Cette cyberaction est maintenant terminée
Engagement 48 de François Hollande : J’augmenterai les pouvoirs d’initiative et de contrôle de Parlement, notamment sur les nominations aux plus hauts postes de l’État afin de les rendre irréprochables. Je ferai voter une loi sur le non-cumul des mandats....
6015 participants
Lors du mandat précédent nous avions mené 2 actions visibles en archives
Cumul des mandats : Mesdames, messieurs les élus montrez l'exemple
http://www.cyberacteurs.org/archives/archive.php?id=360
retraite des Parlementaires
http://www.cyberacteurs.org/archives/archive.php?id=331
Par un vote du 9 septembre 2010, les députés ont rejeté à la quasi-unanimité l'amendement n°249 Rect. proposant d'aligner leur régime spécifique de retraite (dont bénéficient également les membres du gouvernement) sur le régime général des salariés.
Depuis le Président élu le 6 mai s'est engagé.
48 J’augmenterai les pouvoirs d’initiative et de contrôle de Parlement, notamment sur les nominations aux plus hauts postes de l’État afin de les rendre irréprochables. Je ferai voter une loi sur le non-cumul des mandats...
Vous pourrez prendre connaissance de la fiche actuelle sur LA SITUATION MATÉRIELLE DU DÉPUTÉ
http://www.assemblee-nationale.fr/connaissance/fiches_synthese/fiche_17.asp
L’écrêtement des indemnités liées à l'exercice d'un mandat local
S’agissant du cumul de l’indemnité parlementaire avec des indemnités allouées au titre d’autres mandats, le principe du plafonnement général des indemnités en cas de cumul des mandats a été introduit par la loi organique n° 92-175 du 25 février 1992. Le député titulaire de mandats ou fonctions électorales locales ne peut cumuler les indemnités afférentes à ces mandats ou fonctions avec son indemnité parlementaire de base que dans la limite d’une fois et demie cette dernière. De telles indemnités sont actuellement ainsi plafonnées pour un député à 2 757,34 € par mois.
Une loi qui interdirait le cumul d'un mandat de parlementaire national ou européen avec un mandat d'Exécutif local devrait logiquement faire tomber aussi le cumul d'indemnité pour faire des parlementaires des élus à temps plein sans leur ôter la possibilité d'être simples conseillers municipaux, généraux ou régionaux pour garder le contact avec le terrain dès lors qu'ils acceptent que ce soit une fonction bénévole.
Sur le plan fiscal, l’indemnité parlementaire de base majorée de l’indemnité de résidence, à l’exclusion de l’indemnité de fonction, est imposée suivant les règles applicables aux traitements et salaires.
Nous proposons que l'indemnité parlementaire dans son entier soit imposée suivant les règles applicables aux traitements et salaires. Avant de prétendre supprimer ou réduire les niches fiscales, les parlementaires doivent montrer l'exemple.
Enfin nous proposons d'aligner le régime spécifique de retraite des parlementaires et ministres sur le régime général des salariés
Cette cyber @ction est destinée à vous permettre de rappeler à votre député l'engagement du Président de la République.
Comme c'est une cyber @ction, vous pouvez en modifier le contenu puisque c'est vous qui signez le message : vous pouvez donc enlever des éléments qui n'auraient pas votre accord ou rajouter des propositions. Dans ce cas, nous vous invitons à utiliser les commentaires de la cyber @ction pour que vos réflexions soient portées à la connaissance de tous.
Nous avons mis à jour les adresses électroniques des nouveaux députés : des erreurs étant possibles
nous vous remercions de nous les faire connaître.
Merci de votre participation.
Alain Uguen
Association Cyber @cteurs
 
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chouette
Le 25/03/2013 à 23:40:16
beurgnot
Le 07/03/2013 à 18:58:05
y en a marre
Le 07/03/2013 à 09:56:00
t'es rien
Le 07/03/2013 à 09:50:02
girard
Le 07/03/2013 à 09:32:25
peresbis
Le 06/03/2013 à 20:53:00
NATUROC
Le 05/03/2013 à 18:29:11
Charles
Le 11/10/2012 à 18:14:26
Sylvie
Le 01/10/2012 à 11:15:02
Abalacalotte
Le 28/08/2012 à 16:05:27
lilihub
Le 23/07/2012 à 13:29:42
Jacqueline Bonnefoy
Le 17/07/2012 à 15:48:14
Yannick FAVENNEC déput&eacut
Le 13/07/2012 à 09:00:39
Antoine
Le 11/07/2012 à 11:00:23
alouette
Le 08/07/2012 à 11:23:11
alouette
Le 08/07/2012 à 11:14:53
perevert
Le 06/07/2012 à 15:54:09
NATUROC
Le 30/06/2012 à 17:42:30
mal à la tête
Le 27/06/2012 à 10:28:32
lolo07
Le 26/06/2012 à 12:24:01
Canneton Jacques
Le 26/06/2012 à 09:57:16
bobebel
Le 26/06/2012 à 09:00:26
un anonyme
Le 26/06/2012 à 08:20:47
Michel
Le 25/06/2012 à 23:03:25
Assilem
Le 25/06/2012 à 22:59:32
JBD63122
Le 25/06/2012 à 19:27:39
Marc Deshors
Le 25/06/2012 à 18:58:02
Ils ont voté, par 208 voix pour et 107 contre, le texte promu par le ministre de l'intérieur, Manuel Valls, texte qu'ils avaient modifié par un amendement leur donnant la possibilité d'exercer, à la différence des députés, une fonction exécutive locale.
Jeudi matin, le Sénat a adopté un autre amendement interdisant en revanche aux sénateurs comme aux députés de cumuler leur indemnité parlementaire avec une indemnité correspondant à un mandat local. "Le cumul des mandats n'est pas le cumul des indemnités", ont expliqué plusieurs orateurs, à l'instar de Jean-Pierre Raffarin (UMP), mercredi matin sur BFM-TV/RMC. Actuellement, le cumul des indemnités est possible dans la limite d'une fois et demie le montant de l'indemnité parlementaire de base (5 514 euros par mois). Selon les statistiques du Sénat le 19 septembre, ils sont 79 parmi les 348 membres de la chambre haute à n'exercer aucun mandat local.
Lire : "Les sénateurs refusent le non-cumul des mandats pour eux-mêmes"
Le Rassemblement démocratique et social européen (RDSE), à majorité radicale de gauche, à la pointe du combat contre le texte déjà voté à l'Assemblée, l'UMP, de nombreux centristes et des socialistes se sont prononcés pour le projet modifié. Les communistes, les écologistes et une grande partie des socialistes ont, quand à eux, voté contre.
Lire le détail du scrutin sur le site du Sénat
Le texte, inscrit en procédure accélérée (une lecture par assemblée) doit à présent faire l'objet d'une commission mixte paritaire (sept députés et sept sénateurs) chargée de rédiger une version commune. Mais les divergences entre les deux chambres sont telles qu'elle risque d'échouer. Il y aura alors un nouveau vote dans chaque chambre, et c'est l'Assemblée qui aura le dernier mot. Manuel Valls a par ailleurs déjà rappelé le caractère "inéluctable" du projet de loi.
Le cumul de tout mandat parlementaire (député, député européen, sénateur) avec un mandat exécutif local (maire, président ou vice-président de conseil général ou régional, notamment) sera interdit. Députés et sénateurs devraient choisir entre les deux types de mandat en 2017, date à laquelle la réforme entrerait en vigueur.
Le chef des députés socialistes, Bruno Le Roux, a, lui aussi, insisté qu'"en dernière lecture, nous voterons le projet du président de la République, qui s'appliquera aux députés et aux sénateurs". Il a aussi déclaré sur i-Télé regretter la position d'un "certain nombre de sénateurs socialistes" sur le sujet. Parmi les 128 membres du groupe socialiste et apparenté, trente et un ont effectivement voté en faveur de la série d'amendements leur permettant de garder un mandat local.
"Je regrette que l'Assemblée soit un peu seule sur les textes qui font progresser la démocratie", a-t-il poursuivi.
En tout cas, malgré leurs efforts, le combat des sénateurs semble bien perdu d'avance comme l'explique Hélène Bekmézian, journaliste en charge du Parlement au "Monde".
Alain uguen
Le 01/10/2013 à 16:24:30