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Elle sera envoyée à Ministre de la transition écologique | à votre député En soutien à eaux et rivières de Bretagne, GAB 29 | à votre maire
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Pesticides au menu de Noël en Bretagne !
Fin d’année 2021, le moment est venu de dresser un bilan de l'évolution de l'utilisation des pesticides en Bretagne. Et ce bilan reste mauvais. Les pesticides de synthèse sont omniprésents dans l'eau, l'air, les sols, et contaminent l'ensemble des milieux. Pour l'eau, la situation est au mieux digne des Shadocks obligeant à pomper, diluer, filtrer afin que l’eau soit à peu près potable ; au pire à fermer toujours plus de captages.
Les quantités de produits phytosanitaires vendues ne diminuent pas ou si peu et les usages progressent*. Résultat : 21% des Bretons, soit près de 700 000 personnes, boivent une eau polluée, dépassant la limite réglementaire en pesticides.
Omniprésence des pesticides dans l’eau, l’air et les sols... et l’alimentation ?
Si tous les pesticides sont problématiques, certains dépassent largement les bornes. C'est le cas de deux désherbants utilisés sur maïs, céréales et légumes, le S-métolachlore et le Prosulfocarbe. Une fois épandus, ces produits, comme leurs résidus, se dispersent très largement et durablement. Ils contaminent tout sur leur passage : eau superficielle comme souterraine, air, sol.
En Bretagne, en 2019, l’ESA-métolachlore, a été quantifié dans toutes les stations d’eau superficielle échantillonnées. Il dépassait la limite de réglementation « eau potable » dans plus de 92 % des cas !
Le Prosulfocarbe, qui est une des molécules les plus volatiles, occasionne pollution et contamination des parcelles avoisinantes (cultures non cibles, potagers, habitations, écoles...), allant même jusqu’au déclassement de certaines récoltes.
Des cadeaux empoisonnés ?
Aujourd’hui, beaucoup de collectivités vont devoir faire des choix lourds de sens : fermetures de captages, investissements coûteux en traitements d’eau potable ; une fuite en avant qui trouve aujourd’hui ses limites dans un contexte de changement climatique.
Côté alimentation, peut-on admettre que des résidus de molécules envahissent nos potagers et nos étals ?
L’heure des bonnes résolutions.
Compte tenu de ces contaminations, nos organisations demandent l'interdiction immédiate de ces deux pesticides. Pour ne pas tomber dans le travers de la substitution et voir ces toxiques remplacés par d'autres, nous réclamons en parallèle un véritable soutien au développement de l’agriculture biologique certifiée, seul mode de production agricole encadré par un cahier des charges réglementaire interdisant l’utilisation des pesticides de synthèse.
Par les externalités positives qu'elle induit, l'agriculture biologique démontre son efficacité à répondre aux enjeux bretons de qualité de l'eau et de milieux comme à ceux de santé publique.
* augmentation du NODU de 2,6% entre les moyennes triennales 2015-16-17 et 2018-19-20 (source DRAAF)
Eau et Rivière de Bretagne, GAB 29
Contacts presse :
Dominique Le Goux, chargée de mission santé et environnement à Eau et Rivières de Bretagne dominique.legoux@eau-et-rivieres.org. ou 02 96 21 14 70 Jérôme Le Pape, chargé de mission eau et territoire au GAB29 j.lepape@agrobio-bretagne.org. ou 02 98 25 58 19
Nous vous proposons d'interpeller la Ministre de la Transition, votre député et votre Maire
et surtout Consommons Bio et Local : notre porte-monnaie a du pouvoir !
Signer !
Récapitulatif
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à barbara.pompili@ecologie.gouv.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : Bio-local / Prosulfocarbe
Message : Madame, Monsieur
Ne pouvant admettre que des résidus de molécules empoisonnent nos potagers et nos étals, je demande l'interdiction immédiate du S-métolachlore et du Prosulfocarbe.
Pour ne pas tomber dans le travers de la substitution et voir ces toxiques remplacés par d'autres, je réclame en parallèle un véritable soutien au développement de l’agriculture biologique certifiée, seul mode de production agricole encadré par un cahier des charges réglementaire interdisant l’utilisation des pesticides de synthèse.
Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :
Votre député.
Votre maire.
Vous pouvez modifier ces infos (sujet, texte, elus...) en choisissant l'option "modifier des éléments" après avoir renseigné le formulaire "je signe sans compte"
le prosulfocarbe a entraîné le déclassement de la production d'un verger bio certifié situé à presque 1 km de son lieu d'utilisation donc il faut revoir aussi les ZNT pour protéger les riverains !
Jean-Marie 18/02/2022 - 08:07:43
Près de chez moi, le prosulfocarbe a entraîné le déclassement de la production d'un verger bio certifié situé à presque 1 km de son lieu d'utilisation donc il faut revoir aussi les ZNT pour protéger les riverains !
Ce vendredi 7 janvier, la cour administrative d’appel de Marseille a confirmé l’interdiction du Closer et du Transform, deux insecticides à base de sulfoxaflor, un néonicotinoïde de nouvelle génération.
Cette interdiction avait été prononcée, en première instance, en 2019, par le tribunal administratif de Nice, avant d’être attaquée par la société agrochimique Corteva Agrowscience.
Danger pour les pollinisateurs
Les conditions d’emploi des produits s’avèrent insuffisamment précises et contraignantes pour garantir une utilisation sans risque pour les insectes pollinisateurs, a tranché la juridiction.
La Cour a reconnu la dangerosité de ces nouveaux pesticides pour les pollinisateurs, dont les abeilles, se félicite l’association environnementale Générations futures, à l’origine des poursuites judiciaires.
Alain UGUEN 12/01/2022 - 13:35:58
Le 25 12 21
Bonjour à toutes et toutes. Bon Noel et bonnes fêtes.
Mon commentaire : Il est manifeste que ce gouvernMENT, comme ses prédécesseurs, annonce en permanence des mesures pour limiter l'utilisation des pesticides. Or, quand on prend le temps d'aller observer les statistiques concernant les quantités dispersées, sur la nature ( et qui se retrouvent donc dans l'eau et .. nos aliments) ne cessent d'augmenter au fil des années, aussi bien en ce qui concerne les quantités que la toxicité!
La vrai raison de cette situation , au-delà de toutes les considérations possibles quant aux causes "ordinaires" résulte de l'irresponsabilité de ceux qui approuvent les lois qui nous oppriment. Ce sont NOS REPRÉSENTANTS , parle-MENTEURS !!
la dernière mouture des dispositions organisant cette irresponsabilité découle de l'adoption de la loi 2000-647. cette loi a té adopté , à l'unanimité de nos représentants ,sous la haute bénédiction du Sieur JOSPIN, avec le soutien des membres de sa majorité gouvernementale, DE GAUCHE, CAVIAR ET PETITS FORME, LARGEMENT CHLOROPHYLLÉE.
Or, cette situation d'IRRESPONSABILITÉ des acteurs PUBLICS est en contradiction avec l'article 15 du préambule (1789) de la CONSTITUTION qui dispose : " La société a le droit de demandé compte à tout agent public de son administration".
Tout ce que nous contestons, se produit donc à l'insu de notre plein gré, parce que nous disposons des moyens CONSTITUTIONNELS DE FAIRE CESSER CETTE MASCARADE POLITICIENNE.
Or, nous , citoyens trouvons plus commode de "protesticuler" , de dénoncer, ce qui donne l'illusion de l'action.
Dommage et triste.
Gérard LACROIX ( 03 84 44 84 20) LE SOIR ENTRE 21H ET 22 H)
gérard Gérard 25/12/2021 - 14:48:09
pour lutter contre les insectes et maladies les associations culturales (agroforesterie) y réussissent naturellement par le "push pull" naturel. et gratuit.
Pr réduire drastiquement l'emploi des pesticides en agricul
ture...il faudrait d'abord imposer le conditionnement + la "transformation" des produits récoltés sur place...ce qui dé
couragerait notablement leur transfert à longue distance... + la productivité à tout va...Donc...l'utilisation des pestici des au "bénéfice" de la rentabilité,du profit,de la spéculati on...à l'échelle de la planète...
Bio n'est pas toujours écolo et écolo n'est pas forcément naturaliste : c'est l'enseignement un peu déçu que j'ai tiré d'une de vos précédentes cyberactions. Cependant il est des sujets qui rassemblent. Le droit à un air sain, à une eau potable et à une nourriture exempte de substances nocives est de ceux-là. Solidarité comtoise avec la Bretagne.
Bonnes fêtes de fin d'année. Francine
Frawald 21/12/2021 - 08:31:20
Comme à son habitude, le gouvernement et la FNSEA sont de mèche et leur fonctionnement marche très bien. Ainsi le système est bien huilé. Pour être plus claire, c'est Monsanto et tous les autres qui se frottent les mains en arrosant les bonnes personnes pour que le système tourne bien. Évidemment, ce sont toujours les mêmes qui trinquent la population et la nature.
Stéphoto 21/12/2021 - 00:11:45
Stop aux pesticides. Nous n'en voulons plus dans nos assiettes.
Danielle Payen 20/12/2021 - 18:12:32
Nos politiques ont fait fort ... ils ont réussi à polluer notre environnement au niveau planétaire, assassiner notre faune et flore, fragiliser notre santé pour vendre ensuite examens et vaccins !! Et ce sans que la masse ne réagisse .... Chapeau bas !
Mafalda 20/12/2021 - 17:38:19
Dans la liste il manque: nourriture industrielle (prix GRAPHÈNE compris) fruits légumes, additifs chimiques, conservateurs (même dans une conserve). Ceux qui nous empoisonnent vont le payer cher. Et très bientôt
michèle POZZO 20/12/2021 - 17:07:15
heureusement que notre "cher" gouvernement dit se soucier de la santé de sa population : voir vaccination Covid !!!!!!!!!
Maryse moussaron 20/12/2021 - 16:32:52
Il y a le chloredécone en Guadeloupe et en Martinique qui provoque ces contaminations généralisées, il y a la contamination en France métropolitaine par toutes les molécules de synthèse utilisées en agriculture, dont celui cité maintenant par Cyber acteurs.
Le pouvoir des lobbies agricoles est exorbitant, pour que les accros de l'agriculture dite "conventionnelle" se convertissent, il faut qu'ils soient touchés personnellement ou dans leur proche famille, dans leur chair par la maladie: empoisonnement, parkinson, déficience neurologique etc...! IL EST BIEN TARD pour eux les victimes!!!
eugène ravenet 20/12/2021 - 14:11:57
c'est pour ça que j'ai voté écolo pendant des décennies, c'était du militantisme! aujourd'hui je ne vote plus écolo parce que c'est devenu de l'idéologie et politique. l'écologie n'est ni de droite ni de gauche, c'est défendre le vivant, ce qu'on respire, mangeons et buvons ,point barre. c'est quand même dommage que peut être 40 ou 60 ans après avoir eu l'eau au robinet (avant, c'était dans la cour ou sur la place du village),l'eau du robinet estt devenue impropre et on en est réduit a l'acheter au super marché a 500 € lez m3
denis duron 20/12/2021 - 13:02:00
les pesticides autorisés sous l'aval des ministres de l'agriculture avec le soutien de la FNSEA sans complexes
ils ont détruit une grande partie de la nature de la faune et ils continuent sans se soucier du reste
pierrot 20/12/2021 - 10:10:18
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Jean-Marie
18/02/2022 - 08:07:43