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Proposée par Cyberacteurs En partenariat avec ActionAid
Elle sera envoyée à Mattel
Elle prendra fin le : 08 mars 2025
Plus d'infos
Barbie de Hollywood à l’usine
Son ton supposément féministe a incontestablement alimenté les débats, soulevant autant d'éloges que de critiques. Sans surprise, les ventes de poupées Barbie ont explosé, s’alignant sur le succès du film. Le pari marketing de Mattel s’est révélé gagnant ; le feminism washing a payé.
Tandis que Mattel continue de tirer d’importants profits du rayonnement international de sa poupée en plastique, nous cherchons depuis près de trente ans à en percer le secret bien gardé : celui de sa fabrication. Nos enquêtes ont révélé que les ouvrières des chaînes de production, en plus d’être exploitées pour des salaires de misère, sont victimes de harcèlement sexuel dans un environnement de travail où la culture des violences sexistes et sexuelles fait système.
Nous n’avons eu de cesse d’interpeller Mattel et d’appeler à la mise en place de mesures protectrices des ouvrières, en vain.
En 2024, alors que la poupée Barbie fête ses 65 ans, nous sommes retournées dans une usine de Mattel pour confronter le discours public émancipateur de la marque au quotidien des travailleuses. En partenariat avec l'organisation China Labor Watch (CLW), nous avons mené une nouvelle enquête sous couverture, mêlant observations et entretiens approfondis à l’usine Chang’an, qui, au printemps 2024, était la seule en Chine à produire des poupées Barbie.
Cette nouvelle enquête montre que, malgré les multiples alertes et interpellations, Mattel n’a pas initié de changement systémique pour améliorer les conditions de travail des ouvrières dans son usine. Mattel enfreint ses engagements éthiques et même, dans certains cas, le cadre légal et le droit du travail chinois. En outre, notre analyse prouve que les promesses d’émancipation et d'égalité du film Barbie ne concernent pas toutes les femmes. Elle met en évidence le décalage flagrant entre les aspirations d’un féminisme de marketing et la réalité des ouvrières chinoises, asservies par les dérives d’un système de consommation effréné. https://admin.actionaid.fr/uploads/downloadFile/789/Rapport%20Le%20féminisme%20selon%20Mattel%20WEB.pdf
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à florine.dubaut@mattel.com | sandrine.markey@mattel.com Avec les éléments suivants :
Sujet : Mattel entreprise inclusive ?
Message : Madame,
Permettez-moi d’attirer votre attention sur les conditions de travail des personnes qui produisent les poupées Barbie à un rythme de travail quasiment insoutenable et doivent supporter, au quotidien, des comportements inadmissibles.
Votre groupe a les moyens d’amorcer un vrai changement et je vous demande donc instamment de suivre les recommandations d'ActionAid France, China Labor Watch et Christliche Initiative Romero.
Dans l’attente de connaître les mesures que prendra Mattel pour respecter ses propres engagements d’entreprise "inclusive", je vous prie de croire en l’assurance de toute ma considération.
Vous pouvez modifier le sujet et le texte de cette cyberaction en choisissant l'option "modifier des éléments" ou "me connecter et modifier"
« inclusif » >>> vient de l’adjectif amérloque qui nous broute.
L’important c’est de savoir que les femmes et filles travaillent dans des boîtes chinoises où la souffrance, le mépris, les insultes, les salaires de misère pour fabriquer une poupée rose plastifiée qui finira dans le bec d’un goéland ou d’une tortue luth.
Quelle catastrophe d’avoir fait un film avec une Barbie de chair. Ça a relancé partout cette femme rose bonbon dans les usines qui puent le pétrole. La créature d’antan a perdu ses longues jambes, son côté femme fatale, ses seins obus, et ses fesses plates, mais d’autres moches naissent encore et toujours.
Que les gamines du monde entier boycottent la poupée puisque leurs parents n’ont toujours pas compris, eux.
Vivement que Mattel arrête de manufacturer ces figurines niaises que nous retrouvons dans les estomacs des mangeurs de poissons et crustacés. Ne fermez pas les yeux sur la situation.
Paix aux travailleuses chinoises, et surtout que le gouvernement ne les force à faire des enfants en plus de leur semaine éreintante.
Aïchat Nussy
Colette Nusbaum Vallet 12/12/2024 - 16:40:50
On n'arrêtera pas la stupidité, le ridicule et le panurgisme de sitôt ..........
maripachats 11/12/2024 - 08:10:59
Nom : Barbie - Prénom : Klaus
Si elle devait travailler dans les conditions qui sont celles des ouvrières chinoises :
- 10 heures par jour
- 6 jours sur 7
- avec un objectif de deux produits assemblés à la minute,
- tout en étant soumise au bon vouloir et aux pulsions du chefaillon, qui est forcément un homme,
ben elle perdrait certainement son sourire satisfait, son teint frais et son allure de mannequin, la poupée en plastoc.
Mattel, tes ouvrières n'ont vraiment pas la vie belle. Quand les petites filles apprendront cela, les yeux pleins de larmes, elles jetteront ta Barbie à la poubelle.
Frawald 09/12/2024 - 16:22:01
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L’important c’est de savoir que les femmes et filles travaillent dans des boîtes chinoises où la souffrance, le mépris, les insultes, les salaires de misère pour fabriquer une poupée rose plastifiée qui finira dans le bec d’un goéland ou d’une tortue luth.
Quelle catastrophe d’avoir fait un film avec une Barbie de chair. Ça a relancé partout cette femme rose bonbon dans les usines qui puent le pétrole. La créature d’antan a perdu ses longues jambes, son côté femme fatale, ses seins obus, et ses fesses plates, mais d’autres moches naissent encore et toujours.
Que les gamines du monde entier boycottent la poupée puisque leurs parents n’ont toujours pas compris, eux.
Vivement que Mattel arrête de manufacturer ces figurines niaises que nous retrouvons dans les estomacs des mangeurs de poissons et crustacés. Ne fermez pas les yeux sur la situation.
Paix aux travailleuses chinoises, et surtout que le gouvernement ne les force à faire des enfants en plus de leur semaine éreintante.
Aïchat Nussy
Colette Nusbaum Vallet
12/12/2024 - 16:40:50