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Cyberaction : LOI D'ACCÉLÉRATION DES ÉNERGIES RENOUVELABLES : 4 DEMANDES PRIORITAIRES
Ce 5 décembre l’Assemblée nationale commencera à examiner le projet de loi d’accélération des énergies renouvelables. L’enjeu : trouver le bon équilibre entre accélération des projets d’énergie renouvelable, protection de la biodiversité et implication des populations. Le texte adopté fin novembre par le Sénat ne le permettait pas. Les députés feront-ils mieux ??
Cette cyberaction a également pour objectif d'interpeller vos élus. Vous pouvez ajouter vos élus en copie du message en cliquant sur modifier des éléments après avoir rempli vos coordonnées
Elle sera envoyée à Présidente de l'AN | à votre député En soutien à France Nature Environnement
Plus d'infos
Du lundi 5 à 16h au vendredi 9 décembre 2022, (Temps législatif programmé de 30 heures).
Un projet de loi d’accélération des ENR encore trop sur le frein
La transition énergétique passera d’abord par une réduction massive des consommations d’énergie et l’apport conséquent des énergies renouvelables, qui sont les deux seuls leviers activables dans les 15 prochaines années. Pourtant, la France accuse un retard (19% vs 23.7% d’EnR dans sa consommation finale, plus petit objectif de l’UE et seul pays à ne pas l’avoir atteint) dont elle paie désormais les frais au niveau européen?: une amende de quelques 500 millions d’euros. Alors même que les objectifs européens sont revus à la hausse, passant de 33% d’EnR à 40-45% dans la consommation finale en 2030. Il est temps d’accélérer pour de bon !
Les 4 demandes prioritaires de FNE
La production d’EnR, aussi indispensable soit-elle, doit se faire en conciliant les enjeux de préservation de la biodiversité : la 6e phase d’extinction de la biodiversité, dont une des causes majeures est le changement d’affectation des terres, est en cours, à un rythme 100 à 1000 fois supérieur au taux naturel d’extinction des phases précédentes. C’est pourquoi France Nature Environnement formule 4 demandes phares pour un déploiement planifié dans l’espace et dans le temps, qui implique les citoyennes et citoyens et prenne en compte la biodiversité.
1. Planifier les EnR terrestres avec les citoyennes et citoyens et l’environnement
L’article 3 doit permettre aux élus locaux de définir des « zones d’accélération » pour les EnR dans le cadre des documents d’urbanisme. Nous saluons cette volonté de davantage de planification, mais les conditions doivent être clarifiées pour encourager l’implantation effective des porteurs de projets dans ces zones. Par ailleurs, en l’état actuel du texte, la définition de ces zones d’accélération se ferait sans évaluation environnementale et sans dialogue avec les citoyens. Or, ces deux conditions sont essentielles pour que ces zonages soient réellement utiles.
2. Créer un Observatoire «EnR terrestres et biodiversité»
Comment mener une politique cohérente de déploiement des EnR sans connaître leurs effets sur la biodiversité, les types de surfaces utilisées, et sans indicateurs fiables et consolidés. C’est tout l’enjeu de la création d’un observatoire « EnR terrestres et biodiversité » que nous demandons. Le gouvernement s’est d’ailleurs déjà engagé dans la Stratégie nationale pour la biodiversité en juin dernier à le mettre en place. A la veille de la COP 15 de la Convention sur la diversité biologique, inscrire dans la loi la création de cet observatoire serait un signal fort de la détermination du Gouvernement à tenir ses engagements en la matière.
3. Eolien offshore : concerter, planifier et s’y tenir!
Tout comme pour les énergies terrestres, pour avoir des projets d’éoliennes offshore ambitieux et visant le moindre impact environnemental, il est nécessaire d’avoir une vraie planification spatiotemporelle, qui permettra de déterminer les zones les plus adaptées pour les développer, en dialogue avec les citoyens. Pour que cette planification soit efficace, tous les projets doivent être implantés dans les zones définies et leur impact final cumulé doit être évalué. Par ailleurs, le public (tant les riverains que les associations) doit pouvoir donner son avis, à la fois sur le zonage, et sur les projets qui viendront s’y implanter.
4. Photovoltaïque : renforcer l’ambition pour les parkings et bâtiments existants
Pour France Nature Environnement, une des mesures à mettre prioritairement en œuvre pour développer les EnR sans nuire à la biodiversité est de privilégier avant tout le photovoltaïque sur le bâti et les surfaces déjà artificialisées. Le potentiel de ces surfaces est conséquent et peut éviter des concurrences d’usages des sols et rendre les projets acceptables (les surfaces agricoles, naturelles et forestières sont actuellement préférées par les porteurs de projet car plus rentables). Pour ces raisons, les députés doivent faire de l’équipement des bâtiments publics, des bureaux et commerces existants une priorité et simplifier les démarches. A ce stade, seuls les parkings de plus de 2500 m² et les bâtiments neufs non-résidentiels sont traités par le texte. France Nature Environnement demande de revoir l’ambition du texte à la hausse (baisse du seuil pour les parkings, sanction plus dissuasive et dispositif pour tous les bâtiments existants, en anticipation des obligations européennes).
Pour l'un de nos cyber-amis Arnaud Schwartz, président de France Nature Environnement : « La décennie dans laquelle nous sommes est cruciale pour modifier notre mix énergétique vers davantage de renouvelables. Du dialogue, une planification rigoureuse et du photovoltaïque en priorité sur les toits et les parkings plutôt que dans la nature: voici les ingrédients d’une accélération réussie des EnR !» https://fne.asso.fr/communique-presse/loi-d-acceleration-des-energies-renouvelables-nos-4-demandes-prioritaires
Rappels
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copie à votre parlementaire si vous l'avez choisi dans votre compte https://www.cyberacteurs.org/compte/index.php Vu l'absence de majorité à l'Assemblée, plus que jamais votre souris a du pouvoir ;o)
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Récapitulatif
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Sujet : Une accélération réussie des EnR
Message : Madame, monsieur,
La décennie dans laquelle nous sommes est cruciale pour modifier notre mix énergétique vers davantage de renouvelables. Du dialogue, une planification rigoureuse et du photovoltaïque en priorité sur les toits et les parkings plutôt que dans la nature: voici les ingrédients d’une accélération réussie des EnR?!
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De nombreuses levées de fonds pour les start-ups dans les énergies renouvelables
L'année 2023 marque une dynamique exceptionnelle pour les start-ups œuvrant dans le domaine des énergies renouvelables en France. Ces jeunes entreprises ont réussi à attirer d'importants investissements, qui témoignent de l'intérêt croissant pour les énergies vertes et les solutions innovantes. D’après un panorama publié en avril par Bpifrance, les start-ups françaises développant des solutions innovantes pour le climat et l'environnement ont levé 2,5 milliards d'euros l’année dernière, ce qui représente une augmentation de 50 % par rapport à 2021.
Parmi les acteurs ayant réalisé des levées de fonds remarquables en 2022, on retrouve notamment :
Waga Energy, spécialisée dans la valorisation du biogaz, qui a levé 124 millions d'euros grâce à son introduction en bourse.
Lhyfe, pionnier de la production d'hydrogène renouvelable, qui a levé 17 millions d'euros en février 2022 puis réalisé son introduction en bourse sur le marché Euronext pour un montant d'environ 110 millions d'euros.
Ekwateur, fournisseur d'électricité verte, qui a obtenu 30 millions d'euros auprès de la société Quantum Pacific pour développer de nouvelles offres liées aux voitures électriques, à la domotique et à la gestion active de la consommation.
DualSun, fabricant français de panneaux solaires, qui a levé 10 millions d’euros en juillet 2022.
Eolink, développant des fondations flottantes pour l’éolien flottant, qui a reçu en octobre 14,9 millions d’euros de la part de l’Ademe dans le cadre du programme “France 2030”.
Tant et tant d'argent mal placé et dilapidé pour soutenir les énergies fossiles. Organisons nous pour rendre les villages et villes plus autonomes des distributeurs et revendeurs d'énergie, qui profite de la crise et de la guerre pour faire leur miel.
1 Méthanisation des ordures ménagères par compostage et production d'électricité par le gaz récupéré.
2 photovoltaïque sur les toits plats et alimentation des communs en électricité, stockage gravitaire ou rotatif par toupie à base de béton .
3 récupération des eaux usée chaudes avec filtrage et production de chaleur par pompe à chaleur.
Méthanisation des excréments et traitement par bactéries productrices de bio gaz.
4 récupération de l'urine séparée de l'excrément , filtrage et engrais naturel riche en phosphore.
5.Minis éoliennes de toit en batterie, silencieuses en complément du photovoltaïque.
6.Utilisation des vagues et courant sur le littoral à proximité des villes balnéaires par hydroliennes douces à faible occupation de fons marins.
7. etc., etc...
philippe Theneau 12/01/2023 - 18:09:33
Mais quand allons nous enfin appliquer les inventions de Nicolas Tesla : l’énergie est abondante et gratuite et quotidienne !!
arrêtons de détruire nos paysages et la nature pour des profits capitalistes
je signe mais il faut savoir que quoique nous fassions, nous allons vider la deuxième moitié des réserves (via l'industrie lourde, les pays en voie de développement, dont fait encore partie la Chine, les pays producteurs pour leur population), c'est à dire le pire des scénarios du GIEC
claude wanecque 05/01/2023 - 12:29:47
Et pourquoi ne nous posons nous pas collectivement la question : de l'énergie ?, mais pour quoi faire ?
je suis d'accord avec Jean Luc Duflot.
on a construit pendant des décennies des maisons individuelles en" carton", dans des lotissements , qui consomment de l'énergie et de l'espace, qui nécessitent des routes ,souvent pour deux autos, (voir la crise des gilets jaunes, personnes modestes qui ont estimé avoir été floués, et ont besoin de leurs deux autos pour tout
Chacun une éolienne dans le jardin du lotissement et sur le balcon de la résidence mais pas sur l’eau ni sur des hectares de terre. Plantez des éoliennes de petite taille le long des autoroutes. Les courants d’air des voitures et des poids lourds agiteront les pales. On a déjà dit qu’on ne voulait pas d’animaux sous les panneaux voltaïques. Ils sont déjà promis à l’abattoir alors laissez les brouter sous le soleil exactement.
Aichat Nussy
Colette Nusbaum Vallet 11/12/2022 - 17:01:38
Le solaire thermique est, comme la géothermie, une solution qui est individuelle et qui ne passe pas par un organisme centralisé.
Comment racquetter ces gens-là ? ;-))
Les solutions qui ne permettent pas de rapporter de l'argent à des organismes centralisateurs sont systématiquement écarté des réflexions.
Nous ne sommes pas dans une réelle démocratie, nous sommes dans une démocratie dite "représentative", mais qui ne nous représente pas !
Michel Decollogne 10/12/2022 - 03:41:55
les toits et les parkings d'abord, on verra après !
françoise lombard farille 09/12/2022 - 19:21:02
energies renouvelables : oui mil fois, attention cependant : aux dernières nouvelles, l'implantation des éoliennes pourraient se faire en dépit de certains espaces de biodiversités à préserver = tant pis pour la nature, l'energie est prioritaire ...........
maripachats 09/12/2022 - 16:18:45
Je trouve qu'on ne parle jamais du solaire thermique, facile à installer par de bons plombiers dans les constructions neuves (pour l'eau chaude sanitaire et le chauffage), beaucoup moins polluants à fabriquer que le photovoltaïque ou l'éolien, et moins destructeur des paysages et de la biodiversité ! Y a des économies importantes à faire là-dessus !
Qu'attend t-on pour se souvenir de NIKOLA TESLA et parler de L'ENERGIE LIBRE !!!!!
Lenou 06/12/2022 - 13:29:01
OK
Geneviève BOISSON 06/12/2022 - 12:24:51
Bravo pour cette démarche absolument nécessaire.
Bernard BOISSON 06/12/2022 - 12:22:55
toujours dit que les énergies renouvelables doivent être installées sur des sites concertés et en accord avec tous.
Arrêtons les installations qui ont un seul but se faire de l'argent au dépriment de la biodiversité
Stéphoto 05/12/2022 - 21:30:00
Il est très dommage que l'on ne parle pas assez de deux points :
1) Utiliser les sites déjà impactés par des installations modifiant les paysages : autoroutes, patkings industriels, zones industrielles...
2) La géothermie qui avec de simples pompes à chaleur extrait la chaleur du sol en mode de surface (1 à 5 mètres).
Il est vrai que ce second point donne de l'autonomie et n'est pas dépendant d'un organisme centralisé.
FNE et Cyberacteurs ont mille fois raison de rappeler qu'un recours accru aux énergies renouvelables ne doit pas se faire sans adhésion de la population ni au détriment de la biodiversité.
A propos d'impact sur la biodiversité, certaines espèces d'oiseaux sont très vulnérables face aux installations d'éoliennes, comme le Milan royal qui chasse en regardant vers le sol et ne voit pas les obstacles "en l'air". Entre 2019 et 2020, 12 Milans royaux ont été victimes de collision avec des pales d'éolienne en Bourgogne-Franche-Comté. La région comptait alors environ 450 couples nicheurs et il y avait 409 éoliennes installées.
...En revanche, une installation d'éolienne dans les jardins de l'Elysée ne poserait aucun problème. La faune qui les fréquente a la peau dure et la zone semble très favorable au brassage de vent.
Frawald 05/12/2022 - 13:03:12
À mon avis, il y a un gisement énorme d'économie d'énergie : l'isolation des bâtiments d'habitation, qui a plusieurs avantages :
- des gains importants de consommation d’énergie , en fonction de la date de construction, qui peuvent aller au-delà de 50 % ;
- l'emploi pérenne (des millions de maisons à équiper) de travailleurs du bâtiment, qui sont le plus souvent des emplois peu qualifiés, donc des emplois adéquats pour ces personnes ;
- la durabilité de ces équipements d'isolation, passifs par définition ;
- la création et le renforcement de filières industrielles de fabrication des matériaux ;
- la diminution importante du coût de l’énergie de chauffage, ce qui aiderait énormément les familles économiquement faibles, et leur donnerait un bien un meilleur confort dans leur domicile.
Jean-Luc DUFLOT 05/12/2022 - 12:27:49
La préservation de la Biodiversité ne doit en aucun cas devenir une variable d'ajustement au développement des énergies renouvelables. Les ENR Oui, mais pas à n'importe quel prix...
Encore une fois le volet de la méthanisation est passé sous silence alors que le production du gaz méthane ne sera pas sans conséquences sur l'environnement, les agriculteurs, l'économie.
La lecture de la lettre que le Collectif National Vigilance Méthanisation a adressé aux élu·e·s vous éclairera.
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L'année 2023 marque une dynamique exceptionnelle pour les start-ups œuvrant dans le domaine des énergies renouvelables en France. Ces jeunes entreprises ont réussi à attirer d'importants investissements, qui témoignent de l'intérêt croissant pour les énergies vertes et les solutions innovantes. D’après un panorama publié en avril par Bpifrance, les start-ups françaises développant des solutions innovantes pour le climat et l'environnement ont levé 2,5 milliards d'euros l’année dernière, ce qui représente une augmentation de 50 % par rapport à 2021.
Parmi les acteurs ayant réalisé des levées de fonds remarquables en 2022, on retrouve notamment :
Waga Energy, spécialisée dans la valorisation du biogaz, qui a levé 124 millions d'euros grâce à son introduction en bourse.
Lhyfe, pionnier de la production d'hydrogène renouvelable, qui a levé 17 millions d'euros en février 2022 puis réalisé son introduction en bourse sur le marché Euronext pour un montant d'environ 110 millions d'euros.
Ekwateur, fournisseur d'électricité verte, qui a obtenu 30 millions d'euros auprès de la société Quantum Pacific pour développer de nouvelles offres liées aux voitures électriques, à la domotique et à la gestion active de la consommation.
DualSun, fabricant français de panneaux solaires, qui a levé 10 millions d’euros en juillet 2022.
Eolink, développant des fondations flottantes pour l’éolien flottant, qui a reçu en octobre 14,9 millions d’euros de la part de l’Ademe dans le cadre du programme “France 2030”.
Alain UGUEN
04/08/2023 - 15:55:04