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Cyberaction : Non a la ferme usine XXL de 2100 bovins
De mars à avril 2024 s’est déroulée la première enquête publique sur le projet de centre d’engraissement de bovins de la société T’Rhéa. Les oppositions exprimées et l’avis défavorable du commissaire-enquêteur ont contraint T’Rhéa à revoir son projet à la baisse sans en changer pour autant les fondamentaux.
Le projet continue de susciter de vives controverses et des oppositions de la part d’élus, de collectifs de riverains, de syndicat agricole et d’associations. Quatre communes (Peyrilhac, Nieul, Veyrac, Saint-Gence) ont émis un avis défavorable sur le nouveau projet. Des propriétaires de terres concernées par ce projet ont également exprimé leurs oppositions au cours de l’enquête publique.
Saint-Junien Environnement est une association de protection de l’environnement qui a notamment pour objet de lutter contre les pollutions de toutes natures et les atteintes aux équilibres écologiques quelle qu’en soit l’origine, et de veiller à la sauvegarde des paysages et du patrimoine culturel et architectural. Promouvoir un aménagement harmonieux et équilibré du territoire, et défendre une anthropisation maîtrisée. C’est pourquoi notre association s’intéresse à ce projet et a participé à l’enquête publique. https://drive.google.com/file/d/1grHQF72ngTlcGUjy7ctv303NPB-NHrFq/view
Selon le chercheur Adrien Baysse-Lainé, le centre d’engraissement de Peyrilhac « participe d’une industrialisation du secteur. Les prises de décisions sur l’itinéraire technique et les décisions économiques se prennent au siège du groupe et pas dans la cour de ferme. On a d’un côté la vision d’acteurs de l’aval comme T’Rhéa qui proposent une intégration verticale, et de l’autre une vision où des projets d’installation collective s’organisent pour mettre en place l’agriculture qu’on veut dans le futur. »
La défense des prairies, affichée par le représentant de T’Rhéa, fait rire jaune Philippe Babaudou, également membre de la Confédération paysanne. « Pascal Nowak a été la cheville ouvrière du domaine de Berneuil » : ces 550 hectares, à une quinzaine de kilomètres de Peyrilhac, avaient été rachetés dans les années 90 par une société agroalimentaire italienne pour y installer une ferme industrielle avec pour objectif l’exportation de 2500 bovins par an. Les haies et les arbres y sont arrachés pour ouvrir de grandes parcelles et des retenues d’eau sont créées pour irriguer du maïs. « Aujourd’hui cette société est plus ou moins abandonnée, laissant derrière elle des sols nus. C’est un désastre, et il n’y a plus de prairies ! », pointe Philippe Babaudou. « On est sur une bascule vers l’agriculture de firme sans agriculteur, et ce projet à Peyrilhac en est le signe annonciateur. »
Il est encore temps de faire annuler ce projet agro-industriel : Lors d’une conférence de presse en avril, le préfet a indiqué qu’il rendrait son avis d’ici le 14 mai.
T'RHEA t'es pas réaliste,
Signer !
Récapitulatif
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à pref-communication@haute-vienne.gouv.fr Avec les éléments suivants :
Sujet : Peyrilhac terre en péril
Message : Monsieur le Préfet,
L'exemple du domaine de Berneuil ferme industrielle plus ou moins abandonnée laissant derrière elle des sols nus devrait vous alerter sur cette agriculture sans agriculteur.
Le bon sens voudrait que vous émettiez un avis défavorable.
Croyez en ma vigilance sur vos décisions.
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Les humains qui consomment des produits d'origine animale alors que notre espèce n'en a pas besoin pour vivre sont les premiers responsables de ces atrocités.
Honte à nous qui exploitons, torturons, massacrons, dévorons nos frères et soeurs non humains.
Honte à nous qui détruisons la nature au nom de nos immondes appétits.
Et il y en a encore pour croire qu'un Dieu nous aurait créés à son image ?... Mais quel orgueil !
Nous sommes une espèce infâme et criminelle.
Pinque Méryl 11/05/2025 - 18:59:50
On en est encore là ? ... quelle honte ...
Quelle erreur de perception, de conception, quel crime de production ont dans la tête ces gens ?
Mis&érables industriels.
En plus ils prennent le nom de Rhéa. Sinistres abrutis malhonnêtes.
Agnès Pastourel 09/05/2025 - 09:49:29
Et si çà devenait la norme afin d'avoir de l'élevage protégé des prédations des loups ?
A un moment donné, il faudra bien choisir : les loups ou l'élevage plein air !
PATRICK SASTRE 09/05/2025 - 00:26:33
Nous sommes loin du bien être animal dont croit bénéficier l'image traditionnelle de l'élevage animal français !
Rentabilité maximale au détriment du respect des animaux concernés, des consommateurs, de la qualité des produits et de s milieux naturels : une dérive à stopper absolument "si possible"
Anita VILLERS 08/05/2025 - 13:54:08
non a la merde qu'on veut nous faire bouffer.
ces fermes sont a l'image des vaches américaines et synonymes de malbouffe
dudu 08/05/2025 - 13:05:19
en plus d'être un projet nocif pour le climat et la biodiversité, c'est un univers concentrationnaire pour bovins, à rebours de toute notion de bien être animal!
Anne Rondelaud Despeyroux 08/05/2025 - 13:02:29
Un bovin à besoin d’un hectare de pâturage pour se nourrir correctement. 2100bovins sur 600hectares, c’est de la maltraitance animale. Point.
marie-juliette hamon 08/05/2025 - 12:57:14
Il faut croire que les erreurs passées ne servent même pas de leçons !
Sylviane Lesaffre 08/05/2025 - 12:24:42
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Honte à nous qui détruisons la nature au nom de nos immondes appétits.
Et il y en a encore pour croire qu'un Dieu nous aurait créés à son image ?... Mais quel orgueil !
Nous sommes une espèce infâme et criminelle.
Pinque Méryl
11/05/2025 - 18:59:50