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Cyberaction : Contre les projets routiers dans l'agglomération montpelliéraine
Ensemble, nous demandons l'arrêt immédiat des méga projets routiers dans l'agglomération montpelliéraine (L.I.E.N, COM, DEM) et le développement des mobilités durables.
L'urgence climatique est là, il faut agir !
Elle sera envoyée à Présidents du Conseil Départemental de l'Hérault et de la métrole de
Montpellier En soutien à collectif Sos Oulala, Greenpeace Montpellier, XR Montpellier, ANV
COP21 Montpellier
Plus d'infos
Débat Public SAMEDI 22/01/22 À 10:30
Le LIEN c'est quoi ?
Mairie de Prades le Lez
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Le transport routier, développé depuis près d'un siècle au détriment des autres modes de transport, a montré ses limites. Il accapare l'espace public des villes, et son impact sur l'environnement et la santé des habitants n'est plus à démontrer (67000 décès en France chaque année liés à la pollution de l'air).
Le nord de Montpellier est le poumon vert de la métropole. Ces projets routiers vont polluer l’air que l’on respire, l’eau que l’on boit, accroître les risques d’incendies et d’inondations. C’est-à-dire saboter nos ressources et notre capacité à faire face au changement climatique.
Si ces projets se réalisent, ils permettront la bétonisation massive de cette partie encore préservée.
Des projets de ZAC et une réouverture de carrière sont déjà déposés, plus tout ceux qui viendront une fois que ces routes seront construite.
Montpellier, qui dépasse les seuils réglementaires de polluants définis par l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé), est toujours dans l'inertie de l'ancien monde.
- Le contournement ouest (COM), estimé à 400 millions d'euros, prévoit de détruire 16 hectares de terres agricoles.
- Les travaux de la liaison Nord (LIEN) estimé à 93,5 millions d'euros, sont en train de massacrer 80 hectares de zones naturelles, dont celle de Bel-Air, qui est le réservoir de biodiversité le plus riche de la métropole.
Ces projets sont aussi des projets industriels qui relieront deux autoroutes et faciliteront le passage des camions vers les ZAC et les entrepôts type Amazon. Encore des projets qui encouragent le frêt par la route !
Nous ne pouvons pas revenir en arrière, nous devons agir maintenant pour bloquer les travaux et protéger notre environnement !
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à kmesquida@herault.fr | elus@montpellier3m.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : Arrêt immédiat des méga projets routiers
Message : Monsieur le Président
L'urgence climatique est là, il faut agir !
Je demande l'arrêt immédiat des méga projets routiers dans l'agglomération montpelliéraine (L.I.E.N, COM, DEM) et le développement des mobilités durables.
Dans cette attente, croyez en ma vigilance sur vos décisions.
Vous pouvez modifier le sujet et le texte de cette cyberaction en choisissant l'option "modifier des éléments" ou "me connecter et modifier"
Stop aux délires des infrastructures routières, à Montpellier ou ailleurs, l'urgence climatique est à l'ordre du jour
virginie richon 23/04/2022 - 20:44:12
Le Lien, vous en dites quoi ? Retour sur les résultats d'une consultation très suivie
Débat, apéro, concert : le 26 avril à 19h à la Carmagnole 10 rue Haguenot, Montpellier
Soyons nombreux à échanger observations et réflexions. Ensemble nous résistons.
Evènement facebook à partager : https://fb.me/e/27O6ITQW8
La bataille politique et juridique contre le LIEN, périphérique de Montpellier fait rage. La mobilisation de terrain grandit pendant qu’un recours au conseil d’Etat a de bonnes chances d’aboutir en notre faveur. En février s’est tenue une consultation publique massivement suivie.Malgré une question complexe, plus de 1600 personnes ont exprimé en grande majorité leur opposition au projet. Mais, le département et la préfecture refusent d'entendre l’opposition de la population. Ils présentent les résultats de façon malhonnête. Les institutions entravent de plus en plus l’exercice de la démocratie et verrouillent les petits espaces d’expressions citoyennes. Elles adoptent une stratégie systématique de déni de la parole citoyenne et discréditent les militants. Aucune voix dissidente n’est considérée comme légitime, seule leur parole est supposément la voix du peuple. Leur répression et leur surveillance sont de plus en plus violentes. Quelles stratégies adopter dans un contexte de répression policière et de réduction à venir du droit de l’environnement et des possibilités de recours?
Ce débat s'inscrit dans la journée d'appel national RETOUR SUR TERRES
APPEL : Alors que chaque jour le ravage écologique s'accélère, que les réformes antisociales se multiplient, que le gouvernement s'enfonce dans l'autoritarisme et que la répression s'intensifie, influencer les présidentielles semble crucial pour les mouvements sociaux. Mais quel que soit le résultat des élections, la société juste et écologique à laquelle nous aspirons n'adviendra qu'en instaurant un rapport de force suffisant, comme l'ont montré les grandes victoires des mouvements sociaux, des suffragettes à la lutte pour les droits civiques, de Plogoff à Notre-Dame-des-Landes. Face à la crise sanitaire, à la multiplication constante des projets polluants et imposés, au déni de démocratie croissant, depuis déjà cinq ans, des marches, des occupations de rues, de ronds points, et des journées d'actions ont lieu partout en France pour enrayer la machine œuvrant à l'intoxication du monde. Dans les mois qui viennent cette machine et son fonctionnement dévastateur seront l'objet d'une apologie quotidienne, véhiculée par les candidats à l'élection présidentielle. Nous ne pouvons pas laisser ces discours se propager sans réagir. Au lendemain de ces élections, le mardi 26 avril, nous reprendrons le pouvoir localement, nous réinvestirons nos lieux de vie, nous nous opposerons à chaque projet destructeur du vivant, de notre santé, de nos terres. Et peu importe les promesses de la personne élue : tant qu'elles ne se traduisent pas en actes, nous occuperons le terrain. ??????? Le 26 avril prochain nous inverserons le rapport de force, et nous nous lèverons ensemble pour reprendre nos terres et notre avenir à ceux qui les détruisent.???? Depuis des années, plus de 400 collectifs luttent partout sur le territoire: contre des usines toxiques qui empoisonnent riveraines, riverains, travailleurs et travailleuses, contre des fermes-usines qui exploitent le vivant, contre la bétonisation des terres qui devraient nous nourrir, contre l'expansion de multinationales écocidaires comme Amazon. Nos luttes sont locales mais à cette échelle nous nous battons contre des politiques publiques nationales et des multinationales, et nous pouvons remporter des victoires. Rien que l'an dernier, nous étions 3 000 autour des Bassines agricoles contre l'accaparement de l'eau, nous avons fait tomber plusieurs entrepôts Amazon, le terminal 4 de Roissy, plusieurs surf parks et autres projets polluants et imposés. ???????Nous ne nous arrêterons pas. Face à des élections dans lesquelles nous ne plaçons que peu ou pas d'espoir, le 26 avril, dans toute la France, nous occuperons le terrain, à travers nos rassemblements, occupations, actions de désobéissance civile et de désarmement. Nous soutiendrons des dynamiques de résistances locales face à un système économique et démocratique dont nous ne voulons plus. Intensifions la pression sur les secteurs qui semblent le plus évidemment empoisonnants et dispensables : cimenteries, usines de pesticides ou d’armement militaire et policier, industrie aéronautique ou publicitaire, construction de plates-formes commerciales, unités d’élevage industriel, infrastructures de l’industrie nucléaire... Ce rapport de force et les solutions pour l’emploi doivent se construire avec les salarié.es concerné.es. Victoire après victoire nous gagnons du terrain. Car peu importe qui se dira président ou présidente de tous les Français, peu importe les promesses qui auront été égrainées durant des mois, nous ne lâcherons rien, pas une extension, pas une usine toxique, pas une terre volée. La liste complète et les collectifs à rejoindre sur : https://resistanceslocales.org/
Alain UGUEN 20/04/2022 - 08:45:46
Montpellier devient une ville très "bétonnée".
Elle est déjà très bien desservie côté routier !
Pourquoi ajouter d'autres routes ?
Effectuer des aménagements à certains endroits serait sûrement beaucoup plus sage et... bien moins onéreux !
Ravages et massacre des arbres pour plus de béton??? il faudrait déjà que les routes existantes soient entretenues correctement avant d'en construire d'autres.
Mais il faut faire s'enrichir les copains d'abord avec de grands chantiers.
N'irait-on pas jusqu'à faire venir la mer à Montpellier à grands coups de bulldozers? elle n'est pas si loin pour l'appétit de ces messieurs dames. Département, région, on est loin de s'occuper vraiment des besoins de la population, mais tant qu'il y a du panache.....
Philippe ALVAREZ 03/02/2022 - 00:34:58
LES NOUVEAUX EPISODES du L.I.E.N. !
La consultation publique du L.I.E.N. est théoriquement ouverte depuis ce matin 9 heures et ce jusqu’au 2 mars 2022 : si le site ouvre, prenez le temps de regarder les dossiers mis à disposition du « public ». Pour l’instant, on attend la surprise à venir.
Il est important d’être très nombreux à y répondre avec des arguments sérieux et personnalisés. Si vous voulez nous aider à la rédaction de réponses, bienvenus ! Il vous suffit de nous écrire à sos_oulala@protonmail.com. .
Ceux qui n’ont ni le temps ni l’envie de faire ce long chemin entre les dossiers et les liens, nous vous communiquerons le résultat de nos analyses dans une semaine environ.
AGENDAS DES ACTIONS A VENIR
@ Le 5 Février, 14 h-16 h, Tracé du LIEN, à proximité de l’arrêt de bus Pradas (n°24), Grabels : Replantons le LIEN ! organisé par GreenPeace-Montpellier avec Alternatiba, Anv-Cop21, Extinction Rebellion, Sos Oulala, collectifs en lutte à Montpellier.
Une promenade sera organisée pour que vous puissiez constater combien les espèces protégées sont peu prises en considération lors du chantier en cours ! Les stations de Glaïeul douteux sont malmenées par le chantier du LIEN. Nous sèmerons des glands de chêne symboles de longévité et du blé nourricier pour réensemencer symboliquement la nature détruite par les travaux. Une exposition des espèces protégées menacées sera installée sur la colline. Cette après-midi sera familiale et inclusive sous le signe de l’espoir du changement.
Nous annoncerons le recours qui a été déposé par France Nature Environnement- LR au Tribunal Administratif de Montpellier sur la dérogation espèces protégées additionnelle le 23 décembre 2021. Quel Intérêt Public Majeur à détruire les espèces protégées ?
Vous pouvez partager le lien Facebook de cet évènement
@ Le 9 Février, 18 h 30, Clapiers, salle Malige, Espace J. Penso : Débat public, le Lien c’est quoi ?
Sur le même format que les débats publics tenus à Grabels et à Prades-leLez, le débat se tiendra à Clapiers. S'informer, comprendre les procédures, fournir des éléments de réponse aux questions que chacun peut légitimement se poser, telle est l'ambition de ce débat public. Les questions juridiques, économiques, environnementales et sociales y sont abordées avec des cartes, des films, des dossiers, etc. Certains se disent que c'est trop tard, puisque les chantiers ont démarré depuis octobre dernier. Mais non, on peut encore agir. Les travaux du LIEN ne sont pas irréversibles. Le Conseil d'Etat n'a pas encore statué sur le fond du dossier.
Aujourd’hui, une Consultation Publique est ouverte sous la pression des chantiers : prenons du temps pour la réflexion et le recul et faisons face à la politique du fait accompli de la préfecture et du département de l’Hérault. En Dordogne le Département doit démolir ce qu'il a commencé à construire au mépris des règles environnementales : les passages en force des Départements ont des limites!
D’autres actions sont prévues et nous vous les confirmerons au fur et à mesure, mais vous pouvez déjà noter les dates suivantes :
· 26 Février, 14h, (date en cours de confirmation et lieu à déterminer) : Non aux Contournements Routiers, organisé par Sos Oulala avec les associations en lutte contre les contournements à Nîmes, Avignon, Arles et Toulouse.
· 13 Mars, à partir de 10h, un parc à Montpellier (report en cas de pluie le 20 mars) : Journée des luttes et solutions environnementales, organisé par Action Climat Montpellier (Alternatiba/ANV) avec les associations et collectifs en lutte.
Alain UGUEN 31/01/2022 - 13:27:31
Contournement, routes etc
Bien sûr que ça fait mal de voir les bulldozers arracher les arbres des forêts pour faire des lignes TGV, des autostrades, des autoroutes, des ponts pour que les véhicules nous coupent la respiration et massacrent bêtes et plantes.
Goudron qui englue, terres agricoles ôtées aux paysans, surfaces arbustives ravagées, atmosphère irrespirable, bouchons à gogo, c'est tout cela que convoquent les promoteurs sudistes.
Bas les pattes !
Faites revenir les travailleurs dans les villes, dans les villages et les bourgs pour que les voitures restent dans les garages. Arrêtez les transhumances.
Laissez les terres aux cultivateurs bio et aux animaux qui savent vivre.
Aïchat Nussy
colette Nusbaum Vallet 25/01/2022 - 10:52:19
Revenir à d’autres formes de mobilité, arrêter la voiture
Agnès Simonpietri 24/01/2022 - 20:05:31
Pour développer le pays, donner du travail aux citoyens : détruisons la nature, toujours plus. Le bazar des grands chantiers. Rien de nouveau n'a été inventé sous le soleil.
Comme écrivait notre ex-maire, grand constructeur devant l'Eternel : « se réapproprier, réamménager, revaloriser ». Sauf que nous ne possédons pas la nature, nous y vivons ; sauf qu'il paraît incongru et présomptueux de vouloir "réamménager, revaloriser" ce qui s'organise très bien tout seul et ce qui tire entièrement sa valeur des équilibres qui s'y sont créés au fil des siècles. Bref, nous tournons en boucle et les aspirations à un monde plus harmonieux, plus doux sont raillées par des porteurs de projets soi disant "pragmatiques" et soi disant "essentiels à l'économie du pays, de la région, de la ville". Hélas, les méga projets routiers en question ici ne sont que les symptômes de la folie agitée, bornée et destructrice qui habite certains d'entre nous.
Mesdames, messieurs les entreprenants entrepreneurs, vous voulez de l'action et du boulot ? Commencez donc par rénover les réseaux existants. En France, les routes sont globalement en mauvais état. Commencez aussi par vous creuser le citron pour trouver des alternatives et développer des transports durables (trains, notamment). Réfléchir avant d'agir, considérer les conséquences à terme de ses actions, penser plus loin que l'échelle de sa petite vie : là est le vrai pragmatisme, là est le vrai sens des responsabilités ! Réfléchir ne donne pas la migraine, vous verrez.
Frawald 20/01/2022 - 07:57:51
Laisse béton, que je respire!
ploum 19/01/2022 - 18:48:44
Encore un projet d'avant hier venant d'élus aux idées dépassées.Toujours du béton encore et partout,il faut vite détruire ce qui peut encore l'être ! pour que le monde de demain soit un enfer telle est leur devise.
Tout cela au nom de de la sainte croissance. Quand donc regarderont ils devant ?? au lieu d'avoir l’œil rivé sur le rétroviseur.
Marc Solari 19/01/2022 - 16:15:58
Le déboisement, même s'il s'agit de résineux, dans une région aussi aride que le Languedoc est un crime climatique et, ceci, même sans prendre en compte la destruction systématique et donc volontaire d'une biodiversité qu'abrite ces forêts. Tous les ans, le Sud flambe. En déboisant, en imperméabilisant les sols et en ouvrant le passage à des gens qui ignorent comment se comporter en milieu aride où l'eau -source de vie- est un trésor rare, les décideurs agissent vraiment dans le sens opposé au simple bon sens avant même d'aller à l'encontre des décisions prises lors des différentes COP dont il ne sort que du bla-bla-bla.
Mireille 19/01/2022 - 16:03:50
Quelle honte !
Jean-Michel Sampay 19/01/2022 - 15:10:28
Il est tellement évident que les grands projets routiers ne sont pas d'avenir ! Ils sont énergivores à construire pour des véhicules énergivores à la construction et à l'usage. Il faudrait admettre et redire que l'important c'est la sobriété, seul moyen raisonnable de contenir le réchauffement climatique !
Christian Rozé 19/01/2022 - 14:55:31
et ailleurs, comme à Rouen .....
Lionel Bécus 19/01/2022 - 12:53:03
Que ce soit l'automobile "thermique" ou "électrique", la finalité reste pour nos indigents responsables le culte de la croissance sans limite!!! Présentez le choix pour l'électrique en matière de déplacement est une supercherie, pour ne pas dire un "GORS MENSONGE"!
On ne peut pas occulter l'activité minière qui est derrière ces techniques, que ce soit pour les composants que pour l'électricité à produire, par des centrales nucléaires par exemple... Alors que nous n'avons plus d'uranium en France, qu'il faut aller le chercher au Niger (colonialisme déguisé...) ou au Canada ou en Australie...
Où est l'indépendance dont on nous parle?...
NOUS NE POURRONS ECHAPPER A CE QUE TOUT LE MONDE RECUSE et DETESTE: LA DECROISSANCE. NOS MODES DE VIE EXTRAVAGANTS SONT POSSIBLES PARCE QUE NOUS SPOLIONS UNE PARTIE DU MONDE.
eugène ravenet 19/01/2022 - 10:31:40
Quand nos "autorités" vont-elles comprendre qu'il faut désinvestir les routes et l'automobile, que ce vieux monde est FINI, qu'il faut venir aux mobilités réduites douces, orienter les investissements publics dans un sens radicalement différent ?
Lisez les Programme L'Avenir Ensemble dans toues les (bonnes) librairies...
Bernard Pothier 18/01/2022 - 08:28:18
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virginie richon
23/04/2022 - 20:44:12