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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : vénerie sous terre du blaireau en Haute-Vienne

Mise en ligne du 14/03/2022 au 27/03/2022

Un projet d’arrêté est soumis à consultation du public à propos de l’autorisation de vénerie sous terre du blaireau instaurant une période complémentaire du 15 mai 2023 jusqu’à l’ouverture générale de la chasse 2022-2023.

Bilan de la cyberaction :

1975 participants

Consultation terminée

Présentation de la cyberaction :

La préfecture n’a publié aucune une note de présentation.
AVES France vous invite à vous opposer à ce projet d’arrêté jusqu’au 27 mars 2022.

Important : pour que votre avis soit pris en compte, ne faites pas de copié-collé mais rédigez un message personnalisé

La vénerie sous terre du blaireau pourra être pratiquée pour une période complémentaire allant du 15 mai 2023 jusqu’à l’ouverture générale de la chasse 2022-2023.
SUR LA FORME :
Aucune note de présentation n’a été publiée. Les contributeurs sont privés des informations qui aurait dû lui permettre de donner un avis éclairé.
La préfecture ne fait aucunement mention de l’espèce blaireau dans le paragraphe précisant le contexte et les objectifs de l’arrêté.

Or, l’Article 7 de la Charte de l’Environnement précise que : « Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d’accéder aux informations relatives à l’environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l’environnement. »

L’article 9 de la Convention prévoit des dérogations à la protection des espèces pour des motifs strictement définis, dont l’exercice récréatif de la chasse est exclu.
Concernant la contradiction entre l’article R-424.5 du Code de l’environnement et l’article L424.10 du même code, la DDT de l’Ardèche reconnait que l’autorisation de la période complémentaire est préjudiciable à la survie des jeunes:
«L’exercice de la vénerie sous terre du Blaireau s’exerçait précédemment pendant une période de chasse complémentaire ouverte du 15 mai à l’ouverture générale. Il apparaît que cette période de chasse peut porter un préjudice à des jeunes pas encore émancipés. Le projet d’arrêté prévoit de différer le début de cette période complémentaire au 1er août 2022. »
La préfecture de la Haute-Vienne doit tenir compte de cette notification sur la période de dépendance des jeunes, qui est valable pour tous les départements.
Je me permets de vous rappeler qu’au moment de la publication de l’arrêté final, l’article L 123-19-1 du code de l’environnement stipule qu’ « au plus tard à la date de la publication de la décision et pendant une durée minimale de trois mois, l’autorité administrative qui a pris la décision rend publics, par voie électronique, la synthèse des observations et propositions du public avec l’indication de celles dont il a été tenu compte, les observations et propositions déposées par voie électronique ainsi que, dans un document séparé, les motifs de la décision. » Je vous remercie donc de bien prévoir la publication d’une synthèse des avis qui vous ont été envoyés.
SUR LE FOND :
Certains départements n’autorisent plus la période complémentaire du blaireau, et notamment les départements des Alpes-de-Haute-Provence, des Hautes-Alpes, des Alpes-Maritimes, de l’Aude, des Bouches-du-Rhône (depuis 2016), de la Côte d’Or (depuis 2015), de l’Hérault (depuis 2014), du Var, du Vaucluse, des Vosges, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne.
En 2021 les administrations des départements de l’Ariège, Meurthe-et-Moselle, Moselle, Charente, Dordogne, Doubs, Loire, Morbihan, Pyrénées Orientales, Seine Maritime, Haute-Saône, Tarn, Yvelines et Yonne ne l’ont pas autorisé pour la première fois.
Les effectifs de blaireaux ainsi que les dégâts aux cultures agricoles imputés à cette espèce ne sont pas connus par l’administration.

L’article 9 de la Convention de Berne n’autorise les dérogations à l’interdiction de porter atteinte aux espèces protégées qu’« à condition qu’il n’existe pas une autre solution satisfaisante et que la dérogation ne nuise pas à la survie de la population concernée pour prévenir des dommages importants aux cultures, au bétail, aux forêts, aux pêcheries, aux eaux et aux autres formes de propriété ». Pour être légales, les dérogations à l’interdiction de porter atteinte aux blaireaux doivent être justifiées par trois conditions, devant être cumulativement vérifiées : la démonstration de dommages importants aux cultures notamment ; l’absence de solution alternative ; l’absence d’impact d’une telle mesure sur la survie de la population concernée. Ces trois conditions ont-elles été discutées lors de la Commission Départementale de la Chasse et de la Faune Sauvage ?

Cette pratique, appelée « vénerie sous terre », est particulièrement barbare et cruelle. Elle inflige de profondes souffrances aux animaux puisqu’elle consiste à acculer les blaireaux dans leur terrier à l’aide de chiens, puis, pendant plusieurs heures, à creuser afin de les saisir avec des pinces. Les animaux, dans un état de stress très important, sont ensuite achevés à la dague.
Les jeunes blaireaux de l’année ne sont pas entièrement sevrés et dépendent encore des adultes bien au delà du 15 mai. En effet, les périodes choisies pour ces périodes complémentaires de chasse du blaireau — sont en contradiction avec l’article L. 424-10 du Code de l’environnement, selon lequel « il est interdit de détruire (…) les portées ou petits de tous mammifères dont la chasse est autorisée ».
Les jeunes blaireaux ne sont absolument pas sevrés et forcément ne sont pas émancipés au moment des périodes complémentaires de chasse du blaireau comme l’a démontré l’étude « Contribution à l’étude de la reproduction des Blaireaux Eurasiens (Meles meles) et de la période de dépendance des blaireautins en France » réalisée par Virginie Boyaval, éthologue sur le blaireau : « […] au mois de mai, juin, juillet, les blaireaux juvéniles ne peuvent pas survivre sans leur mère. Ils sont sevrés à l’âge de 4 mois et commencent progressivement leur émancipation pour une durée de plusieurs mois s’étalant de 1 à 4 mois et ne peuvent donc être considérés comme étant émancipés qu’à partir de l’âge de 6 à 8 mois minimum. La destruction des blaireaux compromet le succès de reproduction de l’espèce. La destruction des mères allaitantes, laisse de nombreux orphelins incapables de survivre seul ». Par conséquent pour épargner la nouvelle génération, il faut prendre en considération non pas la période de sevrage mais la période de dépendance des jeunes qui va jusqu’à fin juillet ; il convient donc de préserver la vie des mères jusqu’à la fin de la période de dépendance des jeunes afin que ceux-ci puissent survivre.
La période d’allaitement des blaireautins s’étale au-delà du 15 mai, et les jeunes restent dépendants jusqu’à l’automne, ils sont donc présents dans les terriers pendant la période de déterrage. Il est donc nécessaire de prendre en considération la période dépendance des jeunes comme référence et non pas le sevrage lui-même si l’on veut respecter la survie des jeunes.

La vénerie sous terre n’est pas sans conséquences pour d’autres espèces sauvages. En effet, une fois l’opération terminée, les terriers se trouvent fortement dégradés. Or ces derniers sont régulièrement utilisés par d’autres espèces, dont certaines sont réglementairement protégées par arrêté ministériel et directive européenne, comme le Chat forestier (Felis silvestris) pour les départements concernés ou des chiroptères lorsque certaines espèces sont en phase d’hibernation pendant la période de septembre/octobre à fin avril : «Le Petit rhinolophe hiberne dans des gîtes souterrains (mines, caves, sous-sols ou même terriers de Renard ou de Blaireau)» source Atlas des Mammifères de Bretagne éd. 2015.

Le Conseil de l’Europe recommande d’interdire le déterrage : « Le creusage des terriers, à structure souvent très complexe et ancienne, a non seulement des effets néfastes pour les blaireaux, mais aussi pour diverses espèces cohabitantes, et doit être interdit. »
Il faut obligatoirement que la totalité de la période de chasse du blaireau, qu’elle soit assortie d’une période complémentaire ou non, fasse l’objet de déclaration d’intervention auprès de la DDT et d’un compte-rendu de cette intervention. La fédération doit également être capable de fournir, lors de la commission, des éléments pertinents et exhaustifs sur les bilans annuels de tirs et de déterrage et non des données approximatives qui ne permettent pas d’avoir une idée de ce que cela représente par rapport aux populations départementales. Ces éléments chiffrés doivent être rendus publics. Or, ce projet d’arrêté est accompagné d’une note de présentation incomplète ne pouvant justifier cette période complémentaire.

La période de tir, lorsqu’elle est autorisée jusqu’au 29 février, provoque potentiellement la mort des mères gestantes et ne doit en aucun être autorisé, en application de l’article L424.10 du Code de l’environnement visant à préserver la future génération.

À PROPOS DU BLAIREAU :
Les populations de blaireaux sont fragiles et souffrent de la disparition de leurs habitats (haies, lisières, prairies, …) et sont fortement impactées par le trafic routier.
Inscrit à l’annexe III de la Convention de Berne, le Blaireau d’Europe, Meles meles, est une espèce protégée (cf. art. 7). A titre dérogatoire, la Convention de Berne encadre strictement la pratique de la chasse et la destruction administrative de cette espèce (cf. art. 8 et 9). Le ministère de l’écologie doit soumettre « au Comité permanent un rapport biennal sur les dérogations faites ».

Aux termes de l’article L. 424-10 du Code de l’environnement, « il est interdit de détruire (…) les portées ou petits de tous mammifères dont la chasse est autorisée ». Or, l’article R424-5 du même code précise toutefois que le préfet peut autoriser l’exercice de la vénerie du blaireau pour une période complémentaire à partir du 15 mai, cet article contrevient donc au précédent.

La dynamique des populations de blaireaux est extrêmement faible (moyenne de 2,3 jeunes par femelle et par an).

Cette espèce n’est jamais abondante (mortalité juvénile très importante (de l’ordre de 50% la 1ère année).
Une mortalité importante de blaireaux est liée au trafic routier.
Les opérations de vénerie peuvent affecter considérablement les effectifs de blaireaux et peuvent entraîner une disparition locale de cette espèce.
Les bilans annuels relatifs à la vénerie sous terre sont généralement très bas et ne régulent pas du tout les populations. Les collisions routières ont certainement un impact bien plus important que le déterrage. Si ces prélèvements ne permettent pas de réguler les populations (pour de quelconques raisons sanitaires ou économiques), alors pourquoi continuer d’accorder des autorisations de déterrage, si ce n’est de contenter quelques acharnés de la pratique de vénerie sous terre ?
Les dégâts que le blaireau peut occasionner dans les cultures de céréales sont peu importants et très localisés, essentiellement en lisière de forêt. Selon l’Office National de la Chasse ONC bulletin mensuel n° 104 : « Les dégâts que peut faire le blaireau dans les cultures ne sont gênants que très localement (…) Et il suffit de tendre une cordelette enduite de répulsif à 15 cm du sol pour le dissuader de goûter aux cultures humaines. »

En ce qui concerne les éventuels dégâts causés sur les digues, routes ou ouvrages hydrauliques par le creusement des terriers, la régulation du blaireau a montré son inefficacité, voire même un effet contre-productif du fait de la place libérée par l’animal éliminé qui est très vite occupée par un autre individu.
Une méthode simple et pérenne consiste à utiliser des produits répulsifs olfactifs sur les terriers posant problème, ceci accompagné de la mise à disposition à proximité de terriers artificiels. Les avantages de cette solution sont que les animaux continueront d’occuper un territoire sur le même secteur et ne permettront pas l’intrusion d’un nouveau clan. (source : LPO Alsace)

Jugement du tribunal
https://www.cyberacteurs.org/pdf/1681-jugement-blai_86.pdf  

La lettre qui a été envoyée :


Monsieur le Préfet,

Le TA de Poitiers a donné raison à l'ASPAS : aucune donnée ne justifiait d’autoriser cette chasse, de surcroît à une saison où des blaireautins sont susceptibles d’être présents dans les terriers. Le préfet des Deux-Sèvres, en ne justifiant pas de la nécessité d’instituer deux périodes complémentaires de vénerie sous terre du blaireau, a entaché son arrêté sur ce point d’une inexacte application des dispositions de l’article L. 424-10 du code de l’environnement.
Comme le Conseil de l'Europe et en application de l’Article 7 de la Charte de l’Environnement je demande que mon avis soit pris en compte pour l’interdiction du déterrage du blaireau, une pratique de chasse barbare et incompatible tant avec la reconnaissance des animaux comme êtres sensibles qu' avec la sensibilité de l'opinion publique opposée à la chasse.

 

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21 commentaires

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Révoltant,il faut avoir un sadisme en soi pour agir ainsi!

Christiane Huard
Le 27/03/2022 à 18:45:36

Le lobby de la chasse est défendu au plus haut niveau du pouvoir dans notre pays. Quelque lobbyiste influent associé au "bouffi" qui se vante sur les ondes de prendre du plaisir dans l'acte de chasse et pour reprendre ses déclarations sur RMC "n'en a rien à foutre de réguler..." nous donnent le ton sur la législation à venir en la matière.
Je rêve, mais hélas cela n'est qu'un rêve de traquer le bouffi dans un terrier...
Plus sérieusement et pour reprendre la chanson de SARDOU plus que jamais d'actualité aujourd'hui : EMMANUEL REVEILLE TOI, ILS SONT DEVENUS FOUS

Colette
Le 18/03/2022 à 14:10:15

La France reste un des deux seuls pays d’Europe de l’Ouest autorisant le déterrage des
blaireaux. J'en suis particulièrement honteux. Les spécialistes que j'ai consultés m'affirment que non seulement la vénerie sous terre ne lutte pas comme prévu contre la tuberculose bovine mais qu'elle contribuerait à son expansion. La honte, toujours. J'ai rencontré quelques blaireaux durant mes promenades quotidiennes en forêt. Ils sont très beaux et je n'ai jamais senti aucune agressivité de leur part à mon encontre. Ces rencontres ont contribué à combler mon cœur d'un réel amour pour le vivant. Amour et honte.

Rotteleur
Le 17/03/2022 à 14:23:57

Monsieur le Préfet, je vous demande humblement de faire arrêter le massacre des blaireaux qui ne sont pas nuisibles. Le déterrage est tellement cruel qu'il devrait être interdit.

Gautier Sylvie
Le 16/03/2022 à 12:38:24

L'homme est dangereux pour beaucoup d'espèces animales et végétales ! Que de cruauté et de non-sens!

Nathy
Le 16/03/2022 à 09:30:08

Petit relevé naturaliste comprenant deux ESOD (Espèces susceptibles d’occasionner des dégâts) :
- Un Grosbec casse-noyaux, un Cassenoix moucheté, un Chasseur français, un Blaireau européen, un Préfet macronien.
;-)

Frawald
Le 15/03/2022 à 23:14:29

A M. le Préfet de la Haute Vienne,

Je vous demande poliment et avec ferveur de ne pas prolonger la période de chasse du blaireau dont les poils ont caressé les mâchoires de votre arrière grand père. Le blaireau est un animal totem, tout comme le panda bicolore l’est pour le président chinois.
La Suisse préconise de ne pas éradiquer cette espèce qui est si utile quand elle ralentit de nuit un abruti qui dépasse les 80km/h.
Aucune statistique ne permet de dire que le blaireau mange des cultures arrosées de néonicotinoïdes ou sape des ouvrages humains (voies ferrées rares et des ponts qui s’effondrent sous les poids lourds).
Que soient faits les comptes des tueries de femelles gestantes et de petits crevards condamnés et vous aurez votre taux d’assassinats à la pince Leroy Merlin.
« Epargnez les blaireaux!» gémit un cycliste breton éploré.
Respect,
Aïchat Nussy

colette Nusbaum Vallet
Le 15/03/2022 à 17:14:30

Stop à cet horrible massacre d'animaux inoffensifs

Denise Thealler
Le 15/03/2022 à 09:26:40

Un arrêté complètement stupide qui va à l'encontre de la morale comme de la science. Tout cela pour satisfaire l'instinct sanguinaire de quelques brutes indignes du nom d'homme.
Pour massacrer de manière ignoble un animal pacifique et inoffensif.
Juste pour acheter quelques voix aux prochaines élections c'est pitoyable ...

Marc Solari
Le 15/03/2022 à 09:22:39

Faciliter les équilibres Naturels, pas les perturber !

Jean-Marie SOGNY
Le 14/03/2022 à 18:01:51

C'est inadmissible de s'en prendre à ces animaux qui ne sont pas des nuisibles, bien au contraire. Ils sont nécessaires à l'équilbre de la nature.

Roland COMTE
Le 14/03/2022 à 17:18:56

cyberaction : vénerie sous terre du blaireau en Haute-Vienne

Michel CROQUET
Le 14/03/2022 à 16:37:12

STOP assassins tortionnaires !

Michèle DESHAYES
Le 14/03/2022 à 15:49:33

d'où la nécessité d'être actif et vigilant encore et encore.......

mondo
Le 14/03/2022 à 15:10:02

Je ne vois vraiment pas en quoi les blaireaux peuvent nous déranger !
Chaque animal a son rôle dans la nature et doit être respecté et protégé.

Jocelyne DE SOUSA
Le 14/03/2022 à 14:17:04

mais pourquoi tjs revenir a la charge pour tuer, detruire massacrer les animaux?
MERCI DE LES LAISSER VIVRE EN PAIX? CE N4EST POURTANT PAS TRES COMPLIQUE

Evelyne
Le 14/03/2022 à 13:05:43

Les chasseurs et autres meurtriers en puissance cherche par tous les moyens à assouvir leurs pulsions malsaines toute l'année et les préfets en sont complices !
Rappelons que blaireaux, renards et autres sont des animaux utiles qui se régulent d'eux mêmes !

Lionel Bécus
Le 14/03/2022 à 12:57:08

Quand les Préfets vont ils cesser de se soumettre aux désidératas de ces individus criminels, chasseurs en mal de meurtres ?

Lionel Bécus
Le 14/03/2022 à 12:54:30

Comme s'il n'y avait rien de mieux à faire en cette période ! Mais non tuer,tuer et tuer encore, voilà le programme ! La barbarie est partout; Cessons de tuer. Foutons la paix aux blaireaux. François

François de BERNARDON
Le 14/03/2022 à 12:35:51

Arrêtez ce massacre inhumain . Stérilisez les femelles , ce sera plus intelligent et plus humain . Mais suis- je bête, il n'est plus question d'humain dans notre civilisation , ni même de civilisation d'ailleurs . Nous retournons vers la barbarie.

Liliane LecDuc
Le 14/03/2022 à 12:29:54

Les barbares sont indécrottables, revenant sans cesse à la charge. A vomir !

Nino-Anne DUPIEUX
Le 14/03/2022 à 09:05:40

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