Buts : capturer le CO2 pour diminuer l’effet de serre, préserver l’eau douce et les grands équilibres, tout en nourrissant un maximum d’êtres vivants et en assurant des emplois aux humains.
Principes :
– cette monnaie est créée par l’ONU au sein de laquelle une nouvelle « branche » est créée : le Fonds monétaire organique (FMO) ;
– sa masse monétaire est l’exact reflet de la biomasse saine des terres émergées ; c’est à dire d’une part la nature sauvage, et d’autre part les terres cultivées vertueusement (sans engrais ni produits chimiques de synthèse donc SAUF : monoculture, élevage intensif, OGM) ;
– les pays volontaires perçoivent tous les ans des crocus correspondants à l’augmentation de leur biomasse saine, certifiée par la communauté scientifique mondiale ;
– chaque gouvernement reverse les crocus exclusivement aux personnes physiques qui cultivent la terre (petits paysans ou salariés agricoles) et/ou protègent la biodiversité ;
– seules ces personnes sont autorisées à échanger des crocus, soit contre la monnaie de leur pays, soit contre la monnaie locale sociétale de leur collectivité locale ;
– et tout cela par quel miracle ? Sur l’impulsion des citoyen(ne)s du monde (vous, moi, les autres) via une gigantesque pétition sur internet.
Le slogan est tout trouvé : « Ensemble construisons un monde verdoyant » « Juntos construir un mundo verde » « Together build a green world ».
En étant suffisamment nombreux et si le « buzz » se fait partout, dans les familles, les associations, sur les réseaux sociaux, dans les milieux informés, dans la presse libre, on n’a pas fini d’entendre parler du crocus car… notre souris a du pouvoir !
Hélène Nivoix