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Cette cyberaction a également pour objectif d'interpeller vos élus. Vous pouvez ajouter vos élus en copie du message en cliquant sur modifier des éléments après avoir rempli vos coordonnées
Cyberaction mise en ligne le 13 novembre 2024
Proposée par Cyberacteurs
Elle sera envoyée à Premier Ministre | à votre député En soutien à OFB, FNE
Elle prendra fin le : 13 février 2025
Plus d'infos
Jeudi 31 octobre, une dizaine d'agriculteurs de la Coordination rurale de Haute-Saône ont entouré l'entrée de l'Office Français de la Biodiversité de fils barbelés à Noidans-lès-Vesoul. Ils réclament notamment le désarmement des agents de l'OFB lors des contrôles dans les exploitations.
ECOLO-BASHING : LES AGRESSIONS, DÉGRADATIONS ET MENACES CONDUITES PAR LA COORDINATION RURALE, ÇA SUFFIT !
Pour la deuxième fois en quelques semaines, les locaux de France Nature Environnement Occitanie Pyrénées, au cœur de Toulouse, ont été saccagés par les représentants du syndicat agricole Coordination rurale. C’est la quatrième fois en 4 ans. Les deux premières étaient le fait des syndicats FDSEA et JA (Jeunes agriculteurs de la FNSEA).
La même nuit, des inscriptions violentes hostiles à FNE Creuse étaient taguées sur le parvis de la mairie de Guéret, signées “Coordination Rurale”, alors qu’une conférence sur les pesticides était prévue le soir même à la mairie.
La même semaine, des déchets étaient déversés devant les domiciles du président et du trésorier de l’association St Junien Environnement, membre de FNE Limousin, dégradation revendiquée par la Coordination Rurale qui lui reproche d’avoir dénoncé l’attaque violente orchestrée par le même syndicat contre un cinéma à Limoges en janvier 2023 pour empêcher la projection d’un reportage sur l’eau en agriculture.
En début d’année c’est FNE Tarn et Garonne qui voyait son siège dégradé par des déchets et des inscriptions violentes et menaçantes.
“imposteurs”, “Fédération nullissime”, “sinon boom”, «per-verts”», «vous êtes la mort de l’agriculture”, «écoterroristes”, «intégristes écolos», “extrémistes”, “»nouvelle race d’emmerdeurs”, «on ne vous oublie pas, on reviendra». . Florilège de la violence verbale qui s’abat sur nos associations défendant l’intérêt général, taguée au-dessus de déchets agricoles et de pneus brulés, ou en dessous de mannequins pendus, ces dernières années par les groupes locaux de la FNSEA, des Jeunes Agriculteurs et ces derniers mois de la Coordination Rurale. S’y ajoutent des menaces, intimidations et agressions de bénévoles chez eux ou à la sortie des tribunaux, mais aussi des saccages de bâtiments publics et d’administration de l’environnement.
Bref, les syndicats agricoles réactionnaires ont décidé d’utiliser la violence et les discours de haine pour essayer de faire taire tout débat public sur les modèles agricoles, et pour empêcher toute diffusion d’information ou d’action proposant une évolution du modèle agricole industriel actuel vers une agroécologie respectueuse de la santé, des sols, de la biodiversité, de l’eau, et avant toute chose des agriculteurs et agricultrices eux-mêmes.
Tous ces actes font l’objet de plaintes, systématiquement classées sans suite parfois sans enquêtes. Alors même que les personnes et les syndicats agricoles commanditaires de ces faits, se sentant tellement au-dessus des lois, les signent, et publient et revendiquent leurs forfaits sur les réseaux sociaux.
IL FAUT QUE CELA CESSE. IMMÉDIATEMENT.
Nous demandons qu’au plus haut niveau de l’Etat, une parole forte s’exprime pour dénoncer ces actes de violence, ces troubles à l’ordre public, ces atteintes au débat public et à la démocratie. Plutôt que de stigmatiser dans le même temps l’activisme environnemental non violent.
Nous exigeons le rétablissement de l’État de droit : que des enquêtes soient conduites, que les auteurs de ces actes soient interpelés et jugés ; que les syndicats responsables de ces agissements ne bénéficient plus de responsabilités ou de financements publics.
Nous demandons que les instances nationales des syndicats agricoles à l’origine de cette violence prennent immédiatement publiquement position pour condamner ces violences locales contre la démocratie et exclure de leurs organisations leurs instigateurs.
Ces syndicats agricoles doivent regarder la réalité en face, prendre acte de l’échec du modèle agricole dominant et admettre publiquement ses conséquences environnementales et sociales : perte d’emplois, baisse des revenus et de la qualité de vie des agriculteurs et agricultrices ; dommages à leur environnement et à leur santé. Le modèle agricole qu’ils défendent est co-responsable de la triple crise environnementale et sanitaire que nous traversons : réchauffement climatique (l’agriculture industrielle est la troisième source d’émissions de carbone), effondrement de la biodiversité (l’agriculture industrielle est la première responsable de l’effondrement des insectes et oiseaux et de l’appauvrissement des sols), pollutions (l’agriculture industrielle est la première responsable de la pollution des eaux aux pesticides et nitrates).
Nous vous proposons d'interpeller le Premier Ministre et votre député.
Signer !
Récapitulatif
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à premier-ministre@cab.pm.gouv.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : Etat de Droit contre Eco-Ereintage
Message : Madame, Monsieur
Certains syndicats agricoles se trompent encore de colère en s'en prenant aux protecteurs de l'environnement et aux agents de l'OFB
Le modèle agricole qu’ils défendent est co-responsable de la triple crise environnementale et sanitaire que nous traversons : réchauffement climatique, effondrement de la biodiversité, pollutions.
Je demande qu' au plus haut niveau de l’Etat, une parole forte s’exprime pour dénoncer ces actes de violence et rétablir l'Etat de droit.
Dans cette attente, veuillez croire en ma vigilance sur vos décisions.
Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :
Votre député.
Vous pouvez modifier ces infos (sujet, texte, elus...) en choisissant l'option "modifier des éléments" après avoir renseigné le formulaire "je signe sans compte"
Merci ! Grâce à votre mobilisation, les amendements anti-ONG du projet de loi de finances ont été rejetés par le Sénat. Mais méfiance, la bataille n’est pas terminée…
Tout a commencé à l’Assemblée nationale. Les amendements 1185 et 690 ont été adoptés à deux voix de majorité vendredi 25 octobre. Ces derniers visaient à élargir le périmètre des infractions pénales susceptibles de priver les associations reconnues d’utilité publique du bénéfice pour leurs adhérents et adhérentes d’une réduction d’impôt. Le 12 novembre, l’Assemblée nationale a finalement rejeté l’ensemble de la partie « recettes » du projet de loi de finances du gouvernement : comme la totalité du texte, ces deux amendements anti-ONG ont donc été écartés.
C’est reparti pour un tour, au Sénat…
Mais ce n’est pas terminé pour autant ! L’examen du projet de loi de finances est désormais renvoyé au Sénat, sur la base du projet de loi initial du gouvernement. Et sans surprise, cinq amendements ((I-121, I-115, I-253, I-285 et I-558) reprenant quasi mots pour mots ceux de leurs collègues député·es ont été déposés par des sénateurs.
Vous avez été nombreux et nombreuses à contacter vos sénateurs et sénatrices avant le vote en séance plénière. Et vous avez été entendu·es, au moins par une majorité des élu·es de la chambre haute. Tous ces amendements ont été rejetés par le Sénat ! C’est une première satisfaction, mais la bataille n’est pas encore gagnée, nos adversaires ayant bien l’intention de recourir à tous les moyens pour faire passer ces mesures liberticides.
Un nouvel amendement visant le même objectif pourrait ressurgir à la toute fin des débats sur le budget. Nous devons donc continuer à alerter nos élu·es afin qu’ils et elles ne laissent pas passer cela. Nous continuerons de suivre cela de près et vous tiendrons informé·e sur cette page.
Voici quelques exemples tiré de l'article dont le lien est fourni ci-dessus.
- A Valence, les écologistes sont accusés d'avoir aggravé les inondations ; dans les Landes, d'avoir favorisé les feux de forêt.
- Aux Etats-Unis, certains scientifiques spécialistes du climat et de la météo sont désignés comme responsables de la création et de l'orientation des cyclones.
Hallucinant, très inquiétant, mais prévisible. Quand la situation est catastrophique, les sociétés humaines déchargent leurs tensions sur un bouc émissaire. L'écologiste, porteur depuis longtemps d'un message d'avertissement qui déplaît, constitue le bouc émissaire idéal. Même si ce qu'il décrit n'est que le pur reflet de la réalité.
Soyons vigilants, car de l'éco-éreintage en paroles aux actes de persécution violente, il n'y a qu'un pas qui risque d'être vite franchi !
Frawald 26/11/2024 - 16:02:19
Faites attention aux agriculteurs vieillis, presque rincés qui ont trop biberonné aux syndicats, qui collectionnent trop de bovins, d’ovins et de volailles. On voit bien que les gros industriels les lâchent, Lactalis est un exemple, qu’on cesse de bourrer le cerveau des pâtres qui préfèrent accuser le loup de dévorer moult brebis plutôt que de planter des clôtures et dresser des chiens, qu’on incite à remplir les hangars de poulets maltraités et étouffés et à brûler les dindes contaminées. On vous encourage à empiler des cochons comme en Chine, ce serait leur Trump Tower qui ravirait Mme Genevard.
Ces travailleurs ruraux enragés sont les premiers à casser du Black blocks et du zadiste alors qu’ils ne font que vociférer devant un Crédit agricole. Ces riches céréaliers qui gagnent dix fois plus qu’un éleveur bio, ne soignent ni ne respectent biens et bêtes, ils se font un petit cadeau devant un tas de pneus Michelin en feu. Ils salissent les mairies et préfectures avec des tonnes de lisier et fracassent les locaux des écolos.
Paysans, remettez-vous, faites un travail propre, sain, durable et irréprochable.
Aïchat Nussy
Colette Nusbaum Vallet 25/11/2024 - 17:45:13
Renouvellement de la paysannerie
1 Formater les étudiants dans des lycées agricoles où on n’entendra plus parler de culture arrosée de poison et de millions d’hectares où le seul arbre se dessèche sans nichée.
2 Ne pas écouter Musk qui veut vous vendre des tracteurs aéro dynamiques et de monumentales machines qui boiront du fuel pour coloniser une planète où Pesquier plantera le fanion de la FNSEA.
3 N’élever que deux dizaines de bovins, d’ovins, de poulains et de dondins, ainsi les abattoirs seront assainis, plus de couteaux qui ripent, plus de fermes usines où grouillent les asticots, plus de menaces contre le loup qui prend la brebis quand elle n'est pas suffisamment surveillée.
4 Accepter les conseils et remontrances quand le GAEC perd les pédales, quand le New Holland est trop cher et quand le paysan ne respecte plus son bétail.
5 Cesser de transformer les animaux chez INRAE, pas de tambour dans le flanc des vaches etc.
On aimait bien le père Fernand quand on prenait sa main calleuse et quand il soulevait sont béret.
Aïchat Nussy
Colette Nusbaum Vallet 25/11/2024 - 17:40:10
Ces errements militants sont d'autant plus paradoxaux que les agriculteurs seront les premiers beneficiaires d'écosytèmes préservés. Ils sont d'ailleurs des milliers à développer des leucémies consécutives à leurs épandages. Hervé
Hervé LE CORRE 20/11/2024 - 16:39:03
Oui à de vrais paysans et non aux agrimanagers apprentis sorciers de la chimie tueuse de vie!
Tout à fait d'accord ! tout ce gâchis, cette pollution, cette violence ! par des gens qui ne veulent pas se remettre en question ! Ils se font passer ainsi pour des crétins, pas des martyrs !
béatrice jung luijken 15/11/2024 - 20:28:15
Bonjour, pourquoi les victimes ne se regroupent pas pour aller en justice ? elles auraient plus de poids et on en entendrait, peut être, parler...
Lors de toute manifestation , nous pouvons comprendre les raisons de la colère mais il ne faut pas oublier que la défense de l'environnement concerne la santé pour tous et nous en avons plus qu'assez de tout ce vandalisme et ce dans tous les domaines!..
Annette DELAVAULT 15/11/2024 - 17:03:58
les prochaines élections de janvier aux chambres d'agriculture comme toute élection favorise les actions démagogiques des candidats
ceci dit le malaise paysan est réel mais pourquoi s'en prennent ils aux écolos et non pas aux banques et aux grands groupes de l'agro alimentaires ? ils se trompent d'adversaire et c'est bien dommage
jean sarasin 15/11/2024 - 12:50:19
quoi dire?
Pierre NOGIEC 15/11/2024 - 11:02:44
La défense de l'environnement concerne aussi la santé des enfants d'agriculteurs, quelle que soit leur tendance politique. Les agriculteurs sont aux 1ères loges pour développer toutes sortes de cancer liés aux pesticides, il faut absolument avoir une vision à long terme des problèmes ..
PATRICIA LE ROUZIC 14/11/2024 - 18:25:20
C'est bizarre j'en ai pas entendu parler dans les médias. Ce sont pourtant des attaques dégradations d'établissement de l'Etat. Pas de violence policière, pas d'arrestation, ni de condamnation comme pour les défenseurs de la nature ou du climat !? Y aurait il 2 poids 2 mesures ?
ERIC ROBIN 14/11/2024 - 17:31:34
C'est une honte : notre pays s'est enlisé dans l'horreur quotidienne à cause d'agriculteurs sadiques qui ont transformé l'agriculture en camps de concentration pour des milliards d'animaux et empoisonner notre terre. Plutôt que de reconnaître qu'il faut arrêter, on voit des descendants de ces ancêtres qui datent des années 60, qui veulent poursuivre les sévices et l'enfermement éternel des animaux sans empathie ou volonté de défendre d'autres valeurs que le profit matérialiste d'une poignée au détriment de centaines de milliards d'individus. C'est eux qu'il faut attaquer, pas les défenseurs de l'environnement qui, encore minoritaires, ont eu tant de mal à se regrouper pour porter leurs voix et celle des animaux, se faire entendre !
keria 14/11/2024 - 16:57:09
j'ai signé et j'ai modifié le courriel
il n'est aucunement question de généraliser les actions syndicales; celles-ci nécessitent un rappel et une application de la loi
tous les syndicats ne fonctionnent pas sur le même modèle, ne développent pas et ne défendent pas leurs idées de la même façon
nous aurons toujours besoin de l'agriculture et des agriculteurs mais citoyens et débatteurs dans un état de droit
mondo 14/11/2024 - 16:13:42
Je peux comprendre la colère des paysans mais rien n'excuse le vandalisme, la destruction, en résumé, la bêtise.
Demain, les enfants des manifestants ne pourront pratiquement plus vivre sur la terre et certainement pas de revenus agricoles sauf en changeant dès aujourd'hui toutes leurs pratiques.
Par ailleurs, avec le traité UE-Mercosur dont le Brésil est le plus grand partenaire sud-américain, les paysans ont du souci à se faire. Le Brésil est le plus gros utilisateur de pesticides interdits en Europe après les Etats-Unis. Et il va déverser ses produits pollués par les intrants dans les commerces européens à prix cassés. Ce qui fera la "joie" des consommateurs européens même si leur santé et celle de la planète en pâtiront.
Mais ce n'est pas en criant "haro" sur les associations et les agences qui défendent l'environnement donc leurs intérêts et leur santé qu'ils changeront leur avenir.
Mireille 14/11/2024 - 15:13:08
Il faudrait que la population générale montre l'exemple en refusant de ce faire picouser avec des injections géniques = OGM. Comment voulez vous demander à des agriculteurs de ne pas polluer si à un niveau individuel il n'y a pas de conscience de la pollution et en premier avec des Vaxx OGM.Le problème est global et commence avec la médecine (depuis des dizaines d'années )où les bénéfices sont records comme avec les produits phytosanitaires.
Il faut faire ce et ces liens car autrement on ne comprend rien.
Louise 14/11/2024 - 14:58:55
Les Gilets jaunes et les activistes qui ont décroché les portraits de Macron pour les brandir à l'envers ont été condamnés à de lourdes amendes et à de la prison avec sursis pour "vol de bien public".
Or, à l'heure où l'on exige des communes rurales qu'elles donnent un nom à toutes les voies et des numéros aux maisons isolées pour faciliter le travail de la poste et des secours, les agriculteurs qui enlèvent les panneaux communaux ou les boulonnent à l'envers ne sont jamais poursuivis. Pourtant il s'agit aussi de biens publics. Aux demandes légitimes formulées dans la cyberaction, j'ajoute l'application de l'égalité devant la loi. Le deux poids-deux mesures, ça suffit !
Frawald 14/11/2024 - 14:43:17
Je signe volontiers , je comprends le désarroi de certains agriculteurs qui se sont endettés pour suivre les consignes productivistes qui leur étaient proposés , mais cette intimidation est innacceptable , bien que leur syndicat les laisse se fourvoyer , ils s'en prennent comme toujours aux lanceurs d'alerte . Attitude connu de ceux qui soutiennent le Systéme !!!!!
Margaret
Margaret MORENO 14/11/2024 - 12:17:53
Je suis certes indignée des exactions commises par des membres de la coordination agricole. Mais je ne signerai pas cette pétition parce que une pétition indispensable devrait d'abord être lancé : pour l'INTERDICTION d'importer en France des produits qui ne correspondent pas aux normes imposées à nos paysans français. Car si l'on continue , il n'y aura plus de paysans en France (comme il n'y aura plus d'industrie)
Yvette Rouxel 14/11/2024 - 12:09:32
Pollution de l'air des sols et de l'eau et de nos cerveaux avec leurs soi disant nourrir les français (et nos voitures).
Dominique RANNOU 14/11/2024 - 11:08:51
Catherine,
C'est ce que j'ai cru faire en proposant deux actions distinctes cyberaction éco-ereintage ça suffit et pétition nous voulons des paysans. ;o)
Tu penses qu'il fallait faire comment ?
Bien à toi
Alain
Alain UGUEN 14/11/2024 - 10:52:30
BOnjour
Je suis d'accord bien sûr et j'ai signé.
Mais il m'aurait paru plus judicieux /efficace de séparer les deux aspects : la coresponsabilité etc... (d'ailleurs dans ce cas ça ne fait jamais de mal de dire qu'on comprend qu'iels ont des problèmes) et d'autre part la violence de toute façon inadmissible et l'impunité.
Catherine Mollière 14/11/2024 - 10:39:48
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Tout a commencé à l’Assemblée nationale. Les amendements 1185 et 690 ont été adoptés à deux voix de majorité vendredi 25 octobre. Ces derniers visaient à élargir le périmètre des infractions pénales susceptibles de priver les associations reconnues d’utilité publique du bénéfice pour leurs adhérents et adhérentes d’une réduction d’impôt. Le 12 novembre, l’Assemblée nationale a finalement rejeté l’ensemble de la partie « recettes » du projet de loi de finances du gouvernement : comme la totalité du texte, ces deux amendements anti-ONG ont donc été écartés.
C’est reparti pour un tour, au Sénat…
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Alain UGUEN
29/11/2024 - 09:03:57