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archive : Concertation publique produits phytopharmaceutiques ?

un projet de charte d'engagements départementale des utilisateurs agricole de produits phytopharmaceutiques est soumis à consultation publique depuis le 4 mai et jusqu'au 2 juin sur le site de la chambre d'agriculture.

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20 commentaires

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Après les chassurs qui décime - pardon, qui "régulent" la vie animale, les empoisonneurs s'y pettent aussi. QUAND resperons-nous cette nature qui ne nous appartient pas ? Quand nos enfants auront trois yeux et décèderont à 15 ans ?

Jean-Louis Tetrocurieux
28/07/2020 - 10:02:55

Alors que le plan Ecophyto 1 fût un fiasco, que le plan Ecophyto 2 ne se présente guère
mieux avec bien pire qu’une diminution, une augmentation de 37 % du tonnage des ventes observée entre 2017 et 2018 en Bretagne (Données DRAAF), l’administration semblait vouloir faire un petit pas en direction des riverains lors de la sortie de l'arrêté ministériel de décembre 2019 imposant des distances de pulvérisation à devoir être respectées. Ces distances pourtant peu importantes, sinon même ridiculement petites (5 m pour les cultures basses, 20 m pour les produits
les plus préoccupantes (ça interroge d’ailleurs beaucoup de nommer ainsi des produits soit disant protecteurs des plantes) ont encore été réduites en plein confinement, sans concertation aucune avec les riverains, devant pourtant au cœur des préoccupations de l’arrêté devant les protéger.

Quelle est cette administration bafouant ainsi les droits des riverains ? La charte préfectoral réduisant jusqu’à 3 mètres seulement les distances a été signée uniquement entre représentants agricoles et les préfets sans même de représentants de riverains. Profitez du confinement pour agir de la sorte est une honte. L’administration garante de la démocratie l’a bafouée de manière scandaleuse.
Et puis franchement, de qui se moque t-on ? 3 mètres de distance entre zone d’habitation et l’usage de ces produits, n’est-ce pas du foutage de gueule ?

Et l’administration semble ne pas entendre l’appel de la population à plus de protection vis à vis de ses produits et vis à vis d’une biodiversité qui se meure. On doit certainement avoir dépenser le milliard d’euros dans les plans Ecophyto qui se révèlent être une gabégie scandaleuse. La pollution de l’air par ces produits participe selon les scientifiques à accentuer la propagation du virus Covid. Combien aura t-on dépenser pour soigner les malades du Covid ?

Il est grand temps que l’administration et la FNSEA entendent les plaintes de la population qui veut une nature vivante et une agriculture plus saine (et beaucoup d’agriculteurs s’y appliquent mais visiblement pas tous et ceux-là gâchent complètement le travail de ceux qui ont pris le tournant d’une autre agriculture durable et respectueuse de tous et qui en vivent..).

LN
07/06/2020 - 23:38:52

Resistances aux moleculles syntetiques utilisees en pharmacie (perte d efficacite antibiotique et maladies nauseocomiales..),
Saturation phyto sanitaire, a nouveau problemes de resistance qui font cogiter a mille tous les Bay,anto,baf,chem etc, chaque 8 ou 10ans pour s echapper des titanic financiers ou sanitaires qu ils frolent ponctuelement et inevitablement...la nature repond toujours et elle a le dernier mot, car nous lui apartenons (pas l invers..)
A nouveau resistance aux mollecules syntetiques ds l elevage intensif, et nouvelle cep virale inevitables de temps en temps.
Apres la septieme crise sanitaire en une 15zaine d annees nous devrions etre des specialistes de la grippe (2porcines, 2 bovines, 2 aviaires, 1 ovine...).
On a la memoire courte et les idees longues (a la detente..), le covid, c est du cochon chinois!
Tout leur cheptel porcin a ete extermine l annee derniere entre septembre et decembre.
Vous voulez ajouter les 3 chiffres d affaires des champions de la deconne, ou vous preferez la loterie en millions de tonnes, en atendant le prochain bingo, ds 12 ans..?

Achen
28/05/2020 - 21:18:26

pitié pour la faune, la flore et les humains que nous sommes tous !!!! Ces manigances sont intolérables. Reprenons le bon sens paysan et agissons pour le bien de l'humanité !

CATHERINE BRAUN
28/05/2020 - 20:19:55

On va bien tous finir par en crever de ces saloperies de produits chimiques
et les agriculteurs ils faisaient comment il y a 100ans hein ? ben ils faisaient sans puisque ça n'existait pas....

BENOIT
25/05/2020 - 12:42:47

"phar-ma-ceu-tique", puisse qu'on vous le dit !
Tout comme le chlorure de potassium utilisé pour les injections de condamnés à mort.

Thierry Dramard
22/05/2020 - 22:09:54

Ça s'accélère!
Les fous sont aux commandes et ils veulent aller plus vite pour foncer dans le petit mur qui nous protège de la falaise.

Christian Perez-Gil
22/05/2020 - 18:09:29

ON CROIT REVER !!! LE POUVOIR DES LOBBIES, ENCORE ET ENCORE....

AUX CITOYENS D'AGIR, SINON NOUS N'Y ARRIVERONS PAS !
BAYER EST ACTIF, IL VA FALLOIR REPRENDRE LE COMBAT APRES LE DECONFINEMENT ......

serandour
22/05/2020 - 11:10:25

Azertyuoiop

michel perraud
21/05/2020 - 16:45:30

Je suis entouré d'agriculteurs ….bien pensants

pierre wotawa
21/05/2020 - 15:42:13

Décidément, je ne comprendrais jamais que tant et tant de gens qui ont eu l'énergie, les compétences et la volonté d'arriver "en haut de la pyramide des commandes", maires, préfets, ministres, députés, chefs de grandes entreprises etc… pourquoi tant et tant de gens s'emploient-ils à dégrader "l'état des choses" au lieu de l'améliorer, pourquoi s'appliquent-ils à bousiller la planète sur laquelle ils sont nés, sur laquelle ils auront vécu tout ce qu'ils ont vécu, et sur laquelle ils mourront… de même leurs proches et leurs enfants.
Mystère absolu...

Mathieu Roger
21/05/2020 - 13:56:41

Continuez vos actions et vos soutiens.

ChristianSenn
21/05/2020 - 08:54:56

Décidément, je ne comprendrais jamais que tant et tant de gens qui ont eu l'énergie, les compétences et la volonté d'arriver "en haut de la pyramide des commandes", maires, préfets, ministres, députés, chefs de grandes entreprises etc… pourquoi tant et tant de gens s'emploient-ils à dégrader "l'état des choses" au lieu de l'améliorer, pourquoi s'appliquent-ils à bousiller la planète sur laquelle ils sont nés, sur laquelle ils auront vécu tout ce qu'ils ont vécu, et sur laquelle ils mourront… de même leurs proches et leurs enfants.
Mystère absolu...

Mathieu Roger
20/05/2020 - 23:45:52

Paysan et encore fier de l'etre....combien de temps???

Christophe Crouzet
20/05/2020 - 21:29:58

Cette collusion entre les pouvoirs publics et les puissances d'argent devient de plus en plus insupportable.

Roland COMTE
20/05/2020 - 21:23:46

ce gouvernement nous prendpour des imbéciles
on sair d'avance ce qui sortira de cette consultation
la meme chose que toutes les réunions sur les algues vertes en bretagne : un boulevard pour l'utilisation des pesticides !!!!
malgré les morts

dagorne
20/05/2020 - 17:00:06

les zones de non traitement ne peuvent être que des mesures transitoires, notre seule revendication ne peut être que l'interdiction des pesticides de synthèse et notamment des sdhi dans 4 ans avec un accompagnement financier et technique pour les agriculteurs en conventionnels, il faut le rappeler sans cesse nous ne sommes pas contre les agriculteurs mais contre l’agriculture intensive nous voulons des paysans qui vivent dignement de leur métier dans des fermes à taille humaine et qui produisent des produits sains pour les citoyens consommateurs, quand à cette consultation un seul mot d'ordre boycott

js
20/05/2020 - 16:31:33

En premier lieu, la SEPANSO tient à souligner qu’à l’origine une charte est un acte médiéval dans lequel un suzerain accorde des privilèges. Et la genèse même de la présente charte résulte bien d’une décision venue d’en-haut accordant par décret aux agriculteurs le pouvoir de décider ce qui peut être imposé aux riverains de leurs terres cultivées. On ne voit pas comment cette charte pourrait « favoriser le dialogue entre les habitants, les élus locaux et les agriculteurs » et « répondre aux enjeux de santé publique liés à l’utilisation de produits de protection des plantes ».
La décision d’autoriser ou de définir les conditions d’utilisation de substances susceptibles de poser des problèmes sanitaires ne peut être prise que par l’État.
Il suffit d’examiner la liste des signataires pour voir tout de suite que toutes les organisations d’agriculteurs ne sont pas signataires : manquent singulièrement le MODEF et la Confédération Paysanne. Il serait certainement intéressant de connaître la position officielle de la Mutualité Sociale Agricole qui doit gérer les maladies professionnelles des utilisateurs de ces molécules chimiques. Si nous voyons que la Fédération des Chasseurs des Landes a signé, nous voyons aussi que la Fédération départementale de pêche et de protection des milieux aquatiques n’a pas signé : serait-ce parce que les eaux superficielles sont les réceptacles de la plupart des pesticides et des métabolites ?
Comme l’avait fait observer Nicolas Hulot lors de sa démission fracassante, ne peut-on pas voir dans cette charte les mains invisibles des lobbies à l’œuvre ?


En second lieu, la SEPANSO tient à faire observer que cette charte est proposée alors que le constat de la pollution des cours d’eau et des nappes phréatiques est établi. La pollution est telle que dans plusieurs secteurs de notre département les syndicats chargés de l’approvisionnement des citoyens en eau potable ont été contraints de demander au préfet de signer des arrêtés pour que des eaux non conformes puissent être distribuées. La situation a nécessité des investissements très coûteux pour dépolluer les eaux chargées en produits chimiques utilisés en agriculture. Le principe pollueur-payeur n’a pas été appliqué puisque les charges financières seront imposées aux consommateurs. Cette situation absurde aurait dû montrer que tous les niveaux de l’État doivent engager des politiques de sortie des pesticides ; là encore le principe de prévention n’est pas appliqué. Le gouvernement en signant le décret et arrêté du 27 décembre 2019 a donc fait preuve d’aveuglement, voire d’incompétence.

Compte tenu des retours d’expérience constatés au niveau européen et mondial, il est certain que les démarches volontaires n’apportent jamais que de maigres résultats. La maîtrise des problèmes passe par des actes réglementaires, comme nous en apporte chaque jour la preuve la gestion de la pandémie du Covid-19. Lors du Grenelle de l’Environnement, nous attendions la baisse drastique de l’utilisation des pesticides de synthèse (divisée par deux !) ; si les promesses rendent les fous joyeux, les promesses non tenues ont singulièrement énervé les citoyens français comme nous avons pu le constater. En 2018 près de 800 tonnes de pesticides de synthèse ont été utilisées dans les Landes ...

La consultation actuelle n’apporte pas de réponse aux attentes des citoyens telles qu’elles ont pu être exprimées soit par des mouvements citoyens (associations, nous voulons des coquelicots...), soit par des maires (Langouët et bien d’autres). Imposer des distances d’interdiction d’épandages de biocides peut éviter les risques d’intoxication aigües, mais cela n’est pas un traitement de fond du problème, à savoir l’exposition des êtres vivants à des molécules toxiques qui se répandent dans les airs, les sols et les eaux. Si, paradoxalement, la justice n’a pas reconnu aux élus locaux le pouvoir d’apprécier l’exposition à des molécules chimiques, parfois reconnues cancérogènes, mutagènes ou reprotoxiques, nous observons que des élus locaux ne se voient pas reprocher de prendre des arrêtés qui vont au-delà des exigences gouvernementales pour la lutte contre l’épidémie de Covid-19.

Les signataires de la charte ne prennent malheureusement pas l’engagement d’arrêter d’utiliser les molécules les plus dangereuses (cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques, perturbatrices endocriniennes) dont nous demandons depuis des années l’interdiction. La SEPANSO souligne depuis de longues années les insuffisances des procédures qui conduisent à autoriser les mises sur le marché de molécules ou d’assortiments de molécules ; nous en voulons pour preuve toutes les interdictions (DDT, Atrazine, Métam-sodium...) qui surviennent lorsque les dégâts collatéraux sont enfin constatés bien des années plus tard (ce qui signifie en clair que les producteurs jouent aux apprentis sorciers en utilisant leurs clients directs et les populations comme cobayes - même les populations des villes sont impactées !)
Nota Bene : les signataires de la Charte proposée font référence aux autorisations de mise sur le marché, mais ils restent silencieux sur les mélanges de produits, lesquels n’ont pratiquement jamais fait l’objet d’études scientifiques alors qu’on peut rationnellement, sans avoir fait de longues études scientifiques, se poser des questions sur les effets combinés de ces mélanges (effet cocktail).

Notre système repose sur un postulat : c’est la dose qui fait le poison, autrement dit les organismes peuvent supporter de petites doses ! Malheureusement de plus en plus d’études tendent à monter qu’à des doses infinitésimales certains molécules peuvent s’avérer très dangereuses. Malheureusement la multiplication des molécules de synthèse est telle que plus personne n’est en mesure d’affirmer qu’une nouvelle molécule candidate ne produira pas un effet cocktail pernicieux en se combinant avec une ou plusieurs autres. Le programme européen REACh sur lequel nous avions fondé de gros espoirs tarde à produire les effets escomptés parce que les moyens d’évaluation indépendants sont singulièrement insuffisants.

Les signataires de la charte, tout comme les responsables de l’État, font référence aux avis de l’ANSES, mais il convient de bien lire l’intégralité de ces avis pour évaluer la prudence de leurs auteurs. En ce qui concerne plus directement les citoyens (ne parlons pas pour l’instant des autres êtres vivants des campagnes) nous invitons à lire, par exemple l’étude de Gombert, B. et Aubertheau, E. (2019) Etude sur le devenir de micropolluants organiques dans des filie?res de production d’eau destine?e a? la consommation humaine. Rapport final ARS PRSE NA/IC2MP/Celosis. 70p. On constate qu’il faut dépenser beaucoup pour dépolluer en ayant recours au charbon actif (et encore on peut se demander si la dépollution est toujours totale). Il serait certainement plus sage de ne pas polluer. Le problème sera toujours le même tant qu’une réglementation n’imposera pas l’application rigoureuse du principe pollueur-payeur. Cela joue au niveau de la production d’eau potable, mais cela devrait aussi jouer en ce qui concerne les dépenses de santé publique induites par les maladies causées par des molécules chimiques problématiques. L’actualité dramatique de la propagation du Covid-19 nous a apporté une piste de recherche intéressante : la corrélation entre la pollution de l’air et la contamination virale. Il semble bien logique de demander d’éviter de répandre des particules si celle-ci sont susceptibles de nuire à la santé des êtres vivants (principe de précaution)

Nous avons bien conscience que l’évolution vers des productions agricoles sans biocides place les agriculteurs dans une situation défavorable vis-à-vis d’autres agriculteurs qui continueraient à utiliser des produits dangereux. Cela signifie clairement qu’il convient que les acheteurs sachent ce qu’ils risquent en fonction de leurs approvisionnements. Chaque année, dans le cadre du dispositif de sécurisation sanitaire des aliments, la direction générale de l’alimentation (DGAL) pilote la mise en œuvre de plans de surveillance et de contrôle (PSPC). Ils visent à surveiller la contamination des productions primaires animale et végétale, des denrées alimentaires d’origine animale ... Les associations de consommateurs et d’environnement, qui regrettent l’insuffisance de moyens, ont pu constater que les produits commercialisés contenaient des traces de pesticides. Outre les voies respiratoires, l’eau et les aliments exposent les citoyens à des risques sanitaires. Protéger la santé des plantes, c’est bien, mais à condition que cela ne se fasse pas au détriment de la santé des autres espèces vivantes.
Cette observation sur la connaissance réelle des impacts vaut également sur l’air que nous respirons et sur l’eau que nous buvons. Certes, ATMO a commencé à étudier la qualité de l’air, mais le nombre de molécules recherchées est faible. Et si l’ARS recherche plusieurs dizaines de molécules et de métabolites, on ne peut que regretter qu’elle ne recherche pas systématiquement toutes les molécules les plus utilisées. Les marges de progrès sont importantes.
Conclusion :
Considérant que lorsqu’un produit est enfin interdit à une date donnée, ses producteurs ont tout le loisir d’écouler leurs stocks,
Considérant que lorsqu’on étude sérieusement la pollution de l’air, de l’eau et des sols, on constate qu’on y trouve des polluants néfastes pour le vivant,
Considérant qu’il existe des solutions alternatives à l’utilisation de produits chimiques dans les espaces agricoles et forestiers,
La SEPANSO considère que les propositions contenues dans cette charte relèvent d’une logique du XXème siècle et qu’il conviendrait d’interdire au plus vite les molécules plus dangereuses (cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques, perturbatrices endocriniennes). Cette interdiction devrait être accompagnée de mesures économiques en faveur de la transition vers des cultures biologiques, d’aides au développement de productions locales, et de remise à plat des échanges avec les pays tiers (arrêt des importations de produits traités avec des pesticides interdits en France ....)

Georges CINGAL
20/05/2020 - 15:37:25

Le ripolinage n'est qu'une apparence trompeuse!!! Grattez un peu, le vernis, vous ne verrez rien d'autre que le monde "D'AVANT"!!!!

Macronie et lobbies sont toujours à la manoeuvre!....

Déconfit
20/05/2020 - 14:06:30

Surtout que du coup nous citoyens et même associations locales environnementales ou non, voir AMAP... n'avons jamais rien reçu de la part de la chambre qui communique à minima sur le sujet. Déja précédement c'est par un maire sympatisant que nous associations avions été informé des enquêtes devant être transmise par la chambre.
Les chambres ne jouent donc pas le jeu parout et nous à la campagne avons aussi des zone blanche qui ne peuvent répondre...

Bernard Lafitte
20/05/2020 - 12:15:20

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