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Bilan de la cyberaction : M. Le Maire doit s'engager clairement pour un verdissement de la PAC

Les problèmes environnementaux liés à certaines pratiques agricoles ont été mis en avant par des scientifiques et agriculteurs dès les années 1970. En 1983 le ministre de l'environnement avait même décrété "l'urgence pour l'eau en Bretagne".
Bruno Le Maire voudrait nous convaincre que son ministère a pris le virage de l'environnement…

Bilan de la cyberaction :

5386 participants

Présentation de la cyberaction :

Manque de cohérence et de volonté politique. Si le Grenelle a marqué une certaine avancée, les propos du président de la République : "Je voudrais dire un mot de toutes ces questions d'environnement. Parce que là aussi ça commence à bien faire", ont amorcé un renoncement qui s'est concrétisé en août par l'annonce d'un "moratoire sur les obligations environnementales". Le chef de l'Etat ne devrait donc pas s'offusquer de l'effet boomerang de sa petite phrase et des réactions de plus en plus vives qui se font jour.


Bruno Le Maire souligne les progrès en s'appuyant sur quelques pratiques qu'il juge exemplaires. Premier exemple : les pratiques rotationnelles qui permettent de réduire les pesticides et la pollution des nappes phréatiques.
Pourquoi le gouvernement autorise-t-il alors des dérogations permettant des monocultures aux effets particulièrement néfastes sur les sols et la ressource en eau ?
Pourquoi le gouvernement vient-il de reculer, face aux pressions des maïsiculteurs irrigants, dans l'application d'une disposition de la loi sur l'eau visant à réduire les prélèvements dans les zones à fort stress hydrique ? Pourquoi a-t-il en 2010 accordé soixante-quatorze dérogations pour des usages normalement interdits de pesticides ?


Deuxième exemple : la gestion des effluents d'élevage par la méthanisation. Si la méthanisation peut être en soi une technique d'avenir, elle ne résout en rien le problème de l'épandage d'azote et donc des nitrates à l'origine de trente ans d'algues vertes. Seule une réduction de la taille des élevages permettra de réduire à la source les excédents d'azote.
C'est ce que vient de conclure le comité scientifique chargé de l'évaluation du plan gouvernemental "algues vertes" : les experts prônent une "forte réduction de la pression agricole" pour avoir une chance d'atteindre les objectifs européens 2027 de bon état des cours d'eau. Or plus de 800 millions d'euros de fonds publics ont déjà été investis pour réduire les taux de nitrates en Bretagne mais sans grand résultat car dans le même temps l'Etat laissait s'accroître la taille des élevages.

Et le gouvernement s'obstine : il vient de prendre un décret facilitant la concentration des élevages sans enquête publique ni étude d'impacts ! Le contribuable appréciera.


En refusant de distinguer entre les modes de production durables et ceux qui ne le sont pas, en minimisant des réalités que chacun peut constater chaque été, Bruno Le Maire se comporte davantage en ministre de certains agriculteurs qu'en ministre d'une agriculture durable, d'une alimentation saine et d'un aménagement équilibré du territoire.
Il occulte ainsi le vrai scandale, pourtant dénoncé plusieurs fois par la Cour des comptes, que constituent d'une part "l'insuffisante volonté de l'Etat de remettre en cause des pratiques agricoles marquées parl'encouragement au productivisme" et, d'autre part, l'immense gaspillage des deniers publics utilisés à la fois pour soutenir des systèmes de production à forts impacts sur les ressources naturelles (pollution de l'eau…) et pour remédier à ces mêmes impacts (dépollution…).
Selon la Cour des comptes, en matière agricole, le principe du pollueur payé prévaut sur celui du pollueur payeur. Ce n'est pas le ministre mais le contribuable qui devrait être partagé entre colère et indignation !


La bonne intelligence prônée par le ministre, c'est de reconnaître les excès de l'agriculture industrielle et non de la défendre coûte que coûte lorsqu'elle est à juste titre pointée du doigt. N'oublions pas que beaucoup d'agriculteurs y ont perdu leur emploi et parfois leur santé.


DES ENGAGEMENTS CLAIRS ATTENDUS EN VUE DE LA RÉFORME DE LA PAC
Au niveau européen, Bruno Le Maire apporte un soutien ambigu au verdissement de la politique agricole commune (PAC). Il prône une harmonisation des normes environnementales entre les vingt-sept ce qui est utile, mais insuffisant.
En effet cela n'induit pas une redistribution des aides – aujourd'hui injustement réparties – en faveur de l'agriculture durable. Si notre ministre veut réconcilier agriculture et environnement, nous attendons qu'il revalorise dès cette année, dans le cadre du bilan de santé de la PAC, les soutiens à l'élevage extensif, la culture durable des légumineuses et l'agriculture biologique.


Et, pour l'après 2013, nous attendons qu'il s'engage clairement en faveur d'un verdissement qui soutienne les systèmes de production les plus vertueux pour l'environnement et l'emploi (agriculture biologique, systèmes herbagers, grandes cultures intégrées …). Si la France est vraiment en faveur d'un verdisement de la PAC, qu'elle se prononce pour un "paiement vert" obligatoire au niveau de l'exploitation et représentant au moins 50 % des paiements directs. Seule une incitation forte permettra à l'agriculture française de basculer vers des systèmes de production durables.


Pour mieux saisir les possibilités d'un tel basculement, le ministre devrait aller à la rencontre des dizaines de milliers d'agriculteurs qui ont choisi de faire de ces "contraintes environnementales" un atout au service de leur revenu.
Nous soutenons avec force ces paysans qui ont su s'extraire d'une folle course à l'intensification imposée par un système agro-industriel fortement intégré dont les agriculteurs ne constituent qu'une variable d'ajustement.


La PAC, injuste, asociale et non écologique, connaît une grave crise de légitimité. Il faut arrêter de gaspiller l'argent public dans un modèle agricole industriel à bout de souffle. Il faut investir dans les agricultures d'avenir, riches en emplois et socle de la vitalité de nos territoires.

C'est pour cela que nous soutenons une PAC forte, à budget constant, avec un soutien au revenu plafonné à l'actif et à l'exploitation, à même de réconcilier agriculture, emploi, environnement et santé. Mais si le verdissement annoncé s'avérait trompeur, notre responsabilité à l'égard des contribuables et de la société civile nous obligerait à retirer notre soutien. La France, acteur-clef dans cette négociation, a une lourde responsabilité.


Signé par un collectif d'associations agricoles, environnementales et de santé environnementale :



Nous vous proposons d'interpeller le Ministre de l'Agriculture en appui à cette déclaration inter-associative

Alain Uguen Association Cyber @cteurs

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le Ministre,

La PAC, injuste, asociale et non écologique, connaît une grave crise de légitimité.
Il faut arrêter de gaspiller l'argent public dans un modèle agricole industriel à bout de souffle.
Il faut investir dans les agricultures d'avenir, riches en emplois et socle de la vitalité de nos territoires.

C'est pour cela que nous soutenons une PAC forte, à budget constant, avec un soutien au revenu plafonné à l'actif et à l'exploitation, à même de réconcilier agriculture, emploi, environnement et santé.
Mais si le verdissement annoncé s'avérait trompeur, notre responsabilité à l'égard des contribuables et de la société civile nous obligerait à retirer notre soutien. La France, acteur-clef dans cette négociation, a une lourde responsabilité.


Je vous prie de recevoir, monsieur le Ministre, l’expression de ma mobilisation citoyenne.

 

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16 commentaires

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vive les amap! (tout dépends des quelles vous allez me dire) qui prônent un soutien à l'agriculture locale et "saine" (pas d'agriculture intensive mais une rotation des terres, utilisé depuis tellement longtemps par nos ancêtres).
Je vous conseil de voir/acheter un film sur l'agriculture d'aujourd'hui (et dont on voit bien le problème de la pac productiviste) qui est "small is beautiful". Plus d'info sur lesfilms.info je crois.

Florent
Le 14/04/2011 à 23:32:34

L'idéal de cette agriculture "alternative" es
t qu'elle nécessite bien moins de travail méc
anisé,motorisé,et qu'elle fait la part belle
au "génie de la Nature".On ne laboure plus,on
ne traite plus:soit 4 opérations avec outils
tractés en moins!C'est autant de gas-oil en -
à consommer;autant de pesticides et d'engrais
chimiques à répandre en - ...Et basta,les cul
tures à partir de semences hybrides F1 ou F2!Même avec 40ha,on peut bien vivre,vraiment!

stoppeur
Le 08/04/2011 à 11:13:06

Par ailleurs,et à l'opposé de ce qui se passe
et se trame au Ministère de l'Agriculture,l'
agriculture française et les campagnes frança
ises ont un bel avenir devant elles!Demain,le
s paysans produiront et vendront,transformero
nt ce qu'ils auront produit...C'est la seule issue envisageable pour sauver l'agriculture
française(+ européenne);et permettre aux cam
pagnes de retrouver une prospérité perdue par
la faute de la PAC et du productivisme...

stoppeur
Le 08/04/2011 à 11:00:42

Evidemment,l'agriculture productiviste est un
e hérésie!D'autant qu'il existe des méthodes,
des techniques efficaces,déjà bien rompues en
exploitation,qui font l'immense bonheur des
paysans qui les ont adoptées...Suite à des re
cherches menées par un couple d'ingénieurs a
gronomes(du nom de BOURGUIGNON)opérant à l'IN
RA de Bourgogne(mais oui!),il en est sorti 1
reportage("Voyage entre sol et terre"),diffu
sé il y a peu sur FR2 ou FR3.A voir!!!!

stoppeur
Le 08/04/2011 à 10:48:53

C'est évident:l'agriculture productiviste est
une pure hérésie!Elle détruit la Planète et
les hommes,les femmes,les familles qui en vi
vent...Avez-vous une idée de l'état de l'Etat
du Pendjab,en Inde,suite à 20 ans d'agricultu
re intensive?les terres sont "brûlées",totale
ment incultes!Les paysans s'y suicident en in
gérant leurs pesticides!Il faut interdire:les
cultures + élevages industriels,en batterie;
les cultures telles que maïs,tournesol,colza

stoppeur
Le 08/04/2011 à 10:35:11

Et encore , je trouve que le ton de cette revendication est très doux .

halais
Le 05/04/2011 à 12:06:45

Le gouvernement applique la méthode(Friedmann et ses chicagos boys,qui décime un pays en utilisant l'ultra liberalisme en divisant les Citoyens pour enrichir une OLIGARCHIE .(documentaire du 29/03/11 très interessant sur canal plus(LA STRATEGIE DU CHOC) qui explique comment les dirigeants profitent de la crise pour mettre en place des politiques ultra libérales et l'appauvrissement des pays et le pourquoi des guerres qui déciment le peuple et enrichissent une minorité avec l'aval de l'Amérique!!!!!!

dakalija
Le 05/04/2011 à 11:12:59

Il ne faut pas rêver.
Le ministre de l'agriculture (et de la pêche),
ménage ses electeurs (majoritairement à la FNSEA) et la balance commerciale de la France. Par la même, il passe de la pommade aux industriel de l'agroalimentaire,de la chimie et autorise le CRUISER 350. Comme son prédécesseur le Cruiser.
Il n'y a rien à attendre de lui, c'est un polyticien.

BOB L'éponge
Le 02/04/2011 à 00:09:18

bon courage. il ne faut pas laisser tomber cette action surtout dans ce contexte international qui compromet gravement notre environnement. il y a les lobbys, je le sais, mais il y a aussi des citoyen(nes) déterminé(e)s et nombreux dont le souci n'est pas seulement de consommer n'importe quoi et en quantité.

yag
Le 01/04/2011 à 19:03:48

Je nous souhaite bon courage, mais face aux lobies du fric et à la corruption des politiques, il n'y a qu'une solution...
comme en Tunisie!!!!
SARKO DEGAGE

Abalacalotte
Le 01/04/2011 à 17:12:37

les plages d'algues vertes, les porcs élevés sans jamais voir un pré, des pescticides en pagaille c'est peut-être ça le grenelle de l'environnement

pierrot
Le 01/04/2011 à 15:49:33

Aujourd'hui, débute la semaine du développement durable.Hélas ce sont les mauvaises pratiques qui durent et le bon sens a bien du mal à se faire entendre.Il faut que la société civile se bouge et proteste.Chacun de nous a droit au chapitre,si nous sommes encore en démocratie...

Thézie
Le 01/04/2011 à 15:41:33

Ci dessous, ma contribution au débat de 2010 sur la réforme de la PAC.

Pourquoi avons-nous besoin d'une politique agricole commune?
Nous n'avons pas besoin d'une politique agricole commune telle qu'elle existe aujourd'hui. Dans une optique de sortie définitive des états membres de la mondialisation, on pourra cependant s'appuyer dans un premier temps sur les administrations européennes et de tous les gens compétents qui y travaille pour reconstruire ce qu'elles ont contribué à déconstruire pendant ces 3 dernières décennies.

Qu'est-ce que les citoyens attendent de l'agriculture?
Les citoyens attendent de l'agriculture : - qu'elle les nourrisse sainement (interdiction de l'usage des pesticides de synthèse, développement de l'agrobiologie) - que l'agriculture d'aujourd'hui ne compromette pas celle de demain, donc qu'elle nourrisse aussi leurs enfants (interdiction de l'usage des engrais chimiques qui entrainent la perte de matière organique, la mort du sol, sa déstructuration et son infertilité) - qu'elle les nourrisse localement (abandon de la prédation sur les terres agricoles d'autres pays, relocalisation des circuits production/consommation. Interdiction d'importer des denrées qui sont produites par ailleurs sur le territoire. Fermeture progressive des grandes surfaces) - qu'elle pollue moins (recherche de solutions pour déconnecter l'agriculture des hydrocarbures fossiles telles que : redéveloppement de la traction animale, développement de systèmes de cultures autonomes en azote via les légumineuses, généralisation des rotations longues). - qu'elle maintienne la biodiversité (destruction du catalogue européen des semences, annulation des brevets sur le vivant, maintien et réimplantation de haies).

Pourquoi réformer la PAC?
- Pour qu'elle permette aux paysans de vivre sans aides publiques (en n'étant plus en concurrence avec l'agriculture d'autres continents où les coûts de productions sont inférieurs : arrêt du libre-échange : ça serait autant d'impôts en moins (42% des dépenses de l'Union Européenne) que dont les citoyens pourraient disposer pour acheter les aliments à leur vrai prix. Fonctionnement du commerce international sur le modèle des vases communicants (droit de vendre à l'extérieur qu'une fois que la demande intérieure est pourvue) avec certaines limites (que les produits vendus à l'export ne concurrencent pas un secteur agricole existant ou qui pourrait être développé dans l'autre pays). - Pour qu'elle permette à une population rurale nombreuse de vivre (arrêt des aides pac correlées à la surface, remplacement par des aides liées au nombre d'actifs, remise en place provisoire de quotas qui deviendront obsolètes d'eux même lorsque les marchés agricoles seront relocalisés). - Pour qu'elle arrête de subventionner l'agriculture chimique (c.f. MAE réductions de dose (surtout quand les doses de références sont revues à la hausse comme en 2009 dans le 67) et DPU maïs, etc...)

De quoi avons-nous besoin pour la PAC de demain?
Qu'elle prenne en compte les intérêts des paysans et des citoyens et pas ceux des firmes phytosanitaires, semencières et agroalimentaires. Qu'elle prépare le monde agricole à nourrir les citoyens sans pétrole ni uranium dans 20 ou 30 ans quand le coût de ces énergies sera hors de portée des agriculteurs. Qu'elle permette de former les futurs travailleurs agricoles qui remplaceront alors massivement les machines.

Tchub
Le 01/04/2011 à 14:18:16

Nous avons la chance de vivre dans un pays agréable et diversifié.
Tous les pesticides et agriculture intensives détruisent notre terre et les hommes: il y a de plus en plus de cancers qui se développent du à ces produits.Vu mon métier j'ai vu beaucoup d'agriculteurs mourir à cause des produits qu'ils manipulaient.
Nous devons sauvegarder notre terre, pour nous et nos enfants.
Seule l'argent prime, mais une fois mort que reste t-il.
De vos bureaux de ministre, avec un brassage de beaucoup trop d'argent et beaucoup trop de pouvoir, alors que nous sommes "en démocratie" allez vous un jour vraiment réfléchir sainement?
Notre seul pouvoir en tant que citoyen est de voter, nous ne nous en priverons pas!

fripolin
Le 01/04/2011 à 11:06:04

Le Grenelle de l'environnement a été une supercherie bien orchestrée et les organisations environnementales et écologistes le savaient dès le départ. La question était de savoir que faire: était-ce mieux de dénoncer immédiatement ou, malgré tout, de participer en essayant de faire valoir tant bien que mal un point de vue non destructeur de l'environnement ? Tout militant honnête sait qu'il devra serrer des mains douteuse. C'est vrai, cela fait partie de la réalité. Mais dans le cas du Grenelle de l'environnement, la rouerie l'a emporté sur la politique à proprement parler. On peut défendre le point de vue que la situation écologique est bien pire après (et du fait du) Grenelle de l'environnement. Rappelons que les grands groupes industriels ont essentiellement produit les textes qu'a sortis le gouvernement et qu'il n'y en a en fait pas eu de concertation. Le résultat, c'est que les questions environnementales ont servi et servent à justifier de nouveaux pillages économiques et commerciaux.

Leo
Le 01/04/2011 à 10:56:58

Comme j'habite à la campagne et que mon terrain est limitrophe de champs, je "bénéficie" souvent des manoeuvres de mon voisin agriculteur, qui, lorsqu'il pulvérise, ne le fait pas toujours dans les règles (il y a du vent, par exemple) et de toutes façons il passe des produits peu souhaitables. Un agriculteur du village est mort d'une tumeur au cerveau, un autre voisin a eu un cancer des testicules...

Bernadette
Le 01/04/2011 à 10:34:13

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