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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : La place du solaire est sur les toits et non dans les champs

Mise en ligne du 05/12/2024 au 21/12/2024

Une enquête publique complémentaire à titre de régularisation des vices mentionnés dans le Jugement "avant dire droit" du 26 janvier 2024, dans le cadre du projet d'implantation d'une centrale photovoltaïque de la société NIÈVRE AGRISOLAIRE sur le territoire des communes de Dirol et Germenay.

Bilan de la cyberaction :

1705 participants

Enquête terminée

Présentation de la cyberaction :

l'enquête publique pour le projet agrivoltaïque de Dirol-Germenay se prolongera jusqu'au 19 décembre.

Nous avions participé à la première enquête
https://www.cyberacteurs.org/archives/bilan.php?id=4613  

Nouvelle enquete publique jusqu'au 19 décembre
https://www.nievre.gouv.fr/Publications/Enquetes-publiques-Etat/Photovoltaique-societe-NIEVRE-AGRISOLAIRE-communes-de-DIROL-et-de-GERMENAY  

Nous vous proposons de reprendre le même texte.

Emberlificotage « agrivoltaïque »

suivi de la tribune signée par 380 organisations nationales, régionales et locales, dont Adret Morvan.

L’histoire de « l’ agrivoltaïsme » est celle d’un coup marketing visant à s’accaparer du foncier, sous couvert de décarbonatation. Une histoire de publicitaires d’autant plus pernicieuse qu’elle s’est présentée durant près de dix années comme émanant d’un organisme public, l’Inrae. Mais comme l’a expliqué justement dans un entretien la chargée Enr de la Chambre d’agriculture des Pyrénées-orientales, « l’agrivoltaisme » est juste une question de sémantique1, une histoire de confusions volontairement gardées quant aux significations multiples que prendra ce mot ; permettant à des industriels de faire croire en des soi-disant bienfaits pour l’agriculture que procureraient des tonnes de métal à l’hectare.
https://adretmorvan.org/index.php/2024/12/04/emberlificotage-agrivoltaique/  

La lettre qui a été envoyée :


Madame, Monsieur
Le développement de l’énergie solaire que je défends doit être pensé de façon cohérente et collective. La place des panneaux photovoltaïques n'est pas dans les champs, mais sur les hectares de friches industrielles, parkings, toitures industrielles ou agricoles disponibles dans la Nièvre 
Je vous demande donc d'apposer un refus à ce projet et d'inviter les promoteurs à en revoir l'emplacement.
Veuillez agréer mes salutations citoyennes

 

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13 commentaires

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Non à l’implantation d’une centrale photovoltaïque de la société NIEVRE AGRISOLAIRE sur le territoire des communes de Dirol et Germenay.
A qui cette société achète t elle? A la Chine? Aux Brics?
Qui peut admirer un hectare de panneaux au sol au coucher du soleil?
Qui détruit des terrains agricoles dont ont besoin les cultivateurs propres?
Qui peut dire de façon goguenarde que des coupes franches en forêt sont moins utiles que des panneaux de métal?
Qui ignore suprêmement les animaux, les insectes et les essences d’arbres mais s’intéresse à une poignée de flouze?

BONUS >>> Au lieu de rester à se bronzer aux rayons des panneaux voltaïques, il vaut mieux casser le béton sous les hangars et magasins en ruine et écouter l’eau qui coule à nouveau.

Aïchat Nussy

Colette Nusbaum Vallet
Le 12/12/2024 à 16:43:58

Du point de vue technique et selon un collègue qui a étudié cette question : il serait plus pertinent de placer les panneaux à la verticale plutôt qu'à 45° : ils recevraient ainsi plus de rayons solaires en hiver (quand l'ensoleillement et insuffisant) et moins en été (alors qu'il est inutilement trop puissant) . Un second intérêt serait de pouvoir les installer alors CONTRE DES MURS .... dont certains sont parfois très moches ... Idée à creuser ??

Christine CERUTI
Le 10/12/2024 à 11:24:37

Des ombrières sur les parkings ou des panneaux sur les toitures des grands bâtiments industriels, des locaux commerciaux : cela en fait des m2.
Mais pas en lieu et place des champs, des forêts ou des prairies naturelles. A la rigueur, en ombrières au-dessus des cultures.
Nous ne sommes pas xylophages, ai-je lu. Non, nous sommes juste ignorants, rapaces et calamiteux. Sinon comment expliquer qu'au niveau mondial, en seulement un siècle, 50% des forêts ont disparu ?
Et même s'ils remplacent des parcelles boisées, les panneaux solaires produiront-ils l'air que nous respirons ? J'en doute. :-(

Frawald
Le 09/12/2024 à 15:53:48

@Jean-François: j'ai lu "L'électrification des usages, en particulier des transports est une nécessité, mais en plus elle va amener une diminution du besoin en énergie. "
La réflexion semble très influencée par le discours sur la contribution humaine/industrielle à un changement climatique. Puisque vous suggérez de se renseigner et de lire, je retourne le compliment: renseignez-vous auprès des scientifiques non alignés sur ce discours (oui, oui, ça existe y compris chez les prix Nobel!) et lisez leur production scientifique. Cordialement.

Philippe LEBOURG
Le 09/12/2024 à 15:16:24

En effet, il faut les mettre sur les toits de toutes constructions

Stéphoto
Le 08/12/2024 à 22:08:06

le solaire, oui, mais pas sur les terres agricoles !

béatrice jung luijken
Le 08/12/2024 à 20:27:22

Evidemment qu'il faut d'urgence installer des panneaux photovoltaïques sur les toits, les friches, les parkings ! Qu'est-ce qu'on attend ?
On fait la politique de l'autruche comme trop souvent ! Ouvrez les yeux et l'esprit !
Pitié, cela urge !

jean-paul trentesaux
Le 08/12/2024 à 09:05:57

Jean François, Fabrice,
Il y a toujours des exceptions qui confirment la règle. Mais au nom des exceptions certains sont prêts à tout pour faire du fric.
Dans ce cas précis, nous nous sommes basés sur nos partenaires locaux d'Adret Morvan

Panneaux solaires de Germenay-Dirol, un projet à combattre, on vous dit pourquoi
https://adretmorvan.org/index.php/2022/08/21/panneaux-solaires-de-germenay-dirol-un-projet-a-combattre-on-vous-dit-pourquoi/  

La confédération paysanne de la Nièvre analyse la dérive qui risque de modifier profondément la structure du monde agricole et aggraver la dépendance de paysans aux structures financières.
https://adretmorvan.org/wp-content/uploads/2022/08/ConfederationPaysanne58_Positionnement_Centrales_photovoltaïques_062021.pdf  

FNE Midi-Pyrénées développe une analyse complète et cite de nombreuses études et sources alors que les projets se multiplient sur les terres agricoles et dans les forêts en Midi-Pyrénées.

La note de FNE Midi-Pyrénées

Le collectif du Causse Comtal démontre avec des sources chiffrées pourquoi le panneau solaire descend des toits vers les prés pour des raisons purement financières.

La note du collectif de réflexion citoyenne sur le photovoltaïque du Causse Comtal
https://ccaves.org/blog/wp-content/uploads/choix-politique-de-ne-pas-financer-le-pv-sur-toiture-1.pdf  

Alain UGUEN
Le 08/12/2024 à 08:40:33

Suite de ce Commentaire:
"Désolé,je ne signerai pas. Marre des y'a ka fo kon sur ce sujet. La campagne qui se développe en ce moment contre l'agrivoltaisme relève d'un climatodénialisme mortel pour nos petits enfants. Qu'on se batte contre les dérives qui existent est une chose, qu'on assimile l'élevage de moutons sous panneaux à de l’artificialisation, alors qu'on peut y produire autant de lait ou de viande que sans, est vraiment de la pure désinformation. Le problème est que l'énergie est plus rentable que l'agriculture, il faut donc lier la production d'électricité à l’activité agricole, et si on imposait que cette activité se fasse sans engrais ni pesticides chimiques et soit plafonnée, ce serait parfait. Quant à ceux qui le font au nom de la biodiversité, ils ne se rendent pas compte que la moitié du vivant sera mort ou presque en 2100 si on continue comme ça, parce que la sobriété, qu'on espère tous, n'avance pas du tout.L'électrification des usages, en particulier des transports est une nécessité, mais en plus elle va amener une diminution du besoin en énergie. Un ha d'agrocarburant super polluant et sans production alimentaire, contre lequel personne ne dit rien permet à une voiture super émettrice de GES de faire 25 000 kms/an, alors qu'un ha d'agrivoltaisme produit par ex. 100 kg de viande/an sans engrais ni chimie et permet à une voiture électrique de faire 2 500 000 kms/an, 100 fois plus, en émettant rien. Approfondissez le sujet, il le mérite, et l'avenir de l'humanité aussi."
je suis absolument en accord avec M Jean-François Vincent,
je suis membre d'un GAEC en bio ou il y a un projet d'agrivoltaïsme avec production de légumes entre les panneaux. Le cahier des charges oblige à justifier d'une absence de baisse de production par comparaison avec la production d'avant. Nous sommes dans les clous et pourtant avant c'était du maïs irrigué.
Ce projet permettra de convertir 30 ha en bio pour faire de la nourriture consommable directement par les humains.
Je suis dégouté par le jusque boutisme de certain !
Alors maintenant que vouloir de plus ?
De la forêt partout ? Nous ne sommes pas des xylophages ?

Fabrice Terrien
Le 07/12/2024 à 18:24:37

Toutes le toitures de zones commerciales (et elles sont nombreuses), celles de certaines écoles, de certains centres administratifs non inscrits au patrimoine DEVRAIENT AVOIR OBLIGATION d'installation de panneaux solaires et autres dans le but de protéger l'environnement, installer des panneaux solaires dans les champs est aussi stupide que les mégas bassines, mais nous ne sommes plus à une idiotie près

maripachats
Le 07/12/2024 à 16:59:46

ni dans les champs ni dans les bois ! 100% d'accord

d udu
Le 06/12/2024 à 19:53:12

Désolé,je ne signerai pas. Marre des y'a ka fo kon sur ce sujet. La campagne qui se développe en ce moment contre l'agrivoltaisme relève d'un climatodénialisme mortel pour nos petits enfants. Qu'on se batte contre les dérives qui existent est une chose, qu'on assimile l'élevage de moutons sous panneaux à de l’artificialisation, alors qu'on peut y produire autant de lait ou de viande que sans, est vraiment de la pure désinformation. Le problème est que l'énergie est plus rentable que l'agriculture, il faut donc lier la production d'électricité à l’activité agricole, et si on imposait que cette activité se fasse sans engrais ni pesticides chimiques et soit plafonnée, ce serait parfait. Quant à ceux qui le font au nom de la biodiversité, ils ne se rendent pas compte que la moitié du vivant sera mort ou presque en 2100 si on continue comme ça, parce que la sobriété, qu'on espère tous, n'avance pas du tout.L'électrification des usages, en particulier des transports est une nécessité, mais en plus elle va amener une diminution du besoin en énergie. Un ha d'agrocarburant super polluant et sans production alimentaire, contre lequel personne ne dit rien permet à une voiture super émettrice de GES de faire 25 000 kms/an, alors qu'un ha d'agrivoltaisme produit par ex. 100 kg de viande/an sans engrais ni chimie et permet à une voiture électrique de faire 2 500 000 kms/an, 100 fois plus, en émettant rien. Approfondissez le sujet, il le mérite, et l'avenir de l'humanité aussi.

Jean-François VINCENT
Le 06/12/2024 à 11:19:18

Sur les toits d'immeubles, sur les toitures de hangars et de supermarchés, sur les ombrières de parking... Il y a des milliers de m2 à équiper sans toucher aux terres agricoles et à la nature !!!

Roland COMTE
Le 05/12/2024 à 13:17:27

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