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Comme viennent le rappeler les inondations qui ont une nouvelle fois marqué cet hiver, marais et tourbières ont un rôle essentiel alors que la FNSEA mène un lobbying intense pour réduire leur protection.
Cette cyberaction a également pour objectif d'interpeller vos élus. Vous pouvez ajouter vos élus en copie du message en cliquant sur modifier des éléments après avoir rempli vos coordonnées
Cyberaction mise en ligne le 02 février 2025
Proposée par Cyberacteurs
Elle sera envoyée à Présidente de la Commission du développement durable | à votre député
En juillet dernier, le gouvernement a opté pour une cartographie fondée sur… les sites Ramsar une convention internationale de préservation des zones humides. Ce label qui reconnaît la bonne protection et gestion d’un site est loin de couvrir l’ensemble des milieux humides hexagonaux. « 55 sites sont actuellement labellisés, comme la Camargue, le Marais poitevin, ou les étangs de la Champagne humide Soit 0,75 % de la surface agricole utile.
Dans un courrier adressé au ministère de l’Agriculture, une dizaine d’organisations dénonçaient cet été cette décision qui « mettrait à bas des décennies d’effort de préservation ». Plus de 50 % de ces espaces aqueux ont disparu en France depuis 1960, aggravant les sécheresses et inondations.
Toutes les études scientifiques en attestent, les zones humides sont à la fois l’écosystème qui a le plus été détruit et dégradé, en France comme ailleurs, et celui qui est le plus critique pour l’avenir de diverses activités humaines, en particulier l’agriculture, dans le contexte de la crise combinée du climat et de la biodiversité que nous connaissons. Toutes mesures préjudiciables à la préservation et la restauration de ces milieux, véritables « assurance-vie » pour les activités humaines, doivent donc être absolument évitées.
la BCAE2 (Bonne Condition Agricole et Environnementale n° 2) : « Protection des zones humides et des tourbières » est à nos yeux une véritable avancée susceptible de ralentir leur dégradation.
Or la décision interministérielle de mise en œuvre porte sur une portion très contestable de zones humides mettant à mal des décennies d’effort de préservation de ces zones et les démarches de concertation élaborées sur les territoires qui se sont portés et se portent candidat au label Ramsar.
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à Sandrine.LeFeur@assemblee-nationale.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : Défendons les zones humides
Message : Madame, Monsieur,
Dans la lutte contre les inondations ou les sécheresses, marais et tourbières ont un rôle essentiel alors qu'un lobbying intense cherche à réduire leur protection.
Je demande que la cartographie retenue des zones humides à prendre en compte pour la BCAE2 (Bonne Condition Agricole et Environnementale n° 2 )soit celle des zones humides identifiées dans les inventaires bancarisées dans le RPDZH (Réseau Partenarial des Données sur les Zones Humides),
Veuillez croire en ma vigilance sur vos décisions
Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :
Votre député.
Vous pouvez modifier ces infos (sujet, texte, elus...) en choisissant l'option "modifier des éléments" après avoir renseigné le formulaire "je signe sans compte"
Bien dit Nouvelleau !
Les agriculteurs croient en l'agro-business comme autrefois, et encore aujourd'hui, ils croient en l'Eglise et ses contes et légendes antiques du roman des esclavagistes suprémacistes. Ils veulent gagner beaucoup de l'argent et sont prêt à tout croire pour cela, quitte à détruire leurs sols et leur métier.
Quant aux zones humides, pour nombre d'entre eux se ne sont que des parcelles improductives qu'il faudrait assécher, puis de réclamer des bassins de rétentions d'eau, c'est débile !
Ainsi, plongé dans l'absurdité des croyances antiques ou modernes, ils se sont surendettés auprès de ceux qui souhaitent récupérer les terres perdues lors de la Révolution Française. Redevenu des métayers de l'industrie via les banquiers, ils obéissent aux calendriers établis par les chambres d'agriculture qui hébergent les représentants de l’agrobusiness.
Ils sont pieds et poings liés ! Cependant, quand ils ont encore le choix, ils préférerons tout de même l'espoir de gagner beaucoup de l'argent, plutôt que de réduire leur exploitation afin de produire des aliments de qualité. En gros, c'est un suicide sociétal qui, souvent, les amène à un suicide tout court...
C'est très triste !
Philippe BIAUX 05/02/2025 - 14:14:08
La FNSEA est « moderne ». Comment c’est venu ?
En connaissant l’histoire des paysans confrontés aux commerciaux vendeurs de pesticides cela nous éclairerait peut-être, et permettrait de trouver des solutions.
Dans un de ses livres, Maurice Mességué raconte comment les commerciaux venaient voir les paysans en leur disant (je ne me souviens pas des mots exacts, mais ça ressemble à peu près à ça) qu’ils n’étaient pas modernes (sous entendu que c’étaient des ringards, des nuls, etc…). Je trouve que cela se retrouve dans les insultes que la FNSEA a mis sur les locaux de France Nature Environnement comme : “imposteurs”, “Fédération nullissime”, … Voir : https://fne.asso.fr/actualites/ecolo-bashing-les-agressions-degradations-et-menaces-conduites-par-les-syndicats
Il se trouve que j’ai travaillé au commissariat au plan aux alentours de 1975, et je devais lister des études. Une de ces études parlaient du fait que de dire aux paysans que là où ils avaient été idiots, c’est d’accepter de croire les commerciaux qu’ils étaient idiots de ne pas être moderne, ce n’était pas évident.
En effet, les entreprises transnationales prônent l’agriculture industrielle dit « Moderne ». Et quand on est « Moderne » on supprime tout ce qui dérange. Et souvent ce qui est vivant dérange.
Les paysans ont été complètement dévalorisés par les commerciaux. Ils les ont crus et se sont convertis au modernisme. Maintenant quand des gens ont été mis plus bas que terre par des commerciaux (ce qui est extrêmement violent) et qui l’ont accepté, comment inverser la tendance, je ne sais pas. Mais à mon avis, ce n’est pas avec des raisonnements « rationnels » qu’on arrivera à quelque chose. Il faudrait peut-être une écoute. Je me demande quel professionnel serait le mieux à même de trouver les rapports qui débloquerait la situation avec la FNSEA.
Peut-être quelqu’un dans cette pétition, aurait-il une idée.
nouvelleau 04/02/2025 - 22:43:00
Les zones humides sont une assurance-vie dans un contexte de changement climatique", pourquoi faut-il prendre soin des tourbières ?
Journée Mondiale des Zones Humides Samedi 15 février 2025 : Les prairies humides des Proux Mézilles (89) // Samedi 22 février : Ouanne (89) https://yonnelautre.fr/spip.php?article13971
Remarque et suggestion concernant le choix du ou de la député : depuis juillet dernier le député de la circonscription est RN, il est hors de question que je m’adresse à lui, ce serait de toute façon inutile. Le seul choix que j’ai est de choisir arbitrairement un/une autre député du département, je suggère de donner la même possibilité que pour les sénateurs, pouvoir choisir plusieurs députés du département
Daniel ROLLAND 04/02/2025 - 14:16:56
Depuis longtemps outrée par le bétonnage à tout va.
J'ai vécu la destruction de magnifiques zones humides (et beaux arbres, bois, haies, friches utiles à flore et faune…) Tout ça pour construire des zones commerciales horribles, en plus au détriment des commerces de campagnes et centres villes (notamment au Sud de Metz...mais il y en a partout…).
Aussi, la maison familiale est située le long d'un chemin de halage, alors qu'une voix verte existe depuis quelques années sur l'autre rive, certains bien intentionnés envisagent une piste cyclable, sur cette rive du canal dont les berges s'écroulent depuis bien longtemps, faute d'entretien par la VNF.
Ce ne sont pas les péniches qui sont la cause de cette destruction des berges puisqu'il n'y en a plus qui passent, mais au zodiac employé (à grande vitesse d'où l'impact de fortes vagues) par le Club d'Aviron. Mais tout le monde ferme les yeux car il s'agit du sport, vitrine de la va ville et région.
Les maisons longeant ce canal seront bientôt en danger si rien n'est fait, mais ça n'intéresse personne.
Pourtant, la VNF vient draguer des algues qu'elle rejette sur le bord, et un tracteur vient arracher les roseaux et arbustes qui pourtant maintiennent la berge. C'est à n'y rien comprendre !!!
Suis en accord avec la plupart des commentaires des autres signataires, que je lis avec beaucoup d'intérêt.
Recensement et prise en compte des fossés, cours d'eau, marres… Bravo au commentaire de Frawald… entres autres !
Stop à cette bureaucratie qui nous mine et à son ignorance du terrain...
AGNES ANCELOT 03/02/2025 - 18:06:55
Moi aussi je propose de simplifier et diminuer l'argent (inutilement dépensé) :
Suppression des chambres d'agriculture
Suppression des aides aux syndicats agricoles
Suppression des subventions agricoles
Avec cela on va s'enrichir comme dirait le petit Trump
jms 03/02/2025 - 16:35:09
La simplification, une affaire de simplets !
Les zones humides incluent également les ruisseaux et fossés. Là encore, il y a litige. Certains cours d'eau ayant été escamotés des cartes suite à une nouvelle définition entrée en 2016 dans le code de l’environnement?: “Constitue un cours d’eau un écoulement d’eaux courantes dans un lit naturel à l’origine, alimenté par une source et présentant un débit suffisant la majeure partie de l’année.”
Qu'est-ce qu'un débit suffisant aux yeux du législateur ? Mystère...
Bien entendu, ce qui n'existe plus -- officiellement -- ne peut plus être protégé des épandages de pesticides, mais aussi des comblements ou des interventions intempestives et destructrices sur leurs berges et lits.
Une simplification des normes environnementales conduit forcément à une simplification des paysages, autrement dit à un appauvrissement écologique dont nous ne mesurons pas toutes les conséquences.
Frawald 03/02/2025 - 13:54:46
Les mesures compensatoires sont un réel fléau pour la survie des zones humides pourtant essentielles pour filtrer les pluies, régénérer les nappes et valoriser la biodiversité précieuse pour chaque territoire concerné.
Ces mesures servent trop souvent d'alibi pour des projets qui ne devraient être conçus qu'en fonction de leur existence justement car elles sont prioritaires et "en principe" protégées.
Les écosystèmes présents ne peuvent être "reconstitués" ailleurs car ils se sont constitués peu à peu dans des conditions particulières impossible à reproduire.
Anita VILLERS 03/02/2025 - 09:38:49
Les mesures compensatoires sont également un vrai fléau car elle ne remplacent jamais le rôle essentiel de la zone humide concernée que ce soit pour l'infiltration ou la biodiversité installée peu à peu et qui contribue à l'équilibre d'un territoire.
Trop souvent ces mesures servent d'alibi pour justifier un projet qui devrait tenir compte de la zone humide dès son élaboration c
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Les agriculteurs croient en l'agro-business comme autrefois, et encore aujourd'hui, ils croient en l'Eglise et ses contes et légendes antiques du roman des esclavagistes suprémacistes. Ils veulent gagner beaucoup de l'argent et sont prêt à tout croire pour cela, quitte à détruire leurs sols et leur métier.
Quant aux zones humides, pour nombre d'entre eux se ne sont que des parcelles improductives qu'il faudrait assécher, puis de réclamer des bassins de rétentions d'eau, c'est débile !
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Philippe BIAUX
05/02/2025 - 14:14:08