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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : ICEDA : halte à la contamination nucléaire généralisée

Mise en ligne du 07/10/2020 au 08/02/2023

La mise en service de l'ICEDA (Installation de Conditionnement et d'Entreposage de Déchets Activés), sur le site nucléaire du Bugey dans l’Ain, va générer de nombreux transports de matières et déchets radioactifs sur nos routes et voies ferrées, dans nos villes et villages, du Nord au Sud et d’Ouest en Est, à moins que ce soit l’inverse !

Bilan de la cyberaction :

2445 participants

Nov 2021
Le site d’entreposage de déchets nucléaires Iceda est entré en activité au Bugey
Elle s’appelle Iceda pour “installation de conditionnement et d’entreposage de déchets activés”. En clair, il s’agit d’un site unique dont EDF s’est doté pour stocker des déchets radioactifs à long terme en provenance notamment des réacteurs en cours de démantèlement.
https://www.ledauphine.com/environnement/2021/11/19/ain-saint-vulbas-le-site-d-entreposage-de-dechets-nucleaires-iceda-est-entre-en-activite-a-bugey  

Présentation de la cyberaction :

Cette installation est une plaque tournante du trafic des déchets nucléaires , implantée sur le site nucléaire du Bugey à St Vulbas dans l’Ain, à 30 km du centre de Lyon et à peine 60 km à vol d’oiseau de Genève.

Elle doit accueillir les déchets les plus radioactifs issus du démantèlement de 9 réacteurs nucléaires définitivement arrêtés (Brennilis, Chooz A, Chinon 1 à 3, Saint Laurent des Eaux 1 et 2, Bugey 1 et Superphénix). La cuve du réacteur de Brennilis en Bretagne, dont le débit de dose est estimé en centaine de Sievert par heure, devrait y être expédiée. Une dose reçue de 6 Sieverts entraîne la mort.

L’ICEDA doit aussi et surtout accueillir les déchets « d’exploitation » les plus radioactifs comme les «crayons source» et «grappes de contrôle», issus des « coeurs » de réacteurs, actuellement stockés dans les piscines de refroidissement des combustibles usés des centrales nucléaires et dont la saturation approche.

Avec la mise en service de l’ICEDA tous ces déchets seront déconfinés de leurs sites d’origine, mis sur les routes et rails de France, avec tous les risques que ça comporte, puis acheminés vers le Bugey pour y être triés, découpés en morceaux et emballés avant, peut-être, d’être réexpédiés vers d’autres sites. EDF entend ainsi pallier à l’engorgement des piscines, faire « disparaître en douce » certains types de déchets et disséminer la radioactivité dans l’environnement.

ICEDA en Bugey, installation issue des mensonges et falsifications d’EDF

La longue bataille juridique contre l’ICEDA, commencée il y a 10 ans avec 7 associations, pointait de nombreuses irrégularités et mensonges par omission du dossier initial présenté par EDF.
http://www.sortirdunucleairecornouaille.org/spip.php?article221  

Elle continue avec le nouveau recours en Conseil d’Etat que la Ville et le Canton de Genève, associés à 4 riverains du site nucléaire du Bugey, viennent de déposer.
https://www.geneve.ch/fr/actualites/site-bugey-ville-canton-opposent-decision-autorite-surete-nucleaire  

La lutte contre cette installation n’est donc pas terminée mais elle nécessite un maximum de soutiens et de détermination.
EDF, qui est dans une situation de grande fragilité financière et technique, a absolument besoin de l’ICEDA pour retrouver des marges de manœuvre que la saturation des piscines de refroidissement des « combustibles usés » réduit.

Etat d'urgence radioactif sur les routes de France

Avis aux automobilistes, aux routiers, aux cyclistes et motocyclistes, aux piétons, aux passagers des trottinettes, aux rollers, aux riverains des routes et voies ferrées de France et à tous les autres êtres vivants qui pourraient se trouver à proximité !
Le premier convoi routier de déchets hautement radioactifs, issus du "coeur" du réacteur en démantèlement, est parti de la centrale nucléaire de Chooz dans les Ardennes pour rejoindre l’Iceda du Bugey dans l'Ain.
https://www.edf.fr/groupe-edf/nos-energies/carte-de-nos-implantations-industrielles-en-france/centrale-nucleaire-de-chooz/actualites/site-en-deconstruction-de-chooz-a-depart-du-premier-convoi-de-dechets-vers-le-nouveau-centre-d-entreposage-iceda  

De nombreux autres convois sont prévus et si nous ne faisons rien, EDF va continuer à augmenter le trafic routier et ferroviaire de matières et déchets radioactifs afin d’exploiter ses réacteurs le plus longtemps possible.

Que faire pour empêcher ça ?

Les deux récentes décisions de l’ASN, autorisant EDF à exploiter l’Iceda et à mettre en service « partiellement » l’EPR de Flamanville, en préfigurent d’autres et en particulier celles permettant :
la déclaration d’utilité publique de CIGEO pour l’enfouissement des déchets nucléaires « ultimes » à Bure;
la construction d’une piscine d’entreposage centralisé de combustibles usés (essentiellement du Mox fabriqué à partir de plutonium) sur le site de La Hague dans le Cotentin,
ou même l’entreposage à sec de combustibles usés sur les sites des centrales nucléaires existantes.

Une lettre ouverte, signée à ce jour par une centaine de personnes et organisations, a été envoyée à la ministre de « la transition écologique et solidaire » pour lui demander ce qu’elle compte faire pour passer d’une position antinucléaire de principe à des actions réellement efficaces pour stopper le nucléaire.
Pour donner plus de force à cette action nous vous proposons, pour commencer, de signer et d’envoyer à la Ministre le message ci-dessous.
D’autres actions suivront et Cyberacteurs vous en informera le moment venu.

Madame la Ministre il est grand temps d’agir pour arrêter la contamination radioactive généralisée.

La lettre qui a été envoyée :


Madame la Ministre,
Ayant rappelé publiquement votre opposition au nucléaire, il vous faut prendre sans attendre des décisions qui vont dans le sens de cette opposition pleinement justifiée. Vous en avez la possibilité immédiate pour plusieurs dossiers traités « par-dessus la jambe » par l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) à la demande d’EDF (ex: l’autorisation de mise en exploitation de l’ICEDA en Bugey et de mise en service partielle de l’EPR de Flamanville) .
Je vous demande donc, Madame la Ministre, ce que vous comptez faire pour arrêter la fuite en avant de l’industrie nucléaire française et la prise en otage caractérisée des populations menacées par son fonctionnement.
Croyez, Madame, en ma vigilance sur vos décisions.

 

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35 commentaires

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Centrale nucléaire & ICEDA du Bugey : Le maire de Lyon s’oppose aux nouveaux EPR de la centrale nucléaire du Bugey : « Nous ne pourrions pas évacuer les habitants en cas de catastrophe »
https://www.lyonmag.com/article/121625/le-maire-de-lyon-s-oppose-aux-nouveaux-epr-de-la-centrale-nucleaire-du-bugey-nous-ne-pourrions-pas-evacuer-les-habitants-en-cas-de-catastrophe  

Alain UGUEN
Le 17/03/2022 à 08:43:46

Pollution radioactive des eaux à la centrale nucléaire du Bugey : condamnation confirmée pour EDF !

Il y a 4 ans, les négligences d’EDF ont entraîné une pollution radioactive des eaux souterraines sous la centrale nucléaire du Bugey, située à 35 km de Lyon. Condamnée suite à l’action en justice engagée par nos associations, EDF avait fait appel de cette décision. Ce 7 décembre, la cour d’appel de Lyon a confirmé la condamnation d’EDF. Cette pollution ne restera pas impunie !
Quand négligences et mauvaise maintenance mènent à la pollution radioactive des eaux souterraines

En décembre 2017, à la centrale du Bugey, EDF a détecté une concentration anormale de tritium (substance radioactive pouvant provoquer de graves dommages à l’ADN) [1] dans la nappe phréatique. Des pics allant jusqu’à 1600 Becquerels par litre ont été détectés les jours suivants : des concentrations importantes pour cette substance qui ne devrait exister qu’à l’état de trace dans la nature.

Comme le montre un rapport d’inspection rédigé par l’Autorité de sûreté nucléaire, cette pollution était la conséquence d’une inquiétante chaîne de dysfonctionnements : défaut de surveillance, dispositifs ne permettant pas la détection automatique des fuites, absence de réaction rapide, entretien insuffisant du matériel… En particulier, deux pompes n’avaient pas fonctionné (l’une d’elles étant défaillante depuis plus d’un an et demi) et un clapet était resté bloqué en position ouverte. Ce dernier n’avait pas fait l’objet de maintenance depuis… 1992 !

Cette contamination radioactive des eaux était la troisième survenue au Bugey en l’espace de 6 ans (plusieurs ayant d’ailleurs déjà fait l’objet de dépôts de plaintes). Ces pollutions récurrentes interpellent sur l’état général de cette centrale, désormais la plus ancienne de France, qui cumule problèmes liés au vieillissement et mauvais entretien des équipements. Elles sont aussi révélatrices de l’état réel d’une industrie nucléaire qui – à tort – s’autoproclame propre et sauveuse du climat.
Pas d’impunité pour EDF !

Le 7 mars 2018, le Réseau “Sortir du nucléaire“, Rhône-Alpes sans sucléaire, Sortir du nucléaire Bugey et Sortir du nucléaire Isère ont déposé plainte. Le Parquet ayant engagé des poursuites contre EDF pour non-respect de la réglementation nucléaire, l’affaire a été examinée par le tribunal de police de Bourg-en-Bresse le 28 février 2020.

Le 22 mai 2020, le tribunal a reconnu EDF coupable de l’ensemble des infractions pour lesquelles elle était poursuivie et l’a condamnée à 3000 euros d’amende. La décision était des plus explicites, constatant que "l’attitude de la société poursuivie, qui refuse de reconnaître sa responsabilité dans cet incident dont elle minimise la gravité malgré la dangerosité de l’installation qui ne souffre pas la tolérance d’un quelconque incident de ce type, les mentions portées à son casier judiciaire et sa situation financière justifient que la société EDF soit condamnée au paiement d’une amende" [2].

Consciente des répercussions d’une telle décision, EDF s’était empressée de faire appel de ce jugement. Une nouvelle audience s’est donc déroulée le 22 octobre 2021 à la cour d’appel de Lyon. Ce 7 décembre, celle-ci a confirmé la condamnation d’EDF pour l’infraction de rejet non maîtrisé d’une substance radioactive dans l’environnement, lui infligeant une amende de 3000 euros. Le maintien de cette condamnation est bienvenu : il aurait été inacceptable que l’entreprise jouisse d’impunité.

Alors qu’EDF compte prolonger à 50 ans la durée de fonctionnement de la centrale du Bugey et envisage même d’y implanter de nouveaux réacteurs, cette énième pollution doit rappeler que le nucléaire n’est pas une énergie « propre ». Prolonger l’activité de ce site pour de nouvelles décennies, c’est prendre le risque de voir se reproduire de nouvelles pollutions de ce type, voire d’autres incidents encore plus graves !

Retrouvez le dossier juridique : https://www.sortirdunucleaire.org/Bugey-fuite-radioactive  
Notes

[1] Le tritium est l’isotope radioactif de l’hydrogène. Très volatil, il se mélange avec l’eau et peut se substituer aux atomes d’hydrogène, provoquant des dommages aux corps vivants.

[2] Extrait du jugement en première instance.

Chargée de communication :

Charlotte Mijeon - 06 64 66 01 23
Retrouvez ce communiqué sur notre site : https://www.sortirdunucleaire.org/Pollution-radioactive-des-eaux-a-la-centrale-57401  

Alain UGUEN
Le 08/12/2021 à 11:23:29

Les partisans du nucléaire devraient postuler pour recevoir les déchets dans leur secteur.

Gérard PELISSIER
Le 26/10/2021 à 18:30:23

As-t'on vérifié la température du cours d'eau ?
Depuis l'ère industrielle qui à commencé au 18è siècle, les cours d'eaux reçoivent des rejets d'eaux réchauffées.
Ces eaux, vont dans les fleuves, puis les mers et les océans.

Depuis le début de l'ère industrielle nous réchauffons la planète !

Michel Decollogne
Le 22/10/2021 à 19:52:15

Pollution radioactive des eaux à la centrale nucléaire du Bugey :
EDF devant la cour d'appel de Lyon vendredi 22 octobre

Il y a 4 ans, les négligences d’EDF ont entraîné une pollution radioactive des eaux souterraines sous la centrale nucléaire du Bugey, située à 35 km de Lyon. Condamnée suite à l’action en justice engagée par nos associations, EDF a fait appel de cette décision. L’affaire sera à nouveau examinée ce vendredi 22 octobre à 9h, à la cour d’appel de Lyon. Nous espérons que cette pollution ne restera pas impunie.
Quand négligences et mauvaise maintenance mènent à la pollution radioactive des eaux souterraines

En décembre 2017, à la centrale du Bugey, EDF a détecté une concentration anormale de tritium (substance radioactive pouvant provoquer de graves dommages à l’ADN) [1] dans la nappe phréatique. Des pics allant jusqu’à 1600 Becquerels par litre ont été détectés les jours suivants : des concentrations importantes pour cette substance qui ne devrait exister qu’à l’état de trace dans la nature.

Comme le montre un rapport d’inspection rédigé par l’Autorité de sûreté nucléaire, cette pollution était la conséquence d’une inquiétante chaîne de dysfonctionnements : défaut de surveillance, dispositifs ne permettant pas la détection automatique des fuites, absence de réaction rapide, entretien insuffisant du matériel… En particulier, deux pompes n’avaient pas fonctionné (l’une d’elles étant défaillante depuis plus d’un an et demi) et un clapet était resté bloqué en position ouverte. Ce dernier n’avait pas fait l’objet de maintenance depuis… 1992 !

Cette contamination radioactive des eaux était la troisième survenue au Bugey en l’espace de 6 ans (plusieurs ayant d’ailleurs déjà fait l’objet de dépôts de plaintes). Ces pollutions récurrentes interpellent sur l’état général de la centrale, désormais la plus ancienne de France, qui cumule les problèmes liés au vieillissement et au mauvais entretien des équipements. Elles sont aussi révélatrices de l’état réel d’une industrie nucléaire qui – à tort – s’autoproclame propre et sauveuse du climat.
Pas d’impunité pour EDF !

Le 7 mars 2018, le Réseau “Sortir du nucléaire“, Rhône-Alpes Sans Nucléaire, Sortir du nucléaire Bugey et Sortir du nucléaire Isère ont déposé plainte. Le Parquet ayant engagé des poursuites contre EDF pour non-respect de la réglementation nucléaire, l’affaire a été examinée par le tribunal de police de Bourg-en-Bresse le 28 février 2020.

Le 22 mai 2020, le tribunal a reconnu EDF coupable de l’ensemble des infractions pour lesquelles elle était poursuivie et l’a condamnée à 3000 euros d’amende. La décision était des plus explicites, constatant que "l’attitude de la société poursuivie, qui refuse de reconnaître sa responsabilité dans cet incident dont elle minimise la gravité malgré la dangerosité de l’installation qui ne souffre pas la tolérance d’un quelconque incident de ce type, les mentions portées à son casier judiciaire et sa situation financière justifient que la société EDF soit condamnée au paiement d’une amende" [2].

Consciente des répercussions d’une telle décision, EDF s’est empressée de faire appel de ce jugement. C’est pourquoi une nouvelle audience se déroulera ce vendredi 22 octobre 2021, à 9h, à la cour d’appel de Lyon. Nos associations espèrent que la cour d’appel confirmera la condamnation. Il serait inacceptable qu’EDF puisse jouir d’impunité pour cette pollution !

Retrouvez le dossier juridique : https://www.sortirdunucleaire.org/Bugey-fuite-radioactive  

Contact presse :

Marie Frachisse (juriste, Réseau "Sortir du nucléaire") - 07 62 58 01 23
Notes :

[1] Le tritium est l’isotope radioactif de l’hydrogène. Très volatil, il se mélange avec l’eau et peut se substituer aux atomes d’hydrogène, provoquant des dommages aux corps vivants.

[2] Extrait du jugement du tribunal

Chargée de communication :

Charlotte Mijeon - 06 64 66 01 23
Retrouvez ce communiqué sur notre site : https://www.sortirdunucleaire.org/Pollution-radioactive-des-eaux-a-la-centrale  

Alain UGUEN
Le 21/10/2021 à 13:29:58

Retour sur la manifestation du 3 octobre au Bugey
https://www.sortirdunucleaire.org/Retour-sur-la-manifestation-du-3-octobre-au-Bugey?origine_sujet=LI202110  

Alain UGUEN
Le 15/10/2021 à 07:59:18

Centrale nucléaire & ICEDA du Bugey : Manifestation dimanche 3 octobre pour la fermeture de la centrale nucléaire

Manifestation dimanche 3 octobre pour la fermeture de la centrale nucléaire de Bugey, dès 10h du matin à Saint-Vulbas au bord du Rhône où est implantée la désormais doyenne des centrales françaises.
Ses quatre réacteurs âgés de 41 à 43 ans menacent cinq millions de personnes dans un rayon de 100 km dont les habitants de l’agglomération de Lyon à 25 km, de Grenoble à 72 km et de Genève à 75 km.

Alain UGUEN
Le 30/09/2021 à 08:48:39

pour le stockage de bure, il n'ont même pas fait d'AMDEC (analyse des modes de défaillance de leurs effets et de leurs causes) alors que c'est le B-A-BA du métier.
avec un peu de chance dans 100 ans ils seront encore en train de souder à Flamanville ....

DOMINIQUE BOUTS
Le 22/04/2021 à 03:30:48

stop aux réacteurs, apprenons aux travailleurs du nucléaire à gérer pour les 10 000 années à venir les déchets déjà existants, pensons autrement à la terre la vie nos successeurs humains animaux organismes !!!

Dominique Morin
Le 21/04/2021 à 15:18:57

"La question est de savoir, en particulier pour les réacteurs, s’ils peuvent être prolongés, avec des normes de sûreté rehaussées?», ce qui nécessitera non seulement «?un très gros travail d’analyse?» préalable mais aussi «?un contrôle renforcé de l’ASN?», Sauf que l’ASN et l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (ISRN) «?n’ont actuellement pas les ressources nécessaires pour assurer pleinement leurs missions de contrôle?». Pierre Franck Chevet

"Fukushima nous a déjà appris quelque chose. Nous avions, sans doute, sous-estimé le cumul des situations, la perte d’alimentation électrique et celle des sources froides par exemple. Ce qui nous oblige désormais à remettre en cause un certain nombre de certitudes. Ce qui est toujours positif. Mais nous sommes encore loin d’avoir tiré tous les enseignements." Christian Holbé (analyste en sûreté à l’IRSN – Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire)

"Ce qui s'est passé dans la région autour de la centrale nucléaire de Fukushima, est tout simplement inacceptable .Gregory Jaczko (ex-président de l’autorité de sûreté nucléaire des États-Unis)
"Mon expérience en tant que ministre m’a conduit à devenir opposé à l’énergie nucléaire" Tony Benn (ex-ministre chargé du programme nucléaire britannique

"Au cours des huit années que j’ai passées à la Maison Blanche, tous les problèmes de prolifération des armes nucléaires auxquels nous avons été confrontés étaient liés à un programme nucléaire civil . Albert Gore (Prix Nobel de la Paix, ex-Vice-Président des États-Unis)

"Peu d’investisseurs accepteront dans une logique de marché de prendre le risque d’investir dans un réacteur nucléaire à moins que les pouvoirs publics définissent un cadre adapté prenant en charge une partie du risque."
Michel Destot (député-maire de Grenoble, ex-ingénieur au CEA)
"Les horribles souvenirs de Tchernobyl et maintenant de Fukushima sont trop frais et trop frappants pour qu’on s’autorise à méditer tout autre choix que celui de mettre fin à notre dépendance à l’énergie nucléaire."
"Dans le contexte économique actuel, les armes nucléaires représentent un gouffre financier sans fond." Mikhaïl Gorbatchev (Prix Nobel de la Paix, dernier président de l’URSS)

G PROST

LEZARD
Le 14/02/2021 à 13:32:07

Le 8 décembre 2020, la ministre de la transition écologique, accompagnait le président de la République en visite à l'usine Framatome/EDF du Creusot.
Voici un extrait du discours du président :
« … opposer nucléaire civil et nucléaire militaire en termes de production comme, en termes d'ailleurs de recherche, n'a pas de sens pour un pays comme le nôtre. La filière vit de ses complémentarités et elle doit d'ailleurs être pensée dans ses complémentarités. Et c'est aussi pour cela qu'il nous faut constamment penser sur le temps long, la capacité à préserver nos compétences techniques, technologiques et industrielles sur toute la filière pour pouvoir protéger nos capacités souveraines de production, en civil comme en militaire. L’un ne va pas sans l'autre. Sans nucléaire civil, pas de nucléaire militaire, sans nucléaire militaire, pas de nucléaire civil... »
https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/12/08/deplacement-du-president-emmanuel-macron-sur-le-site-industriel-de-framatome  

La ministre de la transition écologique, qui se dit opposée au nucléaire, va-t-elle rester muette et se soumettre aux ordres du président du nucléaire militaro-civil ?

Ou bien va-t-elle écouter "l'ordre qui doit monter des peuples vers les gouvernements",comme l'écrivait Camus dans le journal Combat le 8 août 1945, deux jours après l’explosion de la bombe atomique sur Hiroshima, un jour avant qu’une seconde bombe ne soit lancée sur Nagasaki.

Albert Camus écrivait alors : « La civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie. (…) Déjà, on ne respirait pas facilement dans un monde torturé. Voici qu’une angoisse nouvelle nous est proposée, qui a toutes les chances d’être définitive. (…) Devant les perspectives terrifiantes qui s’ouvrent à l’humanité, nous percevons encore mieux que la paix est le seul combat qui vaille d’être mené. Ce n’est plus une prière, mais un ordre qui doit monter des peuples vers les gouvernements, l’ordre de choisir définitivement entre l’enfer et la raison ».

François VALLET
Le 11/01/2021 à 16:29:24

Jamais aucun délégué des peuples français n'a donné son accord. Le nucléaire est une abomination antidémocratique et antinomique avec la vie. Les dangereux fumiers qui "débattent" au sujet de la filière nucléaire, avec les criminels voyous du CEA, sont toutes et tous les abominables collabos intéressés d'un système mortifère, qui est une mortelle voie sans issue.

Les Jeûneurs Vigilants de Taverny.
Le Réseau Zéro Nucléaire.

Roger NYMO
Le 09/12/2020 à 14:22:20

J'ai déjà signé, mais puisqu'on me propose quand même de laisser un commentaire, le voici :
Madame Pompili est comme tous ses prédécesseurs à ce poste, réduite à faire de la figuration et servir d'alibi à un chef d'Etat et un gouvernement à la solde et à la botte des lobbies militaro-industriel et nucléaire. Le nucléaire militaire (les bombes) et civil (les centrales) conduit l'humanité à sa perte. Nos dirigeants ne sont pas seulement des inconscients, ce sont de grands criminels. Il serait temps que les antinucléaires s'unissent pour les écarter du pouvoir, en menant un combat politique simultané sur ces deux terrains, sachant tout de même que la Bombe est la clef de voûte de tout ce système mondial d'exploitation et de domination (des hommes et de la nature). Il y a quatre urgences majeures : nucléaire, climatique, sociale et sanitaire (ça va de pair), et démocratique. C'est cette dernière qu'il faut soigner pour pouvoir soigner toutes les autres. "La France est comme le poisson, elle pourrit par la tête." Si vous ne voyez pas ce que je veux dire ou si vous voulez en savoir plus, allez donc sur le site d'ACDN,  www.acdn.net..  

Jean-Marie Matagne
Le 08/12/2020 à 23:30:02

Pourcelle Geneviève : les voitures électriques ?
C'est une catastrophe environnementale Voir THéma sur ARTE du 24/11 :

https://www.arte.tv/fr/videos/084757-000-A/la-face-cachee-des-energies-vertes  

l'ICEDA également par ses rejets radioactifs liquides dans le Rhône, et dans l'atmosphère, qui vont se rajouter aux rejets de la centrale.
Comme François, j'avais écrit à la ministre, Barbara Pompili, début octobre, mais à ce jour n'ai reçu aucune réponse

Franceline FANTON
Le 30/11/2020 à 18:06:51

ICEDA dans la plain de l’Ain est à moins de 4 km de 3 et bientôt 5 sites SEVESO seuil haut.
ICEDA n'est surveillé que par l'ASN (Agence de Sureté Nucléaire) .
La surveillance du PIPA (Parc Industrie de la Plaine de l’Ain)est effectuée la préfecture de l'Ain, ARS,....
Le CNPE du Bugey et le PIPA n'ont aucune relation.Comment vont-ils pouvoir se coordonner en cas d'incident ou d'accidents. Ont-ils intégré cette proximité dans leurs PUI et PPI.
On retrouve cette même proximité de produits chimiques, toxiques,inflammables et radioactifs dans cette gare de triage, où vont passé tous les convois de déchets nucléaires venant des CNPEs de la vallée du Rhône en aval du sud de Lyon pour rejoindre ICEDA, en traversant pas mal de gare dont celle de la-Part-dieu.
Arrêtons cet imbécilité

claude cassé
Le 28/11/2020 à 20:51:46

ICEDA : halte à la contamination nucléaire généralisée

Eliane THERET
Le 28/11/2020 à 01:23:13

Mais quand ça va donc s'arrêter ?!
Un opposant au Surrgénérateur de Creys Malleville de ... 1977

Pierre MOREAU
Le 27/11/2020 à 19:46:36

on parle souvent du principe de précaution mais dans ce cas, quel est-il ? Faut-il attendre un accident comme il s'est passé à Rouen pour que les pouvoirs publics réagissent ?
On fait peu de cas des personnes vivant aux alentour de Bugey

Monique Braidotti
Le 27/11/2020 à 19:34:00

Stoppons ce jeu dangereux !

Michelle Crépin
Le 27/11/2020 à 18:26:07

COMMUNIQUÉ DE LA COORDINATION STOP-BUGEY (le 25/11/2020)

UN COCKTAIL EXPLOSIF D'INDUSTRIES NUCLÉAIRES ET CHIMIQUES
MENACE TOUTE LA RÉGION

Les risques combinés, liés à la « coexistence » d’industries chimiques, dans la Plaine de l’Ain, et de la centrale nucléaire du Bugey, ont-ils été pris en compte par la DREAL et l’ASN ?

L’histoire récente a montré que des catastrophes industrielles majeures pouvaient se produire alors que la probabilité qu’elles surviennent était présentée jusqu’alors comme très faible.
On se souvient des catastrophes provoquées par l’industrie chimique :
Seveso Hoffman-Laroche en Italie (1976), Bhopal Union Carbide en Inde (1984), Toulouse en France AZF (2001), Rouen Lubrizol (2019), port de Beyrouth au Liban (2020).
Et pour l’industrie nucléaire, on se souvient notamment des catastrophes de Three Mile Island aux États Unis (1979), Tchernobyl en Ukraine (1986), Fukushima au Japon (2011).

Ce ne sont que quelques exemples de catastrophes majeures qui ont pour origine des installations industrielles ayant en commun la production de matières extrêmement dangereuses et toxiques, voire mortelles pour les organismes vivants.

Un autre point commun entre ces industries est qu’elles sont soumises à des autorisations et à des contrôles par des organismes publics.
En France, ce sont les Directions Régionales de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL), qui autorisent et contrôlent les industries chimiques à risques.
Et c’est l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) qui autorise et contrôle l’industrie nucléaire.

Pour le Parc Industriel de la Plaine de l’Ain (PIPA), la DREAL a la responsabilité des autorisations et contrôles de :
- trois installations relevant de la directive SEVESO seuil haut (entreprises ORGAMOL, SPEICHIM et TREDI), susceptibles en cas d’accident de rejeter des gaz et liquides très dangereux pour tout être vivant,
- trois installations relevant de la directive SEVESO seuil bas (entreprises LEVER, SICO et ORAPI),
- de nombreuses Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE).

Un Plan Particulier d’Intervention en cas d’accident (PPI) a été établi pour le PIPA.
Il a même été revu en 2020 et comporte un scénario d’accident (scénario 5 majorant) qui engendrerait « une intoxication des personnes pouvant conduire à des blessures graves dans un rayon de l’ordre de 5,1 km ».

Le site nucléaire du Bugey, dont le respect des exigences de sûreté est contrôlé par l’ASN, se situe à moins de 5 km du PIPA et de ses installations chimiques à hauts risques.
En cas d’accident, il serait donc impacté dans son ensemble avec ses 4 réacteurs en activité, le Magasin InterRégional de stockage des « combustibles » neufs (MIR), l’Installation de Conditionnement et d'Entreposage de Déchets Activés (ICEDA), le réacteur N°1 en démantèlement.

Or rien ne semble prévu pour les mesures à prendre sur le site nucléaire.

Par exemple, pour ce qui concerne l’ICEDA, qui vient d’être mise en service avec l’autorisation de l’ASN, le risque chimique lié à la proximité du PIPA n’est pas identifié dans les documents d’EDF à destination du public, présentés lors des différentes phases administratives du projet (décret d’autorisation de création, permis de construire, autorisation de mise en service).

Ce n'est qu'en examinant en détail le « dossier de sûreté » (de près de 2 000 pages) transmis par EDF à l’ASN pour la demande d’autorisation de mise en service, qu'on trouve des indications à ce sujet : les activités à risque y sont identifiées, rien de plus.

Pour l’ASN, en tout cas, un accident nucléaire est plausible. Sa probabilité augmente avec les problèmes récurrents des 4 vieux réacteurs et les nouvelles activités à risques de l’ICEDA (incendies et explosions d’hydrogène possibles).
Le rayon d’impact d’un accident nucléaire serait d’ailleurs bien plus large que celui d’un accident chimique.

Mais comment cela se passerait-il sur le site nucléaire du Bugey, en cas d'accident chimique nécessitant une évacuation ? Sachant que le maintien de la sûreté nécessite la présence d’un certain nombre de travailleurs qui se trouveraient alors en grand danger pour leur vie.

De la même manière, si un accident nucléaire grave se produisait sur le site de Bugey, toutes les entreprises à risque voisines seraient vidées de leurs personnels puis abandonnées en l’état, vu la gravité et la permanence de la pollution radioactive au risque de provoquer un autre accident dans leur entreprise.

Un accident grave intervenant en cascade sur les deux sites voisins, du PIPA et de la centrale nucléaire, peut-il être complètement exclu par les autorités ?

Nous ne pouvons ignorer ce qui s’est passé à Rouen en 2019 et les conséquences de l’incendie et de l’explosion du site de Lubrizol.
La catastrophe dans cette usine chimique classée SEVESO seuil haut, contrôlée par la DREAL et qui disposait en outre de toutes les certifications possibles en termes de qualité et d’environnement, a mis en évidence de nombreuses carences. Les pouvoirs publics, qui ignoraient les stocks et leur nature, ont beaucoup tardé à informer la population. Ils n’ont pas organisé de suivi médical pour les habitants de la région très fortement impactés par les pollutions.

Ici, ce pourrait être bien pire du fait de la présence simultanée de deux types de risques majeurs (chimique et nucléaire) couplés à de nombreux déclencheurs potentiels (risques d’inondation, sismique, de chute d’avion, de terrorisme, ou même tout simplement « erreur humaine » ou négligence).

C’est pourquoi nous souhaitons alerter les habitants de la région et les élus locaux sur la très grave menace que constitue la coexistence des industries à haut risque du parc industriel de la Plaine de l’Ain avec le site nucléaire du Bugey.

Coordination Stop Bugey

COORDINATION STOP-BUGEY
Le 26/11/2020 à 16:49:39

Je suis avec vous a fond.
Bonne courage.

roz
Le 23/11/2020 à 22:38:39

La cheffe de cabinet du ministère de la transition écologique a répondu, à la lettre ouverte à propos d'ICEDA, par un courrier du 6 novembre.
Voici sa réponse :
"Vous avez bien voulu appeler l'attention de Mme Barbara POMPILI, ministre de la Transition écologique, sur vos préoccupations concernant l'Installation de conditionnement et d'entreposage de déchets activés (Iceda) sur le site nucléaire du Bugey.
La ministre a pris connaissance de votre correspondance et vous en remercie.
Aussi, elle m'a chargée de transmettre votre courrier au directeur général de l'énergie et du climat pour que votre témoignage puisse alimenter les réflexions sur le sujet."

La ministre ne répond donc pas à la question qui lui a été posée et se décharge de son rôle politique sur l'administration qui, jusqu'à preuve du contraire, n'a pas de position sur le sujet. La ministre, qui est opposée au nucléaire, ne prend pas de décision, à ce stade.

Il faut continuer à faire connaître la cyberaction et à la faire signer pour inciter la ministre à prendre les bonnes décisions.

François VALLET
Le 12/11/2020 à 14:55:39

Alors que le nucléaire, par les catastrophes (Tchernobyl, Fukushima etc) connues, par les mensonges et contre-vérités publiés, par les manquements aux protocoles dans les centrales, par les pollutions des eaux, de l'air, par les déchets quasi éternels a fait la preuve de sa nuisance, il est urgent de laisser la place aux énergies renouvelables désormais plus rentables que l'énergie nucléaire ruineuse et très impactante pour les générations futures.
Daniel Déprez

Daniel DEPREZ
Le 12/11/2020 à 14:36:51

Accumulation des déchets radioactifs en Europe, des Etats sans solutions durables
https://www.goodplanet.info/2020/11/05/accumulation-des-dechets-radioactifs-en-europe-des-etats-sans-solutions-durables/  

Alain UGUEN
Le 09/11/2020 à 07:48:01

Ce site annoncé depuis pas mal de temps a toutes les qualités.
Le site de la centrale est non habilitée pour une autre activité qu'une centrale; un stockage même temporaire de 10 20 100 ou mille ans, c'est à dire rien en regard des déchets nucléaires n'a rien à faire au bord d'un fleuve agité. Le Rhône varie beaucoup .. et parfois .. trop.
Le site est bien choisi car comme on le sait chez EdF, les accidents n'existent pas. C'est pourquoi certains sites se trouvent SOUS le niveau du cour d'eau adjacent. Pas de risque car pas d'accident.
Au Bugey le Rhône est sous le niveau de la centrale, de pas beaucoup. Heureusement, EdF pense à tout !
on a le barrage de Vouglans.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Barrage_de_Vouglans#Risque_de_rupture_du_barrage  
Près à lâcher, quand vous voudrez. Enfin façon de parler.
La sécurité n'a pas de prix, la preuve !

L'irresponsabilité est mère des atrocités.
Et l'arbitraire est irresponsabilité...
Encore merci.

jean
Le 08/11/2020 à 20:26:18

Réponse à Léonard M

"L'alternative" à l'ICEDA c'est d'arrêter définitivement tous les réacteurs nucléaires existants et de ne pas en construire de nouveaux.
Les "zones à risque" ce sont toutes les installations nucléaires en fonctionnement. Les mettre à l'arrêt définitif c'est réduire drastiquement les risques en laissant les déchets d'exploitation là où il sont a priori correctement confinés, c'est à dire dans les piscines de refroidissement. Il faut bien sûr renforcer leur sécurité et les surveiller le temps nécessaire à la décroissance de la radioactivité, c'est à dire très longtemps! C'est du boulot à long terme pour les travailleurs du nucléaire qui savent faire ça correctement.
De toutes façons il n'y a aucune solution satisfaisante concernant les déchets nucléaires.
L'urgence c'est d'arrêter d'en produire. Lorsque ce sera fait il sera toujours temps d'examiner les différentes options possibles pour le très long terme.
Toutes les solutions mises en oeuvre, prétendument pour régler le problème, n'ont pour seul but que de continuer la production électro-nucléaire et donc des déchets radioactifs qui vont avec, ce qui aggrave le problème que devront gérer les générations futures.

François VALLET
Le 08/11/2020 à 15:08:18

Autant les EPR (et toute nouvelle centrale nucléaire basée sur la fission) sont indéfendables, autant il faut trouver une solution pour le problème des déchets nucléaires qui existent et dont on ne peut pas se débarrasser en claquant des doigts ... L'ICEDA ne paraît pas être une solution géniale, mais quelles sont les alternatives ? Laisser les déchets sur place et multiplier les zones à risque ?

Léonard M
Le 08/11/2020 à 00:42:32

pour répondre à Geneviève P. , je suis d'accord avec la non-utilisation de voiture électrique privilégier les transports en vélo ou à pied quand c'est possible . Mais il y a d'autres moyens d'éviter le nucléaire, comme par exemple, la baisse de la consommation ( électricité, mode d'élevage des animaux, moins de viande dans nos assiettes... ) etc...

Caroline de Villepin
Le 07/11/2020 à 16:12:06

Le nucléaire, un héritage très lourd et compliqué pour les générations qui nous suivront!!!
Sans compter le changement climatique et son accélération!
Les perspectives sont plus qu'alarmantes et si peu est fait au moins pour stabiliser les émissions de CO2 ou de méthane qui s'échappe du pergélisol sibérien, canadien et autres contrées où le sol restait gelé en permanence!... ce n'est plus la situation présente.
Le retour des USA dans l'accord de Paris sur le climat (si Jo Biden est élu) ne changera pas grand chose à l'affaire. Cet accord est déjà largement dépassé.
Les solutions proposées: 5G, voitures électriques, tout numérique sont une façon de nous précipiter vers une aggravation de la situation, la philosophie étant toujours plus, sans limites!

Déconfit
Le 07/11/2020 à 13:50:19

Le nucléaire est déjà fortement problématique par rapport à la santé, mais là c'est une vraie catastrophe répandue en douce sur le territoire français avec en prime un super risque sur notre région (Buget et au delà bien sûr ).
Au secours !

Danielle Roude
Le 07/11/2020 à 13:02:15

"Par dessous la jambe" plutôt!

Jean Paul MAIS
Le 06/11/2020 à 19:37:18


Si on veut des voitures électriques, il va falloir vouloir du nucléaire !! Je veux diminuer le nucléaire dc pas de voitures électriques, il faut donc se déplacer le moins possible en voiture, difficile quand on habite en campagne.

Pourcelle geneviève
Le 06/11/2020 à 19:02:17

Stop à la pollution nucléaire.

Roland COMTE
Le 06/11/2020 à 17:37:14

il s'en passe des choses bien laides et dangereuses dans notre dos !!!

maripachats
Le 06/11/2020 à 15:57:50

Déchets nucléaires: leur dangerosité va subsister des centaines de milliers d’années
https://www.rfi.fr/fr/science/20201104-déchets-nucléaires-leur-dangerosité-va-subsister-centaines-milliers-dannées  

Déchets nucléaires : l'équivalent d'«un terrain de foot haut comme trois fois la Tour Eiffel», rien que pour l'Europe
https://www.liberation.fr/terre/2020/11/04/dechets-nucleaires-l-equivalent-d-un-terrain-de-foot-haut-comme-trois-fois-la-tour-eiffel-rien-que-p_1804595  

Nucléaire : le coût du grand carénage revu à la hausse
https://www.actu-environnement.com/ae/news/revision-cout-grand-carenage-parc-nucleaire-edf-36414.php4  


L'Etat réfléchit au financement de nouveaux réacteurs nucléaires, selon Contexte
https://www.usinenouvelle.com/article/le-gouvernement-etudierait-le-financement-de-nouveaux-reacteurs-nucleaires-en-france.N1024469  

Alain UGUEN
Le 05/11/2020 à 14:53:21

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