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Cyberaction : Donnons à l'eau le statut de commun par excellence.
Les Soulèvements de la terre, Bassines Non Merci (BNM) et la Confédération Paysanne signent avec plus de 240 personnes une tribune de soutien aux actions contre les méga-bassines et exigent un arrêt immédiat de ces projets, à commencer par celui des 16 bassines du projet Sèvre Niortaise - Mignon.
Cette cyberaction a également pour objectif d'interpeller vos élus. Vous pouvez ajouter vos élus en copie du message en cliquant sur modifier des éléments après avoir rempli vos coordonnées
Elle sera envoyée à Président de l'Assemblée Nationale | à votre député
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"Stoppons les méga-bassines pour partager et préserver l’eau"
Dans le Poitou-Charentes, des coopératives agro-industrielles tentent de faire main basse sur l’eau dans le but de prolonger un mode de production destructeur du vivant et dont il est aujourd’hui urgent de s’affranchir. 93 « méga-bassines » dont plus d’une dizaine dans le Marais poitevin - deuxième plus grande zone humide en France - risquent d’être érigées dans les trois prochaines années. Ces énormes cratères plastifiés de 5 à 15 hectares sont le dernier artifice de l’agro-industrie pour concilier raréfaction accrue de la ressource en eau et maintien de l’irrigation intensive.
Depuis quelques mois, le mouvement tissé patiemment entre habitant·es du Marais poitevin et d'ailleurs, paysan·ne·s et naturalistes pour donner un coup d'arrêt aux chantiers de méga-bassines, a pris un essor national. Samedi 6 novembre, à l'appel de Bassines Non Merci, de la LPO, de la Confédération Paysanne et des Soulèvements de la Terre, plus de 3000 personnes et 20 tracteurs se sont retrouvés à Mauzé-sur-le- Mignon, non loin d’une méga-bassine en construction interdite d'accès aux manifestant·e·s. Après avoir traversé champs, rivières et nuages de gaz lacrymogènes, les manifestant·e·s ont collectivement investi le site d'une autre méga-bassine, illégale et déjà condamnée 5 fois par la justice, construite à Cram-Chaban.
Un élément de l'installation de pompage qui alimentait cette bassine a été démonté par des paysan·ne·s. Une fois la foule montée sur le talus de la bassine, un débâchage a été effectué pour la mettre hors d'état de nuire. Cette action collective de « désarmement » était un appel à reconsidérer les manières de préserver et partager la ressource en eau. Elle témoigne de la nécessité assumée, au vu de l'urgence climatique, d'utiliser les outils de la désobéissance civile quand des projets écocidaires passent en force.
S’il a fallu en arriver là, c’était aussi pour répondre, en pleine COP 26, à un gouvernement qui, derrière ses prétentions écologiquement vertueuses, finance à 70 % ces bassines et dont le ministre de l’agriculture Julien Denormandie prétend qu’elles s’emplissent avec les « pluies diluviennes » de l’hiver. Le morceau de tuyau ramené jusqu’aux portes de son ministère quelques jours après avoir été prélevé sur le forage de la bassine, venait le mettre face à son mensonge ou à son incompétence, en matérialisant le fait que les bassines s'emplissent aussi et surtout en pompant dans les nappes phréatiques.
Nous, signataires de cette tribune, affirmons ici que ce combat nous concerne toutes et tous, partout où nous sommes.
La lutte contre les méga-bassines est un enjeu national, qui dépasse de loin le Marais poitevin. Si celles-ci s’implantent dans les Deux-Sèvres, la France en sera bientôt couverte. Or la raréfaction de l’eau se constate à divers niveaux de manière accrue. La survie des zones humides riches en biodiversité, ainsi que des cours d'eau aux bords de l’épuisement dépend de l'état de nos nappes et des surplus d'eaux hivernales. Depuis des années déjà, des naturalistes, biologistes et hydrogéologues analysent et dénoncent les conséquences délétères de l'irrigation intensive et des méga-bassines sur ces écosystèmes à l'équilibre fragile et sur les êtres qui les peuplaient encore il y a peu, à l'instar de l'outarde canepetière ou du busard cendré dans le marais. L'’alimentation en une eau douce de qualité pour les zones ostréicoles proches est menacée elle aussi.
Les méga-bassines ne profitent qu’à une petite minorité d'irrigant·e·s qui vont continuer à s’agrandir pendant que leur voisin·e·s disparaîtront. Elles ne visent qu'à maintenir en sursis face au changement climatique un type de productions intrinsèquement dépendantes des intrants chimiques, qui stérilisent les sols, font disparaître la faune et la flore, polluent les milieux aquatiques et l'eau du robinet, empoisonnent les humain·e·s à commencer par les riverain·e·s et les agriculteurs eux- mêmes. Elles sont le symbole d'un modèle néfaste aux paysan·ne·s et à nos territoires, qui refuse de se réinventer et de s'attaquer aux racines du problème : l’agriculture productiviste. Nous ne pouvons en effet plus passer à côté d'une transition agricole profonde qui permette aux paysan·ne·s, pris·es au piège d’un dogme sans avenir, d'adapter leurs pratiques aux ressources disponibles et non l'inverse, tout en tirant un revenu digne de leur activité. L'irrigation, mesurée, doit être réservée pour des productions alimentaires diversifiées, relocalisées et denses en emplois. Tout l'inverse d'une irrigation essentiellement dédiée à la culture massive du maïs destiné à l'élevage hors-sol, à l'export ou à la méthanisation.
La lutte pour le partage de l’eau est une question vitale. L'eau est nécessaire à l'agriculture mais aussi à toute forme de vie sur terre. Elle est la sève de toutes nos existences. A ce stade de dégradation de la biodiversité, elle doit retrouver le statut de commun par excellence, que nul ne devrait pouvoir privatiser.
Les opposant.es aux bassines ont besoin de tout notre soutien. Dans les années 2000, alors que lobbies et décideurs voulaient faire entrer les OGM sur le marché sans faire de vague, nombre de paysan·ne·s et citoyen·ne·s s'y sont opposé·e·s, allant là aussi jusqu'à faire le choix de la désobéissance civile en fauchant volontairement des parcelles OGM pour alerter sur ce sujet majeur. Ce combat a fini par payer. En 2008, la culture des OGM à des fins commerciales a été purement et simplement interdite en France puis en Europe. Il est temps de faire de même avec les méga-bassines et de stopper ces projets aberrants d’accaparement de l'eau avant qu'ils ne se généralisent. Nous devons élaborer une solution politique durable aux conflits d’usage sur l’eau dans l’intérêt de tou·te·s, humain·e·s et non-humain·e·s. Nous avons plus que jamais besoin de territoires vivants plutôt que de terres mortes.
C'est pourquoi, nous, porte-paroles d'organisations nationales, d'associations, ou de syndicats, personnalités politiques, scientifiques, artistes, affirmons ici notre solidarité avec les défenseur·e·s de l’eau, du vivant, et d'une agriculture paysanne qui répond aux défis sociaux, alimentaires, écologiques et climatiques. Nous nous tenons prêt.e.s face à la répression qui menace de s’abattre sur celles et ceux qui luttent sur place. Nous ne pouvons par ailleurs que dénoncer les intimidations dont ils et elles ont fait l’objet émanant de l’État ou d'organisations agricoles refusant de voir le chemin à parcourir.
Nous nous engageons toutes et tous ensemble pour exiger un arrêt immédiat des projets de méga-bassines, à commencer par celui des 16 bassines du projet Sèvre Niortaise - Mignon.
Nous sommes le vivant qui se défend. Nous sommes l’eau qui jaillit. No bassaran!
Co-auteurs : Le Guet Julien (porte parole du collectif Bassines Non Merci et batelier dans le marais Poitevin) Girod Nicolas (porte-parole de la Confédération Paysanne et éleveur dans le Jura) Nouqui Lotta (plume des Soulèvements de la Terre, paysanne sur une Zone à Défendre et révoltée du climat)
Nous vous proposons d'interpeller le Président de l'Assemblée Nationale et votre député.
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Récapitulatif
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à richard.ferrand@assemblee-nationale.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : L'eau c'est la vie pas les profits
Message : Madame, Monsieur
La lutte contre les méga-bassines est un enjeu national, qui dépasse de loin le Marais poitevin. La raréfaction de l’eau se constate à divers niveaux de manière accrue. le refroidissement des centrales nucléaires, la survie des zones humides riches en biodiversité, ainsi que des cours d'eau aux bords de l’épuisement dépendent de l'état de nos nappes et des surplus d'eaux hivernales.
Je me déclare solidaire face à la répression qui menace de s’abattre sur celles et ceux qui luttent sur place pour exiger un arrêt immédiat des projets de méga-bassines.
Donnons à l'eau le statut de commun par excellence.
Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :
Votre député.
Vous pouvez modifier ces infos (sujet, texte, elus...) en choisissant l'option "modifier des éléments" après avoir renseigné le formulaire "je signe sans compte"
NON et NON au massacre de notre terre nourricière.
Pierre Verny
Pierre Verny 02/06/2022 - 10:27:17
Deux décisions de justice légitiment notre revendication : la fin des mégabassines !
Une procédure judiciaire avait été lancée contre Nicolas Girod, le porte-parole de la Confédération paysanne, suite à la plainte de Thierry Bouret [1] bénéficiaire de la bassine de Cram-Chaban, contre laquelle la Confédération paysanne avait manifesté le 6 novembre. Bien que le vol d'un morceau de pompe ait été qualifié, notre porte-parole a été dispensé de peine et le préjudice moral a été ramené à l’euro symbolique. Ce démontage est donc bien reconnu comme une action syndicale symbolique.
En parallèle, cette bassine de Cram-Chaban et les 4 autres du bassin du Mignon ont une nouvelle fois été jugées illégales par la Cour administrative d'appel de Bordeaux ce 17 mai. La Cour a annulé l'arrêté préfectoral d'autorisation de création de ces 5 bassines. Elle a estimé que les éléments complémentaires apportés par l'ASAI des Roches, à laquelle elle avait laissé un délai pour fournir ces éléments, étaient toujours défaillants pour assurer que ces bassines avaient un impact limité sur le milieu.
Ces deux décisions légitiment nos actions syndicales contre ces mégabassines.
L’arrêt de la Cour d’appel de Bordeaux donne à voir à quel point les autorisations administratives de ces projet sont basées sur des données et des éléments qui n'apportent aucune évaluation réelle des conséquences de la construction de ces bassines. Il rend compte des insuffisances majeures des évaluations préalables à la construction de ces ouvrages ; absence d'informations sur les effets des prélèvements hivernaux sur la nappe ; références historiques des prélèvements obsolètes ; absence de sources des chiffres transmis... Les services de l’État autorisent donc ces projets non pas dans le cadre du respect de la loi sur l'eau, mais sous la pression d'une poignée d'irrigants. Si tous les projets sont montés ainsi alors aucun ne devrait être autorisé.
Bien que jugées illégales une première fois en 2018, ces 5 bassines continuent à être remplies et utilisées. Elles servent aujourd'hui un modèle agricole qui accroît les risques pour l'environnement et la ressource en eau : rotations courtes, sur-utilisation d'intrants chimiques et sur-utilisation de l'eau. Il est urgent de repenser le modèle agricole que l'irrigation doit soutenir. C’est un sujet de société majeur, dont l’urgence est exacerbée par ce nouvel épisode de sécheresse. Non, les mégabassines ne sont pas la solution pour répondre aux défis climatiques et de transition agricole. Elles sont un outil de concentration des moyens de productions, prédateur et néfaste pour l'emploi paysan et pour l’environnement.
La République a mandé et ordonné à la Ministre de la transition écologique de pourvoir à l’exécution de cet arrêt. C’est pourquoi, nous demandons à la Première ministre Élisabeth Borne, qui aura en charge la planification écologique, de mettre fin sans tarder à ces projets de mégabassines et d'engager en urgence un débat transparent avec tous les acteurs pour une gestion quantitative et qualitative de l'eau qui s'adapte réellement à l'évolution de la ressource.
le livre de Jean Tirole "Economie du bien commun" seul prix Nobel de l'économie en 2014 est ( à mon humble avis ) à parcourrir;
Il fait aussi bien la part au défi climatique, qu'à vaincre le chômage ,qu'au digital modifiant la chaine des valeurs, que pour un Etat moderne dépenser moins mais mieux......Beaucoup beaucoup de thèmes sont abordés toujours dans l'analyse "du bien commun ".
Jeannine BERNARDINI 31/03/2022 - 22:47:40
je n'ai pas pu aller à la manif le weekend dernier mais je soutiens ce mouvement
Depuis le 1er janvier 2022, de nombreux lieux doivent être équipés d’une fontaine à eau potable accessible au public. De quoi encourager l’essor des gourdes ? https://eau-iledefrance.fr/a-la-claire-fontaine/
Alain UGUEN 16/01/2022 - 10:06:03
l'eau est un bien commun et si peu prise en compte. on commence enfin à voir des panneaux solaires et/ou du photovoltaïque sur les constructions neuves, mais on ne tient compte de l'eau nulle part ! copier n'est pas un défaut, quand on copie ce qui se fait de bien. au japon, celà fait des années qu'on construit avec des récupérateurs d'eau bain-douche pour les toilettes qui n'ont nul besoin d'eau potable.
ici rien n'est fait.
à quand le courage d'imposer de nouvelles normes et des aides financières justes, en fonction des revenus, dans le neuf et la rénovation...avec des matériaux écolos de qualité, pas du polystyrène et du pvc...
il vaudrait mieux investir l'argent dépensé pour d'inutiles sommets en tous genres dans des réformes indispensables..
michele orenstein 17/12/2021 - 21:37:24
Comment en sommes nous arrivé là, pour que même l'eau ce bien commun inaliénable se soit noyée dans la spéculation? C'est une forfaiture, une mise en danger de mort du vivant, un crime contre l'humanité...
Pour une répartition juste de l'eau, il faut que des personnes
compétentes calculent ce dont un ménage de X ou Y personnes a besoin. Cette première partie ne doit pas être chère, car c'est un besoin vital. Au-delà, la consommation de l'eau doit coûter de plus en plus cher. Cela suppose que des compteurs d'eau soient obligatoirement installés très rapidement. Quand aux usages agricoles, l'eau doit être équitablement répartie et dans ce cadre, les méga-bassines ne devraient pas exister.
De même, il faut rompre le contrat qui, à Vittel permet à Nestlé de pomper l'eau au détriment des habitants.
Martine Herber 14/12/2021 - 16:36:11
L'eau est fondamentalement un bien commun inaliénable, pas de concession.
L'eau, l'air, le vivant: nos biens communs, parmi d'autres, comme la chose publique, les langues, les cultures, les conquis sociaux...
nicolas wyss 30/11/2021 - 22:08:14
L'eau, bien précieux, appartient à tout le monde, mais est petit à petit privatisée, comme la terre, et l'air...bravo à tou(tes)s les lanceurs de vérités, d'alerte qui se donnent pour le bien d'autrui, Merci.
Jean-louis Bouchet 30/11/2021 - 15:43:08
on pourrait faire pareil pour le gaz et l'électricité !
DOMINIQUE BOUTS 29/11/2021 - 14:59:05
Commençons par dénoncer le tout à l'égout.
catherine leroy 27/11/2021 - 19:45:12
bien plus que le nucléaire, l'aviation,les autoroutes l'EAU est indispensable à la vie Chaque fois que nous touchons à l'eau nous créons un désastre Halte aux bassines
michel armagnat 27/11/2021 - 18:33:43
Julien Denormandie trouve normal que l'eau du marais poitevin, des Deux Sèvres et peut être même de l'Est soit pompée. Fichtre, il s'en carre comme de sa première chemise made in Taïwan. Non, Monsieur le ministre de la souffrance des animaux, des empoisonnements de paysans, de ruraux, les bassines ne sont pas remplies par les nuages mais par les nappes phréatiques. Les pro-bassines, vos amis, Monsieur le M., assèchent les terres, vident les cascades, les torrents et tout ce qui suinte clair et pur. Est ce que cela vous grattouille? Nous n'aimons pas les cultures gourmandes en eau, les gerbes d'eau crachées en été sur le maïs alors que les vaches tirent la langue dans les prés d'herbe cramée. S'ils veulent de l'eau qu'ils viennent la pomper quand les rivières débordent à cause des crétins qui dérangent le climat. Ceux qui veulent barboter dans leurs bassines aiment la chimie dans les sols, l'extinction des animaux et la production destinée à l'export, chez Bolsonaro par exemple. Pas de cad-eaux aux irrigateurs picsous.
L'eau ne doit pas être confisqué par quelques agriculteurs... à moins qu'ils la paient comme tout le monde !
Krys 26/11/2021 - 22:03:01
Bravo aux activistes de terrain. J'ai vu les débuts de ce mouvement en 2018, trois ans plus tard, vous n'avez rien lâcher... Que votre opiniâtreté berce nos révoltes ! No Bassaran ! :)
Alain Olivo 26/11/2021 - 21:17:55
Il y a beaucoup de problèmes à régler sur ce plan des communs. L'air est un bien commun, mais certains le polluent à qui mieux mieux. La terre est aussi un bien commun, avec la liberté d'aller et de venir, avec le devoir de la tenir en "bon état" pour que la vie y soit possible: on voit ce qu'il en est.. Certes, les cultures inadaptées sont en cause, mais il y a des intérêts pour les préconiser et les imposer. L'eau, bien sûr, est aussi un bien commun.
geronimo 26/11/2021 - 19:04:46
Les Sahéliens ne cultivent pas d'artichauts. Les Sahéliens ne connaissent pas non plus Christiane Lambert ;-)
Au lieu de bassiner la nature, si on adaptait les cultures au climat local ?
Que le maïs retourne sous ses tropiques natales. Il s'en portera mieux et nos nappes phréatiques aussi.
Frawald 26/11/2021 - 13:50:45
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Philippe FARINEAU
03/06/2022 - 11:41:57