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Cyberaction : Non aux EPR2 de Gravelines

Le débat public sur le projet de construction d’une paire d’Evolutionary Power Reactor (EPR2) à Gravelines a démarré le 17 septembre.

[ 1 447 participations ]

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Cyberaction mise en ligne le 24 septembre 2024

Proposée par Cyberacteurs

Elle sera envoyée à Premier Ministre

Plus d'infos

Nucléaire non merciAu détriment des populations concernées, le président Emmanuel Macron a annoncé la construction de 6 nouveaux réacteurs nucléaires (modèle EPR2) dans plusieurs territoires du pays, dont Gravelines dans les Hauts-de-France. Située en bord de mer du Nord, notre commune accueille déjà 6 réacteurs et constitue la plus grande centrale nucléaire d’Europe de l’Ouest !

Nous dénonçons la sur-concentration de ces infrastructures nucléaires, déjà implantées en nombre sur ce notre territoire et refusons toute nouvelle installation, alors même que le territoire de Gravelines est vulnérable au dérèglement climatique et particulièrement aux submersions marine et fluviale.

Compte-tenu de ces risques réels et des dégâts irréversibles sur la population, nous appelons EDF et le gouvernement à abandonner immédiatement le projet de construction de deux nouveaux réacteurs EPR2 à Gravelines.

Pourquoi faut-il agir maintenant ?

Dangers environnementaux et industriels : Un cocktail explosif

1. Le risque de crue dans le delta de l'Aa
Le site de Gravelines est situé dans une zone particulièrement vulnérable aux inondations, notamment le polder du delta de l’Aa, connu sous le nom de "Pays des Wateringues". Ce polder est une terre basse entourée de digues, qui repose sur un équilibre hydrologique précaire, rendu encore plus instable par la montée des eaux liée au changement climatique. Si en 1953, une inondation historique a déjà frappé cette zone, il y a également eu des inondations début 2024, rappelant la fragilité du littoral face aux phénomènes naturels extrêmes, par ailleurs amenés à s’accentuer, au risque des tempêtes, potentiellement accentué par grandes marées, s’ajoute désormais la montée des eaux marines liée au dérèglement climatique...

2. La proximité des sites Seveso : Une zone à hauts risques industriels
Le Dunkerquois est une région déjà fortement industrialisée, avec une concentration de sites classés dangereux (sites Seveso), dont plusieurs se trouvent à proximité immédiate de la zone retenue pour la construction des deux nouveaux EPR.. Ajouter une centrale nucléaire au cœur de cette zone particulièrement sensible constitue un risque supplémentaire majeur. En cas d'incident sur l'un de ces sites Seveso, les conséquences pourraient être aggravées par la proximité du réacteur nucléaire, augmentant la probabilité d'un scénario catastrophe.
La sécurité des habitants du Dunkerquois, ainsi que celle des travailleurs de ces installations, serait gravement compromise par la cohabitation entre une nouvelle centrale nucléaire et ces infrastructures à haut risque.

3.  Un territoire sur-nucléarisé : Le plus grand pôle nucléaire au monde
Le projet de construction de deux réacteurs EPR à Gravelines ferait de cette zone le premier pôle nucléaire mondial, avec une concentration unique de réacteurs. Actuellement, la centrale de Gravelines compte déjà six réacteurs de 900 MW chacun. Si deux nouveaux réacteurs EPR de 1600 MW chacun venaient s’y ajouter, cela porterait la capacité totale à un niveau jamais atteint dans une seule et même localité.

Ce niveau de concentration nucléaire est extrêmement préoccupant pour la sécurité régionale et nationale. Les répercussions en cas d’incident seraient d’une ampleur inédite Il est inadmissible de faire de notre région un laboratoire nucléaire à ciel ouvert, en ignorant les leçons des catastrophes passées, telles que Fukushima ou Tchernobyl.
4. Vieillissement des infrastructures et coexistence dangereuse des réacteurs
L'installation des EPR2 à Gravelines se ferait en parallèle du vieillissement des six réacteurs existants, dont certains,déjà en fin de vie, sont ou seront prolongés. Ils sont amenés à être démantelés selon un processus long et complexe qui comporte des risques majeurs (le démantèlement d'un réacteur nucléaire peut durer jusqu'à 40 ans), pendant lesquels des déchets radioactifs hautement dangereux, comme les générateurs de vapeur irradiés, restent sur le site.

Face à ces risques majeurs (submersion marine et fluviale, concentration de sites industriels classés comme dangereux  et coexistence entre réacteurs vieillissants et nouveaux), et comptant l’impact potentiel sur la biodiversité marine et la pêche artisanale, nous demandons à l’Etat une réponse appropriée, ambitieuse et sans ambiguïté. 

Nous demandons au gouvernement d’abandonner ce projet dangereux et de privilégier des solutions énergétiques plus sûres et durables comme les énergies renouvelables. Une transition énergétique avec un mix basé sur  les énergies renouvelables est possible, et essentiel pour assurer un avenir sûr et durable à notre région, tout en étant rapide à mettre en œuvre et générant de nouveaux emplois.

? Citoyen·es du Dunkerquois et des Hauts-de-France, nous devons pouvoir choisir l'avenir énergétique de notre région et pays, avec l'objectif de laisser un territoire sûr et viable à nos enfants. Mobilisez-vous à nos côtés pour dire NON à ce projet nucléaire imposé !

Nous avons l’opportunité d’affirmer notre opposition au projet et de faire prendre conscience largement des dangers qui pèsent sur notre territoire en participant largement à l’enquête de La Commission Nationale du Débat Public, ouverte du 17 septembre 2024 au 17 janvier 2025. L’enjeu est de taille, mobilisons-nous ! 
https://www.debatpublic.fr/construction-dune-paire-de-reacteurs-epr2-sur-le-site-de-gravelines-5105  

Participer au débat sur le site de la CNDP
https://participer-debat-gravelines.cndp.fr  

NUCLÉAIRE : DES EPR INUTILES ET IMPOSÉS. MOBILISEZ-VOUS AVEC FNE !
https://fne.asso.fr/actualites/nucleaire-des-epr-inutiles-et-imposes-mobilisez-vous-avec-fne  

Signer !

Récapitulatif

Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à premier-ministre@cab.pm.gouv.fr
Avec les éléments suivants :
  • Sujet : Non aux EPR2
  • Message : Monsieur le Premier Ministre
    Je demande au gouvernement d’abandonner ce projet dangereux. Une transition énergétique avec un mix basé sur  les énergies renouvelables est possible, et essentielle, pour assurer un avenir sûr et durable à la région, tout en étant rapide à mettre en œuvre et générant de nouveaux emplois.
    Croyez en ma vigilance sur vos décisions

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26 commentaires

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Belle fuite en avant que celle de la France. le retard pris dans la transition vers des énergies renouvelables découle en grande partie de ce confort que nous a amené le nucléaire. L'énergie qui vient de nulle part. Quel que soit le débat auquel je suis amenée à participer la problématique des déchets "éternels" n'est que rarement abordée et souvent minimisée. Incident majeur dans la vallée du Rhône? Que devient la Camargue? Nos fleuves? Nos rivages? Plus le temps passe plus les risques d'incident s'accumulent. De combien de territoire la France peut-elle se passer?

Françoise BUSSY -TROMBERT
20/01/2025 - 19:06:37

absolument contre le nucléaire, dangereux polluant à l'extraction( et nous ne sommes pas autonomes sur ce plan) et qui impacte les générations futures pour des millénaires à cause des déchets.

FRANÇOISE WAROT-BELLIS
19/01/2025 - 17:59:18

L'énergie nucléaire n'est pas une solution viable :
- coûts de construction non maitrisés
- zéro autonomie (importation de l'uranium)
- extraction hyperpolluante
- exploitation à risque,
- déchets sans solutions

katherine Kombia
18/01/2025 - 16:23:04

Arrêtez les frais, vu le coût du premier !

evelyne calmel
18/01/2025 - 12:28:13

Le risque est peut-être minime mais un accident serait gigantesque,épouvantable.Alors,il faut avoir le courage de dire qu'avec l'argent économisé,on peut faire BIEN des choses très très BIEN!!!

René Kermagoret
16/01/2025 - 23:10:30

NON aux EPR2 de Gravelines !!! ça suffit !!!!

Marylène PAVY
16/01/2025 - 18:18:31

Canard Enchaîné du 8 janvier 2025 : l'EPR consomme plus qu'il ne produit
https://www.cyberacteurs.org/pdf/canard-enchaine_16.png  

Alain UGUEN
16/01/2025 - 17:06:09

Pourquoi des EPRs ou des ''mini centrales nucléaires'' à Penly ou ailleurs?
Il n'y a pas d'uranium en France ! Il est importé . Aucune indépendance énergétique donc !
Tout est dit...

Solutions ? : développer à grande échelle sans attendre les autres moyens de production d'électricité, mettre un terme au gaspillage (éclairages publicitaires la nuit,par exemple), booster l'efficacité énergétique et ...sortir du nucléaire au coût explosif, aux déchets hautement radioactifs que nous laissons aux générations futures et qui ne garantit à notre pays ni indépendance, ni sécurité !

Viviane Thebault
16/01/2025 - 16:55:40

Je rejoins les anti-nucléaires :
- coût faramineux et rentabilité nulle,
- danger d'accidents majeurs,
- extraction hyper polluante au Niger notamment,
- perturbation du réseau hydrographique (rejets chimiques et radioactifs)
- et surtout les déchets qui n'ont pas trouvé de solutions.
" inactifs aujourd'hui, radioactifs demain"

soazig GUENNOC
16/01/2025 - 13:20:39

Bien le bonjour à toutés !
La planification de construction d'EPR (technologie de la fin des années 70) est à l'ordre du jour depuis la fin des années 2000.
Cette programmation prévoit l'édification de 22 EPR afin de renouveler le parc existant, en obérant de fait que la ressource Uranium n'est pas éternelle (au plus une quarantaine d'années), contrairement aux déchets radioactifs qui eux le sont à notre échelle d'Humaine.
Il s'agit d'un choix industriel et d'une volonté à toujours organiser une dépendance des populations vis-à-vis de l'énergie électrique.
Ils ont peur d'un changement de paradigme, de voir les Communes ou les Citoyennes et Citoyens produire de l'énergie électrique, ainsi ils ne feront rien pour équiper toutes les toitures bien orientées. Au contraire, ici ou je vis (Tarn), il y a de multiples contre exemple avec des installations photovoltaïques côté nord-ouest...

Si le l'énergie nucléaire, vu la situation du moment, et l'endettement, est et sera un vecteur de transition, il est absurde de continuer à miser dessus pour l'avenir, sauf à vouloir continuer de produire aussi des bombes...

Meilleurs voeux à toutés.
FeelBio

Philippe BIAUX
16/01/2025 - 10:24:54

Non aux EPR2 de Gravelines

Gwenola Génot
15/01/2025 - 19:15:01

L'association dont je suis membre a rédigé un cahier d'acteurs dans le cadre du débat public EPR2 Gravelines - c'est le numéro 21 - nous y pointions notamment les coûts qui n'ont cessé de déraper pour l'EPR Flamanville et pour les autres premiers EPR Finlande - Hinkley Point- et les grands flous sur le coût des EPR2 à venir.

Anita VILLERS
15/01/2025 - 18:37:40

l'EPR n'est pas rentable.

EPR2 : la Cour des comptes sonne l'alarme sur les dérives financières
La Cour des comptes a présenté hier à la presse un rapport salé sur la « filière EPR ». Elle a calculé « une rentabilité médiocre » n'atteignant pas plus de 2% pour l’électricité produite l' EPR de Flammanville, le premier sur le sol français. Ce dernier a été raccordé au réseau le 21 décembre 2024, avec douze ans de retard.
https://reporterre.net/L-EPR-n-est-pas-rentable-tranche-la-Cour-des-comptes  

Alain UGUEN
15/01/2025 - 11:45:30

On sait que le nucléaire n'est pas la solution. De plus, la fusion des deux instances de surveillance ne sont pas un bon signe d'impartialité, et augmente donc les risques d'accidents.

Sylviane CONGNARD
06/12/2024 - 18:38:58

Justice : 3 ONG requièrent la prise en compte de la centrale nucléaire dans le Plan de prévention des risques littoraux
https://www.sortirdunucleaire.org/Justice-3-ONG-requierent-la-prise-en-compte-de-la  

Greenpeace France, le Réseau “Sortir du Nucléaire” et France nature environnement Hauts de France demandent aux Préfets du Nord et du Pas-de-Calais d’abroger le plan de prévention des risques littoraux (PPRL) de Gravelines, Grand-Fort-Philippe et Oye-Plage (59). Les associations dénoncent l’obsolescence des données scientifiques sur lesquelles s’appuie le PPRL et l’absence de prise en compte de la centrale nucléaire de Gravelines dans celui-ci, alors qu’elle se situe dans son périmètre.

Alors que Greenpeace France mène depuis plusieurs mois des actions de terrain et mobilise son expertise pour alerter la population sur les risques de submersion marine et d’inondation terrestre de la centrale nucléaire de Gravelines, Greenpeace France, le Réseau "Sortir du Nucléaire" et FNE initient un recours pour demander l’abrogation du Plan de Prévention des Risques Littoraux (PPRL) faute de prise en compte de la centrale nucléaire de Gravelines dans ce plan.

Une responsabilité incombant à l’État

Le PPRL de Gravelines fait partie des Plans de Prévention des Risques Naturels (PPRN) [1]. Il a pour but de cartographier les aléas d’une zone et de prescrire des mesures de prévention, de protection et de sauvegarde pour éviter d’aggraver ou de créer de nouveaux risques ou vulnérabilités pour le territoire, sa population et l’environnement.

Les préfets du Nord (Gravelines et Grand-Fort-Philippe) et du Pas-de-Calais (Oye-Plage), responsables de la prescription et de l’approbation du PPRL, ont validé un plan qui n’a pas pris en compte la centrale nucléaire, pourtant implantée au cœur du périmètre du PPRL Gravelines – Oye-Plage. Ce plan, qui a été soumis à la population (dans une enquête publique en 2016), ne permettait donc pas aux habitant·es de prendre connaissance du risque auquel est exposée la centrale ni de celui qu’elle génère. Il mentionne spécifiquement que « La centrale de Gravelines n’est pas concernée par l’aléa de submersion marine » (page 54), alors que ce périmètre est identifié comme un secteur particulièrement vulnérable au risque de submersion marine [2].

Des ouvrages de protection faillibles

Au regard de l’importance des risques littoraux, aggravés par le dérèglement climatique, et du risque nucléaire intrinsèque à la centrale, les organisations s’étonnent de cette exclusion alors qu’il est avéré que la centrale de Gravelines est bien concernée par l’aléa de submersion marine. La documentation d’EDF relève que le risque de submersion marine est « identifié depuis la construction ». La mise en place par EDF de barrières de protection autour de la centrale en témoigne directement.

Pour Maître Clément Capdebos, avocat des organisations requérantes :
« Aucune disposition législative ou réglementaire n’exclut, par principe, les centrales nucléaires et leurs terrains d’implantation du périmètre des Plans de pPévention des Risques Littoraux (PPRL). Il est donc attendu de l’État, chargé de l’élaboration du PPRL, qu’il réalise une analyse exhaustive et concrète du risque auquel est soumis le territoire, sans exclure la centrale. Cet examen doit prendre en considération le fait qu’aucun ouvrage de protection ne peut être considéré comme infaillible. Celui entourant la centrale actuelle ne peut donc justifier son absence de prise en compte dans le PPRL. Par ailleurs, l’obsolescence des données climatiques mobilisées interroge quant à la capacité du PPRL à garantir la sécurité des habitants de la zone couverte et de la centrale. Il doit donc être abrogé et remplacé par un PPRL respectant le cadre juridique applicable. »

Rétablir la voix des scientifiques

Les trois organisations dénoncent également l’obsolescence des données scientifiques prises en compte pour déterminer l’aléa de submersion marine à échéance 100 ans. Avec le projet d’EDF actuellement en discussion pour la construction de deux réacteurs nucléaires supplémentaires sur la centrale de Gravelines, la question de l’impact de la centrale dans le PPRL se poserait encore jusqu’à au moins 2120.

Pour Pauline Boyer, chargée de campagne Transition énergétique à Greenpeace France :
« Depuis que nous travaillons sur le dossier des risques climatiques concernant la centrale nucléaire de Gravelines, nous constatons que les plans des autorités ou les dossiers d’EDF courent derrière l’évolution constante du dérèglement climatique. Ils échouent perpétuellement à être à jour. Ce PPRL [3] a même été approuvé par l’État avec des données scientifiques déjà dépassées au moment de son adoption, ce plan ne s’appuyant même pas sur le dernier rapport du GIEC publié à l’époque. Ce PPRL illustre à quel point l’État sous-estime le risque climatique et l’impact qu’il peut avoir sur la population habitant ce littoral, et sur l’environnement. »

Pour Nicolas Fournier, membre de France Nature Environnement Hauts de France : « Quand, à l’époque de la concertation sur le PPRL Gravelines – Grand-Fort-Philippe, nous nous étions penchés sur ces plans de prévention, nous nous étions déjà étonnés que le périmètre du CNPE soit complètement évincé de l’étude, comme s’il s’agissait d’une zone exorbitante du droit commun ! »

Pour Marion Rivet, porte-parole du Réseau “Sortir du Nucléaire” :
« L’exclusion du site nucléaire de Gravelines du périmètre du PPRL montre une nouvelle fois que l’État entend avancer dans son projet mortifère de nouveaux réacteurs nucléaires en dépit des lois de la nature et au détriment de la protection de la société civile. Le réchauffement climatique et la montée des eaux qu’il induit devraient nous enjoindre à changer drastiquement de modèle de production et de consommation. Mais plutôt que de s’adapter, l’État français préfère entériner un régime d’exception pour le nucléaire. Stop à cette course en avant démesurée ! »

Alors que le débat public pour le projet de construction de deux nouveaux réacteurs nucléaires à Gravelines est en cours, Greenpeace France, le Réseau "Sortir du Nucléaire" et FNE s’inquiètent de l’invisibilisation de la centrale dans un plan d’utilité publique alors même qu’elle est soumise au risque de submersion marine. Cette absence de prise en compte de la centrale nucléaire et des données climatiques récentes justifie que ces organisations demandent explicitement l’abrogation ou, a minima, la révision du PPRL.

Notes:

[1] défini par l’article L. 562-1 du code de l’environnement, il permet de délimiter les zones exposées au risque et d’y interdire la construction ou de prescrire des conditions de réalisation de celle-ci. Il délimite également les zones exposées aux risques où les constructions pourraient aggraver les risques déjà existants ou en provoquer de nouveaux pour y prévoir les mesures d’interdiction ou de prescriptions. Enfin, il définit les mesures de prévention, de protection et de sauvegarde devant être prises dans ces zones.

[2] la centrale se situe dans un « territoire à risque important d’inondation » (TRI), au sens de la directive 2007/60/CE du Parlement européen et du Conseil du 23 octobre 2007 relative à l’évaluation et à la gestion des risques d’inondation.

[3] par arrêté inter-préfectoral le 11 octobre 2017

Alain UGUEN
05/12/2024 - 14:46:23

Permettez-moi de vous présenter à nouveau :
???? La CAUSE ANTHROPIQUE ORIGINELLE du RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE ????

Le GIEC dit :
Le RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE est un CONSTAT, et le CARACTÈRE ANTHROPIQUE de sa CAUSE a été PROUVÉ, débattu, approuvé pour le 5ème rapport du GIEC, et ACTÉ lors de la COP21.
???? Le PROBLÈME est que :
la PREUVE du CARACTÈRE ANTHROPIQUE
de la CAUSE du RÉCHAUFFEMENT
N'EST PAS "la CAUSE ORIGINELLE".
On nous parle d'augmentation du CO2, dont l'origine est la combustion des énergies fossiles, mais qu'en est-il des autres PRODUITS de cette réaction de combustion ?
????- L'eau PRODUITE par oxydation (COMBUSTION) des chaînes hydro-carbonées aurait une durée de vie de 12 jours, trop courte pour avoir un impact climatique. Elle tombe, et rejoint la mer... OK !
????- L'ÉNERGIE THERMIQUE libérée par cette combustion, donc issue de l'activité humaine, est donc ANTHROPIQUE. Elle est rejetée dans la biosphère, rivières, lacs, océans, atmosphère, a pour conséquences :
?? - la libération de GES par fonte des matrices glacées, clathrates et permafrost environnants,
?? - la libération de GES par diminution de leur solubilité dans l'eau, activant des rétroactions qui vont réduire l'activité des puits de carbone minéral et biologique naturels.
?? - l'augmentation de l'activité chimique des ions, ce qui déclenche la décomposition des calcaires,
Le bilan de ces trois processus est que les zones de rejets thermiques deviennent émettrices de GES.
?? - la RETENTION THERMOHYGROMETRIQUE d'eau dans l'air. La durée de vie de cette eau-ges dans l'air n'est pas de 12 jours, comme l'eau produite par combustion, elle est celle de son fait générateur, la chaleur rejetée par nos activités, dans la biosphère,
???? Ces augmentations anthropiques de composés ont pour conséquence
L'AUGMENTATION ANTHROPIQUE
du COEFFICIENT D'ABSORPTION RADIATIVE du mélange atmosphérique,
qu'il suffit de M U L T I P L I E R par
la PUISSANCE des FLUX RADIATIFS
traversant l' ATMOSPHÈRE,
pour obtenir
L'AUGMENTATION ANTHROPIQUE
de la PUISSANCE RADIATIVE CAPTURÉE,
conférant à ce processus un rôle
A M P L I F I C A T E U R,
dont le facteur est 13000 fois plus grand que
la CAUSE ANTHROPIQUE ORIGINELLE,
la CONSOMMATION EXCESSIVE D'ÉNERGIE
par l' HUMANITÉ.
???? Le RÉSULTAT de cette
AMPLIFICATION THERMIQUE
par l' ABSORPTION des FLUX RADIATIFS
est alors "RÉGULÉ" par
les CYCLES THERMODYNAMIQUES de L'EAU.
???? EXPLICATION
Chaque cycle thermodynamique de l'eau est constitué de plusieurs phase :
ÉVAPORATION (énergie latente)
CONVECTIONS THERMIQUES (énergie mécanique)
TRANSPORT aérien (énergie mécanique)
CONDENSATION, (libération d'énergie latente sous forme thermique)
PRÉCIPITATION, (énergie mécanique)
RUISSELLEMENT avec hydratation du vivant (énergie mécanique).
???? La phase de condensation libère la différence :
"l'énergie thermique puisée à l'évaporation, moins celle mécanique ayant servie à son transport".
Cette énergie thermique libérée participe
à la RÉTENTION D'EAU-GES,
et à d'autres cycles de l'eau.
=> Il faut donc PLUSIEURS CYCLES DE L'EAU
pour CONVERTIR
L'ÉNERGIE THERMIQUE initialement rejetée,
en ÉNERGIE MÉCANIQUE.
Les cycles de l'eau ne faisant que réguler la température de la biosphère, le fait de constater un réchauffement prouve que
nos REJETS THERMIQUES ANTHROPIQUES
sont EXCESSIFS,
et ce qui permet de les rendre excessifs est
notre EXCÈS de CONSOMMATION D'ÉNERGIE,
rendu possible
par IMPORTATION dans la BIOSPHÈRE.
???? EXPLICATION ANALYTIQUE.
??Comme indiqué précédemment, chacune des augmentations anthropiques des composés ayant une absorption radiative, participe à l'augmentation anthropique du coef d' absorption radiative de l'air.
??Pour obtenir la puissance des flux radiatifs capturés, il suffit de multiplier l'augmentation anthropique du coef d'absorption de l'atmosphère par la puissance des flux radiatifs qui la traversent.
=> Si l' humanité consomme environ le 13000ème de la somme des flux radiatifs solaires et terrestres, cela signifie aussi que ces flux, bien que constants, ont un ordre de grandeur 13000 plus grand que la cause anthropique originelle de ces augmentations, qui est la consommation d'énergie par l' humanité... qui, je le rappelle, produit, libère, retient des composés qui ont une absorption radiative spécifique.
A l' ÉQUILIBRE MÉTASTABLE INITIAL, la CAPTURE RADIATIVE peut S'ÉCRIRE :
P : Puissance radiative capturée
Ci : Concentration moyenne du composé "i" ayant une absorption radiative spécifique
Ki : Coef d'absorption radiative spécifique du composé i
F : Somme des flux radiatifs terrestres et solaires traversant l'atmosphère
=> P = [Somme(Ki . Ci)] . F
L'humanité provoque une AUGMENTATION des COMPOSÉS "i" ayant une absorption radiative :
dCi : Augmentation anthropique de Ci
dP : Augmentation anthropique des flux capturés
=> dP = [Somme(Ki . dCi)] . F
Cette augmentation dCi des composés "i" est pratiquement proportionnelle à l'énergie dX consommée par l' humanité
=> dCi = Ai . dX
=> dP = [ Somme(Ki . Ai) ] . dX . F
Cette écriture mathématique "simplifiée" permet de constater que les FLUX RADIATIFS NATURELS "F" sont un coefficient MULTIPLICATEUR, qui confère à la phase ABSORPTION RADIATIVE de l'effet de serre, un rôle AMPLIFICATEUR de nos rejets anthropiques.
Il y a réchauffement climatique global à cause de la permanence et l'importance de nos rejets thermiques, donc de notre consommation d'énergie, qui, une fois amplifiés par absorption radiative, dépassent le potentiel de conversion des cycles de l'eau.
L'altération du biotope, la déforestation, notre fuite productiviste consumériste en avant contribuent à affaiblir les cycles de l'eau, ce qui ferme plusieurs boucles de rétroaction positives, telles que les dévastations diluviennes, et les blocages anticycloniques, avec des froids extrêmes en hiver, et des sécheresses caniculaires avec incendies en été, qui nous précipitent vers la 6ème extinction.
=> Pour LUTTER CONTRE le RÉCHAUFFEMENT il faut CESSER D'IMPORTER de L'ÉNERGIE dans la BIOSPHÈRE, qu'elle soit fossile, nucléaire, géothermique, ou solaire non-albédo-compensée.
???? Nous feront une exception pour les gaz de couche, composés d'alcanes légers, dont le méthane qui a un pouvoir d'accélération du réchauffement très important, et dont le stockage naturel en couches géologiques, nous expose à libérations massives par séisme, occasionnant un flash climatique à l'échelle des ères climatiques.
=> Nous avons donc intérêt à dégonfler cette bombe climatique pour effectuer la TRANSITION ÉNERGÉTIQUE et SOCIO-ÉCOLOGIQUE MONDIALE.
???? Il faut aussi :
- réduire nos émissions de GES en réorientant l'élevage carniste vers un élevage synergie,
- et restaurer les cycles de l'eau en replantant des forêts.
????? Planter des arbres en continuant à importer de l'énergie, sera vain. C'est faire un travail de Shadocks.
Merci pour votre attention, et pour vos questions que j'espère d'avance respectueuses et pertinentes.

Daniel LAMBEAUX
09/10/2024 - 17:49:54

Quand l'accident nucléaire sera venu , on nous expliquera que nous sommes les fautifs ! Car ayant voulu ne pas vouloir limiter notre consommation à laquelle on nous pousse si allègrement aujourd'hui , nous serons les dindons de la farce !! Toujours plus pour la consommation et toujours moins pour la survie de la planète ! Nos descendants nous maudiront à juste titre !

serge Schwindenhammer
06/10/2024 - 09:22:37



Des EPR en bord de mer : la mauvaise idée du gouvernement
Des EPR la mauvaise idée!!!!!

mondo
05/10/2024 - 16:52:50

Des EPR en bord de mer : la mauvaise idée du gouvernement
https://reporterre.net/Des-EPR-en-bord-de-mer-la-mauvaise-idee-du-gouvernement  

Dans son rapport, Greenpeace conclut en convoquant une citation pleine de bon sens de Valérie Masson-Delmotte, ex-coprésidente du groupe I du Giec. « La réponse à la montée du niveau de la mer demande une planification à très long terme. Les deux seules choses qui empêchent les risques, c’est de ne pas construire dans les zones qui seront soumises aux risques littoraux, et le repli planifié. Le reste ne fait que faire gagner un peu de temps. »

Alain UGUEN
03/10/2024 - 10:12:18

N'en jetez plus,les EPR au fossé: il y a déjà tant de boulot pour consolider les ruines des centrales confiées aux intérimaires qui n'ont rien demandé.
Tout est dit dans le texte du 26 09 24 de M. Uguen.
Gravelines doit refuser ces deux EPR et autoriser une manif anti nucléaire qui attirera M Retailleau, remplaçant du préfet du coin. Cela fera du foin.

Aïchat Nussy

Colette Nusbaum Vallet
30/09/2024 - 15:58:00

Gravelines, c’est déjà l’équivalent de Zaporijjia, et c’est déjà une magnifique cible pour les missiles de M. Poutine ou de n’importe quel autre terroriste d’Etat à venir. Avec deux EPR en plus, on améliore encore la cible. Cette raison s’ajoute à toutes les autres pour interdire leur construction. ACDN  www.acdn.net.  

Jean-Marie Matagne
28/09/2024 - 13:22:55

Rouen 12 octobre, Manifestation nationale contre la relance du nucléaire.

La coordination anti-nucléaire, structure composite créée en juin 2023 et regroupant différents collectifs, associations, partis politiques, ONG… invite à une manifestation nationale contre le nucléaire dans la ville de Rouen le 12 octobre.

Avec les projets de nouveaux réacteurs nucléaire (EPR2) à Penly, Gravelines et au Bugey, le maintien en fonction des vieux réacteurs et la « modernisation » de l’arsenal nucléaire militaire français ;
Avec, à la Hague, les 2 nouvelles piscines d’entreposage de combustible usé prévues, et les nouvelles usines envisagées pour l’extraction du plutonium ;
Avec le projet de méga poubelle radioactive à Bure ;
Le lobby nucléaire veut prolonger son cortège de méfaits, de crimes environnementaux et de pollutions ! Il est temps d’y mettre un terme !

La relance du nucléaire, c’est non !

Car le nucléaire est :

Trop polluant : tous les réacteurs rejettent de la radioactivité et des produits chimiques et produisent des déchets radioactifs ingérables ;
Trop consommateur d’eau qui est rejetée plus chaude et polluée ;
Trop risqué : en Ukraine les centrales sont des cibles et butins de guerre. Tchernobyl et Fukushima ont démontré les conséquences d’une catastrophe
Trop vulnérable : tempêtes, inondations et canicules contraignent l’arrêt de réacteurs ou, pire, provoquent des accidents gravissimes ;
Trop lent : la diminution des gaz à effet de serre, c’est maintenant pas dans 20 ou 30 ans, temps de construction des EPR2 ;
Trop coûteux : le MWh des EPR2 serait plus du double de celui des énergies renouvelables ! Le coût de construction, en particulier, est prohibitif.


Oui à la sobriété et l’efficacité énergétique ;
Oui à des énergies propres, renouvelables et décoloniales ;
Oui à la paix :

Nous ne voulons pas vivre et transmettre un monde de menaces guerrières permanentes qui viennent s’ajouter à la catastrophe climatique.

Sans omettre que le nucléaire civil est indissociable du nucléaire militaire comme l’a affirmé le Président Macron lui-même, la France doit montrer la voie en signant le Traité d’Interdiction des Armes Nucléaires et en commençant le démantèlement des bombes atomiques.

Contre la relance de l’industrie nucléaire :
– À Rouen le samedi 12 octobre, nous participerons au village associatif et à la déambulation dans la ville.
– À Penly le dimanche 13 octobre, devant la centrale, sur le site prévu pour l’implantation de deux EPR2, nous planterons des bâtons antinucléaires, symboles de notre détermination.

Programme:

Vendredi 11 octobre à Rouen :

Pour accueillir celles et ceux présent.es sur Rouen dès le vendredi soir, aura lieu :
À 20H30 : Conférence : Nucléaire : stop ou encore ? Faut-il construire des EPR à Penly ou ailleurs ?Quelles consommations et productions d’énergie au XXIe siècle ?
Un débat animé par Stéphane Lhomme (directeur de l’Observatoire du nucléaire)
Lieu : Mairie de proximité Saint-Sever,
10-12 rue Saint-Julien, Salle J. Billard, 76 000 Rouen

Samedi 12 octobre à Rouen :
10H30 : Ouverture du village associatif antinucléaire : Quai rive gauche de la Seine (accès par le quai Cavelier de La Salle)

Avec des stands : des collectifs et associations antinucléaires provenant de différentes régions seront présents pour répondre à toutes vos questions sur le nucléaire, pourquoi s’y opposer et comment en sortir
Des jeux, expositions et animations diverses
Et une restauration à prix libre

Il y en aura pour tous les goûts !
14H30 : Départ de la manifestation
Fanfares, cortège multicolores et plein de surprises antinucléaires sillonneront les rues rouennaises toute l’après-midi17H : Lancement des concerts
Pour clore cette journée en beauté, concerts gratuits, buvette et danse jusqu’au bout de la nuit ! Annonce de la liste des groupes très prochainement.

Dimanche 13 octobre à Penly :
RDV à 11H sur la plage de St Martin en Campagne face à la centrale nucléaire de Penly
Nous y planterons des bâtons, symboles de notre résistance antinucléaire pour marquer sur la plage notre détermination à lutter contre l’installation de nouveaux réacteurs, en Normandie et partout ailleurs et contre tous les nouveaux projets atomiques (Giga poubelle souterraine à Bure, production de tritium pour la Bombe à la centrale de Civaux, etc.).
Nous monterons un mur de la honte de l’industrie nucléaire mortifère et célébrerons nos victoires !
(Pensez à prendre votre pique-nique).

Alain UGUEN
27/09/2024 - 11:37:45

100% de tous projets avec des outils nucléaire doivent etre présenté en débat public.

Lili Badin
26/09/2024 - 10:08:39

A quand les réacteurs au thorium ?

Lionel Bécus
25/09/2024 - 12:54:52

Les phénomènes météorologiques extrêmes se multiplient, mais nos décideurs ne comprennent toujours pas qu'il nous faut "changer de logiciel".
La tempête Boris a été un véritable déluge : jusqu'à 400l d'eau au m2 en moins de 4 jours ! Aitor, qui va frapper la France ce mercredi, s'annonce diluvienne également. L'heure n'est plus à la construction d'installations sensibles comme ces EPR2.
Faudra-t-il qu'une de ces tempêtes détruisent Paris (Delenda Parigo) pour qu'ils prennent enfin conscience que nous sommes entrés dans une autre ère ?

Frawald
25/09/2024 - 09:24:40

Centrale nucléaire du Blayais : des pastilles d’iode distribuées jusqu’en Charente-Maritime
https://www.leparisien.fr/charente-maritime-17/centrale-nucleaire-du-blayais-des-pastilles-diode-distribuees-jusquen-charente-maritime-24-09-2024-L7WOKEMO5VETNP66UKITRZ6K2U.php  

Alain UGUEN
24/09/2024 - 16:57:43

 

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