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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : BRÛLER DES DÉCHETS, C'EST DÉTRUIRE DES RESSOURCES

Mise en ligne du 20/06/2018 au 26/06/2018

Face au projet de reconstruction de l'incinérateur d'Ivry Paris 13, Zero Waste France et le Collectif 3R proposent un scénario alternatif. Objectif : rediriger les 2 milliards d'euros de dépenses publiques prévues vers des initiatives meilleures pour l'environnement et la santé des francilien·ne·s.

Bilan de la cyberaction :

2939 participants

Un grand merci pour votre action. Malheureusement la Commission d'enquête a rendu un avis favorable, sans réserves, avec quelques recommandations, s'appuyant sur les avis du Syctom - le maitre d'ouvrage- la DRIEE et l'autorité environnementale. Elle a déclaré son incapacité à juger le plus souvent, et demandé quelques éclaircissements qui lui ont été donnés. Un grand merci encore une fois pour la mobilisation. Les contributions du Collectif 3R ne sont pas parues sur le registre des contributions (même pas un lien !) http://ww   w.val-de-marne.gouv.fr/Publications/AOEP-Avis-d-Ouverture-d-Enquetes-Publiques/IVRY-SUR-SEINE-SYCTOM-publication-du-rapport-de-la-commission-d-enquete
Amicalement, Anne Connan
co-présidente du Collectif 3R (Réduire, Réutiliser, Recycler)

Présentation de la cyberaction :

La reconstruction d'une double usine de traitement des déchets à Ivry-Paris 13, dans le Val-de-Marne, pour un coût de 2 milliards d'euros, est incohérente aux yeux de Zero Waste France, qui demande une remise à plat des hypothèses justifiant ce projet et publie un scénario alternatif.

Le bâtiment initial de l'incinérateur de déchets d'Ivry, qui constitue l'une des trois usines d'incinération du Syctom, le Syndicat de collecte et traitement des ordures ménagères de Paris, date de 1969. Modernisé par la suite, le plus grand incinérateur d'Europe fait aujourd'hui l'objet d'un plan de reconstruction, accompagné de la création d'une nouvelle usine de valorisation organique. Ce projet, actuellement au cœur d'une enquête publique, est dénoncé par l'association de protection de l'environnement Zero Waste France et le Collectif 3R, regroupement d'associations citoyennes de quartier. 


L'association et le collectif publient leur plan alternatif B'OM ("Baisse des ordures ménagères", un plan réactualisé depuis une première proposition déjà lancée en 2015), qui vise à montrer selon eux que "le bon calcul, d’un point de vue économique pour les collectivités locales, est celui de la prévention et du tri des déchets". La directrice de Zero Waste France, Flore Berligen, répond à nos questions.

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ce projet de double usine ?
C'est un projet qui est dans les cartons depuis longtemps : le Syctom en parlait dès le début des années 2000. Mais les hypothèses de reconstruction n'ont pas vraiment évolué depuis 15 ans alors que le contexte, lui, a bien évolué, notamment avec la Loi de transition énergétique et le Paquet économie circulaire. Ce projet est prévu à horizon de 2023 pour la partie incinérateur et une deuxième usine est prévue pour 2027. Cette dernière va faire de la valorisation organique : ça consiste à prendre des poubelles brutes pour en extraire la partie organique. Ce sera une unité de tri mécano-biologique (TMB) mais ce n'est pas appelé comme cela car la TMB est officiellement déconseillée par la Loi de transition énergétique et par l'ADEME (ndlr : Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie). Dans le projet, on parle de "tri-préparation", mais c'est quand même une usine de traitement des ordures ménagères brutes. 
L'unité d'incinération traitera jusqu'à 350 000 tonnes de déchets par an, soit la moitié de ce que la centrale d'Ivry traite actuellement : les auteurs du projet semblent ainsi prévoir une baisse de notre production de déchets. Cette baisse envisagée n'est pas assez importante, selon vous ?
Ils insistent là-dessus mais ce qu'ils oublient de dire, c'est que la deuxième usine va avoir une capacité de 365 000 tonnes. Ça ne revient pas tout à fait au même qu'avant car dans cette deuxième usine, le mode de traitement des déchets sera un peu différent, mais là où nous ne sommes pas d'accord avec eux, c'est qu'ils estiment qu'à horizon 2030, le tri aura faiblement progressé. Ils prévoient des taux de tri de 30 % d'ici cette date, ce qui est largement insuffisant : les objectifs européens sont à 55 %.
Dans le cadre de l'enquête publique entourant actuellement ce projet, vous publiez une proposition alternative intitulée "plan B'OM", un plan réactualisé par rapport à celui que vous proposiez en 2015... Pouvez-vous nous en dire quelques mots ?
On avait effectivement publié une première version en 2015, au moment du débat public de la procédure : aujourd'hui, on propose une version enrichie avec de nouveaux chantiers. C'est un très vaste travail, qui fixe plusieurs chantiers et plusieurs actions concrètes pour rattraper le retard en termes de tri et de réduction accumulé en région parisienne par rapport aux moyennes nationales. Notre méthodologie a été de regarder le contenu des poubelles envoyées en incinération : 75 % de leur contenu est recyclable ou compostable. Les trois-quarts des déchets que l'on brûle ne devraient donc pas être brûlés. On réalise aussi qu'il y a une très grande quantité de carton, plus qu'ailleurs en France, car il y a beaucoup de bureaux, de commerces et de restaurants. On a donc un chantier spécifique qui vise le flux de carton. On en a un autre qui vise les biodéchets, car les déchets organiques représentent un tiers de la poubelle : les progrès peuvent être conséquents si l'on s'y attaque et la forte activité de restauration du territoire est à ce niveau un challenge et une opportunité. On peut agir dans l'accompagnement des professionnels, qui sont soumis à une obligation de tri des biodéchets depuis plusieurs années. 
Vous demandez donc que ce projet n'existe pas et qu'il soit remplacé par de l'éducation et de la prévention ?
Oui, on pense que ce projet n'est pas utile : les deux milliards d'euros prévus pour les deux usines et leur exploitation sont d'ailleurs une somme énorme, c'est sans précédent, cela représente quatre fois Notre-Dame-des-Landes ! On pense que cette somme sera mieux utilisée dans des politiques visant à réduire et trier les déchets. L'Italie a fait des progrès très rapides ces dernières années grâce à des obligations de tri, au tri des biodéchets et à la tarification incitative, ce qui lui permet d'atteindre le taux de 50 % de tri. Mais dans le plan B'OM, on ne compte même pas là-dessus : rien qu'avec les cinq chantiers prévus, on estime qu'on peut atteindre ces 50 % d'ici 2030. Ce n'est pas un plan zéro déchet, le but est simplement d'atteindre le niveau des Italiens d'ici 2030. On ne propose pas un plan délirant, on propose de rattraper une partie de notre retard. Je précise aussi que l'usine d'Ivry n'est pas la seule du Syctom, deux autres fonctionnent encore, il faut mettre en place des outils avec celles-ci. Reconstruire cet usine, c'est à nouveau nous entraîner dans la mauvaise direction pendant 40 à 50 ans. Ça va nous ralentir et nous tirer vers le bas. 
Combien coûterait la mise en place de votre plan ?
On a chiffré le coût de nos différentes actions, dont les surcoûts, comme le fait de recueillir plus de déchets recyclables ou de biodéchets : l'on estime que cela coûterait au total environ 610 millions d'euros et que ce serait beaucoup plus créateur d'emplois. Une usine d'incinération c'est beaucoup d'investissement technique mais très peu de main d'œuvre, là où les filières de recyclage ou de compostage créent beaucoup plus d'emplois.
Pour finir, pouvez-vous nous rappeler les conséquences environnementales de l'incinération des déchets ?
Cela reste un mode de traitement polluant : quand on brûle des déchets, on ne les fait pas disparaître, il faut penser à tout ce qui ressort de l'usine. Quand vous brûlez une tonne de déchets, il en ressort 20 % de mâchefers, de résidus imbrûlés. Ce qui est encore plus problématique, ce sont les résidus d'épuration des fumées, filtrés seulement en partie. Que fait-on de ce que l'on n'a pas filtré ? On crée une pollution que l'on ne sait pas faire disparaître ensuite. Il y a aussi le fait que ça contribue au réchauffement climatique : le recyclage permettrait d'éviter une grande partie des émissions de CO2, et la réduction à la source encore plus. On demande donc une vraie discussion sur le fond, il n'y a pas de réel débat sur les choix que l'on veut faire en matière de politique de gestion des déchets sur le territoire. Tous les acteurs se renvoient la balle.
https://www.linfodurable.fr/environnement/la-reconstruction-dune-usine-dincineration-dans-la-ligne-de-mire-de-zero-waste-france  

Nous proposons aux plus courageux de déposer sur le registre d'observations
https://www.enquetes-publiques.com/Enquetes_WEB/FR/CONSULTER-H.awp?P1=EP18132  

La lettre qui a été envoyée :


Madame, monsieur,
Brûler des déchets est une aberration écologique et économique.
Je m'associe aux ONG qui proposent un scénario alternatif visant à rediriger les 2 milliards d'euros de dépenses publiques prévues vers des initiatives meilleures pour l'environnement et la santé des franciliens.

 

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38 commentaires

credible

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Les particuliers sont de meilleurs élèves que les hommes politiques el leurs magouilles !

Bon Noël à tous et ...sans gâchis !!!

Christiane PIRE
Le 20/12/2023 à 14:42:16

Bonne initiative.

sophie ROY-VAPILLON
Le 20/12/2023 à 14:18:50

Le tri des déchets organiques devient obligatoire au 1er janvier, mais seul un tiers des Français est équipé
https://vert.eco/articles/seul-un-tiers-des-francais-a-acces-au-compostage-des-dechets-alors-quil-devient-obligatoire-au-1er-janvier  

Alain UGUEN
Le 20/12/2023 à 11:02:15

Cmment se fier aux politiciens?

Catherine ROYER
Le 29/09/2018 à 15:29:06

Je suis d'accord avec démarche

vérité Jean
Le 17/07/2018 à 16:39:16

Il existe tant de solutions pour recycler un maximum!!!

Gérard PERGET
Le 10/07/2018 à 15:21:20

Pour l'alternative....protégeons notre planète.

Anyck
Le 08/07/2018 à 19:56:26

Moins d'emballages moins de déchets!
Trions, trions, réparons réparons!!

LE JACQUES
Le 29/06/2018 à 16:16:18

c'est consternant !

baudry louis
Le 28/06/2018 à 12:23:50

Bruler non recycler oui

gloker catherine
Le 26/06/2018 à 21:34:50

je soutiens totalement les projets alternatifs à cette aberration que représente l'incinération.

Rochedy Patric
Le 26/06/2018 à 19:23:57

J qpprouve cette lettre

Beloiseau
Le 26/06/2018 à 17:01:08

à l'heure où l'on doit tout recycler en priorité, je ne comprends pas les gâchis par manque d'organisation…. les pollutions idem !

poussy
Le 26/06/2018 à 16:25:08

Afin d'éviter les coûts astronomiques de ce type d'installation, la pollution et le gaspillage, il serait plus judicieux d'inciter les industriels à limiter les emballages et plastiques en tout genre.Il faudrait également recycler au maximum ce qui peut l'être.

La Closeraie
Le 26/06/2018 à 15:48:43

Nous sommes nombreux dans notre Revermont (Ain) à avoir milité contre un incinérateur et étions pour une usine de méthanisation où après tri tout est brulé et donne un résidu récupérable et exploitable. Bien sur au départ il faut que les citoyens fassent le tri. D'un côté le verre??? de l'autre les déchets verts… il reste alors les ordures ménagères qui sont brûlées. Pour cela consulter le site  www.organon.fr.  

lenoble
Le 26/06/2018 à 15:07:55

Pour limiter les déchets il faudrait :
-éviter le gaspillage à tous les niveaux,
-limiter ou supprimer les emballages ( ou suremballages)inutiles ou à défaut faire en sorte qu'ils soient recyclables
-accroître les centres de recyclage.
-faire en sorte que les opérations de mise en valeur de ces déchets soient gérées par le SERVICE PUBLIC et non par des sociétés privées qui songent avant tout à faire de l'argent avec ces déchets...

H.F.
Le 26/06/2018 à 14:22:44

Bonjour :)

Créer des emplois, dans le recyclage par exemple, c'est bien...mais sont-ils épanouissants ? Comment el déterminer ?
Et s'ils ne le sont pas, ou pas tous, comment organiser le travail ? Qui, quoi ,quand, combien de temps....assumeraient ces tâches ?

Nitassinan
Le 26/06/2018 à 14:09:40

Oui à condition qu'en lieu et place de cet incinérateur les déchets ne finissent pas en décharge.
Ce qui à mon sens est pire que n'importe quel incinérateur.

Christophe ROMAGNA
Le 26/06/2018 à 12:58:14

Il est plus rentable et écologique de commencer par un véritable tri sélectif...pour diminuer la pollution

Watel Evelyne
Le 26/06/2018 à 12:47:27

Madame, monsieur,
Brûler des déchets est une aberration écologique et économique.
Je m'associe aux ONG qui proposent un scénario alternatif visant à rediriger les 2 milliards d'euros de dépenses publiques prévues vers des initiatives meilleures pour l'environnement et la santé des franciliens.

pseudo
Le 26/06/2018 à 11:53:35

A quand le retour des consignes et pas seulement pour les bouteilles ?!

Schlapp von Lixingen
Le 26/06/2018 à 10:10:51

oui il faut que les mentalités changent et prennent conscience ..........

syssinette
Le 26/06/2018 à 08:55:56

En effet, il serait plus sage de convertir certains déchets en énergie, mais cela inclus toute une structure qu'il faut créer puis mettre en route, sommes nous prêt ? pas tout à fait, car plus facile à dire qu'à faire !
Mais courage, on va y arriver !

berthe
Le 26/06/2018 à 08:23:30

A Ivry et ailleurs il faut trier et ne pas brûler (même la fumée du bois n'est pas composée uniquement de vapeur d'eau et de gaz carbonique !! )

Le Vérinois
Le 25/06/2018 à 22:41:58

l'incinération, c'est produire un maximum d'entropie, soit un maximum de désordre La récupération des déchets augmente aussi l'entropie, mais dans une bien moindre mesure que l'incinération des déchets

un anonyme
Le 25/06/2018 à 18:23:44

Je signe aussi sous les commentaires pratiquement complets et très sensés de Bruno Cappelle. Une curieuse homonymie: j'ai vécu à La Capelle (en Thiérache)

un anonyme
Le 25/06/2018 à 18:19:09

Brûler des déchets c'est aller vers l'entropie maximum donc vers une énergie irrécupérable

Paul Tréhin
Le 25/06/2018 à 18:13:55

C'est aberrant ce gaspillage d'emballages.C'est effectivement en amont qu'il faut agir.

JB
Le 25/06/2018 à 17:28:44

Ne nous étonnons pas qu'il y ait de plus en plus de cancers et de maladies allergiques dûs à des problèmes environnementaux,l'air que nous respirons est de moins bon en qualité....et les enfants sont encore plus vulnérables...Il est urgent d'installer des poubelles de compostage des déchets alimentaires( épluchures fruits et légumes pourris etc ) dans les villes et les villages ce qui réduirait de moitié les déchets ménagers

un anonyme
Le 25/06/2018 à 16:46:11

Ceux qui parlent de modernisme et brûlent leurs déchets devraient changer leurs lunettes...

le charpentier
Le 25/06/2018 à 16:35:32

C'est aussi croître l'effet de serre?....

cactus
Le 25/06/2018 à 15:18:34

TOUT LES DÉCHETS ABSOLUMENT TOUS SONT RÉCUPÉRABLES ET RÉUTILISABLE ENCORE FAUT-IL METTRE EN PLACE LES STRUCTURES ET NE PAS TOMBER DANS UNE FACILITE CRIMINELLE P0OUR LA PLANÈTE

CHANTAL HACALA
Le 23/06/2018 à 09:53:38

Brûler des déchets dans un incinérateur si
fiable soit-il,c'est envisageable...Mais si
la France voulait investir à tout-va dans la recherche en matière de recyclage avant et après incinération des déchets,ce serait
infiniment mieux...!!Même si ça coûte des
millions d'€:la santé n'a pas de prix...

stoppeur
Le 22/06/2018 à 18:53:37

@Bruno : la "TARIFICATION INCITATIVE" c'est valable quand un service RÉELLEMENT efficace et cohérent (recyclage, compostage collectif, déchetterie locale accessible, etc., mais aussi PÉDAGOGIE pour les enfants ET les parents) est mis en place, sinon c'est douloureux pour les petits budgets, et sans effets positifs. Quand n'importe qui fait n'importe quoi et que les conséquences financières retombent sur ceux qui font le job, ça craint légèrement, si je puis me permettre.
Quant au choix du prestataire, là aussi il y a des choses à dire, si c'est considéré comme une façon de faire du fric, on est pas dans l'action écologique, et ça dérape forcément.

Anne
Le 22/06/2018 à 17:23:55

On en parle dans ma commune(Oullins) tri des déchets dans les cimetières avec possibilités aux personnes de récupérer leurs plantes naturelles où artificielles ainsi que de les donner à d'autres personnes sensibilisées envers les plantes avant que celles-ci finissent au compost.

un anonyme
Le 21/06/2018 à 22:26:39

Brûler des poubelles sera toujours polluant.
Les options suivantes seront toujours préférables :
– réduction des déchets: moins d’emballages et en particulier moins d’emballages plastiques
– des produits durables, réparables, réutilisables, qu’on peut emprunter, s’échanger
– un tri à la source simple comme la loi l’exige pour 2022: on met tous les plastiques quels qu’ils soient dans la poubelle jaune
– avec un tri des déchets alimentaires (soit compostage en pied d’immeuble soit en collecte à porte à porte) pour faire du compost et amender les terres agricoles épuisées
– que les déchets soient considérés comme une ressource recyclable: c’est l’économie circulaire
– que les déchets soient considérés comme un service, et que celui qui fait attention soit moins facturé que celui qui jette tout et n’importe quoi sans trier dans la poubelle en mélange.
Enfin il faut s'attaquer au portefeuille, c'est l'unique moyen de faire avancer les choses : donc TARIFICATION INCITATIVE = payer en fonction de ce qu’on jette. Moins on jette moins on pollue moins on paye !
Et cerise sur le gâteau : un énorme marché public attribué à un prestataire qualifié de “médiocre” par le Syctom. Plus de 2 milliards offerts à VINCI qui vont se rajouter au scandale des autoroutes et de toutes les autres privatisations en préparation.

VINCI N'A VRAIMENT PAS BESOIN DE ÇA !!!

Bruno Cappelle
Le 21/06/2018 à 14:48:26

Non à l'incinération des déchets qui polluent. Ces déchets devraient être triés, et pour certains reconditionnés. Le tri préalable est indispensable. La séparation des poubelles "papiers" et "verres" est utile mais insuffisante. Les déchets organiques peuvent servir de compost.

Nicole CREMEL
Le 21/06/2018 à 13:10:18

N'oublions pas que le compostage des déchets alimentaires, qui se déploie à grande vitesse dans de nombreuses régions de France, réduit de moitié les déchets des ménages, et que le recyclage en général permet de réduire encore d'autant les déchets ultimes.

Ani Boquillon
Le 20/06/2018 à 23:41:45

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