exportation dans le secteur des énergies fossiles. Ceci en votant tous les amendements allant en ce sens.
Cordialement
Les Amis de la Terre Côte-d’Or

(1) https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/en-contradiction-avec-les-promesses-de-relance-verte-le-gouvernement-mise-sur-lexploitation-du-gaz-en-arctique/  
(2) https://www.amisdelaterre.org/de-leldorado-gazier-au-chaos/  
(3) https://youtu.be/YpgbKcgpoNE  
(4) https://www.amisdelaterre.org/base-militaire-checkpoints-et-prison-secrete-un-rapport-pointe-la-militarisation-des-infrastructures-de-total-au-yemen/  


La lettre qui a été envoyée :


Madame , Monsieur,
Le « Plan Climat » proposé par le gouvernement français s’aligne davantage sur les trajectoires de croissance de Total que sur les scénarios préconisés par le GIEC.
Je vous demande llors du vote du budget, de mettre fin dès 2021 à toutes les aides à l’exportation dans le secteur des énergies fossiles. Ceci en votant tous les amendements allant en ce sens.
Cordialement

 

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33 commentaires

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La France va réduire son soutien financier aux projets pétroliers et gaziers
https://reporterre.net/La-France-va-reduire-son-soutien-financier-aux-projets-petroliers-et-gaziers  

Les projets pétroliers et gaziers vont-ils perdre leurs soutiens français ? Dans son projet de loi de finances (PLF), présenté le 26 septembre en Conseil des ministres, le gouvernement propose de mettre fin aux garanties à l’export accordées à la grande majorité des projets pétroliers et gaziers, et ce dès la fin de l’année.

Les garanties publiques à l’export peuvent être comparées à une assurance fournie par l’État aux projets d’extraction, de transport et de stockage d’hydrocarbures. Elles représentent un budget important : entre 2009 et 2019, la France a accordé 9,3 milliards d’euros de garanties exports aux énergies fossiles, notamment en Arctique et au Mozambique, selon les Amis de la Terre. Le gouvernement n’envisageait jusqu’à présent d’y mettre fin qu’en 2025 pour les projets pétroliers, et en 2035 pour les projets gaziers. Un non-sens climatique, selon Lorette Philippot, chargée de campagne Finance privée au sein de l’association.

« Une avancée décisive », mais avec des limites
Proposer de mettre fin à ces garanties à l’export dès la fin de l’année est « une avancée décisive », se réjouit l’organisation dans un communiqué. Cette décision pourrait « inciter d’autres pays à s’engager », et rediriger « des milliards d’euros vers la transition énergétique ».

L’association relève cependant deux points faibles : les centrales de production électrique à base de gaz ou de pétrole ne sont pour le moment pas concernées par la proposition du gouvernement. « Or, investir aujourd’hui dans ce type de projets et construire la dépendance de régions aux hydrocarbures pour les prochaines décennies ne représentent ni bénéfice pour le climat, ni pour la transition énergétique des pays du Sud. Cela détourne des capitaux des véritables solutions, dans les économies d’énergie, la rénovation thermique et l’efficacité énergétique, et ralentit le développement des énergies renouvelables », estime l’association.


Le gouvernement propose également de soutenir des projets permettant de réduire l’impact environnemental d’installations existantes, comme des dispositifs de capture et de stockage du carbone. Des technologies « immatures », selon les Amis de la Terre, qui risqueraient, là encore, de « détourner » les fonds publics nécessaires au développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique.

Alain UGUEN
Le 27/09/2022 à 08:23:12

se battre contre ces gouvernements cela va être dur la seule solution c'est une mobilisation

hans fivaz
Le 29/05/2021 à 00:13:00

Pour la fin des soutiens financiers à l'industrie et à l'énergie nucléaire

L’agence internationale de l’énergie (AIE) a publié en mai 2021 une feuille de route pour le secteur de l’énergie, visant la « neutralité carbone » en 2050 : « Net Zero by 2050 - A Roadmap for the Global Energy Sector ».
https://iea.blob.core.windows.net/assets/28f365da-f9cb-4a87-9992-566821924beb/NetZeroby2050-ARoadmapfortheGlobalEnergySector.pdf  

Ce document a été préparé en vue de la COP26 prévue du 1er au 12 novembre 2021 à Glasgow.

La feuille de route est focalisée sur la réduction des émissions de « gaz à effet de serre » du secteur de l’énergie dans le but de limiter à 1,5°C le réchauffement climatique à long terme. Elle détaille les différentes mesures préconisées, à mettre en œuvre lors des deux phases principales du scénario (2020- 2030 et 2030-2050).
Ces mesures consisteraient à :
- utiliser plus efficacement l’énergie de manière à atteindre en 2050 une consommation finale d’énergie réduite de 8% par rapport à 2020, malgré une économie globale doublée et une population accrue de 2 milliards de personnes ;
- transformer les systèmes énergétiques pour qu’ils fournissent, en 2050, les deux tiers de l’énergie consommée par des productions à partir du vent, du soleil, des « bioénergies », de la géothermie et de l’hydraulique, en remplacement des énergies fossiles ;
- accroître massivement l’électrification des usages de l’énergie, dont 50% des consommations finales en 2050 seraient assurées par de l’électricité produite par les énergies renouvelables (88%), par le nucléaire (8%) et par les énergies fossiles (2%) avec capture et stockage de CO2 ;
- conserver les énergies fossiles (21% de l’énergie consommée en 2050), pour les usages où elles ne sont pas remplaçables ;
- stopper immédiatement les investissements dans les énergies fossiles et les réorienter vers l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables, la recherche et le développement de nouvelles technologies énergétiques, et … le nucléaire (ce qui n’est pas clairement énoncé dans la feuille de route).

Un ensemble de mesures pourrait être déployé entre 2020 et 2030, en utilisant les meilleures techniques disponibles d’efficacité énergétique et de production d’énergies à partir des renouvelables, qui ne nécessitent pas de « sauts technologiques » mais uniquement des investissements conséquents et des réglementations adaptées.
D’autres mesures nécessitent par contre des efforts conséquents de recherche et développement (batteries avancées, production d’hydrogène par électrolyse, capture et stockage de CO2) et pourraient être mises en œuvre dans une deuxième phase grâce à des investissements dans ces nouvelles technologies.

Si l’on peut se réjouir de l’existence de scénarios, qui visent à démontrer la faisabilité technique, économique et sociale d’un avenir énergétique largement affranchi des énergies fossiles, on ne peut que s’étonner du maintien de l’énergie nucléaire dans la feuille de route préparée par l’AIE. Celle-ci prévoit même le doublement de sa production, en valeur absolue, entre 2020 et l’échéance de 2050. Sa part dans l’approvisionnement en énergie finale à cette échéance resterait cependant dérisoire, de l’ordre de 4% au maximum.

Cette énergie, et l’industrie militaro-civile qui en permet la transformation en armes atomiques, en « combustibles » pour réacteurs nucléaires et en électricité, seraient-elles exemptes de tout méfait ?
Plusieurs catastrophes majeures (Hiroshima et Nagasaki, Kychtym, Tchernobyl, Fukushima, ...) ne suffisent-elles pas pour que l’on abolisse les armes et l’énergie nucléaires ?
Pourquoi négliger les pollutions chimiques et radioactives par les installations nucléaires, en fonctionnement normal ou accidentel, responsables de dizaines de millions de morts prématurées et de centaines de millions de maladies graves ?
Pourquoi se focaliser sur les seules émissions de CO2 et « oublier » une cause majeure du réchauffement climatique, les émissions de chaleur massives résultant des consommations d’énergies fossiles et de la fission nucléaire ?
Pourquoi préconiser l’arrêt immédiat des investissements dans le charbon et la prospection pétrolière et gazière, sans demander également l’arrêt des investissements dans toute la filière industrielle qui permet de faire fonctionner les réacteurs nucléaires ?
Pourquoi ce qui est possible pour la plupart des pays du monde, se passer complètement de cette énergie, ne serait pas possible pour la totalité des pays ?

L’AIE serait-elle sous la tutelle de fait des pays nucléaristes et les autres pays devraient-ils accepter cette domination ?

Les responsables politiques doivent se poser ces questions vitales pour l’avenir de l’humanité et élaborer une feuille de route sans nucléaire à l’échéance de 2050, avant la COP 26, avec l’aide des organismes compétents et indépendants des Etats nucléaristes.
Comme il est probable que les principaux Etats nucléaristes de la planète n’accepteront pas un tel scénario et s’opposeront à la mise en œuvre de la feuille de route correspondante, c’est aux dirigeants des pays non nucléarisés ou en voie de dénucléarisation de s’emparer de ces questions et de les traiter « sur la place publique » à l’occasion de la COP 26.

François VALLET
Le 28/05/2021 à 15:52:51

"SHELL | C’est un jour historique pour les défenseurs de l’environnement aux Pays-Bas et dans le monde entier : un tribunal de La Haye vient d’ordonner à la société pétrolière Royal Dutch Shell de réduire ses émissions de carbone après un procès unique en son genre opposant un collectif d’ONG environnementales au géant pétrolier.(https://www.forbes.fr/environnement/une-immense-victoire-la-societe-shell-condamnee-a-limiter-ses-emissions-apres-un-proces-historique-sur-le-climat/)  

Si seulement cela pouvait faire... tache d'huile !

jean-marie hubert
Le 28/05/2021 à 09:53:45

Climat : les pays du G7 s’engagent à ne plus subventionner les centrales à charbon

Les ministres de l’Environnement de l’Allemagne, du Canada, des Etats-Unis, de la France, de l’Italie, du Japon et du Royaume-Uni ont promis « des efforts ambitieux et accélérés » pour réduire leurs émissions de CO2.
https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/climat-les-pays-du-g7-s-engagent-a-ne-plus-subventionner-les-centrales-a-charbon_4632897.html  

Alain UGUEN
Le 27/05/2021 à 17:38:42

Agence internationale de l’énergie (AIE) : tous les nouveaux projets pétroliers et gaziers sont désormais indésirables

C’est un message inédit et historique. L’Agence internationale de l’énergie (AIE), référence pour des dizaines de pays dans le monde, assure que l’atteinte de la neutralité carbone en 2050 et la limitation du réchauffement à 1,5°C d’ici la fin du siècle impose immédiatement la fin de tous les nouveaux projets d’exploration d’énergies fossiles. Pour les experts de l’Agence, l’avenir passera par l’électricité et les renouvelables.
https://www.novethic.fr/actualite/energie/transition-energetique/isr-rse/pour-l-agence-internationale-de-l-energie-tous-les-nouveaux-projets-petroliers-et-gaziers-sont-desormais-indesirables-149815.html  

Alain UGUEN
Le 27/05/2021 à 17:36:11

@D Lambeaux
"L'effort à faire est bien plus important que ce que nos dirigeants prétendent être impossible."
S'il ne s'agissait que de convaincre nos "dirigeants" l'affaire serait relativement simple, mais la population lambda non plus, et j'irais jusqu'à dire qu'une bonne partie des adhérents à Cyber@cteurs non plus, ne sont conscients, et encore moins prêts à faire les "sacrifices" dans notre mode de vie, nécessaires pour éviter les souffrances que va subir une grande partie de l'humanité dans les années à venir.
Notre mode de vie est basé principalement sur la "vitesse" en tous points, et si notre échelle de "vitesse" ne revient pas à ce qu'elle était avant la machine à vapeur, cheval, à pied ou vélo même pas électrique, avec un retour à la terre de la majorité de la population, l'humanité ne pourra gérer son expansion que par la violence. Les avancées que l'humanité a connues au XXème siècle ne doivent être utilisées que pour le bien commun et non pour l'individu seul qui peut se les offrir.
Dans le triptyque "Liberté, Egalité, Fraternité" c'est la Liberté qui doit être revue pour s'adapter aux exigences écologiques de la planète. La Liberté, comme l'exploitation des ressources de la planète ne peut être illimitée.
Lorsque je vois et que j'entends le public des marches pour le climat, j'ai tendance à penser que le chemin est encore long...

Christian Perez-Gil
Le 25/04/2021 à 13:38:51

Il faut revenir au temps de la bougie...sans revenir au "bon
vieux temps de la machine à vapeur"...

stoppeur
Le 23/04/2021 à 17:37:15

Si la preuve du caractère anthropique de la cause du réchauffement climatique a été apportée par des méthodes isotopiques qui permettent de le corréler avec la consommation d'énergies fossiles, il va de soi, que toute augmentation anthropique d'élément composant l'atmosphère et absorbant dans l' infrarouge,contribue à l' augmentation anthropique de l' effet de serre.
Or les GES sont responsables de 30% de l'effet de serre, et la part de l'eau est de 70%.
L' augmentation anthropiques des GES est due à un apport permanent par combustion, fermentation.. non négligeable dans un système métastable, où les processus de recombinaison ou d'entrainement naturels sont dépassés.
Et bien, c'est pareil pour l'eau-ges, dont le fait générateur est l'importation d'énergie dans un système métastable, où le processus régulateur que sont les cycles de l'eau, est dépassé, ce qui provoque une légère augmentation anthropique, notée LAA, du niveau d'énergie de la biosphère, provoquant une LAA de la quantité de chaleur, donc de la température, et par thermohygrométrie, une LAA de concentration moyenne globale de l' eau-ges, qui s'ajoute aux LAA de GES pour provoquer une LAA somme du processus amplificateur qu'est l'effet de serre.
Si on veut espérer sauver la Vie sur Terre, c'est la consommation d'énergies importées qu'il faut interdire et la consommation d'énergies issues de la biosphère qu'il faut rationner.
Vous comprendrez que ces gesticulations autour du carbone sont pitoyables, car elles ne mettent pas la barre des exigences au bon niveau. L'effort à faire est bien plus important que ce que nos dirigeants prétendent être impossible.

Daniel LAMBEAUX
Le 23/04/2021 à 15:44:20

Une coalition de sept pays européens veut supprimer tout soutien pour les énergies fossiles à l’export

Sept pays européens veulent interdire le soutien public aux projets liés aux énergies fossiles. France, Allemagne, Royaume-Uni, Danemark, Espagne, Pays-Bas et Suède lancent la coalition « Export Finance for Future » dans laquelle ils s’engagent à refuser les garanties publiques pour les projets fossiles et à favoriser les projets compatibles avec l’Accord de Paris. À eux sept, ils représentent 45 % des crédits à l’export pour les projets fossiles des pays de l’OCDE.
https://www.novethic.fr/actualite/finance-durable/isr-rse/une-coalition-de-sept-pays-europeens-veut-decarboner-les-financements-a-l-export-149725.html  

Alain UGUEN
Le 23/04/2021 à 09:29:04

Le méthane (CH4), n'attaque pas la couche d'ozone mais est un puissant gaz à effet de serre, de courte durée de vie, se "transformant" en CO2, un autre GES.

olivier gaquiere
Le 18/02/2021 à 08:20:10

"L'argent est le nerf de la guerre", "L'argent ne dort jamais".
A commencer par le nôtre : celui de nos comptes-courants et de notre épargne. A quelle banque le confions-nous ?
Que fait-elle avec ? Sommes nous donc susceptibles de participer ainsi nous-mêmes aux dommages que nous dénonçons ?
Est-il possible d'utiliser ce pouvoir qu'est notre argent pour contribuer à construire un futur vivable en le confiant à un organisme qui pratique la transparence complète sur les projets financés ?
Il faut chercher du côté des banques éthiques.
Voir la Fédération Européenne des banques éthiques et alternatives et la liste de leurs adhérents.

Gilles Le Louedec
Le 17/02/2021 à 10:32:19

La Lloyd’s of London, mauvais élève du climat, change de paradigme et s’engage à la neutralité carbone dès 2025
https://www.novethic.fr/actualite/finance-durable/isr-rse/la-lloyd-s-of-london-mauvais-eleve-du-climat-change-de-paradigme-et-s-engage-sur-la-neutralite-carbone-des-2025-149312.html  

Alain UGUEN
Le 19/12/2020 à 08:26:54

Le Danemark va cesser en 2050 l’exploitation du pétrole et du gaz en mer du Nord
https://www.novethic.fr/actualite/energie/energies-fossiles/isr-rse/bonne-nouvelle-le-danemark-va-cesser-en-2050-l-exploitation-du-petrole-et-du-gaz-en-mer-du-nord-149268.html  

Alain UGUEN
Le 19/12/2020 à 08:12:25

Pensons à agir contre les activités militaires, de la fabrication d'armements aux essais de ces armements puis aux guerres menées. Ces activités participent à 20% de la pollution mondiale et du réchauffement climatique. Les dépenses militaires mondiales n'ont jamais été aussi élevées 1800 milliards de dollars en 2018.Soutenons le traité d'interdiction des armes nucléaires qui va entrer en vigueur le 22 janvier 2021

Annie et Joel Frison
Le 06/12/2020 à 20:06:34

Repousser ne serait-ce que d'une année les freins financiers au développement des énergies fossiles est à mon sens irresponsable. L'horizon 2035, c'est une demie-génération. Et chacun sait que tout retard sera encore plus difficile à rattraper. En repoussant les premières mesures après les élections présidentielles, nos gouvernants ne prennent pas de risque. l'attentisme de notre gouvernement vis à vis du climat est encore démontré.

Jean-Louis ROUTHIER
Le 02/12/2020 à 13:05:33

Nouvelle-Zélande : La première ministre Jacinda Ardern proclame « l’urgence climatique »
https://www.20minutes.fr/planete/2921999-20201202-nouvelle-zelande-premiere-ministre-jacinda-ardern-proclame-urgence-climatique-pays  

Alain UGUEN
Le 02/12/2020 à 10:58:12

Que propose ce gouvernement pour développer en France les projets d'énergie citoyennes éthiques et décentralisés?
Quand la France réorientera t-elle enfin les sommes colossales accordés au nucléaire vers une transition énergétique digne de ce nom?
Ni nucléaire ni effet de serre!

Régine MILLARAKIS
Le 23/11/2020 à 09:18:56

Je ne comprends vraiment pas que ce soit possible, après que la France ait clamé sur toutes les toits du monde vouloir lutter contre le réchauffement climatique.

VIVIANE TITS
Le 21/11/2020 à 15:57:40

Pour ce gouvernement il est urgent....d'attendre.
Courage.... fuyons

Gérard AUCHERE
Le 20/11/2020 à 14:38:48

Pour e gouvernement, il est urgent..... d'attendre.
Courage, fuyons.

Gérard AUCHERE
Le 20/11/2020 à 14:37:39

Le Conseil d'État a donné, jeudi, trois mois au gouvernement français pour justifier ses actions en matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. Une décision "historique" pour les défenseurs de l'environnement.
La plus haute juridiction administrative française a mis en demeure, jeudi 19 novembre, l'État de justifier dans un délai d'un trimestre sa politique climatique en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Le Conseil d'État avait été saisi en janvier 2019 par le maire écologiste de Grande-Synthe, Damien Carême – élu depuis député européen –, qui estimait que sa commune du littoral du Nord était menacée de submersion par "l'inaction climatique" du gouvernement.

Le Conseil n'a pas immédiatement tranché sur le fond de ce premier dossier contentieux lié au climat à arriver devant lui, mais a donné trois mois à l'État – qui avait argumenté par écrit pour un rejet pur et simple de la demande – pour rendre compte de ses actions en matière de lutte contre les émissions responsables du réchauffement climatique.

Les juges administratifs ont notamment relevé que l'État s'était engagé, pour mettre en œuvre l'accord de Paris de 2015 visant à limiter le réchauffement, à atteindre une baisse de 40 % des émissions en 2030 par rapport à leur niveau de 1990.

Des budgets d'émissions dépassés

Or les "budgets carbone" d'émissions adoptés dans les différents plans de l'État – dont la dernière "stratégie nationale bas carbone" remonte au mois d'avril – ont toujours été dépassés, comme l'ont notamment montré les rapports annuels du Haut Conseil pour le Climat. Et l'État a d'ailleurs, en conséquence, revu ses objectifs à la baisse.

Constatant ce "report (...) d'une partie de l'effort de réduction des émissions devant être réalisé", les juges administratifs ont demandé au gouvernement de justifier de la "compatibilité avec la trajectoire de réduction des gaz à effet de serre" pour tenir son objectif de 2030.

Ils ont ainsi suivi les recommandations du rapporteur public, lors de l'audience du 9 novembre. Ce magistrat chargé de faire une recommandation sur le dossier avait alors souligné que "le cœur du sujet est le calendrier des actions", puisqu'"il y a bien urgence climatique aujourd'hui".

Et il avait estimé que les engagements de la France, dans le cadre de l'accord de Paris, des législations européennes ou nationales ne pouvaient avoir "un objectif uniquement programmatique mais bien contraignant". "Renvoyer les requérants à 2030 ou 2050 pour voir si les objectifs sont atteints vous conduirait à participer à cette tragédie" climatique, car "le risque existe que tout retard soit irréversible", avait-il argumenté.

"Décision historique" en faveur du climat

En le suivant, le Conseil d'État a pris "un arrêt qui me paraît historique", a salué Corinne Lepage, avocate de la commune de Grande-Synthe. "Le Conseil d'État souligne que l'État a des obligations non pas de moyens mais de résultats. À deux reprises, il utilise le mot d'"effectivité", ce qui veut bien dire que les politiques ne doivent pas être seulement de jolis engagements sur le papier".

Une avancée également saluée par Hugues Hannotin, avocat du regroupement d'ONG "l'Affaire du siècle", qui ont elles aussi engagé une procédure contre l'État pour inaction climatique et s'étaient jointes comme "intervenants" à la procédure de la municipalité nordiste. "L'État va devoir rendre des comptes, les lois de programmation ne sont pas seulement pour la galerie."

Greenpeace France a, pour sa part, tweeté jeudi un grand "BOOM!" à l'annonce de cette mise en demeure.

Le gouvernement n'a pas immédiatement réagi, mais à l'issue de l'audience du 9 novembre, le ministère de la Transition écologique avait indiqué à l'AFP qu'il serait en cas de décision lui demandant de se justifier de ses actions "entièrement à disposition". "Nous avons des choses à défendre", notamment en matière d'actions de décarbonation, avait indiqué une source au cabinet de la ministre Barbara Pompili.

Avec AFP
https://www.france24.com/fr/france/20201119-la-justice-met-en-demeure-l-état-de-justifier-ses-actions-en-faveur-du-climat  

Alain UGUEN
Le 20/11/2020 à 11:06:13

Réchauffement climatique : le gouvernement a trois mois pour se justifier
https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/articles/235860-rechauffement-climatique-le-gouvernement-a-trois-mois-pour-montrer-qu-il-respect  

Alain UGUEN
Le 20/11/2020 à 09:43:44

Bravo aux Amis de la Terre ! Mais où vont nos dirigeants où nous conduisent ils? Faîtes ce que je dis mais pas ce que je fais ! Donc ce budget sacrifié ne pourra évidemment pas être consacré aux énergies renouvelables! A quand les centrales solaires en France et l'arrêt du nucléaire ? Et le respect de l'accord de Paris? Nous sommes impatients de voir le vent tourné vers ces vrais engagements. Merci à nos Elus de devenir crédibles aux yeux de la population qui doit être respectée et non pas "bernee" !

MARIE-PAULE PERRICHON
Le 14/11/2020 à 15:53:50

Bonjour, je rejoins le groupe Grève de la faim pour le climat la santé et le travail en soutien a Pierre Larrouturou. Gréve de la faim J1. J irais jusqu où je pourrai en me respectant.

NADINE PROUILHAC
Le 14/11/2020 à 11:02:09

Climat : le timide plan de la France pour diminuer son soutien aux énergies fossiles
Le gouvernement entend cesser de soutenir des projets pétroliers à l’étranger en 2025, et des projets gaziers en 2035. Les ONG dénoncent des dates trop lointaines pour être crédibles.
https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/11/12/climat-le-timide-plan-de-la-france-pour-diminuer-son-soutien-aux-energies-fossiles_6059466_3234.html  

Alain UGUEN
Le 13/11/2020 à 10:21:57

Les banques de développement s’engagent pour le climat, mais pas d’élimination progressive des combustibles fossiles

Les banques publiques de développement du monde se sont engagées le 11 novembre à aligner leur puissance financière sur l’Accord de Paris sur le changement climatique, mais ont évité un engagement ferme de supprimer progressivement le financement des combustibles fossiles.

En tant que source de financement pour de nombreux grands projets d’infrastructure, y compris dans le secteur de l’énergie, les institutions publiques de développement sont essentielles aux efforts visant à détourner le financement des combustibles fossiles vers des projets à faible émission de carbone.

https://www.zegreenweb.com/2020/11/12/les-banques-de-developpement-sengagent-pour-le-climat-mais-pas-delimination-progressive-des-combustibles-fossiles/  

Alain UGUEN
Le 13/11/2020 à 10:20:51

Bien sûr que je suis pour à 200%, mais pas avec ce gouvernement ! Attendons 18 mois et l' élection de MELENCHON ...

Jean Paul MAIS
Le 12/11/2020 à 23:02:47

Ni fossiles ni fissiles !

Bibi
Le 12/11/2020 à 20:02:26

toutes les aides doivent aller à la recherche de solutions pour garantir la protection du vivant et cette proposition en est l'exacte contraire

michel armagnat
Le 12/11/2020 à 17:26:03

Et chaque citoyen peut également cesser de financer ces énergies fossiles en choisissant pour son compte-courant et pour son épargne une banque éthique.
L'argent des comptes-courants représenterait 500 milliards d'euros en France et l'épargne 5.000 milliards.
Un moyen d'action conséquent...

Gilles Le Louedec
Le 12/11/2020 à 17:23:38

On ne connaît hélas que trop les "engagements écologiques" de ce gouvernement. Je ne me fais aucune illusion mais je signe quand même afin qu'ils comprennent, là haut sur leu Olympe, que les citoyens en ont assez de leur soumission aux lobbies et qu'ils en tireront la conséquence au moment des élections.

Roland COMTE
Le 12/11/2020 à 12:35:08

Plutôt que de nous projeter dans un inconnu dangereux, le gouvernement devrait s’atteler à construire, dès aujourd’hui, une stratégie de transition juste pour les salariés des secteurs extractivistes et une feuille de route pour le développement des énergies renouvelables.
C'est ce que je souhaite et vous demande de porter en mon nom.

Jean-Marc Jugand
Le 11/11/2020 à 17:50:56

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