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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Consultation publique Ours

Mise en ligne du 17/02/2017 au 09/03/2017

Le projet de volet « Ours brun » de la Stratégie Pyrénéenne de Valorisation de la biodiversité est soumis à la consultation du 15 février au 08 mars 2017.

Bilan de la cyberaction :

3607 participants

Présentation de la cyberaction :

Pourquoi un volet "Ours brun" dans la Stratégie Pyrénéenne de Valorisation de la Biodiversité (SPVB) ?
Les Pyrénées constituent un massif exceptionnel doté de richesses faunistique et floristique spécifiques à préserver et à gérer en concertation avec les acteurs nationaux et transfrontaliers. Ainsi, la Stratégie Pyrénéenne de Valorisation de la Biodiversité (SPVB) vise à intégrer la biodiversité dans le projet de développement du territoire pyrénéen. Dans cette optique, les pistes d’actions proposées tendent à associer trois dimensions : biodiversité, territoires ruraux et activités humaines à l’échelle du massif, ainsi qu’une approche internationale avec les autres pays concernés par le massif (Espagne et Andorre).

Cette stratégie intègre un volet sur l’Ours brun, espèce emblématique des Pyrénées et objet de multiples enjeux, qui a pour but de définir les actions propres à assurer la préservation de l’ours brun et de son habitat, en tenant compte des dimensions économiques, sociales et culturelles. La restauration et le maintien d’une population d’Ours brun dans les Pyrénées s’inscrivent dans une politique européenne de conservation de la biodiversité, ainsi que dans les engagements de l’État français à atteindre pour cette population, un état de conservation favorable.

Alors que depuis le début du siècle dernier la population d’ours ne cessait de régresser dans les Pyrénées, dernier territoire français accueillant l’espèce, la France a mis en place ces vingt dernières années plusieurs programmes visant à la reconstitution d’une population viable d’Ours brun. Les premières réintroductions réalisées en 1996, 1997 puis celles de 2006 ont permis de vérifier que les conditions naturelles d’habitats favorables requises pour l’accueil de la population d’ours sur les Pyrénées centrales, étaient bien réunies, au-delà de l’existence de ces conditions sur le noyau occidental.

En outre, la population d’ours des Pyrénées reste fragile, l’UICN l’ayant classée en 2009 parmi les espèces en danger critique d’extinction sur le territoire national. La fragilité de la population est liée d’une part à sa faiblesse numérique et à sa forte consanguinité, d’autre part à la présence de plusieurs noyaux sur les Pyrénées qui ne sont pas en contact compte-tenu de leur éloignement géographique.

Le projet de volet Ours brun a été élaboré à partir des contributions des groupes de travail du comité SPVB sur le maintien de la population et la cohabitation avec les activités humaines, des derniers travaux scientifiques connus, en tenant compte de l’acceptation sociale pour cette espèce, des réactions des membres du comité de massif et de l’avis du Conseil National de Protection de la Nature.

Quels enjeux pour ce projet de volet "Ours brun" ?
Il est défini pour une période de dix ans (2017-2027) et répond aux enjeux liés à l’amélioration de l’état de conservation de la population ursine, l’accompagnement des activités humaines en présence d’ours et la patrimonialisation de l’espèce en tant qu’élément parmi d’autres du patrimoine naturel et culturel pyrénéen.

Ces enjeux nécessitent :



Pour prendre connaissance du projet : spvb voletours 20170215 (format pdf - 1.3 Mo - 15/02/2017)
http://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/spvb_voletours-20170215.pdf  

Mme la Ministre : Pas de Plan Ours sans ours !
Communiqué de presse CAP – Ours - le 16 Février 2017
http://www.ferus.fr/actualite/actualite-ferus/mme-la-ministre-pas-de-plan-ours-sans-ours  

La lettre qui a été envoyée :


Madame, Monsieur,

Très attaché à la protection de l’ours brun dans les Pyrénées, je demande qu’un vrai programme de restauration soit intégré au Volet Ours 2017-2027 de la SPVB, comprenant à minima le lâcher rapide de deux ourses en Pyrénées Occidentales, puis de deux autres en Pyrénées Centrales.

 

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51 commentaires

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Je suis vraiment contre l'introduction de ces ourses.

Lebercail
Le 02/07/2018 à 14:27:37

les hommes n'ont pas a se rendre maitres de toutes les populations animales qu'ils arretent de se prendre pour dieu

HOLT ANNE MARIE
Le 14/03/2017 à 18:30:24

Quand un animal disparaît d'une région, c'est qu'il n'a plus les conditions nécessaires à sa vie. Si c'est réintroduire les ours, pour ensuite les abandonner aux balles des chasseurs ou autres meurtres, ce n'est pas la peine. Tâchons plutôt de préserver les quelques richesses sauvages que nous avons encore........

mm82
Le 08/03/2017 à 19:09:36

Le vrai drame en France,c'est la désertification des campagnes;et si le "repeuplement" des campagnes atteint la même ferveur de développement des stations de sports d'hiver,nos montagnes et tout l'environnement qui les caractérise devraient redevenir attractives...! C'est évident qu'il faut protéger les troupeaux,mais il faudrait aussi s'en donner les moyens... D'ailleurs, on n'y comprend rien: en Ardèche + dans les régions où on cultive beaucoup les céréales,il y a bcp de sangliers qui saccagent... Et pour ce qui concerne les pratiques de chasse du loup,il va d'abord là où il trouve l'abondance,là où l'homme se déplace... Hélas, dans les campagnes,il y a de moins en moins de chasseurs... Bref,il y a tout un écosystème à réimplanter, l'Homme au milieu; et ça devrait créer des vocations, des emplois, non...?

stoppeur
Le 08/03/2017 à 16:17:50

Quand on voit ce qu'il se passe avec le loup, on a des doutes. S'il faut par la suite supprimer quelques ours parce qu'"on" les jugera trop nombreux ou dangereux, c'est même pas la peine. A vouloir tout gérer l'humain détruit l'écosystème et continue à le détruire.

un anonyme
Le 07/03/2017 à 19:38:51

Bonjour,
J'ai du mal à signer pour une ré-introduction (ou restauration) de l'ours dans une région où les dernières qui ont eu lieu le furent au détriment d'animaux "arrachés" à leur cadre de vie pour être ensuite "torturés", pourchassés et tués. Je m'en sens un peu responsable ayant été un défenseur de ce genre d'action. J'ai de la peine encore.
Je pense que l'ours fera comme le loup (ou d'autres), il se réappropriera un territoire si les Humains acceptent d'être moins "possesseurs" de cette planète.
Louis

Louis LEAU
Le 02/03/2017 à 16:16:36

Je suis berger en zone de présence de l'ours dans la vallée d'Aspe en Béarn et suis très attaché à la protection de l'ours brun dans les Pyrénées et à la cohabitation avec le pastoralisme: c'est pourquoi je demande qu'un vrai programme de restauration soit intégré au Volet Ours 2017-2027 de la SPVB, comprenant a minima le lâcher rapide de 2 ourses en Pyrénées Occidentales.
Je considère que l'ours brun est un élément important du patrimoine naturel pyrénéen et que personnellement la cohabitation avec cet animal discret ne m'a pas posé de problème.

un anonyme
Le 28/02/2017 à 21:17:07

Bravo Goupil, qui traduit bien mon avis ! Nous sommes des apprentis-sorciers, sans connaissances, et sans intelligence, on se détruit nous-mêmes, sans nous en apercevoir, le réveil va être douloureux pour les "survivants" et le peu qui élève la voix, on les fait taire ! la situation est entre les mains d'incapables, d'ignares et d'ignorants sur la nature ... il serait bien de faire un résumé de nos connaissances afin d'éviter les erreurs, mais le syndrome du pouvoir aveugle les élus !...

Geneviève KILBURG
Le 26/02/2017 à 13:51:26

Il est bon, il est sain pour la démocratie qu’une association comme « cyber@cteurs » donne la possibilité à des avis divergents de s’exprimer. Mais il est consternant au pays de Descartes, de lire certains commentaires. La répétition d’affabulations, d’affirmations péremptoires, d’arguments sans fondement, de contre-vérités, de mensonges délibérés n’en fait pas des vérités incontestables et ne sert ni le débat démocratique ni la Raison. Non le loup n’a pas été « réintroduit » ! Non le requin n’est ni « féroce » ni « cruel » ! Non l’ours slovène n’est pas si « différent » de celui que nos ancêtres ont exterminé dans les Pyrénées uniquement parce qu’ils en tiraient profit (trophée de chasse, vente de sa fourrure et de sa viande, animal de « cirque ») ! Non le renard n’est pas « nuisible » ! Non le vautour n’est pas un « rapace » ! Toutes les études scientifiques montrent que là où l’homme a voulu « réguler » les espèces et imposer sa loi de super-prédateur, il a provoqué des dysfonctionnements et des déséquilibres qui se sont retournés contre lui. Mais « ils ont des yeux et ils ne voient pas ; ils ont des oreilles et ils n’entendent pas » a dit l’Ecclésiaste il y a plus de 2000 ans – c’est hélas toujours vrai !
Goupil – 72 ans
Fils, petit-fils, arrière-petit-fils, arrière-arrière-petit-fils et sans doute au-delà, de paysans et d’éleveurs ; habitant une commune rurale à majorité paysanne

Goupil
Le 24/02/2017 à 11:27:56

N'habitant pas les pyrénées je ne peux pas m'engager sur une telle décision l'ours doit rester un animal sauvage et à se titre il a une certaine dangerosité qu'il faut prendre en compte et adapternos façons de vivre ensemble. Pour moi c'est à ceux qui vivent sur ce territoire d'accepter ou de refuser.

Christophe Crouzet
Le 24/02/2017 à 09:18:10

Il ne faut jamais vendre la peau de l'ours avant que de l'avoir tué.....

Michel
Le 24/02/2017 à 00:08:00

ib 78
connait la biodiversité ?
j’en doute l'ours le lynx le loup sont emblématiques ,après c'est le tour de qui le renard,le blaireau ....??? il faut un peu réfléchir!l'homme ne peut vivre dans une nature
nettoyée stérile ,il fait complétement partie de cette nature

Alain Blondelot
Le 23/02/2017 à 19:09:24

Avec 60% de leurs revenus octroyés par la PAC plus les indemnités en cas de prédation,sans compter les autres avantages fiscaux, les éleveurs en zone de montagne ne sont vraiment à plaindre.Les chasseurs eux, commencent à comprendre que la présence de l'ours est incontournable ou plutôt contournable par une pratique raisonnée de cette activité et que de toute manière, ils ne pourront pas s'y opposer durablement.

jean-pierre delorme
Le 23/02/2017 à 18:42:14

Madame, Monsieur,

En tant que Pyrénéen, naturaliste, et amoureux des Pyrénées, je suis particulièrement attaché à la protection de l’ours brun dans nos chères montagnes.
Aussi, je demande qu’un véritable programme de restauration soit intégré au Volet Ours 2017-2027 de la SPVB, comprenant à minima le lâcher rapide de deux ourses en Pyrénées Occidentales, puis de deux autres en Pyrénées Centrales, afin de préserver la biodiversité dans ces vallées, où nous vivons au quotidien.
Ce souhait n’est en rien, comme on peut l’entendre trop souvent, un caprice de « bobo-écolo-urbain ». Les tergiversations politiques en tous genres n’ont que trop duré, tout comme la surmédiatisation d’une poignée d’individus aussi violents qu’ultra-minoritaires, dont je ne souhaite pas qu’ils parlent en mon nom où prétendent me représenter.
L’immense majorité des populations vivant dans nos vallées souhaite une population d’ours pérenne, renforçant notre image de « montagne vierge et sauvage » et promouvant ainsi un tourisme viable et durable dans nos territoires.

Cordialement

Stéphane GUICHEMER
65110 CAUTERETS

un anonyme
Le 23/02/2017 à 18:37:04

En parfait accord avec cette protection de la faune qui doit conserver les territoires de ses ancêtres !

MICHARD Pierre
Le 23/02/2017 à 18:12:58

100% pour une réintroduction

Roger Martin
Le 23/02/2017 à 18:01:54

originaire de la région Toulousaine et ayant soutenue l'introduction et la préservation des ours dans les Pyrénées j'adhère a votre démarche merci a bientôt

un anonyme
Le 23/02/2017 à 16:29:05

Avec 60% de leurs revenus octroyés par la PAC plus les indemnités en cas de prédation,sans compter les autres avantages fiscaux, les éleveurs en zone de montagne ne sont vraiment à plaindre.Les chasseurs eux, commencent à comprendre que la présence de l'ours est incontournable ou plutôt contournable par une pratique raisonnée de cette activité et que de toute manière, ils ne pourront pas s'y opposer durablement.

jean-pierre delorme
Le 23/02/2017 à 14:00:47

Tout à fait d'accord à condition que les ours ne soient pas tirés comme des lapins!!!!!!!et que les peines encourues par les chasseurs soient vraiment dissuassives!!!!!!!

BOREL ANNE
Le 23/02/2017 à 11:53:20

A 2 mn et 30 s de l'apocalypse ( calendrier scientifiques ) pour partie de notre part, laissons vivre nos amis de notre nature du vivant et non vivants.
Vivant = fait du même matériel atomique diversifié

Edmond Dobryk
Le 23/02/2017 à 10:40:52

Je suis ariégeois et je suis pour que l’opération de réintroduction de l'ours continue. Les Pyrénées sont vastes et n'appartiennent ni aux éleveurs de moutons qui n'occupent qu'une partie de ce territoire une partie de l’année, encore moins aux chasseurs qui terrorisent ceux qui osent s'aventurer en foret en période de chasse.

aldo09
Le 23/02/2017 à 08:26:01

Merci de bien vouloir faire en sorte que les ours puissent vivre dans les Pyrénées, cohabiter avec la race humaine et être définitivement protégés des abus de la chasse et du braconnage.

Anne-Chantal Teste Pauwels Anne-Chantal
Le 23/02/2017 à 08:20:32

i_l faudra que ça fasse comme les requins a la réunion pour arreter ces conneries de vouloir réintroduire les ours et les loups ?

un anonyme
Le 23/02/2017 à 08:07:50

les réintroductions ne servent jamais à rien ! vceoui aux lâchers d'ours slovènes , cela a très bien marché pour les vautours ,alors oui pour les ours...

Monique Boeuf
Le 22/02/2017 à 21:41:06

J'adore le ours depuis que je suis tout petit.Adulte, je n'ai pas changé.Mais je doute des possibilités de sa survie dans un écosystème qui n'est plus adapter à ses besoins et aux antagonismes meurtriers qu'il devra affronter.

pierre CAPRON
Le 22/02/2017 à 18:21:32

Il faut surtout sensibiliser les habitants de et leur expliquer comment ne pas craindre la présence des ours quelle attitude adopter en leur présence, comment concilier la cohabitation avec eux... Réintroduire des ourses pour les retrouver blessées avec plusieurs balles dans le corps, ce n'est pas la peine...

un anonyme
Le 22/02/2017 à 17:46:26

Quel intérêt d'introduire des ours Slovènes dans les Pyrénées ? Ce n'est pas leur habitat naturel et le changement les stresse forcément. Et ils seront une proie rêvée pour les chasseurs. Le dernier ours Pyrénéen est mort. C'est du passé. Il y a d'autres espèces à protéger en urgence, les abeilles, par exemple. Je ne signerai donc pas.

SYLVIE DELAITRE-JARCZYK
Le 22/02/2017 à 16:39:40

Comme d'autres ici j'ai envie que la Nature soit présente, mais réintroduire des "cibles vivantes", et en si petit nombre, pour quoi faire? Essayons déjà de protéger les lynx et les loups qui ont des populations viables. Donc pour une fois je ne signerai pas. Mais c'est une proposition qui doit être débattue (c'est compliqué de résumer sur un commentaire! )

Ariane
Le 22/02/2017 à 15:27:47

Toute réintroduction est voué à l'échec si un espace libre de routes et d'intervention humaine n'est pas repecté.
L'Ours, certe emblématique, a-t-il encore sa place dans les Pyrénées françaises?

Françoise le Berre
Le 22/02/2017 à 15:09:33

j'aime les animaux, mais je ne signerai pas pour une réintroduction des ours dans les Pyrénées, car c'est livrer ces pauvres bêtes aux fusils. Combien sont morts déjà ?
La France est un pays soumis au lobby chasse et où l'animal n'a guère de protection (voir les loups également).
Plutôt que de réintroduire des animaux dans des régions où n'ayant plus de chance de pouvoir vivre, ils ont disparu, attachons -nous à mettre le paquet pour conserver la biodiversité que nous avons encore !

mm82
Le 22/02/2017 à 14:08:15



et Jadot-puisqu'on l'entend parfois- il en pense quoi des ours, des loups, des lynx des sangliers???
dans quel monde vit la politique écologique?

Mondo
Le 22/02/2017 à 11:11:34

La réintroduction de l'ours dans le massif des Pyrénées ... pour quoi faire ? Sachant que l'espèce "ours pyrénéen" a disparu (au grand soulagement de la population locale !), est-il raisonnable de vouloir à toute force le remplacer par une espèce slovène dont les caractéristiques sont très différentes ? Compte tenu du danger que représente ces ours (et je ne fais pas référence qu'aux troupeaux - brebis, vaches, chevaux ... etc. qui occupent le territoire) je trouve très léger et inconscient de militer pour cette réintroduction : renseignez-vous avant, ce n'est pas Winnie l'ourson et son pot de miel !

lb78
Le 22/02/2017 à 10:48:27

Rendons pleinement sa place à l'ours dans les Pyrénées.
L ' homme vole tout , et ne respecte pas les autres espèces

un anonyme
Le 22/02/2017 à 10:06:48

La France sera t'elle à la traîne de la préservation des espèces animales endémiques et du respect de la vie sauvage? J'ose espérer que nous serons à la hauteur!

MARC CASTAING
Le 21/02/2017 à 21:51:25

Rendons pleinement sa place à l'ours dans les Pyrénées.

Vincent Givord
Le 21/02/2017 à 21:34:05

ours loup lynx renard blaireau martre fouine :même combat contre les porteurs de pétoire!

pigef
Le 21/02/2017 à 17:45:18

quelques ours dans les montagnes sont à coup sur moins dangereux que tous les intrans déversés dans la nature avec le soutient des firmes agrochimiques

michel armagnat
Le 21/02/2017 à 16:30:23

Il y a plus de 30 ans que je me bats pour la présence des ours dans les Pyrénées et le respect de leur habitat. Avec le succès que l'on sait et la mort de la dernière ourse des Pyrénées, Canelle, tuée par un crétin tremblotant à qui le port d'un fusil aurait dû être interdit. Alors oui aux ours dans les Pyrénées, aux loups ibériques qui n'en sont pas très loin, au retour accepté des loups et des lynx. Seul l'homme est dangereux, torture et tue par sadisme.

Mireille
Le 21/02/2017 à 15:09:51

après on s'étonne du "full up" du ressentiment à l'égard des politiques: il n'y a pas de mystère!: quelques soient les endroits, les lieux,les spécificités etc
les politiques à quelques rares exceptions et dans tous les mouvements prouvent à l'envie leur ignorance, leur désinvolture/impénurie ...(on est en peine de qualificatifs); comment s'étonner dés lors de la tentation pour des solutions radicales/ extrêmes?
tout cela est navrant eu égard à la supériorité humaine dans le domaine de l'intelligence (avec l'ennemi):
sa nature: visage de la vie.

passionné du rateau
Le 21/02/2017 à 14:47:28

Non à la réintroduction d'ours dans les Pyrénées. Cela ne rime strictement à rien. Nous avons éradiqué cette espèce chez nous et il est aberrant de vouloir recréer artificiellement une présence à partir d'individus venus d'ailleurs. Dans ce cadre, ne conviendrait-il pas de réintroduire des éléphants qui, après avoir conquis les Pyrénées, pourraient s'attaquer aux Alpes et descendre sur Rome.

Assumons pour une fois nos actes: l'ours a été décimé. Il n'est pas possible de revenir en arrière et, à grands coups d'actes de contrition et de repentance il est impossible de le ressusciter ! Assumons !

Le Panda Bleu canard
Le 21/02/2017 à 13:27:25

Bonjour, par le passé des ré-introductions furent tentées. Des ourses ont été retirées de leur habitat (stress...) pour venir dans les Pyrénées au prétexte qu'il y en avait "avant". Elles furent "pourchassées", leurs petits aussi. Elles furent "empoisonnées", leurs petits aussi. Ce ne fut pas une réussite. Il n'y a plus d'ours ? Et bien tant pis. Laissons-les en paix là où ils se trouvent ! Je ne suis pas favorable à de telles actions. Je ne souhaite pas offrir à des destructeurs un gibier supplémentaire. Il y a d'autres combats à mener. La survie des abeilles par exemple.
Merci.

Leloul
Le 21/02/2017 à 12:03:01

Sur le océans en voilier aussi bien qu'à terre en voiture ou fourgon je n'ai été emmerdé que par les humains et qui plus est en voyant la merde qu'ils sont capable de semer partout. Je signe par ce qu'il y en a assez de cette engeance que nous sommes et qui se répand partout comme un vomis sans le moindre respect.

legolif
Le 21/02/2017 à 11:48:01

Tant que l'humain pensera que la terre lui appartient, il continuera à détruire tout ce qui le gène, il finira lui même par disparaitre... Danièle

danièle ison
Le 21/02/2017 à 11:26:18

Je ne suis pas convaincue de la nécessité de poursuivre un plan de restauration de la population d'ours dans les Pyrénées. Non pas que je n'aime pas ces animaux (j'ai pleuré à la mort de Cannelle), mais les habitats préservés des Pyrénées sont trop petits, trop morcelés, et pour qu'une population soit viable il faudrait beaucoup plus d'individus. Les opposants aux réintroductions sont trop virulents et entretiennent un climat détestable. Il est trop tard pour les ours vraiment pyrénéens puisque la dernière femelle native de ce massif a été tuée. Il y a encore beaucoup à faire pour préserver les paysages sauvages pyrénéens.

Ariane BERLAND
Le 21/02/2017 à 11:03:36

Ségo n'en aura jamais le courage politique. D'ailleurs n'est-elle pas anti-ours, anti-loup, anti-renard, anti-requin, ..., bref anti-biodiversité, anti-nature sauvage, ... ?!!!

Goupil
Le 21/02/2017 à 10:40:19

Des lions et des pumas...?

Ne faut-il pas attendre l'action du réchauffement ?

Nous avons dépassé 1,1°C et 400ppm.

Roger LUCE
Le 21/02/2017 à 10:21:49

Pour un véritable respect de la naturel permettons à l'ours des Pyrénées de retrouver son territoire et agissons ainsi également pour le loup, le lynx, le renard, le blaireau... Cessons d'être le prédateur de la vie animale!

MARC CASTAING
Le 20/02/2017 à 11:46:55

C'est l'opportunité pour la France de respecter sa part de l'engagement européen sur le respect de la biodiversité. Faisons donc en sorte que ce projet aboutisse et permettons à la population d'ours de s'implanter de façon durable sur les Pyrénées.

un anonyme
Le 18/02/2017 à 08:59:40

Les Ours et les autres animaux sauvages sont des éléments indispensables à la biodiversité globale.
Ce ne sont ps eux qui deviennent envahissants, c'est l'homme et son interminable expansion... Laissons des territoires aux animaux...

Bernard Pothier
Le 17/02/2017 à 15:35:10

et pourquoi pas des lions ? il y en a bien eu dans le passé
et des pumas ?

un anonyme
Le 17/02/2017 à 13:19:00

Les ours sont à mon avis bien moins dangereux que certains programmes qui empoisonnent notre belle montagne:
Réouverture possible de la mine de Salau par exemple.
Maryse Bouche

Maryse Bouche
Le 17/02/2017 à 12:16:22

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