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Cooperl : enquête sur un...
La Cooperl, à l’origine un groupement de producteurs, est devenue une multinationale du porc,...
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les magasins bio qui soutiennent la pétition pour en finir avec les algues... Proposez à votre Coop bio d'afficher l'affiche incitant à signer la pétition pour en finir avec les algues vertes. |
cyberaction : KIABI dites NON à la répression
Au Bangladesh, trois entreprises françaises ferment les yeux sur la répression du mouvement pour de meilleurs salaires dans les usines textiles. Nous leur demandons d'intervenir pour faire cesser les poursuites arbitraires contre 24 969 personnes.[ Participer à la cyberaction ]
5 commentaires
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Depuis plusieurs annees j'ai tourne le dos aux magasins Auchan , et je ne me fournie plus chez decatlhon pour mon materiel sportif La famille Mouniez a un trop fort penchant pourla russie de poutine et aucun interêt pour les Gens qui l'enrichient,,, je vis sur une ile ce qui limite mes choix
mais qu'importe!
Le seul droit qui nous reste c'est de dire non! le refus,,,,
mais qu'importe!
Le seul droit qui nous reste c'est de dire non! le refus,,,,
NOEL HOLZER
20/01/2025 - 20:20:06
Au Bengladesh où les syndicats ne peuvent pas s’exprimer dans la rue, où les patrons ne paient pas leurs ouvriers, multiplient les heures de travail et les laissent se faire rosser lors des manifestations, on accueille Décathlon, Carrefour et Kiabi.
Les sous-traitants des Franchouillards qui tondent les ouvriers du textile, ont fait des procès aux couturiers et petites mains toutes abîmées. Des milliers de miséreux, essorés pas leurs patrons sont devant la justice en raison des manifs justifiées et des revendications légitimes.
Que les trois mousquetaires de France se montrent raisonnables et exigent que les travailleurs (avant qu’une usine ne brûle) reçoivent leur salaire, abrègent leurs horaires et mettent au pas les fournisseurs esclavagistes.
Si rien ne s’arrange, quittez les lieux et vendez des frusques françaises.
Aïchat Nussy
Les sous-traitants des Franchouillards qui tondent les ouvriers du textile, ont fait des procès aux couturiers et petites mains toutes abîmées. Des milliers de miséreux, essorés pas leurs patrons sont devant la justice en raison des manifs justifiées et des revendications légitimes.
Que les trois mousquetaires de France se montrent raisonnables et exigent que les travailleurs (avant qu’une usine ne brûle) reçoivent leur salaire, abrègent leurs horaires et mettent au pas les fournisseurs esclavagistes.
Si rien ne s’arrange, quittez les lieux et vendez des frusques françaises.
Aïchat Nussy
Colette Nusbaum Vallet
12/12/2024 - 16:47:06
tout à fait d'avis avec le précédent courriel
en cohérence avec soi et en compréhension du système qui ne fonctionne qu'en valeurs financières actionnaires et boursières
la valeur argent est unique suffisante et nécessaire
notre seul mode d'action reste notre pouvoir ou pas d'achat notre possibilité de choix des fournisseurs!
mondo
05/12/2024 - 14:46:21
le mieux c'est de boycotter ce genre d'etablissement
Stéphoto
05/12/2024 - 10:23:11
| CYBERACTEURS | C/O Alain Uguen 152 rue F.Pelloutier 29000 Quimper | Mentions légales
| GRAPHISTE : Mary-Morgane |
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Janet Chemitei est une influenceuse kenyane engagée contre l’énorme gaspillage de la fast-fashion. Son pays, le Kenya figure dans le peloton de tête comme destination finale pour les vêtements jetés. Victime de la mode, le Kenya a reçu en 2023 près de 200 000 tonnes de vieux vêtements. Ces derniers, auxquels parfois leur ancien propriétaire pensait donner une seconde vie en les recyclant, terminent dans d’immenses décharges à ciel ouvert. À Nairobi, Janet Chemitei dénonce la pollution engendrée par l’accumulation de ces déchets grâce à ses vidéos. Les Observateurs de France24 consacrent un sujet à cette personnalité engagée contre la fast-fashion et ses dérives.
https://www.goodplanet.info/vdj/linfluenceuse-kenyane-qui-devoile-la-face-cachee-de-lindustrie-textile/?idU=1
Alain UGUEN
14/02/2025 - 09:46:09