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En cause : la présence de pesticides et de leurs produits de dégradation, nommés les métabolites. Environ 20 % des habitants (hors outre-mer) seraient ainsi concernés par une telle pollution, soit beaucoup plus qu’en 2020, où le chiffre s’élevait à 5,9 %. https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2020_bilan_pesticides_vf.pdf
Comment expliquer une telle différence ? Cité par le quotidien du soir, Mickaël Derangeon, vice-président d’Atlantic’eau, le syndicat des eaux de Loire-Atlantique, évoque un « choc de connaissance ». En effet, les agences régionales de santé (ARS) n’avaient jusqu’ici pas recherché la présence de certains métabolites dans les eaux distribuées. En outre, l’enquête montre comment les seuils sanitaires de non-conformité ne sont pas toujours précisément établis par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).
Pour ce reportage télévisuel, les journalistes se sont particulièrement intéressés aux Hauts-de-France, « où cette pollution a atteint des proportions inouïes ». D’après Le Monde, 65 % des habitants de la région sont concernés par une eau potable non conforme. Le journal explique comment toutes ces informations sont à la disposition de la direction générale de la santé (DGS) depuis plusieurs mois, sans qu’elles aient pour autant été communiquées au public. Cela devrait être le cas dans les prochaines semaines.
Mardi 20 septembre, quatre-vingt associations, syndicats et collectifs publiaient sur le même site une tribune appelant à la fin des pesticides de synthèse en France.
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à premiere-ministre@cab.pm.gouv.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : L'État ne peut renier ses engagements
Message : Madame, Monsieur
Pour une sortie totale des pesticides de synthèse d'ici cinq ans j'exige une transition agricole vers un modèle plus résilient afin de sauvegarder la santé collective, celle des générations futures ainsi que la biodiversité, "parce que nous ne pourrons pas dire à nos enfants que nous ne savions pas". Face à des données scientifiques "suffisamment avancées", je demande d’appliquer le principe de précaution et d'agir immédiatement. L’État ne peut plus ignorer les données scientifiques, ni renier perpétuellement ses engagements.
Salutations citoyennes
Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :
Votre député.
Vous pouvez modifier ces infos (sujet, texte, elus...) en choisissant l'option "modifier des éléments" après avoir renseigné le formulaire "je signe sans compte"
La Cour de Justice de l'Union Européenne (CJUE) a rappelé que l'article 53 du règlement européen 1107/2009 ne pouvait être invoqué pour justifier la ré-autorisation des néonicotinoïdes.
Les dérogations accordées en 2021 et 2022 par le Ministère de l'agriculture français contrevenaient donc aux directives européennes.
En 2023 il a encore été déposé un projet d'arrêté instaurant une nouvelle dérogation pour l'utilisation de semences de betteraves sucrières traitées avec des néonicotinoïdes!
Bonne nouvelle ! La Bio existe depuis bientôt 60 ans :-)
Personne ne doit donc plus oser dire : "la Bio, on y va mais il faut nous laisser le temps"
Je fais partie des plus de 5 000 citoyens français qui ont réalisé une analyse de glyphosate dans les urines - hélas, nous sommes tous contaminés à des taux supérieurs aux 0,1 µg / litre, limite maximum tolérée dans l'eau potable !!!
Très logiquement, je vous demande donc de tenir votre rôle de protecteur - protectrice des populations, rôle pour lequel vous êtes payéEs, et d'engager d'urgence la sortie totale des pesticides de synthèse d'ici cinq ans.
J'exige une transition agricole vers un modèle plus résilient afin de sauvegarder la santé collective, celle des générations futures ainsi que la Biodiversité, "parce que nous ne pourrons pas dire à nos enfants que nous ne savions pas".
Face à des données scientifiques "suffisamment avancées", je demande d’appliquer le principe de précaution et d'agir immédiatement. L’État ne peut plus ignorer les données scientifiques, ni renier perpétuellement ses engagements.
LE MOT METABOLITE NE DESIGNE PAS LES MOLECULES ISSUES DE PESTICIDES,
LES METABOLITES SONT LES PRODUITS DE DEGRADATION, TRANSFORMATIONS DE MOLECULES COMPLEXES;
CE PEUT ETRE DES MOLECULES ORGANIQUES /
EX DANS LES CELLULES DES ETRES VIVANTS LORS DES REACTIONS NATURELLES
CE PEUT ETRE AUSSI LA DIGESTION DE PROTEINES ( non utilisables en l’état par l’organisme)
QUI DONNENT DES ACIDES ANINES PAR EXEMPLES
ET BIEN SUR CE SONT TOUS LES PRODUITS QUI RESTENT APRES LA DEGRADATION DES PRODUITS CHIMIQUES DE SYNTHESES et s’accumulent dans le monde vivant.
Car évidemment lorsque la molécule de base lorsqu’elle est issue de la chimie de synthèse comme l'atrazine n’est plus présente, tous les métabolites (eux aussi de synthèse chimique) sont encore présents et ne sont jamais recherchés et dosés dans les études.
Ces métabolites sont d’autant pernicieux qu’ils sont ‘petits’ et peuvent pénétrer, s’infiltrer plus aisément dans le vivant et les écosystèmes.
cordialement
marie christine f
marie christine F 06/10/2022 - 08:33:56
Un matin de cette semaine, Pascal PERRI, intervenant sur LCI, a décerné un carton jaune aux ONG qui, d'après lui, font peur aux Français en dénonçant à tort la présence de pesticides dans l'eau du robinet. Ces pesticides dont la quantité dans notre eau de boisson ne représenterait, d'après ce même journaliste en carton, que "l'équivalent d'un morceau de sucre dans une piscine olympique".
Les négationnistes du dérèglement climatique, on les appelle des "climato-sceptiques". Quel mot pour les tenants des pesticides de synthèse ? Des "bio-sceptiques" ? ou, plus crûment, des "semeurs de mort" ? A vous de voir.
Frawald 30/09/2022 - 14:59:41
Connaissez-vous les métabolites ? Ce sont des molécules issues des pesticides. Les eaux naturelles et les stations d’épuration en sont saturées. A tel point qu’on les retrouve abondamment dans l’eau potable. Enquête sur une pollution invisible.
Nous savons qu'ILS se moquent de nous, pire qu'ILS nous méprisent et font tout pour nous asservir, nous désinformer etc ...
MAIS si on continue d'accepter un Système capitaliste par construction IRESPONSABLE ?
Si on vote pour des gens qui défendent des interets financiers et non pas NOS BESOINS ?
Si on continue de se laisser faire ... par une propagande captieuse ?
Alors nous sommes exploités, empoisonnés, terrorisés ..
ILS ont très peur de nos réactions, c'est pourquoi ILS nous matraquent sans cesse...
Les pesticides comme les médicaments font l'objet du mensonges permanents et certains sont persuadés de dire la vérité enseignée...
Claude Fustier 27/09/2022 - 18:37:16
Chacun-e peut prendre connaissance de la présence des pesticides(ou non, mais c'est très rare!) dans l'eau de son robinet en tapant "qualité de l'eau de ma commune". Mais ensuite, une fois trouvé la bonne page sur le site gouvernemental(.gouv.fr), il faut aussi trouver le bulletin qui en fait l'analyse, car tous les bulletins ne le font pas. Donc, ne pas hésiter à reculer en cliquant sur "bulletin précédent" jusqu'à trouver les analyses avec recherche des pesticides. Et là, on tombe souvent de haut : les listes sont parfois longues de plusieurs dizaines de produis chimiques qui n'ont rien à faire dans l'eau que l'on boit, même si prétendument en dessous des normes (qui fixe ces normes et comment ?) ; à qui fera-t-on croire qu'absorber chaque jour de sa vie, par exemple de l'Atrazine, interdite depuis longtemps mais rémanente, est sans danger ? Pas à moi, victime d'une double tumeur du colon et pour laquelle les médecins ont été incapables, vu mon mode de vie plutôt "sain" (je coche toutes les cases qui normalement minimisent les risques), de m'en expliquer l'origine.
Hélène Grunert 27/09/2022 - 11:52:06
Les mot justes : 5mn d'écoute d'Aurélien Barrau (astrophysicien et philosophe français) à l'université d'été du MEDEF.
« Ce thème est très caractéristique de l’arrogance occidentale. Je crois que nous n’avons pas tous ici bien compris que nous ne sommes pas la solution, nous sommes le problème. Ce sont nos valeurs et nos manières d’être qui mènent, je cite, à ce que l’ONU nomme “une situation de menace existentielle directe”. Et nous en sommes encore à pérorer sur notre exemplarité. Quelle suffisance ! » https://www.youtube.com/watch?v=HU0w4A0D9G4
Irène 27/09/2022 - 10:50:16
La mal-bouffe, l'eau, les médocs... Tout est fait pour nous affaiblir... Il faut en avoir conscience et arrêter de censurer toutes les personnes qui dénoncent ces faits...
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Les dérogations accordées en 2021 et 2022 par le Ministère de l'agriculture français contrevenaient donc aux directives européennes.
En 2023 il a encore été déposé un projet d'arrêté instaurant une nouvelle dérogation pour l'utilisation de semences de betteraves sucrières traitées avec des néonicotinoïdes!
J'ai protesté auprès du Ministère de l'agriculture :
https://formulaires.agriculture.gouv.fr/index.php/646927?lang=fr
Et vous ?
dominno
21/01/2023 - 15:41:41