actualité écologie

APPEL : Les petits pas ne suffisent pas

Cyberaction N° 852: Refus du CETA Bravo et Merci au Gouvernement wallon

On l'a dans le BABA

Journal des Bonnes Nouvelles

Jour du dépassement : Pourquoi le recul cette année du 'jour du dépassement' est un trompe-l'œil

vacances de votre animateur

22 V'là les acteurs des transitions

33è anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl

Ne laissez pas vos appareils en veille

EPR : Echec Prévisible de la Roulette Russe

Bonne année 2025

2023 l'année des droits

SPAM etc...

Le Gouvernement abandonne le projet de Notre Dame des Landes

météo

2024 année délicate

AG Cyberacteurs

Les amis des 150

PROJECTION DU FILM UNE FOIS QUE TU SAIS

image vide cyberacteurs
image vide

  #Logiciel   #libre



Cyberaction : Arret immédiat des migrations vers Microsoft 365

Polytechnique et Ministère de l’Éducation Nationale : le Conseil National du Logiciel Libre (CNLL) exige l’arrêt immédiat des migrations vers Microsoft 365

[ 1 718 participations ]

Pour aller directement à la signature Cliquez ici

Cette cyberaction a également pour objectif d'interpeller vos élus. Vous pouvez ajouter vos élus en copie du message en cliquant sur modifier des éléments après avoir rempli vos coordonnées

recommander par courriel    partager sur framasphère

 

Cyberaction mise en ligne le 23 mars 2025

Proposée par Cyberacteurs

Elle sera envoyée à Premier Ministre | à votre député

Elle prendra fin le : 23 juin 2025

Plus d'infos

logiciel libreLe Conseil National du Logiciel Libre (CNLL) exprime sa consternation et sa ferme condamnation face à deux décisions inacceptables et illégales concernant l’utilisation de solutions Microsoft dans le secteur public de l’enseignement supérieur et de la recherche :

1- Ministère de l’Éducation Nationale : Un marché public de 152 millions d’euros, attribué sans mise en concurrence réelle, pour équiper les services centraux et les établissements d’enseignement supérieur en solutions Microsoft, incluant Office 365. Ce marché, d’une durée maximale de quatre ans, viole les principes de bonne gestion des deniers publics, de transparence et d’égalité de traitement. Il aggrave une dépendance technologique déjà excessive et dangereuse à un acteur américain, au mépris des solutions européennes et notamment open source, et au mépris des recommendations de la DINUM. [Source]
https://next.ink/175788/leducation-nationale-signe-pour-100-millions-deuros-de-solutions-et-services-microsoft/  

2. École Polytechnique : La migration déjà engagée des messageries des étudiants, des professeurs, des chercheurs et du personnel administratif – y compris dans les zones à régime restrictif (ZRR) – vers les serveurs de Microsoft 365. Cette décision, imposée par la directrice générale Laura Chaubard sans aucune concertation avec les instances représentatives, les responsables informatiques ou les personnes concernées, constitue une faute grave et une mise en danger délibérée des données sensibles de l’établissement, y compris des données relevant de la sécurité nationale. Polytechnique, établissement d’enseignement supérieur et de recherche sous tutelle du Ministère des Armées, effectue des recherches et des activités d’enseignement dans des domaines stratégiques et sensibles, incluant le militaire, les technologies duales, la cybersécurité et le quantique. [Source]
https://www.lalettre.fr/fr/action-publique/2025/03/19/polytechnique-cede-aux-sirenes-du-cloud-de-microsoft,110389616-eve  

Ces décisions, prises en contradiction flagrante avec les alertes répétées du CNLL, de la communauté du logiciel libre, de parlementaires (comme en témoigne le communiqué et les QAG du député Philippe Latombe du 19 mars 2025 [source]) et d’experts en cybersécurité, révèlent une ignorance coupable des enjeux de souveraineté numérique et une violation caractérisée des obligations légales en matière de protection des données.
https://www.linkedin.com/posts/philippe-latombe-2874a9a2_alors-que-les-relations-transatlantiques-activity-7308155452071038976-y0Wd/  

Le CNLL rappelle avec fermeté que
Le Foreign Intelligence Surveillance Act (FISA, section 702 amendée en avril 2024) et le CLOUD Act américains autorisent un accès extraterritorial et systématique aux données stockées et traitées par des entreprises américaines, y compris les données localisées en Europe et y compris via des logiciels installés “on premise”. Il ne s’agit pas d’un risque théorique, mais d’une réalité juridique aux conséquences potentiellement désastreuses.

Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD, Règlement (UE) 2016/679, notamment les articles 44 et suivants) impose des obligations strictes et impératives en matière de protection des données personnelles et de leur transfert hors de l’Union Européenne. De plus, les données traitées dans le domaine de l’éducation (santé, handicap, origine, opinions, etc.) sont des données sensibles au sens de l’article 9 du RGPD, comme l’a rappelé le comité d’éthique pour les données d’éducation dans son rapport de 2020. L’utilisation de solutions Microsoft 365 est rigoureusement incompatible avec ces obligations. Elle expose de facto les données personnelles à un risque d’accès non autorisé par des autorités étrangères, en violation directe du RGPD, et expose les contrevenants à des sanctions lourdes.

La Directive (UE) 2016/943 sur la protection des secrets d’affaires impose des obligations strictes en matière de protection des informations confidentielles et du savoir-faire des établissements d’enseignement supérieur et de recherche, ainsi que de leurs partenaires industriels. Le recours à des solutions Microsoft 365, expose ces informations (résultats de recherche, contrats, données stratégiques, etc.) à un risque avéré d’accès illicite, en violation directe de cette directive.

L’arrêt “Schrems II” de la CJUE a invalidé le “Privacy Shield” et a confirmé l’impossibilité de transférer légalement des données vers les États-Unis sur la base de simples clauses contractuelles types.

La DINUM elle-même a interdit en 2021 le déploiement d’Office 365 dans les administrations. L’École Polytechnique et le Ministère de l’Éducation Nationale agissent donc en contradiction directe avec les directives gouvernementales.

La loi ESR de 2013 (article L123-4-1 du Code de l’éducation) et la loi pour une République numérique de 2016 (article 16) imposent l’usage prioritaire des logiciels libres dans l’enseignement supérieur et la recherche.

L’article L. 811-3 du code de la sécurité intérieure (France) définit les intérêts fondamentaux de la nation, incluant la protection des “intérêts économiques, industriels et scientifiques majeurs” et la “prévention de toute ingérence étrangère”. Dans le cas de Polytechnique, qui mène des recherches dans des domaines sensibles (défense, sécurité, technologies duales, etc.), le recours à des technologies soumises au FISA et au CLOUD Act constitue une violation directe de cet article, exposant l’établissement à des sanctions pénales (Art. 410-1 et 411-6 du code pénal français).

Le CNLL dénonce
Un passage en force inacceptable : Ces décisions sont imposées sans aucune concertation, sans transparence et au mépris des alertes et des recommandations des experts.

Une mise en danger délibérée : Les risques juridiques, techniques (espionnage industriel, cyberattaques) et stratégiques (perte de souveraineté) sont sciemment ignorés.

Une violation flagrante du droit : Ces décisions contreviennent au droit européen (RGPD, directive secret des affaires), au droit national (code de la sécurité intérieure pour les données sensibles, priorité au logiciel libre dans l'ESR, loi SREN2...) et aux directives gouvernementales (DINUM...).

Un précédent dangereux : Alors que l’ENS avait rétropédalé suite à une mobilisation massive des personnels et étudiants contre une initiative similaire en 2021, cette décision de Polytechnique constitue un signal désastreux pour la souveraineté numérique française et européenne.

Un gaspillage de l’argent public au profit d’une multinationale américaine, et au détriment de l’écosystème numérique français et européen.

Le CNLL exige
1. L’arrêt immédiat de la migration à Polytechnique et l’annulation du marché public du Ministère de l’Éducation Nationale.
2. La mise en place d’une enquête administrative indépendante pour déterminer les responsabilités dans ces décisions et évaluer précisément les risques encourus.
3. L’ouverture d’une concertation réelle et transparente avec l’ensemble des acteurs concernés (étudiants, chercheurs, personnels, élus, entreprises du numérique, experts en cybersécurité) pour définir une stratégie numérique respectueuse du droit, de la souveraineté et des intérêts de l’enseignement supérieur et de la recherche.
4. La priorité absolue aux solutions open source et européennes, conformément aux recommandations de la DINUM, aux lois ESR et République numérique, et aux exigences de sécurité et de souveraineté.

Le CNLL appelle l’ensemble de la communauté du logiciel libre, les acteurs et usagers de l’enseignement supérieur et de la recherche, les parlementaires et les citoyens à se mobiliser pour faire respecter le droit, protéger nos données et défendre notre souveraineté numérique.

À propos du CNLL
Le CNLL, Union des Entreprises du Logiciel Libre et du Numérique Ouvert, est l’instance représentative de la filière du logiciel libre en France. Issu du groupement de 12 clusters régionaux, il représente plus de 300 entreprises “pure players” (spécialisées ou avec une activité significative dans le logiciel libre et l’open source): éditeurs, intégrateurs, sociétés de conseil, etc. Il assure la promotion de l´écosystème professionnel du logiciel libre, de son offre de logiciels et de services, de ses atouts spécifiques, et de ses besoins, notamment en termes d’emploi et de formation. Il permet à la communauté des acteurs de la filière d’échanger et de travailler ensemble au développement du marché, dans le respect de valeurs communes.
Plus d’info : https://www.cnll.fr/  
Contact presse : contact@cnll.fr.  

Nous vous proposons d'interpeller le Premier Ministre et votre député

Signer !

Récapitulatif

Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à premier-ministre@cab.pm.gouv.fr
Avec les éléments suivants :
  • Sujet : Arrêt de la migration vers microsoft
  • Message : Madame, Monsieur,
    En soutien au CNLL je tiens à exprimer ma consternation et ma ferme condamnation face à deux décisions inacceptables et illégales concernant l’utilisation de solutions Microsoft dans le secteur public de l’enseignement supérieur et de la recherche.
    Je demande L’arrêt immédiat de la migration afin de respecter le droit, protéger nos données et défendre notre souveraineté numérique.

    Croyez en ma vigilance sur vos décisions.

Cette cyberaction permet d'envoyer une copie de ce message à :

  • Votre député.

Vous pouvez modifier ces infos (sujet, texte, elus...) en choisissant l'option
"modifier des éléments" après avoir renseigné le formulaire "je signe sans compte"

credible

Les champs marqués d'une * sont obligatoires

J'ai un compte

Adresse électronique *
Mot de passe *
  
credible

Je signe sans compte

champs obligatoires
Nom *
Prénom *
Courriel *
Code postal *
Commune *
Pays *
champs facultatifs
Profession
Adresse

(Cyberactions et journal des bonnes nouvelles) Si vous les recevez déjà, pas besoin de cocher cette case.

Je souhaite que mes coordonnées (nom | prénom | code postal | commune | profession) ne soient pas visibles sur le site de cyberacteurs. Elles seront juste collectées afin de figurer sur le document au format PDF envoyé au(x) destinataire(s) de la pétition.



Vous pouvez modifier le sujet et le texte de cette cyberaction en choisissant l'option "modifier des éléments"

   

 

19 commentaires

credible

Connexion / inscription
image vide Vous devez posséder un compte pour pouvoir poster un commentaire
Courriel
Mot passe
Rester connecté-e

 

La souveraineté face aux GAFAM est un impératif stratégique.

armand guerin
19/04/2025 - 15:54:30

tout ce qui nous rendra indépendant doit être privilégié ! Il faut mettre fin à la situation monopolistique des gafam , au plus vite ! Microsoft est une impasse politique mortifère !!

serge Schwindenhammer
16/04/2025 - 16:04:38

Souveraineté Numérique : Le CNLL salue l'évolution du discours mais réclame des actes concrets et immédiats en faveur de l'Open Source

Suite à la soirée "Souveraineté Numérique" organisée le 17 avril par Madame Clara Chappaz, Secrétaire d'État chargée de l'Intelligence Artificielle et du Numérique, le Conseil National du Logiciel Libre (CNLL), voix de la filière Open Source française, prend acte d'une évolution notable et bienvenue du discours gouvernemental. Cependant, le CNLL souligne l'urgence de traduire ces intentions en actions tangibles pour bâtir une réelle souveraineté numérique française et européenne.

Alors que les discours d'hier soir à Bercy ont largement mis en avant la nécessité de la souveraineté, l'importance de l'Open Source et la volonté d'une préférence européenne dans les achats publics (déclinaisons du slogan "Je Choisis La French Tech"), sur la base de critères qui restent à objectiver, le CNLL constate que ces déclarations, bien que positives, contrastent encore fortement avec la réalité du terrain et le manque de mesures structurantes.

« Nous nous félicitons d'entendre enfin un discours qui reconnaît l'existence et la qualité des solutions françaises et européennes, notamment Open Source. La question n'est plus de savoir si nous avons les capacités, mais pourquoi nous ne les utilisons pas systématiquement, » déclare Stefane Fermigier, co-président du CNLL. « Cependant, les "discours inspirants" ne suffisent plus. Il est temps de passer aux actes concrets pour stopper les dérives actuelles et libérer le potentiel de notre écosystème. »

Le CNLL rappelle ses prises de position et ses propositions urgentes qui trouvent un écho particulier dans les discours et tables rondes de la soirée :

L'urgence de stopper les décisions contraires à la souveraineté : La consternation exprimée publiquement par Michel Paulin (président du futur Comité Stratégique de Filière « Logiciels et Solutions Numériques de Confiance ») concernant la migration de l'École Polytechnique vers Microsoft 365 confirme l'analyse du CNLL. Nous réitérons notre demande d'intervention immédiate de l'État pour stopper cette migration et annuler le marché similaire de l'Éducation Nationale, décisions illégales et stratégiquement dangereuses, et qui constituent un exemple regrettable pour le reste de l'administration et de l'économie françaises ("faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais").
La nécessité d'une commande publique réellement orientée "Open Source & Souveraineté First" : Les mentions répétées de la préférence européenne et du "souverain-washing" soulignent le besoin criant de critères clairs et contraignants favorisant les solutions Open Source et les acteurs réellement européens. L'application effective et vérifiable de l'Article 16 de la Loi République Numérique doit en être la pierre angulaire. Les affirmations "nous faisons de l'Open Source" entendues hier doivent par ailleurs se traduire par des contributions réelles et une transparence vérifiable.
L'intégration réelle de l'Open Source dans les stratégies d'innovation et de promotion de l'écosystème numérique français : Le slogan "Je Choisis La French Tech" doit s'appliquer concrètement à la filière Open Source (~10% du marché IT FR). Cela passe par une reconnaissance dans les dispositifs French Tech, un accès équitable aux financements (publics/privés) et la sécurisation des dispositifs fiscaux (CIR/CII/JEI) contre les interprétations restrictives qui pénalisent l'innovation ouverte.
Une structure de pilotage et de suivi : Le lancement d'un Observatoire de la souveraineté numérique est une chose, mais le CNLL s'interroge sur la place qui sera allouée au logiciel libre dans ce contexte. Nous réitérons par ailleurs notre proposition de créer une instance de pilotage interministérielle (type OSPO renforcé ou Agence dédiée) dotée de moyens pour garantir la cohérence et l'application de la stratégie Open Source de l'État.

« Le temps des constats est révolu. La France et l'Europe disposent d'un écosystème Open Source dynamique et innovant, capable de fournir les briques technologiques d'une souveraineté numérique solide, » ajoutent Stefane Fermigier. « Il faut maintenant lui donner les moyens structurels de se développer et d'être priorisé : application stricte de la loi, commande publique exemplaire, soutien réel à l'innovation ouverte et défense d'une vision ambitieuse au niveau européen dans le cadre de l'initiative "EuroStack". »

Le CNLL appelle le gouvernement à traduire rapidement les orientations affichées hier soir en décisions politiques et administratives fortes. L'organisation se tient à la disposition de la Secrétaire d'État et des administrations concernées pour travailler à la mise en œuvre concrète de ces mesures essentielles.
A propos du CNLL -  www.cnll.fr.  

Le CNLL, Union des Entreprises du Logiciel Libre et du Numérique Ouvert, est l’instance représentative de la filière du logiciel libre en France. Issu du groupement de 12 clusters régionaux en 2010, il représente plus de 300 entreprises “pure players” (spécialisées ou avec une activité significative dans le logiciel libre et l’open source): éditeurs, intégrateurs, sociétés de conseil, etc. Il assure la promotion de l´écosystème professionnel du logiciel libre, de son offre de logiciels et de services, de ses atouts spécifiques, et de ses besoins, notamment en termes d’emploi et de formation. Il permet à la communauté des acteurs de la filière d’échanger et de travailler ensemble au développement du marché, dans le respect de valeurs communes.
Contact presse: Stefane Fermigier, co-président, 06 63 04 12 77 / sf@fermigier.com.  

Alain UGUEN
15/04/2025 - 13:44:27

Pas de pétitions sur l'obsolescence des machines Windows 10 ?
la migration vers Windows 11 est impossible sur une grande partie du parc. Demander à l'UE de forcer Microsoft à fournir une vers de Windows 11 moins exigeante en composants sur la carte mère.

LE RALLE
09/04/2025 - 13:54:29

L'Europe doit s'affirmer et développer ses propres outils pour son autonomie et surtout pour s'émanciper du joug américain.

Gérald
07/04/2025 - 14:05:08

Autant donner une connexion directe à la NSA.

Frawald
01/04/2025 - 13:56:38

Quand on sait que aucune personnalité de gouvernement, n'a protesté quand Snowden a révélé la surveillance de tout ce qui décide en UE (et ailleurs), donc que nous SOMMES depuis des années dans un pays colonisé par une synarchie occidentale bien établie,
sans parler des guerres et tueries ...
variations sur le même thème !
NE PAS S'INSURGER contre nos Dominants implique de choisir uee vie de bétail : soumission, coercition, abattoir ...

jean
27/03/2025 - 11:00:50

Il me semble que dans l'enseignement supérieur et la recherche, les acteurs ont toujours choisi librement (aux contraintes financières près) les logiciels qui leur conviennent le mieux, quelle que soit leurs finalités.
Ou bien vient-on de pénétrer dans un autre monde ?
--ml

Michel Leglise
26/03/2025 - 11:26:06

Il faut diligenter rapidement une enquête pour démasquer les "coupables" et les éloigner définitivement pour faute grave de tous ces renseignements sensibles car on ne peut accorder sa confiance à des personnes qui bafouent sciemment la loi.

Liliane Girard
25/03/2025 - 15:53:36

100 fois d'accord avec cela. Quid d'une procédure judiciaire pour faire invalider ces décisions? Qui peut être partie légitime pour lancer une telle action?

Philippe LEBOURG
25/03/2025 - 13:44:24

de mon point de vue de néophyte, ça glisserait vers de la haute trahison ..............c'est donner des informations sensibles, donc ...........

maripachats
25/03/2025 - 07:55:25

Dans un cas comme celui-ci il ne peut s'agir d'une erreur ou d'une ignorance. Mais bien Comme toujours lorsqu'il s'agit d'argent public et de possibilités de "récupérer" les données des utilisateurs, mais se poser la même question que Cicéron lors du procès de Catalina "Cui bono? (Qui en profite?)

Mireille
24/03/2025 - 21:12:13

Je suis totalement ahuri !! C'est franchement du grand n'importe quoi... On est en pleine corruption ou quoi ?

Yves Bertran Alvarez
24/03/2025 - 18:07:13

Une fois de plus du grand n'importe quoi.

Alain Mirande
24/03/2025 - 18:04:46

"De la Servitude volontaire"... quelle stupidité! à qui profite le crime?

geronimo
24/03/2025 - 16:30:18

C'est totalement hallucinant ! En pleine offensive américaine alors que nous avons les solutions d'autonomies, libres et transparentes ! Comment nos institutions peuvent-elles être à ce point aveugles, incohérentes et dépendantes de l'informatique bizness, et de sociétés peu scrupuleuses ou nos données sont des marchandises. Incompréhensible !

Bruno Mauguil
24/03/2025 - 12:01:24

A qui profite ce crime programmé? Le contournement des textes de loi et autres devient "monnaie" courante en toute démocratisation assumée. Impossible pour moi d'accepter

Claude Fustier
24/03/2025 - 11:39:18

Quand cesserons nous de dépendre d'oncle Sam ? Le logiciel libre doit impérativement etre développé et encouragé, l'accès internet devenir un bien public comme, en son temps, grace à Gutemberg, l'accès à la lecture et à l'écriture. La mobilisation s'impose particulièrement à un moment où l'illibéralisme envahit l'espace, tel un rouleau compresseur.

Marie-Annick MOREL
24/03/2025 - 09:27:40

Il existe assez de logiciels libres et de développeurs européens pour ne pas aller chez les amis du grand blond.... a moins d'y avoir des intérêts particuliers.?

ABEL MONIN
24/03/2025 - 08:55:50

 

Diffusion de l'info

Vous avez un site internet, un blog ? faites un lien vers cette cyberaction en insérant ce code sur votre site:

 

Formulaire de collecte d'informations

  • Les informations qui vous concernent sont destinées à Cyberacteurs.
  • Elles serviront uniquement à des opérations dont Cyberacteurs aura la maîtrise, soit seul, soit en partenariat avec d'autres.
  • Les données (nom, prénom, adresse électronique, ville, profession) sont stockées afin d'empêcher de participer deux fois à la même cyberaction .
  • Elles n'aparaissent en aucun cas sur notre site, ni celui de notre partenaire.
  • Les données (nom, prénom, code postal, ville, profession) peuvent éventuellement être publiées sur un fichier pdf et envoyées au(x) destinataires(s) de la cyberaction .
  • Les adresses électroniques ne seront en aucun cas diffusées à quiconque, excepté bien sûr au destinataire de votre courriel.
  • Les adresses postales pourront être éventuellement utilisées dans le cadre d'envois communs à plusieurs partenaires le tiers (imprimeur ou expéditeur) s'engageant expressément à n'utiliser le jeu d'adresses que pour l'envoi concerné.
  • En cliquant sur "Je souhaite recevoir les prochaines actions par courriel", vous acceptez de recevoir les cyber@ctions diffusées par Cyberacteurs au rythme d'une quarantaine par an (inactivité complète en juillet et aout). Vous ne recevrez aucun message d'autres que de cyberacteurs.
  • Chaque message comporte à la fin une formule de désabonnement utilisable à tout moment.
  • En ne cliquant pas sur "Je souhaite recevoir les prochaines actions par courriel", vous ne recevrez de Cyberacteurs aucun autre message que les confirmations de participation à une cyber@ction ou pétition.
  • Vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des donnés qui vous concernent (art. 34 de la loi "Informatique et Libertés"). Pour l'exercer, adressez vous à Cyberacteurs
traits de séparation
Agir
+ Pétitions
+ Cyber actions
+ Liste rapide
+ Proposer
+ Vigilance roundup
+ Cyber manifestations
+ Bilans
+ Lanceurs d'alertes
+ Consultations
Super actions
+ Vigilance roundup
+ Hors TAFTA
S'informer
+ Blog
+ e-quotidien
+ Sites amis
+ Annuaire solidaire
+ Publications
+ Vidéo
+ Agenda
+ Liste d'élus
+ Infos sur les OGM
Nous connaître
+ L'association.
+ Les statuts
+ FAQ
+ Nous contacter
Mon compte
+ Connexion
+ Déconnexion
+ Inscription
+ Lettre d'infos
+ Mon profil
Nous aider
+ Don
+ Adhésion
+ Recommander
+ Code pour sites
+ Livre d'or
+ Boutique solidaire

 

notre page framasphère    notre page facebook    icone twitter    icone google+   icone flux rss   
traits de séparation
| CYBERACTEURS | C/O Alain Uguen 152 rue F.Pelloutier 29000 Quimper | Mentions légales
| GRAPHISTE : Mary-Morgane |
logo enercoop

CSS Valide !