actualité écologie

22 V'là les acteurs des transitions

Le Gouvernement abandonne le projet de Notre Dame des Landes

On l'a dans le BABA

Cyberaction N° 852: Refus du CETA Bravo et Merci au Gouvernement wallon

2023 l'année des droits

EPR : Echec Prévisible de la Roulette Russe

Les amis des 150

2024 année délicate

SPAM etc...

PROJECTION DU FILM UNE FOIS QUE TU SAIS

Journal des Bonnes Nouvelles

Bonne année 2025

AG Cyberacteurs

Ne laissez pas vos appareils en veille

APPEL : Les petits pas ne suffisent pas

33è anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl

vacances de votre animateur

météo

Jour du dépassement : Pourquoi le recul cette année du 'jour du dépassement' est un trompe-l'œil

image vide cyberacteurs
image vide



Cyberaction : Pour un rééquilibrage entre la consommation de protéines animales et de protéines végétales

Un collectif de 11 associations, dont fait partie le Réseau Action Climat, se réunit pour interpeller le gouvernement sur la mise en place d’objectif chiffré de réduction de la consommation de produits issus de l’élevage dans la future Stratégie Nationale Alimentation Nutrition Climat.

[ 1 312 participations ]

Pour aller directement à la signature Cliquez ici

Cette cyberaction a également pour objectif d'interpeller vos élus. Vous pouvez ajouter vos élus en copie du message en cliquant sur modifier des éléments après avoir rempli vos coordonnées

recommander par courriel    partager sur framasphère

 

Cyberaction mise en ligne le 09 avril 2025

Proposée par Cyberacteurs

Elle sera envoyée à Premier Ministre | à votre député
En soutien à Réseau Action Climat


Elle prendra fin le : 09 juillet 2025

Plus d'infos

protéines végétalesMonsieur le Premier Ministre, Mesdames et Messieurs les ministres,
La Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat (SNANC), prévue par la loi dite “Climat et Résilience” de 2021, est attendue depuis plusieurs années par les organisations de la société civile. Cette stratégie est cruciale pour accompagner au mieux l’évolution de nos systèmes alimentaires vers le “moins et mieux de produits animaux”, en proposant des solutions concrètes des consommateurs au monde agricole, en passant par l’aval des filières, afin de mener une transition agroécologique permettant de réduire les impacts de notre modèle conventionnel sur l’environnement, notre santé publique et les éleveurs mis sous pression par une demande de viande élevée et stable dans l’ensemble. Nous sommes donc extrêmement inquiets à l’idée que les objectifs chiffrés de réduction de la consommation de viande puissent disparaître de ce texte.

Un tel arbitrage ne nous semblerait pas acceptable, à l’heure où le consensus scientifique, les scénarios de prospective agricole les plus débattus en France (Afterres 2050 de Solagro, TYFA de l’IDDRI, Transition(s) 2050 de l’Ademe, etc), mais aussi la Stratégie nationale bas carbone française, le Conseil national de l’alimentation, le Haut Conseil pour le Climat, le Haut Conseil de la Santé Publique ou encore France Stratégie montrent tous que la baisse de consommation de produits d’origine animale est une nécessité pour adopter des pratiques agroécologiques dans les exploitations agricoles, se munir d’une planification écologique ambitieuse dans le secteur agricole et pour mettre en adéquation notre production alimentaire avec des objectifs d’intérêt général (pour l’environnement, la santé publique et une plus grande résilience face aux aléas environnementaux, sanitaires et géopolitiques).
Cette orientation est également largement soutenue dans l’opinion publique. Dans un sondage Harris Interactive mené pour le Réseau Action Climat et paru le 18 mars, plus des trois quarts des sondés affirment qu’ils pourraient limiter leur consommation de viande si cela permettait d’acheter de la viande de meilleure qualité qui rémunère mieux les éleveurs (79%), si cela permettait de réduire les importations de viande (77%) et si cela permettait de soutenir la production de viande issue d’élevages aux pratiques durables (77%). Par ailleurs, 85% des Français sont favorables à des campagnes de sensibilisation sur l’alimentation durable, encourageant à consommer moins de viande et à avoir une alimentation plus végétale. Enfin, 59 % considèrent que l’Etat n’en fait pas assez pour encourager les Français à diminuer leur consommation de viande et 63% à en consommer de meilleure qualité !

Rappelons dans le détail les enjeux en présence :
Concernant la santé publique : respectivement 33% et 66% de la population française adulte dépassent les quantités maximales recommandées par Santé Publique France pour la charcuterie (maximum 150 grammes par semaine) et la viande rouge – agneau, bœuf, porc, veau, etc. – (maximum 500 grammes par semaine), tandis que 72 % des Français ne mangent pas assez de fruits et légumes, et seulement 48 % mangent des légumes secs chaque semaine (MASAF). Dans son rapport de 2017, l’IGAS indique qu’une végétalisation de notre alimentation permettrait une diminution de 20 % des décès prématurés (IGAS, 2017). Chaque année en France, 28 000 décès sont imputés à une consommation excessive de viande rouge et de produits laitiers, et 57 000 à une consommation trop faible d’aliments d’origine végétale (Lancet, 2024). Dans cette logique, l’OMS rapporte qu’il est nécessaire, dans un pays comme la France, de diminuer la consommation de viande au profit d’aliments végétaux (OMS 2021, OMS, 2023). Le PNNS4, paru en 2019, recommande également d’aller vers une diminution de la consommation de viande et vers une augmentation des apports notamment en légumineuses, fruits, légumes, oléagineux. Par ailleurs, alors que les Etats-Unis font en ce moment face à une forte circulation du virus influenza aviaire H5N1 et H7N9, il apparaît stratégique de réduire notre sur-dépendance aux production animales à bas coût faisant peser un risque important sur la santé animale comme humaine.

Concernant les impacts environnementaux et le bien-être animal : les émissions du système alimentaire représentent 22 % de l’empreinte carbone globale de la France et les produits d’origine animale sont responsables de 61 % de l’empreinte carbone alimentaire (HCC, 2024). La réduction de la consommation de produits d’origine animale et le report vers d’autres sources de protéines est ainsi une condition sine qua non pour respecter les engagements internationaux de la France en matière de climat et de biodiversité, les grandes orientations nationales de la planification écologique pour le secteur agricole ainsi que pour répondre aux attentes citoyennes en matière de respect du bien-être animal et de l’environnement. En particulier, elles sont nécessaires pour répondre aux objectifs fixés par la SNBC en termes d’évolution du cheptel et d’évolution des modes de production vers des systèmes extensifs pour les bovins, les poulets et les porcs. L’évolution des modes de production en élevage vers le moins et mieux est enfin une nécessité en matière de biodiversité afin de réduire la pression sur les écosystèmes.

La SNANC doit donc fixer des objectifs chiffrés de réduction de la consommation de produits d’origine animale et proposer des mesures ambitieuses pour orienter les régimes alimentaires vers de la viande produite de façon plus écologique et vers la consommation d’une proportion plus grande de protéines végétales, tout en proposant des leviers pour accompagner les éleveurs dans la transition et leur assurer une juste rémunération (au travers de mesures assurant un plus juste partage de la valeur et plus d’équité entre agriculteurs et au sein des filières).

Pourtant, dans sa version actuelle, la stratégie nous semble manquer d’une vision cohérente et systémique pour l’ensemble du système alimentaire. C’est d’autant plus regrettable que cet objectif de transformation des régimes alimentaires constituerait un levier déterminant pour :

Répondre aux difficultés du monde agricole : la baisse de la consommation permettrait de réduire la pression exercée sur les éleveurs français, contraints d’augmenter leur volume de production en intensifiant leurs systèmes pour essayer de rester compétitifs. En plus d’être socialement coûteuse (réduction du nombre d’éleveurs, réduction du nombre d’exploitations, endettement important, moindre capacité à transmettre étant la valeur des actifs immobilisés sur les exploitations, temps de travail conséquent, etc), cette stratégie est vouée à l’échec pour des raisons structurelles : différences de coût de main d’œuvre avec d’autres pays européens qui rendent difficile le fait de se positionner sur de la compétitivité prix, impacts environnementaux locaux trop importants d’une intensification de la production avec le non-respect régulier de la directive nitrates et des pollutions locales ayant des impacts pour la santé publique et la qualité de vie sur les territoires, une démographie agricole qui induit mécaniquement aujourd’hui une baisse des volumes de production déjà en cours, etc.

Améliorer la souveraineté alimentaire : la réduction de la consommation de produits d’origine animale est un des leviers structurants pour améliorer notre souveraineté alimentaire, comme l’indiquent des rapports récents de la Direction générale du Trésor du ministère de l’Economie et du Réseau Action Climat. D’une part, les productions animales sont largement dépendantes des importations d’intrants (dont le soja et les engrais de synthèse pour produire l’alimentation des animaux). Ces importations créent des dépendances critiques et stratégiques vis-à-vis de l’étranger. À titre d’exemple, malgré le contexte géopolitique, la France a presque doublé ses importations d’engrais russes entre 2021 et 2022 (passant de 402 000 tonnes à 750 000 tonnes). D’autre part, 30 % de la viande consommée en France est importée, dont plus de la moitié en raison de l’explosion de la consommation de viande de poulet (FranceAgriMer, 2022). Les politiques publiques doivent ainsi se saisir de la SNANC pour réfléchir aux postes de consommation de viande importée (concentrés dans la restauration commerciale et les plats préparés et à emporter) et pour les réduire en mobilisant toutes les parties prenantes sur une stratégie « moins et mieux ». Pourtant, à ce jour, aucune politique publique n’encadre la flambée de la consommation de volaille (+15% en 5 ans) ou de saumon, les produits animaux dont les modes de productions suscitent pourtant le plus de questionnement sociétal. En parallèle, la part des importations de volaille est, elle, en augmentation constante : 48 % du poulet consommé en France n’est pas produit en France, et les importations de poulet ont augmenté de 36,9 % en 5 ans ! Concernant d’autres filières, c’est par exemple 30% de la viande bovine qui est importée dans les plats préparés et 55% dans la restauration commerciale (voire 62% dans la restauration rapide).

Soyons clairs, diminuer notre consommation moyenne de produits issus de l’élevage n’implique absolument pas un arrêt de la consommation de produits animaux ou un arrêt de l’activité d’élevage ; il s’agit simplement d’un rééquilibrage entre la consommation de protéines animales et de protéines végétales dont les proportions respectives se sont historiquement inversées en faveur des produits animaux, en dépit des impacts d’une production et d’une consommation dépassant nos limites planétaires et les recommandations de santé publique. Cette évolution des régimes alimentaires doit également permettre de maintenir puis créer des débouchés à des modes de production français plus écologiques, que ce soit en matière d’élevage ou de développement de la production de légumineuses conformément aux objectifs de nos politiques publiques. Le rôle de la SNANC serait selon nous de soutenir la structuration des filières de l’amont agricole à la commercialisation, comme l’ont fait plusieurs pays européens comme le Danemark et les Pays-Bas par exemple.
Compte tenu de toutes ces considérations, par soucis de cohérence des politiques publiques entre elles et d’adéquation entre l’action publique et les conclusions scientifiques existantes, nous vous prions par avance de faire mention dans la SNANC d’objectifs chiffrés de baisse de la consommation de viande rouge et de volaille correspondant, a minima, à ceux de la Stratégie Nationale Bas Carbone.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, Mesdames et Messieurs les Ministres, l’expression de notre très haute considération.

Élevage intensif et souveraineté : les limites du produire plus
https://reseauactionclimat.org/elevage-intensif-et-souverainete-les-limites-du-produire-plus/  

Nous vous proposons d'interpeller le Premier Ministre et votre député

Signer !

Récapitulatif

Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à premier-ministre@cab.pm.gouv.fr
Avec les éléments suivants :
  • Sujet : Rééquilibrage protéinique
  • Message : Madame, Monsieur
    Par souci de cohérence des politiques publiques entre elles et d’adéquation entre l’action publique et les conclusions scientifiques existantes, je vous demande de faire mention dans la SNANC d’objectifs chiffrés de baisse de la consommation de viande rouge et de volaille correspondant, a minima, à ceux de la Stratégie Nationale Bas Carbone.
    Croyez en ma vigilance sur vos votes

Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :

  • Votre député.

Vous pouvez modifier ces infos (sujet, texte, elus...) en choisissant l'option
"modifier des éléments" après avoir renseigné le formulaire "je signe sans compte"

credible

Les champs marqués d'une * sont obligatoires

J'ai un compte

Adresse électronique *
Mot de passe *
  
credible

Je signe sans compte

champs obligatoires
Nom *
Prénom *
Courriel *
Code postal *
Commune *
Pays *
champs facultatifs
Profession
Adresse

(Cyberactions et journal des bonnes nouvelles) Si vous les recevez déjà, pas besoin de cocher cette case.

Je souhaite que mes coordonnées (nom | prénom | code postal | commune | profession) ne soient pas visibles sur le site de cyberacteurs. Elles seront juste collectées afin de figurer sur le document au format PDF envoyé au(x) destinataire(s) de la pétition.



Vous pouvez modifier le sujet et le texte de cette cyberaction en choisissant l'option "modifier des éléments"

   

 

5 commentaires

credible

Connexion / inscription
image vide Vous devez posséder un compte pour pouvoir poster un commentaire
Courriel
Mot passe
Rester connecté-e

 

Si le "manger mieux", soit une alimentation saine et équilibrée, pouvait être accessible à toutes les bourses, ce serait un grand progrès non seulement pour la santé humaine mais aussi pour le bien-être animal et l'ensemble de la vie sur Terre.
Enfin, je profite de ce petit carré de commentaire pour exprimer un gros ras le bol face à la culture barbecue et T-bone steak directement importée des USA.
Pour certains dans nos villages, dès que les températures remontent, c'est tous les jours BBQ, et les odeurs de bidoche grillée vont allègrement s'insinuer dans le voisinage.
Aux US, entre la viande rouge hormonée, les sauces bourrées de sucre et le poulet javellisé, il s'agit ni plus ni moins d'un empoisonnement du corps et de l'esprit. De là à expliquer le résultat des dernières présidentielles... ;-))

Frawald
19/04/2025 - 08:03:13

personne ne prone l'arrêt de la viande ...
j'en mangeais très rarement, j'en mange plus à cause d'une anémie légère.
Qaunt au site https://www.climato-realistes.fr,   c'est juste un site de climato-sceptique comme d'autre.
J'ai une voiture, un lave-linge etc ... mais je suis conscient que notre mode de vie n'est pas tenable ... surtout si les bientôt 10Mds d'être humain s'y mettent.

martin bouchez
15/04/2025 - 21:47:40

Mêmes remarques que Michel et Philippe.
Je mange très rarement de la "viande" et quasiment jamais de "viande rouge" : j'ai été végétarienne et j'ai conservé de bonnes règles de gestion des protéines végétales, mais je sais que certaines personnes ont besoin de certaines molécules qui ne se trouvent que dans l'animal. Supprimez l'animal : finie la possibilité de fertilisation de nombreuses cultures, finis les oeufs, les fromages, etc. Et comme l'a dit Michel, les industriels trouveront le moyen d'empoisonner le monde avec des protéines artificielles et de la pseudo viande de culture...
Mangeons sobrement, et arrêtons d'interdire et de forcer les gens à ce qu'ils considèreront comme des "sacrifices", le mieux est d'informer et d'éduquer, le viandisme n'est pas une solution mais le végétalisme non plus.

Anne
14/04/2025 - 12:23:06

Je suis d'accord avec le fait de réduire les protéines animales.
Je consomme personnellement 450g de viande et poisson par semaine.
Mais votre rédaction ne permet pas de distinguer les règles sanitaires que chacun devrai mettre en place et le contenu des plats cuisinés.
Car je pense que les industriels vanteront les protéines végétales pour maintenir leurs prix et s'enrichir un peu plus à cette occasion.
Je sais l'exercice difficile et continue à vous suivre attentivement avec bienveillance.
Bien cordialement.

Michel Decollogne
13/04/2025 - 02:13:51

Encore une cyberaction que je ne signerai pas. Avez-vous pris connaissance de éléments de dossiers transmis dans mes précédents commentaires sur d'autres actions, éléments relatifs à l'évaluation correcte de l'influence anthropique dans les évolutions climatiques et la place du CO2 dans celles-ci?
La présente action tend à en faire douter.
Consulter les documents scientifiques présentés sur le site de https://science-climat-energie.be   ainsi que sur le site https://www.climato-realistes.fr   pourrait vous apporter de quoi ne pas baser vos argumentaires sur de mauvaises raisons.

Je précise que je suis végétarien depuis plus de quarante ans et bien persuadé de l'intérêt sanitaire et éthique de la diminution des produits animaux.

Cordiales salutations.

Philippe LEBOURG
10/04/2025 - 19:11:36

 

Diffusion de l'info

Vous avez un site internet, un blog ? faites un lien vers cette cyberaction en insérant ce code sur votre site:

 

Formulaire de collecte d'informations

  • Les informations qui vous concernent sont destinées à Cyberacteurs.
  • Elles serviront uniquement à des opérations dont Cyberacteurs aura la maîtrise, soit seul, soit en partenariat avec d'autres.
  • Les données (nom, prénom, adresse électronique, ville, profession) sont stockées afin d'empêcher de participer deux fois à la même cyberaction .
  • Elles n'aparaissent en aucun cas sur notre site, ni celui de notre partenaire.
  • Les données (nom, prénom, code postal, ville, profession) peuvent éventuellement être publiées sur un fichier pdf et envoyées au(x) destinataires(s) de la cyberaction .
  • Les adresses électroniques ne seront en aucun cas diffusées à quiconque, excepté bien sûr au destinataire de votre courriel.
  • Les adresses postales pourront être éventuellement utilisées dans le cadre d'envois communs à plusieurs partenaires le tiers (imprimeur ou expéditeur) s'engageant expressément à n'utiliser le jeu d'adresses que pour l'envoi concerné.
  • En cliquant sur "Je souhaite recevoir les prochaines actions par courriel", vous acceptez de recevoir les cyber@ctions diffusées par Cyberacteurs au rythme d'une quarantaine par an (inactivité complète en juillet et aout). Vous ne recevrez aucun message d'autres que de cyberacteurs.
  • Chaque message comporte à la fin une formule de désabonnement utilisable à tout moment.
  • En ne cliquant pas sur "Je souhaite recevoir les prochaines actions par courriel", vous ne recevrez de Cyberacteurs aucun autre message que les confirmations de participation à une cyber@ction ou pétition.
  • Vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des donnés qui vous concernent (art. 34 de la loi "Informatique et Libertés"). Pour l'exercer, adressez vous à Cyberacteurs
traits de séparation
Agir
+ Pétitions
+ Cyber actions
+ Liste rapide
+ Proposer
+ Vigilance roundup
+ Cyber manifestations
+ Bilans
+ Lanceurs d'alertes
+ Consultations
Super actions
+ Vigilance roundup
+ Hors TAFTA
S'informer
+ Blog
+ e-quotidien
+ Sites amis
+ Annuaire solidaire
+ Publications
+ Vidéo
+ Agenda
+ Liste d'élus
+ Infos sur les OGM
Nous connaître
+ L'association.
+ Les statuts
+ FAQ
+ Nous contacter
Mon compte
+ Connexion
+ Déconnexion
+ Inscription
+ Lettre d'infos
+ Mon profil
Nous aider
+ Don
+ Adhésion
+ Recommander
+ Code pour sites
+ Livre d'or
+ Boutique solidaire

 

notre page framasphère    notre page facebook    icone twitter    icone google+   icone flux rss   
traits de séparation
| CYBERACTEURS | C/O Alain Uguen 152 rue F.Pelloutier 29000 Quimper | Mentions légales
| GRAPHISTE : Mary-Morgane |
logo enercoop

CSS Valide !