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Cette cyberaction est maintenant terminée

Bilan de la cyberaction : Le nucléaire ne sauvera pas le climat, la rénovation thermique si

Mise en ligne du 30/11/2023 au 09/06/2024

La ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, lance une consultation publique dans le cadre des travaux sur la Stratégie française énergie-climat, dont la prochaine programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) qui définira la politique énergétique de la France pour les dix prochaines années (2024-2035).

Bilan de la cyberaction :

1830 participants

Présentation de la cyberaction :

Le gouvernement a mis en consultation sa stratégie énergie et climat (SFEC) ce mercredi 22 novembre.
https://www.ecologie.gouv.fr/consultation-publique-sur-strategie-francaise-energie-climat  

L’objectif est ambitieux : sortir des énergies fossiles d’ici à 2050, alors que ces dernières, pétrole et gaz en tête, représentent encore aujourd’hui 60% de notre consommation d’énergie. Deux paliers sont fixés : réduire cette part à 42% en 2030 et à 29% en 2035, soit deux fois moins. Cette stratégie doit déboucher en 2024, avec un an de retard, sur une loi de programmation énergie climat (LPEC). "La transformation à engager est d’une ampleur comparable à celle de la première révolution industrielle", résume Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la Transition énergétique.

LA FRANCE PUBLIE SA STRATÉGIE POUR SORTIR DES ÉNERGIES FOSSILES D’ICI 2050, UNE "RÉVOLUTION INDUSTRIELLE"
https://www.novethic.fr/actualite/energie/transition-energetique/isr-rse/la-france-publie-sa-strategie-pour-sortir-des-energies-fossiles-d-ici-2050-151910.html  

1/ Baisse de la consommation d’énergie 
Pour atteindre ces objectifs, l’un des premiers défis consiste à réduire notre consommation énergétique. Rénovation des logements, fin des chaudières au fioul, électrification des transports, sobriété, le gouvernement vise ainsi une baisse de 40 à 50% d’ici à 2050 par rapport à 2021, et de 30% en 2030 par rapport à 2012. Après la guerre en Ukraine et les mesures de sobriété mises en place, la baisse a déjà atteint 12% en un an (après correction des effets météorologiques), il s’agit de poursuivre sur cette lancée et d’accélérer. "Le passage d’un véhicule thermique à un véhicule électrique ou le passage d’un chauffage à combustion à une pompe à chaleur conduisent à des rendements énergétiques largement améliorés", cite en exemples le cabinet de la ministre.  

2/ Accélération des énergies renouvelables    
La sortie des énergies fossiles passe aussi par une augmentation de la production d’électricité décarbonée : +10% d’ici 2030, +22% d’ici 2035. D’une part, la production à partir d’énergies renouvelables va être massifiée. Le texte prévoit ainsi de doubler le rythme de déploiement du photovoltaïque, du biogaz et des réseaux de chaleur d’ici 2030 et de quadrupler le rythme de déploiement de la géothermie. L’éolien offshore est aussi plébiscité avec un objectif de 36 parcs installés en 2035 (l’équivalent de la production d’électricité de 13 réacteurs nucléaires). Pour ce qui est de l’éolien terrestre, comme cela a déjà été annoncé, il s’agit de maintenir le rythme actuel "en veillant à une répartition plus équilibrée sur le territoire et en investissant dans le reprint", précise le document.   

Si celui-ci fixe des objectifs en termes de capacités installées, il n’y en a aucun cas en termes de part de renouvelables dans le mix énergétique. Ce qui a de quoi surprendre certains observateurs, à l’instar d’Anne Bringault, la coordinatrice du Réseau action climat (RAC), qui interroge sur X : "quelque chose à cacher ?". "Masquer cet objectif dans les documents de programmation sur l'énergie mis en consultation et envoyés à l'UE n'est en tous cas pas un bon signal". La France est en effet à la peine pour atteindre les objectifs fixés par la précédente feuille de route pour l’éolien ou encore le photovoltaïque. Le cabinet de la ministre balaye la critique en expliquant que le choix a été fait "d’exprimer les objectifs en terme de sortie des énergies fossiles et de production d’énergie décarbonée". 
  
3/ Relance du nucléaire 
D’autre part, la production d’électricité décarbonée va s’appuyer sur une relance du nucléaire. Ainsi, le texte précise que les réacteurs existants pourront être prolongés au-delà de cinquante ans, voire 60 ans, "dans le strict respect des exigences de sûreté". Par ailleurs, la construction de six nouveaux réacteurs (EPR2) est confirmée avec une mise en service entre 2035 et 2042. D’ici fin 2026, une décision devra être prise concernant la construction de huit autres réacteurs. Dans le même temps, au moins un prototype de petit réacteur innovant (SMR) devrait être lancé en 2030. Il s’agit aussi d’augmenter la puissance disponible des réacteurs existants (uprating), toujours "dans le respect du cadre de sûreté" et retrouver les meilleurs niveaux de performance opérationnelle avec pour cible une production nucléaire de 400 TWh d’ici 2030 (EPR de Flamanville 3 y compris)

Les plans énergie-climat des 27 Etats-membres de l’Europe sont-ils à la hauteur ?
https://reseauactionclimat.org/les-plans-energie-climat-des-27-etats-membres-de-leurope-sont-ils-a-la-hauteur/  

Ce n'est pas parce qu'un réacteur nucléaire est plus petit ou moins puissant, qu'il présente moins de risquesPhilippe Dupuy - responsable de la mission réacteurs innovants à l'ASN
https://www.actu-environnement.com/dit-aujourdhui/1368.html  

Pour personnaliser votre message nous vous proposons de compléter par des propositions du Réseau Action Climat ou du Réseau Sortir du Nucléaire.

le nucléaire ne sauvera pas le climat
https://www.sortirdunucleaire.org/IMG/jpg/tract-climat-2018-2-3.jpg  

Les propositions du Réseau Action Climat pour une vraie planification écologique
https://reseauactionclimat.org/planification-ecologique-place-maintenant-au-parlement-pour-aller-plus-loin/  

Grenoble : Alternatiba et l’Alliance citoyenne dénoncent les passoires énergétiques et la « réno-procrastination » des propriétaires
https://www.placegrenet.fr/2023/11/23/grenoble-alternatiba-et-lalliance-citoyenne-denoncent-les-passoires-energetiques-et-la-reno-procrastination-des-proprietaires/618386    

Passoires thermiques : le diagnostic de performance énergétique trop peu fiable
https://www.la-croix.com/economie/Passoires-thermiques-diagnostic-performance-energetique-trop-peu-fiable-2023-11-30-1201292820    

Rénovation thermique : pourquoi ça bloque
https://reporterre.net/Renovation-thermique-pourquoi-ca-bloque    

Sur un chantier modèle de rénovation énergétique des bâtiments
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-reportage-de-la-redaction/sur-un-chantier-modele-de-renovation-energetique-des-batiments-6157354    

La lettre qui a été envoyée :


Madame, monsieur,

Le nucléaire ne sauvera pas le climat : outre ses dangers et ses déchets à gérer pour des milliers d'année, ses délais de contructions sont intenables et les ressources financières, industrielles et matérielles ne sont pas là ! Pour réduire nos émissions il est bien plus efficace et plus rapide de tabler sur les économies d'énergie et les renouvelables.
Veuillez croire en ma vigilance sur vos choix

 

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26 commentaires

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Envolée des coûts des EPR2 : qui aurait pu prédire ?

La finalisation des plans génériques du futur EPR2 accuse d’ores et déjà un retard de... un an. Le "basic design" devait en effet être achevé à l’automne 2023 et sa finalisation a été repoussée à la mi-2024, d’après Joël Barre, délégué interministériel au nucléaire. C’est une nouvelle fois la preuve que la relance de l’industrie nucléaire est portée par une volonté politique hors-sol, déconnectée de toute réalité industrielle et administrative.
http://www.sortirdunucleaire.org/Premier-retard-pour-les-EPR2?origine_sujet=LI202403  

Alain UGUEN
Le 08/03/2024 à 07:53:57

Fraudes, contrefaçons, falsifications : le PDG d’EDF auditionné

Le 26 février 2024, l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a interrogé le PDG d’EDF, à propos des suspicions de fraudes, des contrefaçons et falsifications dont elle a eu connaissance depuis quelques années. Tout a commencé avec l’affaire du Creusot (2016) et ses dossiers falsifiés, mais hélas les pratiques frauduleuses ne se sont pas arrêtées là. Lors de ses vœux à la presse le 30 janvier dernier, l’ASN a fait état de dix affaires en cours d’instruction et de 43 cas de contrefaçons, falsifications et suspicions de fraude recensés en 2023. Un mois plus tard, elle demande à EDF d’agir.

https://www.sortirdunucleaire.org/Fraudes-contrefacons-falsifications-le-PDG-d-EDF-auditionne?origine_sujet=LI202403  

Alain UGUEN
Le 08/03/2024 à 07:52:49

Premier retard pour les EPR2
http://www.sortirdunucleaire.org/Premier-retard-pour-les-EPR2?origine_sujet=LI202403  

La finalisation des plans génériques du futur EPR2 accuse d’ores et déjà un retard de... un an. Le "basic design" devait en effet être achevé à l’automne 2023 et sa finalisation a été repoussée à la mi-2024, d’après Joël Barre, délégué interministériel au nucléaire.

C’est une nouvelle fois la preuve que la relance de l’industrie nucléaire est portée par une volonté politique hors-sol, déconnectée de toute réalité industrielle et administrative. En novembre dernier, le PDG d’EDF, Luc Rémont, avait déjà jugé qu’une mise en service d’un premier EPR2 en 2035 était un objectif "très exigeant". La phase de conception des réacteurs avait déjà été identifiée en 2021 comme une des phases pouvant durer plus de temps que prévu dans un rapport interne estimant qu’un premier couplage au réseau "aurait lieu vraisemblablement au plus tôt en 2040".

EDF et l’Etat arguent que c’est une manière de s’assurer qu’il n’y aura pas de retard dans la phase de construction. Pourtant, l’article 17 du projet de loi remis à l’Assemblée nationale qui doit entériner la fusion de l’ASN et de l’IRSN semble anticiper ce genre de retard et prévenir les conséquences qui pourraient en découler. Il prévoit en effet de déroger à la durée maximale de 8 ans des accords-cadres prévue par le code de la commande publique. Une dérogation qui sonne comme un aveu que cette durée n’est pas tenable et sera forcément débordée par la réalité des travaux. Pour nous, cette réforme est guidée par la volonté d’un gouvernement sans boussole qui cherche une nouvelle fois à contraindre le droit à l’impréparation de l’industrie nucléaire.

Une impréparation qui risque d’alimenter une augmentation du coûts de ces projets d’EPR2, dont le contribuable pourrait devoir in fine assumer le paiement. L’estimation du coût de construction des EPR2 est effectuée sans tenir compte de la durée de construction, ni de l’acquisition de terrains, ou encore du coût du capital. Dans ses réponses au débat public sur la construction d’EPR2 en juillet dernier, EDF avait déjà assumé être dans le flou quand aux moyens de les financer, mais aussi la nécessité d’envisager "les conditions d’un partage des risques, notamment le risque d’éventuels dépassements des coûts résultant du non-respect des délais". Alors que les coûts ne cessent depuis d’être revus à la hausse, nous dénonçons l’impact que cela aura forcément sur les consommateur.rice.s.

Contact presse :

Marion Rivet - chargée des relations médias : 06 64 66 01 23

Sortir du nucléaire
Le 08/03/2024 à 07:46:26

Ecouter les vidéos de Gunter Pauli, vous aurez une vision différente du respect de la terre, de l'énergie etc Enfin, un homme qui donne le sourire et l'espoir !!

Huguette BIHL-CHTEPENKO
Le 19/02/2024 à 12:59:30

Les EPR anciens ou nouveaux sont( seront)trop dangereux, trop chers, trop longs à construire (Dans n'importe quel ordre) vue les échéances nécessaires à contenir le dérèglement climatique en cours.

Edwige Dorbon
Le 19/02/2024 à 09:41:45

EPR de Flamanville : une falsification signalée à la justice
https://reporterre.net/EPR-de-Flamanville-une-falsification-signalee-a-la-justice  

Alain UGUEN
Le 16/02/2024 à 11:10:56

DEPUIS De Gaulle, la France a toujours eu sa bombinette. car c'est avant tout elle que veulent nos politiciens mais comme ils sont de plus en plus tarés, on ne devrait pas leur laisser ce joujou. N'avez-vous pas frémi en voyant les russes approcher la centrale ukrainienne ?

Marie CLAUX
Le 15/01/2024 à 15:08:05

canard enchainé du 10 janv = Hinkley Point menace EDF
15 milliards de surcoût à financer....
https://www.cyberacteurs.org/pdf/2024-01-10-canarde_67.pdf  

Alain UGUEN
Le 13/01/2024 à 09:38:08

et les panneaux solaires sur toutes les maisons, sur tous les édifices publics, les entreprises, les fermes, les écoles, les parkings..;

Lucky THIPHAINE
Le 10/01/2024 à 19:21:17

Nous aurons + 4° et un grave accident nucléaire avant que les EPR entrent en service. Il sera trop tard pour juger les coupables et lancer des programmes de sobriété + énergies renouvelables. Dommage.

Philippe GASPARINI
Le 10/01/2024 à 14:51:58

Nucléaire : la position de la ministre Agnès Pannier-Runacher "renvoie à un imaginaire des années 70", regrette l'association négaWatt
https://www.francetvinfo.fr/societe/nucleaire/nucleaire-la-position-de-la-ministre-agnes-pannier-runacher-renvoie-a-un-imaginaire-des-annees-70-regrette-l-association-negawatt_6288630.html  

Alain UGUEN
Le 08/01/2024 à 10:24:43

Un changement de mode de vie,..., de mes habitudes,....
De la bonne volonté,
remettre les choses à plat, réfléchir à ce que l'on veut -ou pas-...
Et le DEFI DU SIECLE est relevé !

Un petit pas,, plus un petit pas,... on va loin !

Danièle verraes
Le 26/12/2023 à 16:15:22

Cette consultation se termine demain - au cas où voici le texte que l'association que je représente a rédigé
 
Consultation
Stratégie française pour l'énergie et le climat
_______________
Qui sommes nous ?
Association loi 1901 née en 1990 composée uniquement de bénévoles soucieux de la santé des citoyens où qu'ils se trouvent sur la planète et engagés pour préserver la qualité de l'environnement conscients que nos actes de consommation ont des répercutions très graves dans les pays recelant notamment des ressources minières non renouvelables ;
__________
Remarques
1 - « Une stratégie pour relever le Défi du Siècle : sortir de la dépendance aux énergies fossiles » FAUX
Depuis plus de 50 ans la France s'approvisionne dans divers pays pour se fournir en uranium afin de fabriquer les combustibles nécessaires au fonctionnement des réacteurs nucléaires pour fournir de l'électricité : des prédations aux conséquences gravissimes au Niger notamment laissant un territoire privé d'eau potable pour son propre développement et des sites dégradés de façon irréversible le plus souvent.
La poursuite du développement de la production d 'électricité par l'énergie nucléaire nécessite des approvisionnement venus d'autres pays lointains avec un bilan carbone très négatif du fait de transports par bateaux puis de transports sur le sol français pour les nombreux aller-retours entre fabrication, usage, recyclage de ces combustibles la plupart du temps par convois routiers.
2 - « La nouvelle stratégie énergétique de la France est aussi le fruit d’un long travail de participation citoyenne et de concertation. » FAUX
Les concertations ont lieu après une décision unilatérale du Président de la République concernant
le choix de prolonger les réacteurs en activité au risque d'accidents éventuels liés à leur vieillissement (corrosion sous contrainte par exemple)
les chantiers de construction des nouveaux EPR ne seront techniquement et industriellement pas opérationnels avant 2030/40 et, de plus, seront facteurs de rejets supplémentaires de CO2 dans un contexte de réduction « impérative » avant 2030
Une décision d'autant plus déconnectée d'une réelle concertation
qu'elle est survenue largement avant la fin des consultations du débat public concernant la première série d'EPR à Penly et donc du dépôt du rapport des garants de la CNDP synthétisant les remarques des citoyens concernés
qu'un projet très inattendu de fusionner dès 2025 ASN et IRSN a été annoncé courant 2023 sans aucune concertation, très critiqué par bon nombre de spécialistes car perçu surtout pour accélérer les mises en œuvre au détriment d'études d'impacts environnementales particulièrement nécessaires dans un contexte de changement climatique
3 - « bâtir une coordination entre les États membres européens partageant l’idée que le nucléaire trouve sa place aux côtés des énergies renouvelables face aux grands défis énergétiques et climatiques du siècle » FAUX
La plupart des pays européens développent massivement leurs réelles énergies renouvelables à savoir les panneaux solaires, l'éolien terrestre et maritime pour respecter les objectifs 2030. Alors que nous avons la façade maritime la plus vaste et les courants marins les plus propices pour produire de l'électricité via l'énergie marémotrice nous nous lançons dans la construction d'EPR considérés comme producteurs assimilables aux énergies renouvelables qui seront opérationnels au plus vite après 2030 avec une accumulation de déchets à devoir gérer en plus de l'ensemble des déchets produits depuis la mise en route des divers réacteurs non encore gérés à ce jour.

4 - « Baisser nos consommations d’énergie » FAUX
Dans un contexte de passer au « tout électrique » voitures, chauffage, industries... un paradoxe évident émerge : comment répondre à une telle demande avec une production décalée à l'horizon 2050 ? Des SMR sous forme de START'UP portés par des fonds privés en divers points du territoire sans les exigences d'une sûreté qui jusqu'à présent grâce aux contrôles ASN et aux expertises IRSN a répondu aux missions qui lui ont été dévolues.

5 – Quid des coûts à envisager ?
Des entretiens plus rapprochés pour assurer une sûreté maximum pour les réacteurs dont l'activité sera prolongée de dix ans. Des coûts pharaoniques sans cesse revus à la hausse pour l'EPR1 toujours pas en service et pour construire les 3 séries de 2 EPR2 : de l'argent public que les contribuables auraient aimé voir attribué à de multiples chantiers de rénovation de bâtiments et de modes de transports (fret marchandises), une sobriété qui s'impose dans un contexte dit de « souveraineté énergétique » VRAI.
Le 21 décembre 2023

Anita VILLERS
Le 21/12/2023 à 17:37:52

Trois représentants d’États détenteurs d’armes atomiques (Etats-Unis, Angleterre, France) ont profité de la COP 28 pour tenter de sauver leurs industries nucléaires en perdition, attirant dans leur orbite une vingtaine de pays1. Ainsi le président Macron n’a rien trouvé de mieux à proposer que de tripler la production mondiale d’énergie nucléaire d’ici 2050. On se demande bien comment il compte faire alors que la Françatomique est empêtrée dans trois chantiers désastreux (l’EPR de Flamanville, le réacteur expérimental Iter et le réacteur de recherche Jules Horowitz) dont les malfaçons, les délais de construction et les coûts ne cessent d’augmenter. Les États-Unis et l’Angleterre ne font pas mieux pour leurs chantiers en cours.
https://www.cyberacteurs.org/pdf/2023-12-20-petite-_31.pdf  

François VALLET
Le 21/12/2023 à 09:35:00

Bonjour,

J'ai enrichi le message, au cas où ça pourrait intéresser qq signataires :-)

Madame, monsieur,
1°) Le nucléaire ne sauvera pas le climat
Outre ses dangers et ses déchets à gérer pour des milliers d'années, ses délais de construction sont intenables et les ressources financières, industrielles et matérielles ne sont pas là ! Pour réduire nos émissions il est bien plus efficace et plus rapide de tabler sur les économies d'énergie et les renouvelables.
2°) Le nucléaire ne nous rend pas indépendants
Aujourd'hui plus de 50% du combustible de nos centrales provient de la RUSSIE, voir le rapport d'enquête ici : https://cdn.greenpeace.fr/site/uploads/2023/05/Greenpeace-Rapport-La-Russie-plaque-tournante-du-commerce-duranium-mars-2023-1-1.pdf  
3°) Le nucléaire ne nous a pas mis pas à l'abri des hausses du coût de l'énergie
Alors que les coûts de production en France sont restés stables, chacun a pu constaté que les coûts de l'électricité se sont envolés
Veuillez croire en ma vigilance sur vos choix

Xavier Durieux
Le 18/12/2023 à 12:44:35

Au delà de la propagande mensongère sur les vertus environnementales du nucléaire Le recours presque exclusif à cette énergie ne pose t-il pas le problème de notre approvisionnement en minerai dont notre pays est totalement dépourvu, avec en plus le risque de conflits économiques voire guerriers ?

alain ethioux
Le 18/12/2023 à 09:59:29

Promu dans les discours à la COP28, le nucléaire n’en finit pas de décliner
https://www.alternatives-economiques.fr/promu-discours-a-cop28-nucleaire-nen-finit-de-decliner/00108915  

Alain UGUEN
Le 17/12/2023 à 07:46:12

On nous ment, c'est un fait!
Hélas les industriels ont plus de poids que les individus qui analysent les conséquences de leurs actions.
Et c'est ainsi dans tous les domaines, santé, biodiversité, énergie, consommation…
Quelle triste humanité!
Espérons que nos enfants aient plus de capacités que nous n'en avions à notre époque, si différente!
(Je suis né après la fin de la seconde guerre mondiale, ce qui représentait un véritable espoir, pour un avenir meilleur).

Jean-François DARBON
Le 15/12/2023 à 21:13:41

Observatoire du nucléaire : « Le nucléaire n’a rien d’une technologie verte »
https://reporterre.net/Le-nucleaire-n-a-rien-d-une-technologie-verte  

Alain UGUEN
Le 14/12/2023 à 11:51:12

La part du nucléaire dans le monde continue de diminuer car beaucoup trop cher et surtout trop long à mettre en place. Mais, la France et ses nombreux ingénieurs ne l'entendent pas de cette oreille et préfère continuer à foncer dans le mur, en entraînant le président lui-même

christophe davy
Le 08/12/2023 à 20:24:03

ni cuits ni radioactifs !

Philippe Perrin
Le 08/12/2023 à 15:26:38

Un marché relancé pour certains?
Mauvaise solution comme déjà mentionné, et trop tard pour la grande catastrophe.

Dominique Maurice René ALLAIN
Le 05/12/2023 à 19:40:51

Le nucléaire ne sauvera pas le climat : outre ses dangers et ses déchets à gérer pour des milliers d'année, ses délais de contructions sont intenables et les ressources financières, industrielles et matérielles ne sont pas là ! Pour réduire nos émissions il est bien plus efficace et plus rapide de tabler sur les économies d'énergie et les renouvelables.
Veuillez croire en ma vigilance sur vos choix

pierre-yves DUCREST
Le 05/12/2023 à 00:24:50

Parmi toutes les supercheries sur le nucléaire, il y a déjà celle de considérer l'uranium comme une énergie non fossile !
Si les nucléocrates étaient cohérents avec leur parole, ils conviendraient qu'il faut aussi sortir du nucléaire et plusieurs scénarios leurs montre que c'est possible.

Ultime Atome
Le 02/12/2023 à 19:13:39

Le programme nucléaire du gouvernement, c'est la course en avant vers toujours plus de production électrique ... pour permettre toujours plus de consommation énergétique !
C'est contraire au principe primordial de la transition écologique basé sur la SOBRIETE dont la sobriété énergétique.
Par ailleurs le nucléaire n'est pas une ENR puisqu'il utilise un fissile qu'on va chercher dans des pays souvent peu surs et donc avec une DEPENDANCE forte.
Si tous les pays se ruaient sur le nucléaire, la ressource en uranium serait tarie rapidement, avant même le retour sur investissement de la construction des réacteurs.
Le nucléaire est très dépendant des aléas climatiques.
La construction béton et aciers spéciaux est particulièrement énergivore; au bout de combien de temps cette gabegie énergétique productrice de GES est-elle compensée par une production réputée non émettrice de GES ?
On admet maintenant que le risque zéro accident grave existe; les sécurités mises en place pour limiter le risque coûtent fort cher en temps et en argent.
Si nos dirigeants n'avaient pas d'oeillères, ils comprendraient que la technologie de la fission électro-nucléaire est désormais obsolète ! Quand à la sur régénération et à la fusion nucléaire, force est de constater que les recherches et les expérimentations piétinent et arriveront bien trop tard vu l'accélération du réchauffement climatique et la perte de biodiversité tout aussi inquiétante.

Christian Rozé
Le 01/12/2023 à 10:54:44

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