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cyberaction : Arret immédiat des migrations vers Microsoft 365

Polytechnique et Ministère de l’Éducation Nationale : le Conseil National du Logiciel Libre (CNLL) exige l’arrêt immédiat des migrations vers Microsoft 365

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19 commentaires

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La souveraineté face aux GAFAM est un impératif stratégique.

armand guerin
19/04/2025 - 15:54:30

tout ce qui nous rendra indépendant doit être privilégié ! Il faut mettre fin à la situation monopolistique des gafam , au plus vite ! Microsoft est une impasse politique mortifère !!

serge Schwindenhammer
16/04/2025 - 16:04:38

Souveraineté Numérique : Le CNLL salue l'évolution du discours mais réclame des actes concrets et immédiats en faveur de l'Open Source

Suite à la soirée "Souveraineté Numérique" organisée le 17 avril par Madame Clara Chappaz, Secrétaire d'État chargée de l'Intelligence Artificielle et du Numérique, le Conseil National du Logiciel Libre (CNLL), voix de la filière Open Source française, prend acte d'une évolution notable et bienvenue du discours gouvernemental. Cependant, le CNLL souligne l'urgence de traduire ces intentions en actions tangibles pour bâtir une réelle souveraineté numérique française et européenne.

Alors que les discours d'hier soir à Bercy ont largement mis en avant la nécessité de la souveraineté, l'importance de l'Open Source et la volonté d'une préférence européenne dans les achats publics (déclinaisons du slogan "Je Choisis La French Tech"), sur la base de critères qui restent à objectiver, le CNLL constate que ces déclarations, bien que positives, contrastent encore fortement avec la réalité du terrain et le manque de mesures structurantes.

« Nous nous félicitons d'entendre enfin un discours qui reconnaît l'existence et la qualité des solutions françaises et européennes, notamment Open Source. La question n'est plus de savoir si nous avons les capacités, mais pourquoi nous ne les utilisons pas systématiquement, » déclare Stefane Fermigier, co-président du CNLL. « Cependant, les "discours inspirants" ne suffisent plus. Il est temps de passer aux actes concrets pour stopper les dérives actuelles et libérer le potentiel de notre écosystème. »

Le CNLL rappelle ses prises de position et ses propositions urgentes qui trouvent un écho particulier dans les discours et tables rondes de la soirée :

L'urgence de stopper les décisions contraires à la souveraineté : La consternation exprimée publiquement par Michel Paulin (président du futur Comité Stratégique de Filière « Logiciels et Solutions Numériques de Confiance ») concernant la migration de l'École Polytechnique vers Microsoft 365 confirme l'analyse du CNLL. Nous réitérons notre demande d'intervention immédiate de l'État pour stopper cette migration et annuler le marché similaire de l'Éducation Nationale, décisions illégales et stratégiquement dangereuses, et qui constituent un exemple regrettable pour le reste de l'administration et de l'économie françaises ("faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais").
La nécessité d'une commande publique réellement orientée "Open Source & Souveraineté First" : Les mentions répétées de la préférence européenne et du "souverain-washing" soulignent le besoin criant de critères clairs et contraignants favorisant les solutions Open Source et les acteurs réellement européens. L'application effective et vérifiable de l'Article 16 de la Loi République Numérique doit en être la pierre angulaire. Les affirmations "nous faisons de l'Open Source" entendues hier doivent par ailleurs se traduire par des contributions réelles et une transparence vérifiable.
L'intégration réelle de l'Open Source dans les stratégies d'innovation et de promotion de l'écosystème numérique français : Le slogan "Je Choisis La French Tech" doit s'appliquer concrètement à la filière Open Source (~10% du marché IT FR). Cela passe par une reconnaissance dans les dispositifs French Tech, un accès équitable aux financements (publics/privés) et la sécurisation des dispositifs fiscaux (CIR/CII/JEI) contre les interprétations restrictives qui pénalisent l'innovation ouverte.
Une structure de pilotage et de suivi : Le lancement d'un Observatoire de la souveraineté numérique est une chose, mais le CNLL s'interroge sur la place qui sera allouée au logiciel libre dans ce contexte. Nous réitérons par ailleurs notre proposition de créer une instance de pilotage interministérielle (type OSPO renforcé ou Agence dédiée) dotée de moyens pour garantir la cohérence et l'application de la stratégie Open Source de l'État.

« Le temps des constats est révolu. La France et l'Europe disposent d'un écosystème Open Source dynamique et innovant, capable de fournir les briques technologiques d'une souveraineté numérique solide, » ajoutent Stefane Fermigier. « Il faut maintenant lui donner les moyens structurels de se développer et d'être priorisé : application stricte de la loi, commande publique exemplaire, soutien réel à l'innovation ouverte et défense d'une vision ambitieuse au niveau européen dans le cadre de l'initiative "EuroStack". »

Le CNLL appelle le gouvernement à traduire rapidement les orientations affichées hier soir en décisions politiques et administratives fortes. L'organisation se tient à la disposition de la Secrétaire d'État et des administrations concernées pour travailler à la mise en œuvre concrète de ces mesures essentielles.
A propos du CNLL -  www.cnll.fr.  

Le CNLL, Union des Entreprises du Logiciel Libre et du Numérique Ouvert, est l’instance représentative de la filière du logiciel libre en France. Issu du groupement de 12 clusters régionaux en 2010, il représente plus de 300 entreprises “pure players” (spécialisées ou avec une activité significative dans le logiciel libre et l’open source): éditeurs, intégrateurs, sociétés de conseil, etc. Il assure la promotion de l´écosystème professionnel du logiciel libre, de son offre de logiciels et de services, de ses atouts spécifiques, et de ses besoins, notamment en termes d’emploi et de formation. Il permet à la communauté des acteurs de la filière d’échanger et de travailler ensemble au développement du marché, dans le respect de valeurs communes.
Contact presse: Stefane Fermigier, co-président, 06 63 04 12 77 / sf@fermigier.com.  

Alain UGUEN
15/04/2025 - 13:44:27

Pas de pétitions sur l'obsolescence des machines Windows 10 ?
la migration vers Windows 11 est impossible sur une grande partie du parc. Demander à l'UE de forcer Microsoft à fournir une vers de Windows 11 moins exigeante en composants sur la carte mère.

LE RALLE
09/04/2025 - 13:54:29

L'Europe doit s'affirmer et développer ses propres outils pour son autonomie et surtout pour s'émanciper du joug américain.

Gérald
07/04/2025 - 14:05:08

Autant donner une connexion directe à la NSA.

Frawald
01/04/2025 - 13:56:38

Quand on sait que aucune personnalité de gouvernement, n'a protesté quand Snowden a révélé la surveillance de tout ce qui décide en UE (et ailleurs), donc que nous SOMMES depuis des années dans un pays colonisé par une synarchie occidentale bien établie,
sans parler des guerres et tueries ...
variations sur le même thème !
NE PAS S'INSURGER contre nos Dominants implique de choisir uee vie de bétail : soumission, coercition, abattoir ...

jean
27/03/2025 - 11:00:50

Il me semble que dans l'enseignement supérieur et la recherche, les acteurs ont toujours choisi librement (aux contraintes financières près) les logiciels qui leur conviennent le mieux, quelle que soit leurs finalités.
Ou bien vient-on de pénétrer dans un autre monde ?
--ml

Michel Leglise
26/03/2025 - 11:26:06

Il faut diligenter rapidement une enquête pour démasquer les "coupables" et les éloigner définitivement pour faute grave de tous ces renseignements sensibles car on ne peut accorder sa confiance à des personnes qui bafouent sciemment la loi.

Liliane Girard
25/03/2025 - 15:53:36

100 fois d'accord avec cela. Quid d'une procédure judiciaire pour faire invalider ces décisions? Qui peut être partie légitime pour lancer une telle action?

Philippe LEBOURG
25/03/2025 - 13:44:24

de mon point de vue de néophyte, ça glisserait vers de la haute trahison ..............c'est donner des informations sensibles, donc ...........

maripachats
25/03/2025 - 07:55:25

Dans un cas comme celui-ci il ne peut s'agir d'une erreur ou d'une ignorance. Mais bien Comme toujours lorsqu'il s'agit d'argent public et de possibilités de "récupérer" les données des utilisateurs, mais se poser la même question que Cicéron lors du procès de Catalina "Cui bono? (Qui en profite?)

Mireille
24/03/2025 - 21:12:13

Je suis totalement ahuri !! C'est franchement du grand n'importe quoi... On est en pleine corruption ou quoi ?

Yves Bertran Alvarez
24/03/2025 - 18:07:13

Une fois de plus du grand n'importe quoi.

Alain Mirande
24/03/2025 - 18:04:46

"De la Servitude volontaire"... quelle stupidité! à qui profite le crime?

geronimo
24/03/2025 - 16:30:18

C'est totalement hallucinant ! En pleine offensive américaine alors que nous avons les solutions d'autonomies, libres et transparentes ! Comment nos institutions peuvent-elles être à ce point aveugles, incohérentes et dépendantes de l'informatique bizness, et de sociétés peu scrupuleuses ou nos données sont des marchandises. Incompréhensible !

Bruno Mauguil
24/03/2025 - 12:01:24

A qui profite ce crime programmé? Le contournement des textes de loi et autres devient "monnaie" courante en toute démocratisation assumée. Impossible pour moi d'accepter

Claude Fustier
24/03/2025 - 11:39:18

Quand cesserons nous de dépendre d'oncle Sam ? Le logiciel libre doit impérativement etre développé et encouragé, l'accès internet devenir un bien public comme, en son temps, grace à Gutemberg, l'accès à la lecture et à l'écriture. La mobilisation s'impose particulièrement à un moment où l'illibéralisme envahit l'espace, tel un rouleau compresseur.

Marie-Annick MOREL
24/03/2025 - 09:27:40

Il existe assez de logiciels libres et de développeurs européens pour ne pas aller chez les amis du grand blond.... a moins d'y avoir des intérêts particuliers.?

ABEL MONIN
24/03/2025 - 08:55:50

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