Marne jusqu’au 30 avril 2025 à 18h : consultation publique sur l’arrêté relatif à la chasse, prévoyant une période complémentaire de vénerie sous terre du blaireau
Le Projet d’arrêté
La préfecture de la Marne propose à la consultation du public un projet d’arrêté autorisant une période complémentaire de vénerie sous terre du blaireau du 15 juin 2026 au 15 septembre 2026.
La préfecture a publié une note de présentation qui n’est en réalité qu’une présentation des modalités de la consultation et qui n’apporte aucun élément pour justifier cette période complémentaire.
AVES Francevous invite à vous opposer à ce projet d’arrêté jusqu’au 30 avril 2025 à 18h.
Important : pour que votre avis soit pris en compte, utilisez nos arguments pour rédiger une réponse personnalisée.
Modalité de réponse à cette consultation :
- par mail à : ddt-chasse@marne.gouv.fr
- objet du mail : « Projet d’arrêté préfectoral relatif à la période de chasse pour la campagne 2025-2026 »
- jusqu’au 30 avril 2025 à 18h
Précision importante : tout le monde a le droit d’exprimer son avis sur ce projet d’arrêté, quel que soit son département de résidence.
Monsieur le Préfet de la Marne,
La Direction Départementale des Territoires de la Marne propose à la consultation du public un projet d’arrêté préfectoral relatif à la période de chasse pour la campagne 2025-2026, lequel prévoit une période complémentaire de la vénerie sous terre du blaireau du 15 juin 2026 au 15 septembre 2026.
Je souhaite déposer un AVIS DÉFAVORABLE à votre projet d’arrêté.
SUR LA FORME :
- Le document intitulé « Note de présentation », annexé à cette consultation, n’est en fait qu’un document présentant les modalités de réponse à cette consultation publique. Il n’apporte aucun élément permettant de justifier le contenu de votre projet d’arrêté. De plus en plus de tribunaux administratifs sanctionnent les préfectures qui ne respectent pas le dialogue environnemental.
- Vous ne fournissez aux contributeurs aucune donnée permettant de justifier la période complémentaire de vénerie sous terre du blaireau. Pourtant l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement précise : «Sous réserve des dispositions de l’article L. 123-19-6, le projet d’une décision mentionnée au I, accompagné d’une note de présentation précisant notamment le contexte et les objectifs de ce projet, est mis à disposition du public par voie électronique et, sur demande présentée dans des conditions prévues par décret, mis en consultation sur support papier dans les préfectures et les sous-préfectures en ce qui concerne les décisions des autorités de l’Etat, y compris les autorités administratives indépendantes, et des établissements publics de l’Etat, ou au siège de l’autorité en ce qui concerne les décisions des autres autorités.» Plusieurs tribunaux ont suspendu et annulé des arrêtés dont les notes de présentation étaient incomplètes. Soit ces éléments existent et vous refusez de les transmettre aux contributeurs, en contrevenant à l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement, soit vous ne possédez aucun chiffre et votre projet d’arrêté est alors entaché d’illégalité et la période complémentaire de vénerie sous terre du blaireau devrait être supprimée dans l’arrêté final, pour éviter un recours devant le tribunal administratif.
- L’article 9 de la Convention de Berne n’autorise les dérogations à l’interdiction de porter atteinte aux espèces protégées qu’« à condition qu’il n’existe pas une autre solution satisfaisante et que la dérogation ne nuise pas à la survie de la population concernée pour prévenir des dommages importants aux cultures, au bétail, aux forêts, aux pêcheries, aux eaux et aux autres formes de propriété ». Pour être légales, les dérogations à l’interdiction de porter atteinte aux blaireaux doivent être justifiées par trois conditions, devant être cumulativement vérifiées : la démonstration de dommages importants aux cultures notamment ; l’absence de solution alternative ; l’absence d’impact d’une telle mesure sur la survie de la population concernée. L’exercice récréatif de la chasse est exclu. Or, la note de présentation ne fournit aucune estimation des populations de blaireaux dans le département et ne donne aucun chiffre relatif aux dégâts causés aux cultures agricoles (nature, récurrence, localisation et coûts). Par ailleurs, il n’est mentionné nulle part la mise en place de mesures préventives qui pourraient facilement solutionner les rares dommages causés par ces animaux. Dans ces conditions, rien ne justifie la période complémentaire de vénerie sous terre du blaireau et le projet d’arrêté est donc entaché d’illégalité.
- Concernant la contradiction entre l’article R. 424-5 du Code de l’environnement et l’article L. 424-10 du même code, la DDT de l’Ardèche reconnait que l’autorisation de la période complémentaire est préjudiciable à la survie des jeunes :
« L’exercice de la vénerie sous terre du Blaireau s’exerçait précédemment pendant une période de chasse complémentaire ouverte du 15 mai à l’ouverture générale. Il apparaît que cette période de chasse peut porter un préjudice à des jeunes pas encore émancipés. Le projet d’arrêté prévoit de différer le début de cette période complémentaire au 1er août 2022. »
La préfecture de la Marne doit tenir compte de cette notification sur la période de dépendance des jeunes, qui est valable pour tous les départements. - Dans plusieurs départements, la transmission par l’administration des chiffres des prises de blaireaux a prouvé que la vénerie sous terre est une pratique aveugle qui conduit à la destruction des terriers et de l’ensemble de ses occupants, y compris des jeunes de l’année, dépendants et qui n’ont évidemment pas pu se reproduire. Le pourcentage de jeunes tués lors des opérations de vénerie sous terre peut dépasser 45% !
- La vacuité de votre note de présentation ne nous permettent pas d’estimer la mortalité anthropogénique. Or, Emmanuel DO LINH SAN estime, dans son ouvrage Le blaireau d’Eurasie, que « lorsque les facteurs de mortalité anthropogénique occasionnent des pertes supérieures à 20% dans une population de blaireaux, celle-ci va inévitablement régresser. » Vous devez fournir aux contributeurs l’ensemble des chiffres concernant la mortalité des blaireaux dans votre département, car en dépassant le seuil de 20% de mortalité anthropogénique, vous mettriez en danger vos populations de blaireaux ce qui serait une infraction à l’article L. 424-10 du Code de l’environnement.
- De l’avis de l’ensemble de la littérature scientifique, le blaireau est un « petit » tout au long de sa première année de vie. Autoriser la vénerie sous terre au 15 juin est donc bien une infraction, qui conduit de plus en plus de tribunaux administratifs à suspendre et annuler les arrêtés concernés.
- La chasse à tir, lorsqu’elle est autorisée jusqu’au 28 février, provoque potentiellement la mort des mères gestantes et ne doit en aucun être autorisée, en application de l’article L. 424-10 du Code de l’environnement, visant à préserver le renouvellement des espèces.
- Dans les Vus de votre projet d’arrêté, on peut lire : « VU l’avis émis par la commission départementale de la chasse et de la faune sauvage en date du 4 avril 2025. » Or, aucun compte-rendu de la CDCFS n’est annexé à la note de présentation permettant au contributeur de savoir quelle a été la nature des débats et les éventuelles oppositions soulevées contre votre projet d’arrêté. Vous ne dites même pas si l’avis de la CDCFS était favorable ou pas. Chacun sait cependant que ces commissions sont déséquilibrées et que les représentants d’intérêts cynégétiques y siègent en large majorité.
- De surcroît, on peut lire dans l’introduction de votre projet d’arrêté : « VU les propositions émises par la fédération départementale des chasseurs de la Marne » et « VU l’avis émis par la fédération départementale des chasseurs de la Marne ». La FDC, à la fois juge et partie, vous envoie ses propositions et vote en leur faveur. Toutefois, de plus en plus de tribunaux reconnaissent que les arrêtés autorisant l’ouverture précoce de la vénerie sous terre du blaireau mettent en danger les petits et prononcent des suspensions ou des annulations. En réclamant l’ouverture de la période complémentaire de vénerie sous terre au 15 juin, la FDC51 et la DDT51 montrent leur méconnaissance de l’espèce et prouvent qu’elles défendent les intérêts des chasseurs au mépris de l’intérêt général.
- Je me permets de vous rappeler qu’au moment de la publication de l’arrêté final, l’article L 123-19-1 du code de l’environnement stipule qu’ « au plus tard à la date de la publication de la décision et pendant une durée minimale de trois mois, l’autorité administrative qui a pris la décision rend publics, par voie électronique, la synthèse des observations et propositions du public avec l’indication de celles dont il a été tenu compte, les observations et propositions déposées par voie électronique ainsi que, dans un document séparé, les motifs de la décision. » Je vous remercie donc de bien prévoir la publication d’une synthèse des avis qui vous ont été envoyés.
LES JURISPRUDENCES EN FAVEUR DU BLAIREAU :
Suite aux recours en justice déposés par les associations, les juges des tribunaux administratifs donnent de plus en plus souvent raison aux associations.
Dans leurs ordonnances, les tribunaux administratifs justifient la suspension ou l’annulation des arrêtés pour les motifs suivants :
- Insuffisance de démonstration de dégâts
- Illégalité destruction « petits » blaireaux
- Défaut de recours à des mesures alternatives à l’abattage
- Insuffisance de justifications dans la note de présentation
- Méconnaissance de l’état des populations de blaireaux
- Défaut de fixation d’un nombre maximal d’animaux susceptibles d’être prélevés
- Irrégularité de la convocation des membres de la CDCFS
- Risque sanitaire lié à la tuberculose bovine
- Illégalité de l’article R.424-5 du code de l’environnement
- Non respect de l’équilibre agro-sylvo-cynégétique
- Maturité sexuelle des petits non effective
- Insuffisance de démonstration de dégâts aux infrastructures
SUR LE FOND :
- Suite aux recours des associations, de plus en plus de départements reconnaissent l’illégalité des périodes complémentaires de vénerie sous terre du blaireau et ne les autorisent plus.
- Cette pratique, appelée « vénerie sous terre », est particulièrement barbare et cruelle. Elle inflige de profondes souffrances aux animaux puisqu’elle consiste à acculer les blaireaux dans leur terrier à l’aide de chiens, puis, pendant plusieurs heures, à creuser afin de les saisir avec des pinces. Les animaux, dans un état de stress très important, sont ensuite achevés à la dague.
- La vénerie sous terre met en danger les chiens qui sont envoyés dans les terriers et qui peuvent être blessés, répandre des zoonoses ou être tués par les animaux sauvages qui se défendent d’une agression extérieure. D’ailleurs, la Suisse a interdit cette pratique dans le but de protéger les chiens.
- La vénerie sous terre n’est pas sans conséquences pour d’autres espèces sauvages. En effet, une fois l’opération terminée, les terriers, souvent anciens, se trouvent fortement dégradés. Or ces derniers sont régulièrement utilisés par d’autres espèces, dont certaines sont réglementairement protégées par arrêté ministériel et directive européenne, comme le Chat forestier (Felis silvestris) pour les départements concernés ou des chiroptères lorsque certaines espèces sont en phase d’hibernation pendant la période de septembre/octobre à fin avril : « Le Petit rhinolophe hiberne dans des gîtes souterrains (mines, caves, sous-sols ou même terriers de Renard ou de Blaireau) »source : Atlas des Mammifères de Bretagne éd. 2015.
- Le Conseil de l’Europe recommande d’interdire le déterrage : « Le creusage des terriers, à structure souvent très complexe et ancienne, a non seulement des effets néfastes pour les blaireaux, mais aussi pour diverses espèces cohabitantes, et doit être interdit. »
À PROPOS DU BLAIREAU :
- Les populations de blaireaux sont fragiles et souffrent de la disparition de leurs habitats (haies, lisières, prairies, …) et sont fortement impactées par le trafic routier.
- Inscrit à l’annexe III de la Convention de Berne, le Blaireau d’Europe, Meles meles, est une espèce protégée (cf. art. 7). A titre dérogatoire, la Convention de Berne encadre strictement la pratique de la chasse et la destruction administrative de cette espèce (cf. art. 8 et 9). Le ministère de l’écologie doit soumettre « au Comité permanent un rapport biennal sur les dérogations faites ».
- La dynamique des populations de blaireaux est extrêmement faible (moyenne de 2,3 jeunes par femelle et par an).
- Cette espèce n’est jamais abondante (mortalité juvénile très importante (de l’ordre de 50% la 1ère année).
- Une mortalité importante de blaireaux est liée au trafic routier.
- Les opérations de vénerie peuvent affecter considérablement les effectifs de blaireaux et peuvent entraîner une disparition locale de cette espèce.
- Les dégâts que le blaireau peut occasionner dans les cultures de céréales sont peu importants et très localisés, essentiellement en lisière de forêt. Selon l’Office National de la Chasse ONC bulletin mensuel n° 104 : « Les dégâts que peut faire le blaireau dans les cultures ne sont gênants que très localement (…) Et il suffit de tendre une cordelette enduite de répulsif à 15 cm du sol pour le dissuader de goûter aux cultures humaines. »
- En ce qui concerne les éventuels dégâts causés sur les digues, routes ou ouvrages hydrauliques par le creusement des terriers, la régulation du blaireau a montré son inefficacité, voire même un effet contre-productif du fait de la place libérée par l’animal éliminé qui est très vite occupée par un autre individu.
- Une méthode simple et pérenne consiste à utiliser des produits répulsifs olfactifs sur les terriers posant problème, ceci accompagné de la mise à disposition à proximité de terriers artificiels. Les avantages de cette solution sont que les animaux continueront d’occuper un territoire sur le même secteur et ne permettront pas l’intrusion d’un nouveau clan. (source : LPO Alsace)
À PROPOS DES AUTRES ESPÈCES :
- Votre projet d’arrêté encadre la chasse de plusieurs espèces dont les effectifs sont en déclin. Aussi, je vous demande de ne pas autoriser la chasse de la perdrix grise, du faisan et du lièvre, tout comme l’interdiction de relâcher des animaux issus d’élevages et qui pourraient être responsable d’une pollution génétique et de transmission de maladies. Relâcher des animaux nés dans des élevages pour le simple plaisir de les chasser est une totale aberration à laquelle il faut mettre un terme immédiatement.
- L’ouverture anticipée de la chasse du renard est une tradition qui montre que les chasseurs ne comprennent rien à la régulation des espèces. Le renard est un prédateur naturel de nombreux rongeurs qui s’attaquent aux récoltes. Abattre des renards contribue à faire exploser les populations de rongeurs. Il est donc totalement aberrant de permettre une ouverture anticipée de la chasse du renard. Si les chasseurs défendaient l’intérêt général plutôt que leurs intérêts particuliers, ils s’opposeraient à cette ouverture anticipée.
Avis défavorable. La venerie sous terre ne sert qu’à amuser ceux qui prennent plaisir à tuer.
avis défavorable
Hier soir, vers 23 heures, rentrant chez moi, j’ai eu le plaisir de croiser un. jeune blaireau en compagnie … d’un chat. Tous deux cheminaient tranquillement, tout à leur découverte du territoire et de ses senteurs. Alors évidemment, la beauté de cette rencontre paisible ne peut se conjuguer avec des autorisations de chasse qui n’ont aucun intérêt et aucun sens. Les blaireaux sont nécessaires aux écosystemes et doivent être protégés, particulièrement au printemps.
Avis défavorable : Chasser et tuer les blaireaux n’ont aucun intérêt si ce n’est contenter le sadisme de ceux qui participent à ce massacre. Les blaireaux ne provoquent pas de dégats importants comme les “chasseurs” veulent le faire croire pour se livrer à leurs bas instincts de massacreurs.
Avis défavorable. Foutez la paix aux blaireaux qui ne font pas plus de dégâts que ça. Au contraire des chasseurs, qui eux sont des prédateurs redoutables. Assez avec l’encouragement aux psychopathes !
Avis très défavorable. Les blaireaux ne sont pas nuisibles ! Quand à la tuberculose bovine, en Angleterre on a tué quasiment tous les blaireau et la tuberculose a continué de sévir. Quand aux blaireaux humains, ceux qui portent un fusil, tirent sur des cyclistes, chassent dans nos jardins, et coupent les clôtures de nos chevaux, là, on pourrait peut-être y réfléchir .
laissons les blaireaux vivre, il y a assez de voitures qui en écrasent.
Protégeons les
Merci pour la nature
Avis défavorable :
Savez vous que nous sommes au 21ème siècle et que la biodiversité recule de façon dramatique et inéluctable !
Le plaisir de tuer me semble répréhensible !
Interdisez cette chasse et toutes les chasses d’ailleurs. le Loup s’occupera de réguler !
AVIS TRES DEFAVORABLE CEST TOTALEMENT INACCEPTABLE
Laissez vivre les blaireaux, le déterrage est inadapté, cruel , inacceptable, , ils ne sont pas nuisibles et le loup peut les réguler si besoin
AVIS TRES DEFAVORABLE CEST TOTALEMENT INACCEPTABLE
Laissez vivre les blaireaux, le déterrage est inadapté, cruel , inacceptable, , ils ne sont pas nuisibles et le loup peut les réguler si besoin
Le déterrage des blaireaux et la vènerie sous terre ne servent qu’à amuser les sadiques qui prennent plaisir à torturer et à tuer. Avis complètement défavorable ! Interdiction pure et simple.
Avis complètement défavorable ! Interdiction pure et simple. Le déterrage des blaireaux et la vènerie sous terre ne servent qu’à amuser les sadiques qui prennent plaisir à torturer et à tuer.
Avis très défavorable. Pas de déterrage des blaireaux
A force d’éliminer tous les “nuisibles” , c’est lui-même que l’humain dans son inconscience/ignorance finira par éliminer. Le plus difficile à accepter est le feu vert que donnent trop souvent les préfectures à ces tueries. Ces énarques n’ont-ils donc reçu aucune formation scientifique relative à la biodiversité? Même les cours de SVT de leur adolescence ont-ils été oubliés? Ambition/ cynisme quand vous nous tenez…
Avis totalement défavorable ! partagez la planète.
Avis défavorable, cela se passe de commentaire
Avis défavorable, tuer ne devrait pas être un loisir.
Les blaireaux ne sont en rien nuisibles, terme auquel on les associe uniquement pour se donner le droit de les tuer.
Avis défavorable. Chasse inutile, injustifiée, et cruelle.
« L’homme est la seule créature qui refuse d’être ce qu’elle est.
Il vénère un Dieu invisible et massacre une nature visible, sans savoir que cette nature qu’il massacre est ce Dieu invisible qu’il vénère. »
Hubert Reeves (1932-2023) astrophysicien, vulgarisateur scientifique et écologiste
AVIS TRES DEFAVORABLE – STOP A LA CHASSE
Avis défavorable
Avis défavorable. Ce ne sont pas des animaux nuisibles.
avis défavorable
Avis défavorable. Chasse inutile, injustifiée, et cruelle.
Avis très très défavorable
Avis défavorable
Le seul être nuisible…c’est l’humain qui ne vit pas harmonie avec toutes les créatures
et la nature!
Avis défavorable
Le seul être nuisible… c’est l’humain qui ne vit pas en harmonie avec toutes les céatures et la nature!
Sans la biodiversité, nous disparaitrons tous….
Inscrit à l’annexe III de la Convention de Berne, le Blaireau d’Europe, Meles meles, est une espèce protégée (cf. art. 7). A titre dérogatoire, la Convention de Berne encadre strictement la pratique de la chasse et la destruction administrative de cette espèce (cf. art. 8 et 9). Le ministère de l’écologie doit soumettre « au Comité permanent un rapport biennal sur les dérogations faites ».
avis totalement défavorable!
Je souhaite déposer un AVIS DÉFAVORABLE à votre projet d’arrêté
Il semble à la quasi unanimité, nous savons que les blaireaux ne font pas de dégâts comparé
à d’autres êtres à deux jambes.
Il est vérifié que les bébés blaireaux sont incapables de survivre sans
les mamelles de leur mère.
Plutôt que trucider des blaireaux, il serait mieux de leur mettre
sous le nez les orifices de moufettes et putois (s’il en reste encore – ESOD -).
De finaux comptables prétendent connaître le nombre exact des blaireaux.
Alors cessez de mentir. Il est peu probable de proposer le nombre maximal de victimes.
Rien n’est vérifié concernant la transmission de la tuberculose bovine aux blaireaux.
Comment peut on imaginer le gros pataud sous le museau d’une vache?
De mauvais garçons choisissent de violer le code de l’environnement.
Ce que meles meles ne fait pas.
Il y a des abus, des tricheurs quand on entend que les blaireaux ruinent les infrastructures.
Que la SNCF cesse de pleurer sur les pseudo dégâts de ses voies
et fasse plutôt son travail au plus vite sans accuser un bourru poilu.